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L'animation suisse à l'honneur au festival d'Annecy

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Mune, HEBOYAN Alexandre, PHILIPPON Benoît

C’est un peu l’équivalent du festival de Cannes du film d’animation… Le Festival International du Film d’Animation d’Annecy a lieu en ce moment en France voisine. Et cette année l’invitée d’honneur, c’est la Suisse!

Au programme des rétrospectives, des cartes blanches de réalisateurs et une belle sélection suisse retenue dans la compétition officielle. Parmi eux, il y a Miracasas un court métrage réalisé par la genevoise Raphaelle Stolz.

Raphaëlle StolzRéalisatrice

Au total, 13 productions helvétiques sont en compétition dans les différentes catégories, dont Miracasas, le court métrage de la genevoise Raphaelle Stolz. Nous lui avons demandé l’objectif de sa présence à Annecy.

Raphaëlle StolzRéalisatrice

La Suisse est donc l'invitée d’honneur cette année pour commémorer les 100 ans de l'animation helvétique. Alors est-ce qu’être mis en avant à Annecy est une bonne chose pour l’animation Suisse? La réponse du réalisateur fribourgeois Samuel Guillaume, qui a remporté le prix du public en 2007 à Annecy.

Samuel GuillaumeRéalisateur

Le Festival International du Film d’Animation d’Annecy se déroule jusqu’à samedi avec des projections gratuites en plein air au bord du lac tous les soirs.

 

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[ITW] Quand partir "A bicyclette !" permet de faire le deuil d'un fils

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Mathias Mlekuz et Philippe Rebbot dans "A Bicyclette !" © Emmanuel Guimier - MES Productions - F comme Film

Un film bouleversant, drôle et d'une sincérité désarmante. C'est ce que proposent Mathias Mlekuz et Philippe Rebbot avec "A bicyclette !", un documentaire unique en son genre, qui retrace un périple à vélo éminemment personnel. Tout commence avec une tragédie: Youri, le fils de Mathias, décide de traverser l'Europe de l'Est à vélo. Il choisira de mettre fin à ses jours en Ariège. « Un an après son suicide, avec Philippe, on a décidé de refaire la route qu'il avait parcourue cinq ans auparavant », explique Mathias Mlekuz. Il étaient mes invités, à retrouver en version longue.

L'alchimie entre les deux compagnons de route fait la force du récit. L'amitié se mêle au deuil, l'humour se frotte à la douleur. « On riait de rien et on pleurait de tout. Un moucheron dans l'œil et hop, ça nous faisait rire », se souvient Philippe Rebbot. L'un des enjeux du film était de ne jamais cacher ces émotions contrastées. « Il fallait montrer la vie dans ce qu'elle a de plus vrai. Et le deuil fait partie de la vie. »

Ce voyage initiatique se heurte aussi à la confrontation avec l'absence. Mathias, en recomposant les photos prises par son fils, cherche à raviver un lien. « Chaque étape me rappelait qu'il était mort. On allait constater son absence. » Une acceptation qui s'est faite peu à peu, grâce aussi à l'accueil bouleversant du public. « J'étais stupéfait de voir à quel point une histoire si intime pouvait être universelle. »

Au fil des projections, une véritable communion se crée. Les spectateurs rient et pleurent avec eux. « Les gens attendaient notre film pour chialer un bon coup et rire aussi. » Et ça fonctionne. Philippe en a même forgé une expression: « Les gens rient à chaudes larmes. »

Entre désarroi et résilience, ce film-témoignage ne laisse personne indemne. Youri n'est plus là, mais son souvenir persiste. « Une dame m'a dit : "Je ne connaissais pas Youri, maintenant j'en connais un, et c'est le vôtre." » Preuve que certains voyages ne s'arrêtent jamais vraiment.

Avec IA

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[ITW] "L'attachement" de Carine Tardieu: 50 ans, pas d'enfant, et alors?

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© 2024 - Karé Productions - France 2 Cinéma - Umedia

Dans son dernier film "L'Attachement", Carine Tardieu explore une nouvelle fois les relations humaines avec une finesse et une sensibilité qui lui sont propres. Mettant en scène une histoire de deuil, de reconstruction et d'attachement, la réalisatrice et co-scénariste signe un film d'une grande justesse. Elle était mon invitée, à retrouver en version longue.

