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Une entreprise Meyrinoise participe à Solar Orbiter

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Mission Solar Orbiter (image Nasa)

La mission spatiale «Solar Orbiter» décollera lundi prochain et embarquera un télescope à rayons x suisse.

Le budget de la mission "Solar Orbiter" s’élève à environ 1,6 milliard de francs. STIX a été réalisé par des entreprises et instituts de recherche suisses, en collaboration avec des partenaires de Pologne, France, République tchèque, Allemagne, Autriche, Irlande et Italie, le tout sous la direction de la Haute école spécialisée du Nord-ouest de la Suisse (FHNW). En Suisse, l'Université de Berne et l'Institut Paul Scherrer figurent parmi ces contributeurs, de même qu'une quinzaine d'entreprises, dont deux romandes:  Almatech SA, à Lausanne et Niklaus SA, à Meyrin (GE)

Une entreprise Genevoise collabore à la mission

Loïc Normand, responsable commercial de Niklaus SA et ingénieur spécialisé, explique à Radio Lac que son entreprise est déjà reconnue pour sa haute expertise en matière aéronautique et aérospatiale. Depuis 2006, elle est agrée de la norme NADCAP et peut à ce titre répondre à ce type de commandes. La firme meyrinoise a ainsi été associée au projet pour fournir des pièces métalliques ultra-résistantes.

La Suisse participe également à deux autres instruments présents sur la sonde – EUI (Extreme Ultraviolet Image) et SPICE (Spectral Imaging of the Coronal Environment) – sous la houlette de l'observatoire PMOD/WRC à Davos (GR). Cette institution de rang mondial est spécialisée dans l'étude du soleil.

L'instrument EUI doit livrer des séquences d'images des différentes couches atmosphériques du soleil. Il compte trois télescopes avec des caméras à ultra-violets.

SPICE, également dans l'ultra-violet, vise à caractériser les propriétés plasmatiques de la couronne solaire. Le but est d'identifier des signatures dans la composition des vents solaires en relation avec leurs régions d'origine à la surface de l'astre.

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Economie

Reprise du Credit Suisse par UBS: majorité de Suisses sceptiques

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La part des personnes interrogées qui se sont dites très d'accord avec la reprise de Credit Suisse par UBS est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Une majorité de la population suisse est sceptique concernant la reprise du Credit Suisse (CS) par UBS, montre un sondage commandé par la SSR. 54% des personnes interrogées sont plutôt pas ou pas du tout d'accord avec la solution choisie.

Dans ce sondage publié vendredi par l'institut de recherche gfs.berne, 30% des personnes interrogées déclarent être plutôt d'accord avec cette solution. La part de celles qui se sont dites très d'accord est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable.

La part des insatisfaits est la plus élevée parmi les électeurs des Verts et de l'UDC, avec respectivement 62 et 61%. Parmi les partisans du PS, 53% ont déclaré n'être certainement pas ou plutôt pas d'accord avec la reprise.

Majorité de satisfaits seulement au PLR

Le soutien est plus important parmi la base des Vert'libéraux, du Centre et du PLR. 48% de l'électorat des Vert'libéraux s'est toutefois déclaré certainement ou plutôt contre la reprise, alors que 44% sont très ou plutôt d'accord. Les sympathisants du Centre sont eux 50% à la considérer positivement. Il n'y a que chez les électeurs du PLR que la solution choisie trouve une majorité, à 55%.

Chez les personnes non affiliées à un parti, le scepticisme l'emporte à 53%, contre 22% de satisfaits. C'est aussi dans ce groupe que la proportion d'indécis est la plus élevée (25%).

Nationalisation pas un tabou

S'agissant des alternatives possibles, 40% des sondés considèrent une nationalisation temporaire du CS comme une meilleure solution. 32% préfèrent une reprise par UBS, 16% considèrent les deux solutions comme équivalentes. 12% ne se prononcent pas.

Le soutien à une reprise de Credit Suisse par l'Etat est comparativement élevé, non seulement à gauche mais aussi au sein de la base de l'UDC, constatent les auteurs de l'étude. 46% des sondés du PS auraient préféré cette solution, contre 44% à l'UDC et 42% chez les Verts.

Interrogées sur leurs émotions face à la chute de CS, 66% des personnes interrogées se disent en colère. Si ce sentiment est le plus fort à gauche, il est majoritairement partagé dans tous les camps politiques, tout comme le sentiment d'insécurité.

Ce ressenti se reflète également dans les revendications politiques des participants à l'enquête: 96% estiment que les responsables de la stratégie de Credit Suisse devraient être tenus pour responsables.

La "nouvelle" UBS doit être divisée

Les interventions dans la structure de la grande banque fusionnée recueillent également une nette majorité. 79% des personnes interrogées sont d'avis que l'UBS est trop grande après la reprise, et qu'elle doit être divisée.

Le Parlement avait rejeté une séparation légale des activités classiques de la banque d'investissement suite à la crise financière de 2008. La gauche et l'UDC s'étaient alors engagées en faveur de ce projet.

Une majorité de 58% des personnes interrogées demandent que les activités suisses de Credit Suisse soient maintenues sous l'ancien nom.

Perte d'emploi

La perte d'emplois est le point qui inquiète le plus les sondés. 83% s'attendent à d'importantes suppressions de postes en Suisse. 73% estiment que la réputation de l'économie suisse dans son ensemble en souffrira.

D'un autre côté, exactement la moitié des personnes interrogées s'attendent à ce que la place économique se remette rapidement des turbulences. 38% seulement s'attendent à ce qu'UBS soit affaiblie par la reprise.

