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Vaud : Accord canton-communes sur la RIE III

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Claudine Wyssa, présidente de l'Union des communes vaudoises (UCV), a signé une convention avec le Conseil d'Etat (archives). (©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Conseil d'Etat vaudois et les communes sont parvenus à un accord pour compenser l'entrée en vigueur anticipée de la réforme fiscale vaudoise. En 2019, le canton versera 50 millions aux communes et reprendra, dès 2020, la totalité des coûts des soins à domicile.

Après plusieurs mois de tractations, les deux associations de communes, l'UCV et l'AdCV, ont signé une convention avec le gouvernement vaudois. Cet accord répond à diverses interventions parlementaires, plusieurs députés étant monté au front au Grand Conseil pour défendre les intérêts des communes.

Au terme des négociations, l'Etat octroie 50 millions de francs aux communes. Ce montant sera réparti entre elles, proportionnellement au rendement de toutes les sociétés, y compris celles avec statut fiscal particulier, des périodes fiscales 2015 à 2017, explique mardi le Conseil d'Etat dans un communiqué.

Le versement de cette contribution interviendra en 2019 et sera considéré comme un rendement des personnes morales. Dès 2020, le canton reprendra la totalité des coûts de financement de l'Association vaudoise d'aide et de soins à domicile (AVASAD).

Source ATS

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International

Italie: sept personnes soupçonnées de financement du Hamas

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Le ministre de l'Intérieur Matteo Piantedosi s'est félicité de cette opération qui lève le voile sur des activités soi-disant caritatives qui soutiennent en réalité des organisations terroristes (archives). (© KEYSTONE/AP LaPresse/ROBERTO MONALDO)

Sept personnes soupçonnées d'avoir participé au financement du mouvement islamiste Hamas ont été arrêtées en Italie, a indiqué samedi la police. Deux autres, impliquées dans la même enquête, sont visées par un mandat d'arrêt international et se trouvent à l'étranger.

Trois associations, officiellement de soutien au peuple palestinien mais servant en réalité de couverture pour les financement au Hamas, sont également concernées par l'enquête, a précisé la police dans un communiqué.

Les neuf personnes sont accusées d'avoir financé, "pour un total d'environ sept millions d'euros", des "associations ayant leur siège à Gaza, dans les territoires palestiniens ou en Israël (...) appartenant, contrôlées ou liées au Hamas". Ce soutien financier a été offert, entre autres, à "des membres de familles de personnes impliquées dans des attentats terroristes".

Alors que l'objectif officiel des trois associations était de recueillir des dons "à des fins humanitaires pour le peuple palestinien, une partie importante, plus de 71%, a été destinée au financement direct du Hamas" ou d'entités proches du mouvement islamiste, selon la police.

Cellules à l'étranger

Parmi les personnes arrêtées figure Mohammad Hannoun, président de l'association des Palestiniens en Italie, selon les médias.

Les autorités italiennes estiment que les trois associations font partie d'un "projet stratégique de l'organisation-mère, le Hamas, qui s'est dotée d'une structure complexe, donc également de cellules oeuvrant à l'étranger, en mesure de contribuer aux objectifs du mouvement".

"C'est une opération très importante", s'est félicité sur X le ministre de l'Intérieur Matteo Piantedosi, car elle a permis de "lever le voile sur des comportements et activités, qui, sous couvert d'initiatives en faveur des populations palestiniennes, cachaient le soutien et la participation à des organisations ayant des terroristes".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Budget 2026: loi spéciale pour reconduire temporairement le budget

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Les députés français ont adopté mardi dernier à l'unanimité le projet de loi spéciale permettant de financer provisoirement l'Etat. Cette loi devait être promulguée avant le 1er janvier (archives). (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Emmanuel Macron a promulgué la loi spéciale qui permet de pallier l'absence d'un budget en bonne et due forme pour 2026. Cet outil législatif avait déjà été utilisé l'an dernier après la censure du gouvernement Barnier.

La loi a été promulguée samedi dans le Journal officiel. Elle permet de financer provisoirement l'Etat en 2026 avant la reprise en janvier des débats au Parlement autour de la loi de finances. Elle reconduit temporairement le budget de 2025.

Cette loi garantit la possibilité d'emprunter et limite les dépenses aux services votés l'année précédente et jugés indispensables pour poursuivre l'exercice des services publics. Elle ne comprend pas de dépenses nouvelles, y compris sur la défense.

Contrairement aux Etats-Unis, la loi spéciale en France permet d'éviter une paralysie budgétaire: les fonctionnaires sont payés, les retraites versées, les soins remboursés.