 

"J'essaye de parler des relations entre les gens et de la manière dont ils interagissent, surtout lorsqu'un événement tragique survient," explique Carine Tardieu. Le film s'ouvre sur la mort d'une mère et le vide qu'elle laisse derrière elle. Elliot, son fils de cinq ans, cherche alors instinctivement un refuge. Ce sera sa voisine, jouée par Valéria Bruni Tedeschi, une femme libre et indépendante qui n'avait jamais envisagé la maternité.

Le film se déploie autour de cette relation improbable mais bouleversante. "Il s'accroche à elle comme à une bouée," confie la réalisatrice, soulignant que ce lien va influencer tous les autres personnages du récit. Ce sont des histoires de voisinage, d'ouverture, de famille choisie, loin des schémas traditionnels.

La question du regard sur l'âge est également au cœur du film. Après "Les Jeunes Amants", qui abordait une histoire d'amour entre une femme plus âgée et un homme plus jeune, "L'Attachement" met en scène un personnage féminin qui assume pleinement sa vie de cinquantenaire. "Elle a déjà fait des choix, elle pense que sa vie est déjà tracée, qu'elle ne connaîtra plus rien d'extraordinaire. Et pourtant..."

Le film interroge également les modèles familiaux et la parentalité. "Je suis bouleversée par ce que signifie être parent. C'est une expérience radicalement transformatrice. Mais je comprends aussi ceux qui choisissent de ne pas avoir d'enfants, face à un monde qui semble de plus en plus incertain."

Un casting qui "fait famille"

Côté casting, "L'Attachement" bénéficie d'une alchimie naturelle entre ses acteurs, facilitée par des liens déjà existants. "Valéria et Pio Marmaï avaient déjà joué ensemble. Vimala Pons et Pio avaient eu une histoire il y a dix ans. Toutes ces connexions ont participé à l'énergie du film."

En filigrane, "L'Attachement" est un plaidoyer pour la nuance et contre le cloisonnement des identités. "Aujourd'hui, tout est très polarisé. Soit on est une maman parfaite, soit une vieille fille. Il n'y a plus de place pour l'entre-deux. Mais moi, je veux montrer qu'il existe."

Avec ce film émouvant et lumineux, Carine Tardieu nous rappelle que la vie est faite de rencontres inattendues et de liens qui se tissent parfois contre toute attente.

Avec IA

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Bafta: "Conclave” et “The Brutalist” grands gagnants

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Brady Corbet et la scénariste Mona Fastvold sur le tapis rouge des Bafta (© KEYSTONE/AP/Joel C Ryan)

Le thriller papal "Conclave", du réalisateur austro-suisse Edward Berger, et le monumental "The Brutalist" ont dominé dimanche les Bafta, les récompenses britanniques du cinéma. Ils ont remporté chacun quatre trophées, tandis qu'"Emilia Perez" en a récolté deux, à quinze jours des Oscars.

Film sur les jeux de pouvoirs et les trahisons lors de l'élection d'un pape, "Conclave", qui faisait la course en tête avec 12 nominations, a confirmé son statut de favori. Le thriller papal fait jeu égal avec "The Brutalist", épopée de trois heures sur un architecte survivant de la Shoah incarné par Adrien Brody, qui était nommé dans neuf catégories.

"Conclave" a notamment été sacré meilleur film, tandis que "The Brutalist" s'est imposé dans les catégories meilleur réalisateur pour Brady Corbet, et meilleur acteur pour Adrien Brody qui incarne un architecte survivant de la Shoah.

Né en Allemagne, mais de nationalité suisse et autrichienne, Edward Berger avait déjà été le grand vainqueur à Londres il y a deux ans avec son adaptation d'"A l'Ouest, rien de nouveau".

Face à Demi Moore donnée favorite, l'Américaine Mikey Madison, 25 ans, a créé la surprise en remportant la récompense de meilleure actrice pour son rôle de stripteaseuse dans "Anora", thriller new-yorkais du réalisateur Sean Baker.

Deux trophées pour "Emilia Perez"

Fresque musicale sur la transition de genre d'un narcotrafiquant mexicain, "Emilia Perez" du Français Jacques Audiard, tourné en espagnol, est reparti avec deux trophées, dont celui de meilleur film en langue non anglaise. Ainsi que celui de meilleure actrice dans un second rôle pour Zoe Saldana, qui y interprète une avocate, Rita.

L'actrice a dédié son prix à son neveu trans, qui est "la raison pour laquelle elle a signé pour ce film au départ", ajoutant qu'elle "soutiendrait toujours la communauté LGBTQ". Le film était nommé dans 11 catégories aux Baftas et a été récompensé à Cannes et aux Golden Globes.

