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Culture

La Fête de la Danse tire sa révérence sur une participation record

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A Meyrin (GE), la performance dansée "Reset" à l'occasion de la Fête de la Danse. (© Nicolas Dupraz/Fête de la Danse)

L’édition 2024 de la Fête de la Danse a connu un record de participation malgré la météo capricieuse. Près de 100'000 danseurs et danseuses ont célébré l'art du mouvement six jours durant à travers toute la Suisse.

De mardi à dimanche, 500 spectacles, 600 cours et près de 20 projections de films de danse se sont déroulés dans plus de 30 localités, indiquent dimanche les organisateurs. Dix-huit villes romandes étaient associées à la manifestation, ainsi qu'une dizaine de villes alémaniques - dont Berne, Bâle et Zurich - et tessinoises.

Sur les quais et les places publiques, dans les parcs, les théâtres, les musées, les cinémas ou les zones piétonnes, le festival a investi toutes les scènes. De l'afrodance à la capoeira, en passant par la danse derviche, le flamenco, la valse, le tango et le lindy hop, le programme offrait une large palette de cours et ateliers, pour tout niveau et dans tous les styles.

Virus de la fête

Au Village de la Danse à Genève, 150 spectateurs se sont fait emporter par les sourires, grimaces et chants de la danseuse danoise Mette Ingvartsen. A Bienne et Fribourg, c'est la Compagnie Ouinch Ouinch qui a transmis le virus de la fête au public avec ses chorégraphies sauvages et explosives. Le duo valaisan Dakota et Nadia a pour sa part ouvert les feux de la première édition de la Fête de la Danse à Sion.

Treize spectacles ont fait étape dans plusieurs villes romandes, notamment Jukebox Dancer dans lequel Kilian Haselbeck remet en question les étiquettes en explorant son désir d'être plus qu'une seule version de lui-même (Bulle, Vevey et Morges). Dans Entrelacés, Cédric Gagneur et sa Cie Synergie ont cherché une symbiose entre l'univers aérien de la guitare et la dimension terrestre du breakdance (Fribourg, Bienne et Sion).

Mettre la danse sous le feu des projecteurs et assurer son accessibilité à tous est l’une des missions de la Fête de la Danse. La prochaine édition, qui marquera la 20e, se tiendra du 14 au 18 mai 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Susanne Wille sera la nouvelle directrice générale de la SSR

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La journaliste alémanique Susanne Wille succédera à Gilles Marchand à la tête de la SSR. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La journaliste alémanique Susanne Wille, actuelle directrice de la culture de la SRF, sera la première femme à la tête de la SSR. L'assemblée des délégués l'a élue samedi au poste de directrice générale. Elle succédera à Gilles Marchand.

Susanne Wille est une dirigeante expérimentée doublée d'une habile communicatrice, polyglotte qui, après avoir occupé différentes fonctions dans les domaines les plus variés, peut compter sur un vaste réseau, indique la SSR dans un communiqué.

Elle apporte également un grand savoir-faire en matière de transformation numérique, ainsi que des compétences éprouvées dans les domaines du management et de la stratégie, ajoute-t-elle.

Mme Wille, âgée de 50 ans, a passé plus de vingt ans devant la caméra dans diverses émissions de la SRF et dirige depuis quatre ans son département culturel. De grandes tâches attendent désormais Mme Wille et la direction de la SSR, comme la répartition des concessions, la baisse des recettes et la votation sur la baisse des redevances radio-TV prévue pour 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le centre taoïste de Bullet (VD) organise son premier festival

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Un public nombreux a assisté à la cérémonie du Kai Guang au Centre Ming Shan de Bullet. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le centre Ming Shan de Bullet (VD) accueille ce week-end son premier festival international des arts du Tao. Une dizaine de maîtres de rituels et de musiciens chinois sont présents sur le balcon du Jura, où de rares cérémonies sont programmées.

Ce nouveau festival, qui se veut accessible à tout le monde, invite à "vivre une expérience immersive dans les arts du Tao et élargir ses horizons spirituels et culturels", relève Fabrice Jordan, directeur et co-fondateur en 2019 du centre taoïste de Bullet. Chacune des activités proposées vise ainsi à "ouvrir une nouvelle fenêtre sur les multiples facettes des arts du Tao", poursuit le dossier de presse.

Le programme comprend de nombreux ateliers et démonstrations, entre calligraphie, cérémonies du thé, encens ou astrologie. Les pratiques du qi gong et du tai-chi sont aussi présentées, tout comme la méditation taoïste. Conférences, projections de films, initiation au chinois, compétitions de jeux vidéo, expérience de réalité virtuelle de tai-chi et activités pour les enfants figurent aussi au menu du week-end.

Samedi soir, un spectacle inédit et interculturel, intitulé "Du Tao à la Lumière", sera présenté à l'aula de la HEIG-VD à Yverdon. Il mêlera musique traditionnelle chinoise, arts martiaux wushu et cor des Alpes.

Rares rituels

Le festival de Bullet veut aussi montrer aux visiteurs plusieurs rituels sacrés. Parmi eux figure le "Kai Guang", une cérémonie qui n'a lieu qu'une seule fois dans la vie d'un temple. Elle consiste à rendre "actives" les statues du temple, à les relier "à leur source de pouvoir céleste" par des prières, des mantras, des offrandes, des marches sacrées et des gestes symboliques.

Ce rituel est organisé pour la première fois dans un temple en Europe. "Il est si important et si rare qu'il faut souvent, même en Chine et pour les adeptes taoïstes, attendre des années avant d'avoir la chance d'y assister", relève le dossier de presse.

