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Economie

Swiss Re choisit son prochain directeur général en interne

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Swiss Re estime que la numérisation de la gestion des sinistres pourrait réduire les dépenses de règlement de sinistres jusqu'à 25% et les frais généraux de 20%. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le réassureur zurichois Swiss Re a opté pour la continuité à sa tête. Andreas Berger, déjà membre de la direction générale, a été promu directeur général au 1er juillet.

Il succède à Christian Mumenthaler, qui a passé huit ans au poste de CEO et 25 ans dans l'entreprise. M. Berger, de nationalité allemande, dirige actuellement Corporate Solutions (CorSo), la plus petite division de Swiss Re dévolue aux entreprises et pour laquelle la recherche d'un successeur est lancée, selon le communiqué paru mercredi.

En janvier, le dirigeant soulignait que si le monde devient "plus interconnecté, plus compliqué et à certains égards plus périlleux", le réassureur et ses clients pouvaient davantage "visualiser et planifier un plus grand nombre d'éventualités" en exploitant "la puissance des données et des systèmes". M. Berger soulignait que la technologie numérique rend "plus efficace", Swiss Re estimant que la numérisation de la gestion des sinistres pourrait réduire les dépenses de règlement de sinistres jusqu'à 25% et les frais généraux de 20%.

Agé de 57 ans, le futur directeur général a rejoint Swiss Re en 2019 en tant que membre de la direction, après un passage par Boston Consulting Group et l'assureur allemand Allianz, notamment.

Pour Jacques de Vaucleroy, président du conseil d'administration de Swiss Re, "Andreas Berger est la bonne personne pour tirer parti de la dynamique actuelle de l'entreprise et conduire Swiss Re vers sa nouvelle phase de développement", estimant qu'il dispose d'un bilan "convaincant" de cinq ans à la tête de CorSo.

Dans le même temps, l'organe de surveillance "souhaite le meilleur" à Christian Mumenthaler, qui a dirigé le réassureur dans une période marquée par un niveau élevé de catastrophes naturelles, un environnement de taux bas sans précédent et la pandémie de Covid-19. Durant ses huit années à la tête de l'entreprise, les primes acquises et les revenus des commissions ont crû de 30 milliards de dollars en 2015 à 45 milliards en 2023 tandis que la capitalisation du groupe s'est renforcée.

Envolée du bénéfice en 2023

Andreas Berger va reprendre les rênes du deuxième réassureur mondial, derrière Munich Re, qui a vu son bénéfice net s'envoler à 3,21 milliards de dollars en 2023, contre 472 millions en 2022. Les solutions réservées aux entreprises (Corso) ont poursuivi leur croissance, le bénéfice net grimpant à 678 millions, malgré une stagnation des primes nettes acquises. Le ratio combiné, soit le rapport entre les primes encaissées et les prestations versées, de Corporate Solutions a en revanche reculé à 91,7%, contre 93,1% en 2022.

L'an dernier, Swiss Re avait enregistré le départ de Sergio Ermotti, arrivé à la présidence du conseil d'administration en avril 2021, parti reprendre les rênes d'UBS dans la foulée du rachat de Credit Suisse. Le Belge Jacques de Vaucleroy, qui y siège depuis 2017, avait repris la suite chez Swiss Re. Il se représentera lors de l'assemblée générale du 12 avril.

Pour Vontobel, ce changement de patron n'est pas vraiment une grande surprise, étant donné que la rentabilité de Swiss Re a été inférieure à celle de ses pairs ces dernières années, à l'exception de 2023. Andreas Berger dispose d'un parcours impressionnant chez CorSo, selon l'analyste, pour qui la clé sera "l'exécution". Le titre est recommandé à l'achat.

A l'inverse, Georg Marti et Michael Klien de la Banque cantonale de Zurich (ZKB) se disent étonnés par la nouvelle, même s'il est sans doute temps de renouveler la tête de l'entreprise pour "écrire un nouveau chapitre". Eux aussi saluent le travail d'Andreas Berger au faîte de Corporate Solutions. Etant depuis cinq ans membre de la direction, il connaît "donc très bien" Swiss Re.

Les investisseurs avaient visiblement moins envie de changement. Vers 10h40, l'action du réassureur perdait 2,1% à 112,95 francs, lanterne rouge du SMI qui grappillait 0,1%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Un violon Stradivarius vendu 11,3 millions de dollars à New York

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Ce qui rend le Joachim-Ma Stradivarius si extraordinaire, c'est sa sonorité exceptionnelle, riche, complexe et pleine de profondeur, a souligné Sotheby's. (© KEYSTONE/EPA/SARAH YENESEL)

Un rare violon Stradivarius, fabriqué en 1714 par Antonio Stradivari durant sa "période dorée", a atteint 11,3 millions de dollars aux enchères à New York vendredi, soit le 3e prix le plus élevé pour un instrument de musique, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

"Ce violon extraordinaire représente le summum de l'artisanat et de l'histoire de la musique classique. Sa sonorité inégalée et sa provenance historique ont captivé les collectionneurs et les musiciens", s'est félicitée dans un communiqué la présidente de Sotheby's Amériques, Mari-Claudia Jimenez.

Connu pour sa sonorité extraordinaire, ce violon, le "Joachim-Ma Stradivarius", du nom de ses anciens propriétaires, a atteint le troisième prix le plus élevé d'un instrument de musique lors d'une vente aux enchères.

Le record est détenu par un autre violon du luthier de Crémone, le "Lady Blunt", vendu en 2011 pour 15,9 millions de dollars.

"Ce qui rend le Joachim-Ma Stradivarius si extraordinaire, c'est sa sonorité exceptionnelle, riche, complexe et pleine de profondeur", a souligné Sotheby's.

L'instrument appartenait au violoniste et pédagogue Si-Hon Ma, qui l'avait offert au Conservatoire de la Nouvelle Angleterre (NEC) de Boston, où il avait fait ses études, à condition qu'il le vende un jour pour financer des bourses d'étude.

Le violon avait appartenu auparavant à Joseph Joachim, l'un des violonistes les plus influents du XIXe siècle, célèbre pour ses collaborations avec des compositeurs tels que Johannes Brahms.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Net repli du bénéfice pour la BC de Zurich en 2024

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Pour l'exercice en cours, le directeur général de la ZKB, Urs Baumann, prévoit "à nouveau un bénéfice consolidé attrayant", sans fournir davantage de précision. (archives) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La Banque cantonale de Zurich (ZKB) a vu sa rentabilité se dégrader nettement l'année dernière, affectée notamment par les activités de crédit dont les volumes ont pourtant crû.

Dans la gestion de patrimoine, les recettes ont connu une évolution plus favorable, tirant la performance d'ensemble vers le haut.

Le bénéfice net a atteint 1,12 milliard de francs, ce qui représente un plongeon de 9,5% sur un an, selon les indications fournies vendredi par la ZKB, l'un des quatre établissements d'importance systémique de Suisse.

Les collectivités publiques recevront une contribution supérieure au demi-milliard, soit 562 millions de francs (impôts inclus). Au titre de dividende, le canton percevra 184 millions, en baisse de 45,8%, alors que le versement restera stable pour les communes à 170 millions.

Revendiquant le deuxième meilleur résultat de son histoire après le record de 2023, la banque souligne que l'introduction de l'impôt minimal de l'OCDE a, notamment, affecté sa rentabilité l'année dernière, sa charge fiscale ayant pris de l'embonpoint à 168 millions de francs (+7 millions). Le résultat avant impôts affiche d'ailleurs une progression de 3,4% à 1,29 milliard. Le résultat opérationnel s'est lui étiolé de 13,1% à 1,28 milliard.

Interventions sur le taux de la BNS

Les recettes ont reculé dans deux des principales activités. Les opérations d'intérêt ont dégagé un résultat net amputé de 7,7% à 1,68 milliard de francs, ceci malgré une progression des créances hypothécaires de 5,7% à 106,60 milliards de francs. Selon la direction, cette baisse était attendue après la performance exceptionnelle de 2023.

Dans son communiqué, la ZKB pointe également du doigt les "interventions de la Banque nationale suisse (BNS) sur les taux". Les opérations de négoce ont généré des recettes de 353 millions de francs, soit une dégringolade de 15,1%.

L'activité de gestion a permis de redresser un peu la barre. Le produit des opérations de commissions ayant bondi de 8,9% à 1,02 milliard de francs. La masse sous gestion s'est étoffée de 16% à 520,8 milliards, grâce notamment à des afflux d'argent nouveau de 29,8 milliards. La collecte est inférieure à celle de 2023, qui avait atteint 36,8 milliards.

Les recettes globales se sont tassées de 3,3% à 3,09 milliards de francs, alors que les charges ont augmenté de 3,1% à 1,73 milliard.

La somme au bilan a stagné (+0,7%) à 202,59 milliards de francs, dont 106,98 milliards de dépôts clientèle (+5,4%).

Pour l'exercice en cours, le directeur général Urs Baumann prévoit "à nouveau un bénéfice consolidé attrayant", sans fournir davantage de précision.

"Le niveau des taux d'intérêt, influencé par d'éventuelles baisses de taux de la BNS, pourrait réduire les revenus d'intérêts attendus", prévient-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Pluie de records pour les banques européennes

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La banque espagnole Santander a annoncé mercredi un bénéfice record de 12,57 milliards d'euros l'an dernier, en hausse de 14% sur un an. (archive) (© )

Intesa Sanpaolo en Italie, Santander en Espagne, BNP Paribas en France: ces trois géants bancaires européens n'ont jamais autant gagné d'argent que l'an dernier et illustrent la forme actuelle éclatante du secteur bancaire européen.