Mais la découverte fin janvier d'anciens tweets racistes et islamophobes de l'actrice Karla Sofía Gascón a fait exploser en vol la campagne de cette comédie musicale et relancé la course quelques jours avant cette cérémonie de remise des prix à Londres.

Présent lors de la cérémonie dimanche soir, à la différence de son actrice controversée, Jacques Audiard a remercié "tous les talents" du film en nommant les actrices Zoe Saldana, Selena Gomez et Karla Sofia Gascon.

Nommé 13 fois aux Oscars, "Emilia Perez" a également été épinglé pour sa représentation du Mexique jugée caricaturale et pour avoir eu recours à l'intelligence artificielle pour améliorer la voix de son actrice - comme "The Brutalist".

Brochette de stars

Le palmarès des Bafta, qui peuvent donner le ton des Oscars organisés dans deux semaines à Los Angeles, est particulièrement scruté. Timothée Chalamet et sa compagne Kylie Jenner, Cynthia Erivo, Adrien Brody et Ralph Fiennes étaient parmi les stars présentes lors de cette soirée au Royal Festival Hall.

La cérémonie s'est tenue cette année en l'absence du prince William, président d'honneur des Bafta, et de son épouse Kate.

"Institution britannique"

Les dernières aventures de Wallace et Gromit, "la palme de la vengeance", ont obtenu deux prix, dont celui de meilleur film d'animation. "C'est exceptionnel" de voir à quel point ces personnages sont aimés aujourd'hui, "ils sont devenus une institution britannique", s'est réjoui leur créateur, Nick Park.

"Dune: deuxième partie" de Denis Villeneuve remporte également deux trophées, dont celui des meilleurs effets visuels. Nommée à cinq reprises, la fable gore et féministe "The Substance", de la Française Coralie Fargeat, ne récolte qu'une récompense, dans la catégorie "maquillage et coiffure".

Succès inattendu déjà primé à Sundance, "Kneecap", docu-fiction sur un insolent trio de rap nord-irlandais nommé dans six catégories, a été sacré dans la catégorie du meilleur premier film britannique.

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Bridget Jones et la différence d'age au cinéma

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Renée Zellweger dans "Bridget Jones: Folle de lui" (Jay Maidment/Universal Pictures via AP)

La star américaine Renee Zellweger est de retour dans la peau de la célèbre anglaise pour "Bridget Jones: folle de lui". La voici quinquagénaire, veuve et prête à craquer pour un jeune Apollon.

 

Elle partage l'affiche de ce quatrième volet de Bridget Jones avec la star montante Leo Woodall ("The White Lotus", "Un jour"), Chiwetel Ejiofor ("Love Actually", "Twelve years a slave") et Hugh Grant.

Le spectateur avait quitté Bridget il y a presque dix ans, dans "Bridget Jones's Baby" (2016). Elle était enceinte, sans savoir qui était le père de l'enfant, après avoir eu des aventures avec un beau milliardaire américain, et son ex Mark Darcy, joué par Colin Firth, qu'elle finissait par épouser. A l'époque, la suite des aventures de Bridget était disponible en livre, mais jamais pas encore été adaptée à l'écran.

On la retrouve à 51 ans, veuve, avec deux enfants. Elle n'est toujours pas à l'abri de nouvelles mésaventures alors qu'elle se débat entre les applis de rencontre, les réseaux sociaux et le Botox.

La créatrice de Bridget Jones, Helen Fielding, a expliqué qu'elle avait supprimé Mark Darcy du film car elle ne voulait pas d'une Bridget "en femme mariée satisfaite d'elle-même". Elle a gardé par contre les personnages de Daniel Cleaver (Hugh Grant), l'ancien patron et petit-ami de Bridget, ainsi qu'Emma Thompson, l'incontournable gynécologue.

Hugh Grant a décrit le nouveau film comme étant "extrêmement drôle, mais très triste".

Le choix de Renee Zellweger, une Américaine du Texas, pour incarner la "so British" Bridget Jones avait fait des vagues au début des années 2000. Mais l'actrice a travaillé dur pour prendre l'accent britannique, et elle a rencontré un immense succès dès la sortie du film "Le journal de Bridget Jones" en 2001.

Ce personnage, qui enchaîne les déboires amoureux, les verres de Chardonnay et les régimes, a fait connaître Renee Zellweger dans le monde entier.

Helen Fielding a créé le personnage de Bridget Jones pour une chronique dans la presse britannique en 1995, avant d'en faire une série de livres à succès. Au point que Bridget est devenue au fil des années une icône de la culture britannique.