Pour ce premier festival, les organisateurs ont fait venir de Chine une dizaine de maîtres et de représentants des arts du Tao. Ils souhaitent ainsi illustrer l'engagement du centre et du festival "envers l'excellence et l'authenticité des enseignements taoïstes."

Le centre Ming Shan a été ouvert en 2019 à Bullet. Alliant les sagesses orientales aux dernières technologies, il se dit être le seul centre de ce type en Europe. A sa tête, Fabrice Jordan, médecin de profession, fait partie du comité directeur de la Fédération taoïste mondiale, un honneur réservé à seulement six Occidentaux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Deux expositions à Genève sur les chansons qui évoquent des lieux

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Les rappeurs de Marekage Streetz chantent un hommage à leur ville, Genève, en mettant en lumière ses paradoxes. Un des titres à découvrir dans la nouvelle exposition de l'UNIGE "Voyage enchanté: chansons et imaginaires géographiques" (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'Université de Genève (UNIGE) présente deux expositions sur des chansons populaires qui font référence à des villes ou des endroits connus. L'une détaille les ressorts des imaginaires géographiques qui traversent ces titres et l'autre permet de tester ses connaissances musicales de manière ludique.

Jusqu'au 28 juillet, le public est invité à la salle d'exposition de l'UNIGE à embarquer dans un voyage sentimental à travers 174 titres de musique populaire, allant de Fréhel à Madonna, de Brel à Orelsan, en passant par Taylor Swift, Shakira, Desireless et Miriam Makeba. Il y aura une authentique Fiat 500, un jukebox et un cinéma miniature, histoire de se mettre dans le bain musical.

Cette exposition s'inspire des trois ouvrages édités par Jean-François Staszak et Raphaël Pieroni, chercheurs au Département de géographie de l'UNIGE. Le premier, "Monde enchanté" (2021) explore la relation entre lieux et chansons. Le deuxième, "Villes enchantées", porte sur les liens entre monde urbain et musique. Le troisième, "Voyage enchanté" (2024), évoque les chansons du voyage.

Un jeu en ligne https://geoenchantee.ch/jeu/ complète cette exposition. Chacun peut tenter en quinze questions d'identifier des titres connus. On y retrouve par exemple "Smoke on the Water" de Deep Purple, qui fait référence à Montreux (VD). Un incendie s'était déclenché au Jazz Festival en 1971 à cause d'une fusée éclairante. De quoi faire ensuite un tube planétaire.

La deuxième exposition est installée jusqu'au 7 juillet aux Bains des Pâquis. Elle est conçue comme un jeu de piste où il faut deviner quelles chansons se cachent derrière quinze affiches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les reportages de Jean Revillard exposés à Genève

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La Bibliothèque de Genève présente "Retour forcé à la vie sauvage", une exposition en plein air des photographies de Jean Revillard sur la migration, la prostitution et la précarité. Le reportage du Genevois sur les réfugiés à Calais (F) avait remporté un World Press Award en 2008 (archives). (© KEYSTONE/EDDY RISCH)

La Bibliothèque de Genève présente dès lundi "Retour forcé à la vie sauvage", une exposition en plein air d'une trentaine de photographies de Jean Revillard sur la migration, la prostitution et la précarité. L'institution est dépositaire du fonds d'atelier du Genevois, décédé subitement en 2019, à 51 ans.

Photographe de presse, Jean Revillard a développé des projets sur les réfugiés à Calais (F) et une prostituée de Turin (I), notamment. Autant de témoignages engagés sur des gens ordinaires brutalement poussés dans un espace "hors du monde". La cabane dans la forêt est le signe de leur existence incertaine, note la Bibliothèque de Genève.

Connu internationalement, le travail de Jean Revillard a été primé à plusieurs reprises. Celui sur les migrants a remporté deux World Press Award, en 2008 et en 2009.

Présentée dès lundi au parc des Bastions, l'exposition prendra ses quartiers à la rotonde du Mont-Blanc à partir du 12 juin. Elle reviendra ensuite à la promenade des Bastions du 1er au 14 juillet.

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Quatorze concerts à l'affiche de Mai au Parc

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Parmi les quatorze concerts de Mai au Parc, celui des Amazones d'Afrique. (© Mai au parc)

Du 31 mai au 2 juin, le Festival Mai au Parc ouvrira la saison des open air au parc Bernasconi à Lancy (GE). Quatorze concerts sont à l'affiche de la manifestation dont l'entrée est gratuite.

La programmation privilégie toujours les groupes suisses et locaux, avec neuf concerts sur quatorze. Deux soirées musicales sont prévues les vendredi et samedi. Le dimanche après-midi est réservé aux familles avec des animations pour les enfants et deux concerts tout public, annoncent les organisateurs.

Le vendredi s’annonce latino, avec une touche électro et multiculturelle (Madjo, Da Cruz, Rodri-Go, Isaac Delgado, DJ Dr. Doca). Le samedi, la soirée sera 100% féminine avec des influences tribales et africaines (Caroline Alves, Elvett, la Nefera, les Amazone d'Afrique, Gali).

Le dimanche après-midi proposera deux spectacles enfants ainsi que deux concerts tout public avant le concert de clôture des Genevois Los Gatillos. Le festival joue également en coulisses un rôle social, en proposant des petits jobs à des jeunes sans emploi et en intégrant des élèves en art visuel, musique et communication à la manifestation.

https://maiuaparc.com

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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