Des milliers de personnes ont assisté samedi au lever du jour sur le site archéologique britannique Stonehenge pour célébrer la fête païenne du solstice d'hiver, jour le plus court de l'année dans l'hémisphère nord.
Quelques 4500 druides en costumes folkloriques, chamans et autres curieux ont applaudi l'arrivée du jour sur le complexe néolithique du sud-ouest de l'Angleterre, perpétuant une tradition millénaire malgré l'absence du soleil caché dans la brume.
A l'occasion du solstice, les visiteurs sont exceptionnellement autorisés à toucher les pierres du site, l'un des plus importants du monde par sa taille, son plan sophistiqué et sa précision architecturale.
"Stonehenge a été construit pour s'aligner avec le soleil lors des solstices", explique à l'AFP Heather Sebire, de l'organisation English Heritage.
Celui d'hiver était, selon elle, sans doute le plus important des deux. Pour les agriculteurs qui vivaient à proximité du site, il symbolisait le début de la nouvelle année et un allongement des jours, ce qui était célébré lors d'une grande fête.
"C'est un moment de renouveau, de renaissance, nous entrons dans la nouvelle année et nous réfléchissons aussi à ce qu'il s'est passé pendant l'année écoulée", a déclaré Chris Smith, fonctionnaire de 31 ans.
Selon English Heritage, qui gère le site, près de 100'000 personnes du monde entier ont regardé cet événement en ligne en direct.
Merlin le magicien
Sources d'émerveillement depuis près de 5000 ans, les mégalithes disposés en cercle qui caractérisent Stonehenge étaient attribués par la légende arthurienne au magicien Merlin qui, au Moyen Age, aurait volé le monument en Irlande.
Le monument n'a pas encore fini de livrer tous ses secrets: cet été, une étude a révélé qu'une dalle de pierre de six tonnes située au coeur du complexe avait été amenée depuis le nord-est de l'Ecosse, à l'issue d'un voyage d'au moins 750 kilomètres.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Le Salon du livre de Genève, qui aura lieu du 19 au 23 mars à Palexpo, accueillera plus de 600 auteurs et personnalités francophones. Parmi eux, trois invités d'honneur: Maïtena Biraben, Jérôme Ferrari et Eric-Emmanuel Schmitt.
Romans, essais, bande dessinée, science-fiction, poésie, jeunesse, polar, philo, voyage, fantasy, bien-être, romance: tous les genres littéraires seront représentés pendant cinq jours, a annoncé jeudi le Salon du livre dans un communiqué. Avec des invités venus de Suisse, de France, de Belgique, du Québec et d'Afrique, la manifestation met en avant l'actualité éditoriale francophone.
Une nouvelle scène abordera les grandes questions d'actualité, tandis qu'un nouvel espace, intitulé "le studio", sera dédié aux contenus en ligne sur la littérature. Le salon abritera aussi quatre expositions, dont une dédiée à Corto Maltese et son créateur Hugo Pratt. Cinq prix littéraires et artistiques seront remis durant la manifestation gratuite. Près de 250 exposants sont annoncés.
www.salondulivre.ch
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Le marché suisse de la musique se porte plutôt bien. Le chiffre d’affaires approche le quart de milliard avec 249 millions de francs en 2024, en hausse pour la neuvième année d'affilée, annonce jeudi l'Association de branche des labels de musique en Suisse (IFPI).
Par rapport à 2023, la hausse du chiffre d'affaires est de 7%. Le streaming à lui seul (via des services comme Youtube, Apple Music, Spotify) a généré 226 millions (+10%). Le streaming musical contribue désormais à hauteur de 91% au chiffre d’affaires total.
"La Suisse se situe au cinquième rang mondial en termes de chiffre d’affaires par habitant", souligne Lorenz Haas, directeur d’IFPI Suisse dans un communiqué.
Aussi en chiffres absolus, la "petite Suisse" est stable, depuis de nombreuses années, en occupant la 17e place du Top 20 des marchés musicaux mondiaux.
CD au plus bas
Le CD perd en revanche 25% et n’atteint plus qu’un chiffre d’affaires de 9,7 millions de francs, soit son niveau le plus faible depuis le lancement de ce support au début des années 1980.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le réseau social d'Elon Musk X (ex-Twitter) s'est entendu avec le président américain Donald Trump, qu'il va dédommager de dix millions de dollars pour avoir suspendu son compte en 2021, rapporte mercredi le Wall Street Journal.
Twitter avait gelé le compte du milliardaire républicain quelques heures après l'attaque du Capitole à Washington, le 6 janvier, considérant que Donald Trump avait incité les manifestants à passer à l'action.
Cette suspension aura duré près de deux ans, avant qu'Elon Musk, devenu actionnaire majoritaire de Twitter, ne la lève, en novembre 2022.