"Bridget Jones: folle de lui" est à voir en salle à Genève, au Ciné 17 ou Balexert.

Avec Keystone-ATS

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"Sauve qui peut": Quand les vrais médecins rencontrent de faux patients

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© Droits réservés

Vous êtes-vous déjà demandé comment sont formés les médecins pour annoncer certaines nouvelles ? C’est cette question qui est au cœur du documentaire "Sauve qui peut", une plongée inédite dans la formation médicale où les étudiants s’exercent sur de faux patients. La réalisatrice Alexe Poukine, était mon invitée.

Pour son film, la réalisatrice a posé sa caméra dans plusieurs hôpitaux, notamment au CHUV de Lausanne, où se déroulent des séances de simulation médicale. Ici, pas de simples exercices techniques, mais une mise en situation ultra-réaliste où des comédiens jouent le rôle de patients atteints de pathologies graves. « Ce qu’il faut dire, c’est que ça existe réellement pour que les médecins puissent s’entraîner à annoncer par exemple des mauvaises nouvelles », explique Alexe Poukine. « On fait appel à des comédiens et des comédiennes qui endossent des rôles. »

Et pourtant, malgré la fiction, l’émotion est bien réelle. « La première chose qui m’a choqué dans votre film, c’est que je me suis pris au jeu. J’ai versé des larmichettes », ai-je avoué. Un sentiment que partage la réalisatrice : « Tout le monde sait que c’est faux. Même les étudiants en médecine qui participent à ces simulations savent que c’est faux. Et pourtant, même eux versent des larmichettes. Comme quoi, entre la réalité et la fiction… »

Un hôpital sous tension

Derrière ces exercices se dessine une réalité plus sombre : celle d’un système de santé sous pression. En suivant les étudiants, les soignants et les faux patients, "Sauve qui peut" met en lumière les dilemmes du monde hospitalier. Loin d’un simple reportage médical, le film dévoile les tensions qui pèsent sur les soignants, tiraillés entre l’empathie et la rentabilité.

« Malheureusement, le temps du soin et le temps de la rentabilité ne sont pas du tout les mêmes », constate la documentariste. « On nous demande d’être rentables à l’hôpital, alors que faire de l’argent avec la maladie, la mort et la souffrance, c’est un peu difficile. »

Et si en Suisse, les moyens sont plus importants qu’en France ou en Belgique, la problématique reste la même. « Quand vous avez cinq minutes pour faire la toilette de quelqu’un, vous pouvez avoir pris tous les cours d’empathie que vous voulez, vous êtes forcément maltraitants. »

Un équilibre fragile

Si le film touche, c’est aussi parce qu’il ne se contente pas de dénoncer. Il révèle l’humanité qui résiste malgré tout. Entre moments d’apprentissage maladroits et scènes de grande intensité, "Sauve qui peut" navigue entre le rire et les larmes. « Moi, ce que j’ai trouvé très beau en faisant le film, c’est qu’on comprend à la fois les soignants et les patients », confie Alexe Poukine. « En fait, on se rend compte qu’on est tous dans la même équipe. Et que c’est très difficile d’être un humain, quel que soit le côté où on se trouve. »

Car l’apprentissage ne concerne pas que les jeunes médecins. Tout au long du film, on assiste à des formations où l’on déconstruit les préjugés. « On fait en simulation ce qu'on devrait faire dans tous les milieux », souligne la réalisatrice. « On déconstruit les représentations sexistes, racistes, agistes, homophobes, classistes… On devrait tous essayer de déconstruire nos stéréotypes. »

Une nécessité d’évolution

Au fil des 1h40 de documentaire, une question persiste: comment préserver la vocation des soignants dans un système qui les use? Beaucoup entrent dans la profession avec l’envie d’aider, mais certains finissent par la quitter, exténués. « Il y a énormément de gens qui sont venus me voir après les projections en me disant qu’ils avaient arrêté leur métier de soignant. Quand bien même ils pensaient que c’était le plus beau métier du monde. Juste pour sauver leur peau. » raconte Alexe Poukine.

Mais alors, comment changer les choses? La réalisatrice esquisse une piste : « Il faut juste être ensemble, que ce soit les chefs de services, les aides-soignantes, les médecins, les infirmiers… Se dire qu’est-ce qu’on peut améliorer et le faire ensemble. »

Avec ce documentaire aussi dur que lumineux, Alexe Poukine met en lumière un monde souvent invisible et rappelle que derrière chaque blouse blanche, il y a avant tout un humain qui essaie de bien faire.

Avec IA

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