Déjà l'an dernier, la France y avait recouru après la chute en décembre 2024 du gouvernement du Premier ministre Michel Barnier. Il avait fallu attendre février 2025 pour que les textes budgétaires soient approuvés par le Parlement.

Mettre de côté les calculs politiques

Le Premier ministre Sébastien Lecornu, pressé dans son camp de recourir à l'article 49.3, s'est dit mardi "persuadé" de parvenir à un accord au Parlement sur une loi de finances. "Si les calculs politiques sont mis de côté, le Parlement prendra ses responsabilités, le gouvernement aussi", a-t-il estimé.

Le dialogue privilégié engagé par Sébastien Lecornu avec le Parti socialiste a certes permis l'adoption du budget de la Sécurité sociale pour 2026, au prix de concessions du gouvernement notamment sur les retraites. Mais les profondes divergences entre l'Assemblée nationale et le Sénat, hostile à tout impôt supplémentaire, ont empêché l'approbation du texte budgétaire sur le financement de l'Etat.

Les parlementaires se retrouveront en début d'année pour de nouvelles joutes sur ce texte. La France est confrontée à un endettement croissant et les discussions n'ont pas permis de dessiner une trajectoire de réduction du déficit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Phnom Penh et Bangkok conviennent d'un cessez-le-feu immédiat

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Les combats entre le Cambodge et la Thaïlande ont fait moins 47 morts et près d'un million de déplacés en trois semaines (archives). (© KEYSTONE/AP)

La Thaïlande et le Cambodge sont convenus samedi d'un "cessez-le-feu immédiat" dans leur conflit frontalier, selon une déclaration conjointe obtenue du côté cambodgien. Les combats ont fait au moins 47 morts et près d'un million de déplacés en trois semaines.

"Les deux parties conviennent de permettre aux civils résidant dans les zones frontalières affectées de rentrer chez eux, dans les plus brefs délais, sans obstruction et en toute sécurité et dignité", indique une déclaration conjointe obtenue par l'AFP du côté cambodgien. Le texte annonce l'entrée en vigueur de cette trêve à 06h00, heure en Suisse.

Signé par les ministres de la défense des deux pays, le texte évoque par ailleurs le gel des positions militaires, le déminage des zones frontalières, une coopération policière pour lutter contre la cybercriminalité et la libération par Bangkok de 18 soldats cambodgiens après 72 heures de cessez-le-feu effectif.

Selon les derniers bilans officiels respectifs, potentiellement sous-évalués, 47 personnes ont été tuées au total au cours des dernières semaines: 26 du côté thaïlandais et 21 du côté cambodgien.

Conflit ancien

Les deux royaumes d'Asie du Sud-Est s'opposent de longue date sur le tracé de leur frontière de 800 kilomètres, décidé pendant la période coloniale française. Ils s'accusent mutuellement d'avoir déclenché cette nouvelle escalade meurtrière.

Un premier épisode d'affrontements en juillet avait déjà fait 43 morts en cinq jours avant qu'une trêve ne soit conclue, grâce notamment à l'intervention du président américain Donald Trump.

Un accord de cessez-le-feu avait été signé dans un deuxième temps, le 26 octobre à Kuala Lumpur, en présence du président américain, mais il avait été suspendu quelques semaines plus tard par la Thaïlande après que plusieurs de ses soldats ont été blessés dans l'explosion d'une mine à la frontière.

Donald Trump a de nouveau tenté de jouer les médiateurs, faisant état d'une trêve le 12 décembre après avoir parlé au téléphone avec les dirigeants des deux belligérants, mais le gouvernement thaïlandais avait démenti et les hostilités ont continué.

Question de fond pas abordée

Egalement poussés par la Chine à mettre fin au conflit, la Thaïlande et le Cambodge ont finalement accepté de discuter directement après une réunion de crise lundi des ministres des affaires étrangères de l'association des nations d'Asie du Sud-Est (ASEAN).

La question de la démarcation de la frontière et de la souveraineté sur plusieurs temples anciens, dont celui de Preah Vihear, classé à l'UNESCO, reste toutefois entière et interroge sur la pérennité du cessez-le-feu.

"Vous pouvez faire confiance à la Thaïlande. Nous respectons toujours nos accords et nos engagements. Que cette signature soit la dernière, afin que la paix soit rétablie et que notre peuple puisse rentrer chez lui", a déclaré vendredi le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul.