Entre temps, Donald Trump avait assigné en justice Twitter ainsi que son dirigeant de l'époque, Jack Dorsey, qui a depuis quitté le groupe. Débouté en première instance, il avait fait appel en 2022.
Lors de la dernière campagne présidentielle, Elon Musk s'est considérablement rapproché du candidat républicain, consacrant 277 millions de dollars de sa fortune personnelle à soutenir l'ancien promoteur immobilier.
Selon le Wall Street Journal, les avocats de Trump ont initialement envisagé d'abandonner la procédure sans contrepartie, avant de décider finalement de passer un accord amiable avec X. Sollicité par l'AFP, le réseau social n'a pas donné suite dans l'immédiat.
Dans une décision rendue lundi, une cour d'appel fédérale avait accédé à la demande des avocats de Donald Trump de mettre fin à l'action en justice.
Fin janvier, Meta avait, lui aussi, accepté d'indemniser le président américain, à hauteur de 25 millions de dollars, pour avoir suspendu son compte sur le réseau social Facebook, en 2021.
Depuis l'an dernier, la plupart des grands groupes technologiques cherchent à ménager leurs relations avec Donald Trump, qui a notamment invité plusieurs patrons du secteur à sa cérémonie d'investiture, en janvier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Renée Zellweger dans "Bridget Jones: Folle de lui" (Jay Maidment/Universal Pictures via AP)
La star américaine Renee Zellweger est de retour dans la peau de la célèbre anglaise pour "Bridget Jones: folle de lui". La voici quinquagénaire, veuve et prête à craquer pour un jeune Apollon.
Elle partage l'affiche de ce quatrième volet de Bridget Jones avec la star montante Leo Woodall ("The White Lotus", "Un jour"), Chiwetel Ejiofor ("Love Actually", "Twelve years a slave") et Hugh Grant.
Le spectateur avait quitté Bridget il y a presque dix ans, dans "Bridget Jones's Baby" (2016). Elle était enceinte, sans savoir qui était le père de l'enfant, après avoir eu des aventures avec un beau milliardaire américain, et son ex Mark Darcy, joué par Colin Firth, qu'elle finissait par épouser. A l'époque, la suite des aventures de Bridget était disponible en livre, mais jamais pas encore été adaptée à l'écran.
On la retrouve à 51 ans, veuve, avec deux enfants. Elle n'est toujours pas à l'abri de nouvelles mésaventures alors qu'elle se débat entre les applis de rencontre, les réseaux sociaux et le Botox.
La créatrice de Bridget Jones, Helen Fielding, a expliqué qu'elle avait supprimé Mark Darcy du film car elle ne voulait pas d'une Bridget "en femme mariée satisfaite d'elle-même". Elle a gardé par contre les personnages de Daniel Cleaver (Hugh Grant), l'ancien patron et petit-ami de Bridget, ainsi qu'Emma Thompson, l'incontournable gynécologue.
Hugh Grant a décrit le nouveau film comme étant "extrêmement drôle, mais très triste".
Le choix de Renee Zellweger, une Américaine du Texas, pour incarner la "so British" Bridget Jones avait fait des vagues au début des années 2000. Mais l'actrice a travaillé dur pour prendre l'accent britannique, et elle a rencontré un immense succès dès la sortie du film "Le journal de Bridget Jones" en 2001.
Ce personnage, qui enchaîne les déboires amoureux, les verres de Chardonnay et les régimes, a fait connaître Renee Zellweger dans le monde entier.
Helen Fielding a créé le personnage de Bridget Jones pour une chronique dans la presse britannique en 1995, avant d'en faire une série de livres à succès. Au point que Bridget est devenue au fil des années une icône de la culture britannique.
"Bridget Jones: folle de lui" est à voir en salle à Genève, au Ciné 17 ou Balexert.
Quatre musiciennes lausannoises vont bénéficier de nouvelles subventions, pouvant s'élever jusqu'à 30'000 francs par an, octroyées dans le cadre du renforcement de la politique de soutien à la création musicale de la Ville. Le soutien portera sur trois ans, de 2025 à 2027.
"Ces conventions visent à stimuler la vitalité musicale, à accompagner des démarches artistiques sur le moyen terme ainsi qu'à encourager la recherche et la création dans les domaines des musiques actuelles, contemporaines et classiques", précise la Ville de Lausanne dans un communiqué publié mardi.
Les artistes retenues ont été sélectionnées sur candidature, sur recommandation d'une commission d'experts du milieu de la musique. Il s'agit de la chanteuse et compositrice néo-soul Nnavy, de la violoniste et chanteuse Yilian Cañizares, de la rappeuse Nathalie Froehlich et de l'artiste folk pop Billie Bird.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats