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Culture

La musique pèse près d'un quart de milliard de francs en Suisse

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La chanteuse américaine Billie Eilish, 23 ans, est très écoutée en Suisse (archives). (© KEYSTONE/AP Invision/JORDAN STRAUSS)

Le marché suisse de la musique se porte plutôt bien. Le chiffre d’affaires approche le quart de milliard avec 249 millions de francs en 2024, en hausse pour la neuvième année d'affilée, annonce jeudi l'Association de branche des labels de musique en Suisse (IFPI).

Par rapport à 2023, la hausse du chiffre d'affaires est de 7%. Le streaming à lui seul (via des services comme Youtube, Apple Music, Spotify) a généré 226 millions (+10%). Le streaming musical contribue désormais à hauteur de 91% au chiffre d’affaires total.

"La Suisse se situe au cinquième rang mondial en termes de chiffre d’affaires par habitant", souligne Lorenz Haas, directeur d’IFPI Suisse dans un communiqué.

Aussi en chiffres absolus, la "petite Suisse" est stable, depuis de nombreuses années, en occupant la 17e place du Top 20 des marchés musicaux mondiaux.

CD au plus bas

Le CD perd en revanche 25% et n’atteint plus qu’un chiffre d’affaires de 9,7 millions de francs, soit son niveau le plus faible depuis le lancement de ce support au début des années 1980.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Eric Zemmour condamné pour injure raciale

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Selon les juges, Eric Zemmour a proféré "de graves injures", "en direct" dans "des émissions de grande écoute (...) dans une démarche globalisante et véhiculant un discours de haine venant encore aggraver les dissensions et aiguiser les ressentiments" (archives). (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Le président du parti d'extrême droite Reconquête Eric Zemmour a été condamné mercredi à une peine de 9000 euros d'amende pour injure raciale concernant des propos où il opposait "deux France" dans l'affaire de Crépol.

Si l'amende n'est pas versée, cela peut donner lieu à l'incarcération d'Eric Zemmour.

Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023, Thomas, un lycéen de 16 ans, avait été tué à coups de couteau lors d'une rixe entre des jeunes de ce village de la Drôme et un groupe d'autres jeunes arrivés dans la soirée. L'affaire avait suscité une vive polémique, la droite et l'extrême droite l'élevant en emblème d'une insécurité dans les zones rurales due, selon elles, à des habitants de quartiers urbains défavorisés.

Liberté de parole revendiquée

Interrogé sur une expédition punitive de militants d'ultradroite qui avait suivi, Eric Zemmour avait reproché aux "médias" et au "gouvernement" un "écran de fumée", "ridicule" par rapport "au meurtre de Thomas" et aux "dizaines de morts de la main des racailles arabo-musulmanes".

"Nous avons, aujourd'hui, une situation où nous avons deux peuples, deux France, deux jeunesses, celle de Thomas, celle de Chahid", avait déclaré Eric Zemmour le 30 novembre 2023 sur RMC et BFMTV.

Ces propos avaient été signalés par le Délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), SOS Racisme, deux députés LFI et un particulier.

Devant les enquêteurs, Eric Zemmour, déjà poursuivi et condamné à plusieurs reprises pour ses sorties sur l'islam, l'immigration ou l'histoire de France, avait contesté le caractère injurieux de ses propos et revendiqué sa liberté de parole.

"Généralisation grossière"

Le tribunal correctionnel de Paris, qui a prononcé une peine de 60 jours amende à 150 euros, a souligné que l'ex-candidat à la présidentielle tient un "discours essentialiste en déduisant l'origine des individus des prénoms qu'ils portent" et "désigne comme assassins (...) les personnes d'origine arabe et de confession musulmane qu'il traite de 'racailles'".

Eric Zemmour "véhicule sciemment l'image d'une France divisée (...) entre d'une part un groupe de 'prédateurs', au sens d'une prédation meurtrière, composée des personnes d'origine arabe, qu'il désigne de manière caricaturale comme la France des 'Chahid'" et de l'autre celle des "Thomas", "qu'il dépeint, en contraste, de façon idyllique et tendre", selon le tribunal.

Il a ainsi proféré "de graves injures", "en direct" dans "des émissions de grande écoute (...) dans une démarche globalisante et véhiculant un discours de haine venant encore aggraver les dissensions et aiguiser les ressentiments", selon les juges. Et ce "à un moment très tendu où deux camps antagonistes étaient susceptibles de commettre des actions violentes et où les pouvoirs publics craignaient des actions de représailles voire des phénomènes d'émeutes".

