Les 46es Journées littéraires de Soleure ont bouclé dimanche sur une affluence record: 18'500 visiteurs ont participé durant trois jours au festival plutôt germanophone. Une douzaine d'auteurs romands étaient invités.
La victoire de Nemo à l'Eurovision a été l'un des moments forts de ces Journées littéraires. Les organisateurs avaient prévu une projection publique samedi soir, attirant, outre les visiteurs habituels du festival, de nombreux jeunes et familles.
En outre, des invités surprise étaient sur place, comme Amir Gudarzi, Pedro Lenz, Michael Fehr, l'auteure de livres pour enfants Katja Alves ou encore le chercheur en littérature Thomas Strässle. Les Journées littéraires et l'Eurovision se sont très bien accordés, puisque tout le monde a finalement vibré dans le cinéma, a indiqué le festival dimanche dans un communiqué.
Au total, 140 manifestations figuraient au programme de vendredi à dimanche. Les lectures, discussions et débats ont surtout été dominés par la situation générale actuelle et ses défis politiques, écologiques et technologiques.
La traductrice Dorothea Trottenberg - Prix spécial de la traduction 2024 - a, par exemple, déploré que la littérature russe ne soit "souvent plus perçue que comme politique" après l'invasion russe de l'Ukraine. Mais "il y a un après", a-t-elle déclaré. "Les livres traduits deviennent un pont vers l'avenir".
Les co-directeurs des Journées littéraires de Soleure, Rico Engesser et Nathalie Widmer, se sont montrés satisfaits de la deuxième édition sous leur direction. Les 18'500 visiteurs présents sur place ou connectés par flux audio constituent un record, ont-ils indiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Latitude10
2 décembre 2020 à 11 h 29 min
et qu'ont faits nos dirigeants pour combattre les émissions de particules fines ces dernières années ? rien, c'est simple on continue à rouler au diesel, les Allemands continus avec leurs centrales à charbon, les chauffages et chaudières bois continuent à tourner, les chaudières fioul aussi, pourtant ce sont les principaux émetteurs majeurs de particules fines dans l'atmosphère, et de dioxyde d'azote, et on ne fait rien pour bannir cela de nos villes et nos campagnes, et ça fait un moment qu'on en parle pourtant, après on s'étonne que des virus dangereux apparaissent mais ça n'est que le début si les États ne prennent pas de bonnes décisions pour lutter contre tous ces modes de chauffages et ces trafics routiers majoritairement diésélisés