Pour ce sondage en ligne, gfs.berne a interrogé 14'191 personnes entre mardi et jeudi. Les réponses ont été pondérées en fonction de variables sociodémographiques, de l'affiliation à un parti et du niveau de formation des personnes interrogées de manière à être représentatives de l'ensemble de la population. La marge d'erreur est de +/- 4,4 points de pourcentage.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Reprise du Credit Suisse par UBS: majorité de Suisses sceptiques

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La part des personnes interrogées qui se sont dites très d'accord avec la reprise de Credit Suisse par UBS est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Une majorité de la population suisse est sceptique concernant la reprise du Credit Suisse (CS) par UBS, montre un sondage commandé par la SSR. 54% des personnes interrogées sont plutôt pas ou pas du tout d'accord avec la solution choisie.

Dans ce sondage publié vendredi par l'institut de recherche gfs.berne, 30% des personnes interrogées déclarent être plutôt d'accord avec cette solution. La part de celles qui se sont dites très d'accord est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable.

La part des insatisfaits est la plus élevée parmi les électeurs des Verts et de l'UDC, avec respectivement 62 et 61%. Parmi les partisans du PS, 53% ont déclaré n'être certainement pas ou plutôt pas d'accord avec la reprise. Le soutien est plus important parmi la base des Vert'libéraux, du Centre et du PLR.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Les bases sont posées pour la construction d'une nouvelle prison

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Vétuste et chroniquement surpeuplée, la prison de Champ-Dollon ne répond plus aux normes de détention (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil genevois a voté vendredi le projet de loi qui définit la planification pénitentiaire du canton. Ce texte pose les jalons pour la construction d'une nouvelle prison afin de remplacer le vétuste établissement de Champ-Dollon qui ne répond plus aux normes.

Le projet de loi du Conseil d'Etat a été accepté par 57 voix contre 39. Il s'agit d'une loi cadre qui fixe les orientations en matière de détention. Le canton devra disposer "d’espaces de privation de liberté en qualité et quantité suffisantes, conformes aux standards nationaux et internationaux".

La loi qui a été adoptée devra être complétée par d'autres projets de loi pour débloquer des crédits d'études et de construction. Selon les chiffres présentés dans le rapport accompagnant le projet de loi, la planification dote le canton de plus de 1120 places, soit 300 de plus par rapport à la situation actuelle.

Mauro Poggia, conseiller d'Etat en charge de la sécurité, avait annoncé l'été dernier sa volonté de détruire Champ-Dollon pour reconstruire dans le même périmètre un nouveau site pénitentiaire de plusieurs bâtiments d’ici à 2030. Le dernier mot reviendra donc au Grand Conseil.

Ce projet de loi cadre avait été concocté suite à l'échec du projet de prison des Dardelles devant le Grand Conseil en automne 2020. Vendredi, tous les partis se sont accordés sur le fait que les conditions de détention à Champ-Dollon étaient indignes. Mais la gauche aurait voulu que des alternatives soient étudiées plutôt que de se lancer dans la construction de nouveaux établissements.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Credit Suisse: pétition pour interrompre les licenciements

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L'Association suisse des employés de banques (Aseb) a lancé une pétition pour demander une interruption des licenciements au Credit Suisse jusqu'à fin 2023. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'Association suisse des employés de banques (Aseb) lance une pétition pour une interruption des licenciements au Credit Suisse jusqu'à fin 2023, après l'annonce du rachat par UBS.

Les directions des deux grandes banques ne peuvent pas licencier des collaborateurs de manière précipitée et sans considération, a exigé l'Aseb dans un communiqué publié vendredi.

L'incertitude est grande, en particulier pour les quelque 17'000 collaborateurs de Credit Suisse dans la Confédération, mais aussi parmi les employés d'UBS. Les deux banques et le Conseil fédéral ont le devoir d'éviter des coupes claires et de sauver le plus possible d'emplois.

Il convient de cesser les licenciements chez Credit Suisse et UBS jusqu'à la fin de cette année, jusqu'à ce que tous les plans d'UBS pour l'avenir soient sur la table et qu'il soit clair de quelle façon ils seront mis en oeuvre, a exigé l'association.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La police cantonale met en garde contre de "faux banquiers"

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La police vaudoise appelle à la plus grande prudence face à l'arnaque dite du "faux banquier" (archives). (© Keystone/CHRISTIAN BEUTLER)

La police vaudoise constate une recrudescence des vols à l'astuce de type "faux banquiers". Les escrocs n'hésitent pas à commettre leurs méfaits à l'encontre de personnes âgées, avertit-elle vendredi dans un communiqué. Depuis octobre 2022, le préjudice se monte à environ 70'000 francs.

"Si ce phénomène est bien connu des services de police, le modus operandi des auteurs peut varier et devient toujours plus inventif", note la police cantonale. Elle appelle à la plus grande prudence.

Les aînés sont la principale cible de ces personnes malintentionnées, qui n'hésitent pas à se faire passer pour un conseiller bancaire auprès de leur victime par téléphone, insiste la police. Il leur explique ensuite qu'il y a une anomalie avec leur compte et que des retraits frauduleux ont été effectués, et qu'il faut donc procéder au changement de la carte bancaire.

Durant l'appel, le code de la carte est demandé. Le soi-disant "conseiller" explique également à la victime que la banque va envoyer un employé pour récupérer la carte à son domicile. Une fois en possession de cette dernière ainsi que du code NIP, les malfrats procèdent à des retraits frauduleux auprès de bancomats.

La police recommande de ne jamais remettre des informations bancaires par téléphone ou physiquement à un inconnu ni code NIP de sa carte bancaire et encore moins sa carte bancaire.

Faux neveu / faux policier

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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