Le tribunal a, en revanche, relaxé M. Zemmour pour un autre passage de l'interview, malgré son utilisation de "termes clivants et excessifs en convoquant les notions d''invasion' et d''islamisation'".

Eric Zemmour a annoncé dans une déclaration qu'il faisait "bien sûr" appel, soutenant qu'"il est inadmissible que la vérité soit à ce point bâillonnée dans notre pays".

Reprenant un concept originellement théorisé et diffusé par l'extrême droite et contestée par des sociologues, il a affirmé que "le racisme anti-blanc tue, mais, en France, ce sont ceux qui le combattent que la justice sanctionne".

Relaxé dans une autre affaire

Dans un jugement distinct, Eric Zemmour a également été relaxé mercredi pour des messages sur Twitter (devenu X) dans lesquels il évoquait en octobre 2022 le meurtre de Lola, adolescente de 12 ans.

"Dhabia B, Amine K, Friha B et Rachid N, ce sont les noms des quatre suspects algériens dans l'affaire du meurtre de Lola. Quand défendrons-nous nos enfants contre ces francocides qui sont toujours commis par les mêmes, toujours au détriment des mêmes ?", s'interrogeait-il.

Le tribunal a estimé que ces propos, s'ils "procèdent à une généralisation grossière, ne permettent pas de caractériser une communauté déterminée qui serait visée par les propos discriminatoires ainsi diffusés".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Plan de frappes publié, Maison Blanche sur la défensive

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"Pete Hegseth est un p*tain de menteur", a déclaré la démocrate TammyDuckworth, membre de la commission des forces armées au Sénat. "Ce sont clairement des informations classifiées qu'il a fait fuiter par négligence", a-t-elle ajouté. "Il doit démissionner immédiatement", a conclu la sénatrice. (© KEYSTONE/AP/CHARLES REX ARBOGAST)

Le magazine américain The Atlantic a publié mercredi un plan de frappes contre les Houthis au Yémen, dont son rédacteur en chef a été le destinataire accidentel. Il a immédiatement été accusé par la Maison Blanche d'avoir "survendu" cette nouvelle révélation.

Le président américain, Donald Trump, "continue d'avoir confiance" en son équipe de sécurité nationale, a dit mercredi sa porte-parole, Karoline Leavitt, alors que l'opposition démocrate réclame la démission du chef du Pentagone, Pete Hegseth.

Le conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, avait invité par erreur le rédacteur en chef de The Atlantic, Jeffrey Goldberg, dans un groupe de discussion Signal consacré à des frappes américaines contre les Houthis et incluant les plus hauts responsables américains.

Pete Hegseth avait donné dans cette discussion des détails très précis sur les attaques en question, peu avant qu'elles ne soient menées, le 15 mars. Le ministre de la Défense a assuré mardi qu'il avait "fait son boulot", en livrant des "informations en temps réel" sur l'attaque.

Pete Hegseth "doit être viré immédiatement s'il n'a pas le cran de reconnaître son erreur et de démissionner", a réclamé le chef de file des élus démocrates à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, sur CNN.

"Quelqu'un doit tomber"

Quelques personnalités populaires auprès de l'électorat trumpiste ont aussi exprimé leur mécontentement face à la posture choisie par la Maison Blanche. Dave Portnoy, un commentateur conservateur très influent, a ainsi demandé à l'exécutif américain de "prendre ses responsabilités" après un "foirage monumental", et déclaré, dans une vidéo sur X: "Quelqu'un doit tomber et pour moi c'est Mike Waltz".

Le secrétaire d'Etat, Marco Rubio, a aussi reconnu mercredi qu'une "grosse erreur" avait été commise avec l'ajout du journaliste à la boucle Signal.

Alors que la Maison Blanche persiste à dire que rien dans ces échanges sur Signal ne relève du secret défense, le prestigieux mensuel, qui avait révélé l'existence du groupe de discussion lundi, a publié un nouvel article mercredi contenant la quasi-intégralité de la conversation.

The Atlantic reproduit des copies d'écran de messages du ministre de la Défense avec les horaires précis des frappes prévues contre le groupe rebelle yéménite, allié de l'Iran, et les armements employés, envoyés deux heures avant que celles-ci n'aient eu lieu.

"Il n'y avait pas de détails, il n'y avait rien là-dedans qui ait compromis (l'opération) et cela n'a pas eu d'impact sur l'attaque qui a été un grand succès", a commenté Donald Trump dans un entretien publié mercredi avec le podcasteur Vince Coglianese.