Des élections législatives doivent avoir lieu le 8 février en Thaïlande.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un ex-chef de la police brésilienne, en fuite, arrêté au Paraguay

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L'ancien chef de police a été remis aux autorités brésiliennes (archives). (© KEYSTONE/EPA/Andre Coelho)

Un ex-chef de la police brésilienne, condamné pour tentative de coup d'Etat au profit de l'ancien président Jair Bolsonaro, a été arrêté vendredi au Paraguay, ont indiqué des sources policières. Il a été remis aux autorités brésiliennes.

Silvinei Vasques, ex-directeur de la police routière fédérale (PRF), a été condamné à 24 ans et six mois de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'Etat perpétrée par le camp Bolsonaro après la présidentielle de 2022, remportée par l'actuel président de gauche, Luiz Inacio Lula da Silva.

Il purgeait sa peine à domicile dans l'Etat de Santa Catarina (sud) mais avait un droit de sortie durant la journée moyennant le port d'un bracelet électronique. Il avait disparu depuis mercredi soir, quand il avait quitté son domicile dans une voiture de location avec son chien.

Après avoir été arrêté vendredi matin, M. Vasques a été remis aux autorités brésiliennes, a confirmé un officier paraguayen. "L'expulsion a déjà été effectuée", a déclaré le sous-commissaire Favio Santa Cruz, opérant à la triple frontière entre le Brésil, l'Argentine et le Paraguay.

Faux papiers

Après sa tentative de fuite, le juge de la cour suprême Alexandre de Moraes a ordonné son placement en détention provisoire.

Selon la presse brésilienne, M. Vasques, 50 ans, a cassé son bracelet électronique et traversé en voiture la frontière avec le Paraguay. Son arrestation a eu lieu à l'aéroport international Silvio Pettirossi, près d'Asuncion, alors que l'ancien responsable tentait d'embarquer à bord d'un vol pour le Salvador avec de faux papiers d'identité, ont rapporté des médias brésiliens.

M. Bolsonaro, 70 ans, purge une peine de 27 ans de prison après avoir été déclaré coupable en septembre d'avoir conspiré avec d'anciens collaborateurs pour rester au pouvoir après avoir perdu les élections de 2022 face à Lula.

L'ancien président d'extrême droite (2019-2022) est actuellement hospitalisé à Brasilia, où il a été opéré pour une hernie inguinale. C'est sa première sortie depuis qu'il a été incarcéré à la fin novembre dans des locaux de la police dans la capitale.

Un autre condamné, l'ancien chef des renseignements Alexandre Ramagem, a également pris la fuite et se trouve actuellement aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Super-G de Livigno: Odermatt pour un 51e succès

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Marco Odermatt sera forcément l'homme à battre dans le super-G de Livigno (© KEYSTONE/AP/Alessandro Trovati)

La Coupe du monde reprend ses droits samedi après la courte pause de Noël. Les messieurs en découdront à Livigno lors d'un super-G, alors que les dames seront en lice à Semmering pour un géant.

Privé de victoire dans ses trois dernières sorties (super-G puis deuxième descente de Val Gardena, géant d'Alta Badia), Marco Odermatt est évidemment l'homme à battre à Livigno. La station italienne, qui sera à l'honneur lors des JO 2026, accueille pour la première fois la Coupe du monde de ski alpin.

"Odi" vise un 51e succès sur le Cirque blanc pour la dernière course masculine de l'année. Le Nidwaldien a l'occasion de conforter sa 1re place au classement de la discipline, où son avance sur son premier poursuivant Vincent Kriechmayr n'est que de 16 unités, ainsi qu'au général où sa marge sur son dauphin Timon Haugan est de 445 points.

Marco Odermatt aura ensuite l'occasion de recharger pleinement ses batteries: sa course suivante est prévue le 10 janvier à Adelboden, en géant. La pause sera plus courte pour les slalomeurs, qui seront quant à eux en lice le 7 janvier à Madonna di Campiglio.

Rast vise le podium

Le programme des femmes est plus chargé dans les jours à venir. Elles disputeront samedi à Semmering leur cinquième géant de la saison, pour un nouvel épisode du duel Julia Scheib/Alice Robinson. L'Autrichienne et la Néo-Zélandaise ont chacune fêté deux succès cet hiver dans la discipline.

Les Suissesses espèrent avant tout briller dimanche à Semmering, en slalom. Mais la championne du monde de slalom Camille Rast monte également en puissance en géant: la Valaisanne reste sur deux 4es places dans la discipline au Mont-Tremblant, après avoir terminé 5e à Copper Mountain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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