Le vice-président JD Vance, qui participait à la conversation Signal, a accusé le magazine d'avoir "survendu" ces nouvelles révélations.

"Foireux"

Pete Hegseth a également ironisé sur X qu'en l'absence selon lui d'informations spécifiques sur les frappes, "ce sont vraiment des plans de guerre foireux".

Le chef du Pentagone "est un p*tain de menteur", a déclaré la démocrate Tammy Duckworth, membre de la commission des forces armées au Sénat. "Ce sont clairement des informations classifiées qu'il a fait fuiter par négligence", a-t-elle ajouté.

La Maison Blanche a fait savoir mercredi que le multimilliardaire Elon Musk, proche conseiller de Donald Trump, avait proposé les services de ses "experts techniques" pour comprendre comment Jeffrey Goldberg avait été ajouté à la discussion sur Signal.

Donald Trump avait déjà minimisé mardi cette fuite spectaculaire, la qualifiant de simple "pépin".

Les messages de Pete Hegseth reproduits mercredi par The Atlantic exposent un déroulé précis des frappes prévues contre les Houthis

"La cible terroriste est sur sa zone connue donc ON DEVRAIT ETRE A L'HEURE - et aussi, départ des frappes de drones (MQ-9)", écrit ainsi Pete Hegseth aux autres membres du groupe le 15 mars. Ou encore: "15H36 F-18 début seconde frappe - aussi, lancement premiers Tomahawks depuis mer".

Les F-18 sont des avions de combat américains, le MQ-9 est un drone de combat américain, et les Tomahawks sont des missiles de croisière.

Les Houthis affirment que ces frappes américaines ont fait une cinquantaine de morts et une centaine de blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Eurovision: Bastian Baker et cie chanteront les titres vainqueurs

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Le musicien lausannois Bastian Baker participe à l'émission "ESC Mania" sur SRF 1. Il interprétera une chanson gagnante de l'Eurovision (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Bastian Baker et d'autres chanteurs suisses vont reprendre les titres, qui ont gagné à l'Eurovision dans une émission de la TV alémanique SRF. "ESC Mania" fera monter la fièvre une semaine avant la finale le samedi 17 mai.

Plusieurs musiciens rejoueront une chanson gagnante de l'Eurovision de 1956 à aujourd'hui, a annoncé la SRF mercredi. Oesch's die Dritten, le groupe familial et populaire de l'Oberland bernois, les chanteurs Bastian Baker, Seven et Kunz, les chanteuses Sina et Stephanie Heinzmann, ainsi que la rappeuse Gigi reprendront les morceaux.

Les artistes auront pour mission d'interpréter les chansons gagnantes "de manière à enthousiasmer le million de spectateurs de l'Eurovision d'aujourd'hui", peut-on lire dans le communiqué. La Haut-Valaisanne Stefanie Heinzman reprendra par exemple la chanson "Rise like a Phoenix", avec laquelle Conchita Wurst s'est imposée pour l'Autriche en 2014.

Luca Hänni et Francine Jordi, qui ont représenté la Suisse à l'Eurovision, viendront également à l'émission raconter des anecdotes. Sans oublier la musicienne fribourgeoise Zoë Më, qui viendra chanter "Voyage", dans une version acoustique.

L'émission, qui marquera le début de la semaine de l'eurovision, sera présentée par l'animateur alémanique Sven Epiney.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Procès Depardieu: soutien de Fanny Ardant et témoignages accablants

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Gérard Depardieu lors d'une pause au troisième jour de son procès pour agressions sexuelles présumées. Il a nié avoir "touché" les deux plaignantes. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Au troisième jour de son procès pour des agressions sexuelles présumées sur deux femmes en 2021, Gérard Depardieu a continué à nier mercredi avoir "touché" les plaignantes. Il a été soutenu par son amie Fanny Ardant mais accablé par d'autres témoignages.

Les plaignantes se sont succédées à la barre, émues d'être face à un tribunal et dans la même pièce que celui qu'elles accusent de les avoir agressées.

Marie d'abord, une journaliste qui a tourné une émission de télévision en 2007 avec Gérard Depardieu comme invité. Des sanglots dans la voix, la jeune femme raconte le jour où l'acteur est arrivé derrière elle et lui "a pétri le dos en grognant" et en descendant vers sa jupe. "Tout le monde rigolait, j'ai ravalé ma honte", a continué la jeune femme qui n'a jamais porté plainte.

A la barre lui succède Lucile, costumière sur un tournage avec Gérard Depardieu en 2014 sur lequel elle raconte avoir été agressée. Des faits pour lesquels elle a porté plainte l'année dernière mais qui sont prescrits.

"Dégoutée"

"Il me pousse derrière des rideaux, me met la main sur ma culotte et mon collant, sur mon sexe, sur ma poitrine. Il me dit qu'il veut faire plein de choses avec moi, que d'autres ont dit oui, que d'autres diront oui", a poursuivi la jeune femme qui a abandonné le cinéma, "dégoutée".

Gérard Depardieu a pu toutefois compter sur le soutien appuyé de Fanny Ardant, 76 ans comme lui. "Oui il prend de la place sur un tournage, oui il a une grande gueule, il dit des grossièretés", a excusé Fanny Ardant.

Comme un monologue au théâtre, l'actrice dans sa robe noire au col blanc, a déclamé un long message d'amitié au prévenu. "Je suis ici comme amie de Gérard, je le connais depuis tout le temps donc je peux parler pour lui devant cette cour", a lancé l'actrice. Appelée comme témoin par la défense, elle a assuré ne "jamais avoir assisté à un geste de l'acteur qu'elle aurait trouvé "choquant".

"Je suis une femme moi-même, j'ai connu des choses comme ça, j'ai balancé des claques, des insultes. Je sais qu'on peut dire non à Gérard", a ajouté l'actrice avant d'embrasser son ami sur les deux joues en sortant.

La matinée avait auparavant été consacrée à la déposition de Sarah, la deuxième plaignante.

"Je ne touche pas !"

"Je l'ai peut-être frôlée avec le dos dans le couloir, mais je ne l'ai pas touchée !", a affirmé à la barre Gérard Depardieu. "Je n'ai pas fait d'agression sexuelle, une agression c'est plus grave que ça je crois."

"Plus grave que quoi ?", l'a interpellé l'avocate de Sarah (prénom modifié), Me Claude Vincent. "Plus grave qu'une main aux fesses. Enfin, je n'ai pas mis de main aux fesses !", s'est empressé d'ajouter l'acteur.

Gérard Depardieu a raconté n'être jamais seul sur un tournage, toujours accompagné de son équipe: habilleuse, maquilleuse, garde du corps.

Ce n'est pas ce dont se souvient Sarah, troisième assistante sur "Les Volets verts", chargée, le 1er septembre 2021, d'accompagner l'acteur de la loge vers le plateau.

"Ce soir-là, son équipe n'est pas là", décrit la jeune femme. "On est parti des loges, il faisait nuit et au bout de la rue, il a mis la main sur ma fesse, il l'a posée tranquillement", a mimé Sarah, debout à la barre, à quelques mètres de Gérard Depardieu.

Sarah, 34 ans, a indiqué avoir été agressée ensuite à deux reprises, sur les fesses et sur les seins. Les deux dernières fois, "j'ai dit non !".

Mise au courant, la production a demandé à Gérard Depardieu de s'excuser, ce qu'il a fait "de façon assez énervée", s'est souvenu Sarah, ajoutant qu'ensuite, il lui a fait vivre un enfer, la traitant de "balance", de "folle" et refusant de travailler avec elle.

"Je ne voulais pas que des jeunes femmes viennent près de la loge parce que je suis grossier !", se défend l'acteur. "Mais M. Depardieu, elle ne dénonce pas que vos mots, mais aussi des gestes !", est intervenu le président. "Je suis vulgaire, grossier, ordurier, je veux bien ! Mais je ne suis pas que ça ! Je respecte les gens !", s'est-il indigné. "Je ne touche pas."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Faille de sécurité sur le Yémen: Waltz assume sa "responsabilité"

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Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale de Trump à l'origine de la faille de sécurité sur les frappes américaines au Yémen, assume sa "responsabilité" (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale de Trump à l'origine de la faille de sécurité concernant les frappes américaines au Yémen, a dit mardi assumer sa "responsabilité" après qu'un journaliste s'est retrouvé dans le groupe Signal qu'il avait créé.

"J'assume mon entière responsabilité. J'ai créé ce groupe", a réagi sur Fox News Mike Waltz lors de sa première interview depuis la révélation de ces faits, suggérant qu'il avait pu avoir le numéro du journaliste enregistré sur son téléphone en pensant que c'était celui de quelqu'un d'autre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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