Les planètes sont alignées pour l'industrie bancaire, explique jeudi à l'AFP David Benamou, directeur des investissements chez Axiom AI. La hausse des commissions, un marge plus importante sur les crédits et des clients qui ont moins de risque de faire défaut sont pour lui autant d'atouts qui ont profité aux banques en 2024.

Elles ont aussi bénéficié pour certaines d'un fort dynamisme commercial, pour d'autres de l'euphorie de certains marchés entourant en fin d'année dernière l'élection de Donald Trump à la Maison Blanche. Santander, fortement implantée en Europe et en Amérique latine, affiche toujours une santé financière à faire pâlir d'envie ses rivales. La banque a annoncé mercredi un bénéfice record de 12,57 milliards d'euros l'an dernier, en hausse de 14% sur un an.

BNP Paribas suit de près avec 11,7 milliards d'euros de résultat net (+4%), quand Intesa Sanpaolo a vu le sien grimper de 12% à 8,7 milliards d'euros. Elles ne sont pas les seules à avoir battu des profits records l'an dernier: la deuxième banque espagnole BBVA a passé pour la première fois la barre symbolique des 10 milliards d'euros. La deuxième banque allemande Commerzbank arrive elle aussi à un point haut, à 2,68 milliards d'euros.

Compétitivité

Les banques européennes "continueront à profiter des conditions de crédit favorables en 2025 pour consolider leurs positions financières et commerciales, et pour développer leurs ambitions", ont souligné les analystes de S&P dans une note fin janvier. Ces profits historiques invitent en effet les acteurs bancaires à faire leur marché. L'italien Unicredit, dont les résultats financiers seront connus le 11 février, cherche par exemple à avaler son compatriote Banco BPM, mais aussi l'allemande Commerzbank.

BNP Paribas a jeté son dévolu sur l'activité de gestion d'actifs de l'assureur Axa. "Si 2024 a été une année de performance exceptionnelle, 2025 s'annonce comme une épreuve de vérité pour le secteur", prévient cependant Mathieu Gosselin, du cabinet de conseil Bartle.

Dans un premier temps bénéfiques pour leurs activités de marché, les conséquences du retour de Donald Trump à la Maison Blanche sont difficiles à mesurer au sein des états-majors des grandes banques européennes. Elles posent la question de la compétitivité face aux banques américaines, pas soumises aux mêmes règles, notamment dans les "activités de marché, de grande clientèle, de prêts, de financement de projets", prévient Marc Campi, associé au sein du cabinet Square Management

En réponse, "j'ai le sentiment que les politiques (européens) ont décidé de clôturer le chapitre +stabilité financière+", estime de son côté M. Benamou, et qu'ils allaient faire preuve de davantage de pragmatisme.

Partage de la valeur

En attendant, les groupes bancaires consacrent une partie substantielle de leurs bénéfices à leurs actionnaires, augmentant le montant des dividendes et lançant des programmes de rachat d'actions (qui font mécaniquement monter leur prix): un peu plus d'un milliard d'euros pour BNP Paribas, 2 milliards d'euros pour Intesa et même 10 milliards d'euros d'ici 2026 pour Santander. Ils mettent aussi de l'argent de côté aussi en vue des taxes mises en place par les pays dont elles dépendent.

Santander a ainsi mis de côté en début d'année dernière 335 millions d'euros au titre de l'impôt exceptionnel sur les grands groupes bancaires instauré par le gouvernement de Pedro Sánchez. La facture sera plus légère pour BNP Paribas: la banque devrait payer "quelques dizaines de millions d'euros de surtaxe", telle que prévue dans le projet de budget de l'Etat 2025, a affirmé lundi son directeur général délégué Thierry Laborde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Credit Suisse: procédure lancée par des détenteurs asiatiques d'AT1

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Les investisseurs asiatiques réclament environ 250 millions de dollars américains (plus de 226 millions de francs). (archive) (© )

Plus de 500 investisseurs de Singapour, du Japon et de Hong Kong ont entamé un processus de réclamation contre la Suisse. Détenteurs d'obligations AT1 de Credit Suisse, annulées dans le cadre de sa reprise par UBS, ils entendent compenser les pertes subies.

Les investisseurs réclament environ 250 millions de dollars américains (plus de 226 millions de francs), ce qui en fait "la plus grande réclamation contre la Suisse dans l'arbitrage de traités à ce jour", indique jeudi Selon le cabinet d'avocats singapourien Drew & Napier. Ils estiment que la Suisse a violé ses obligations en matière de traités d'investissements "lorsqu'elle a unilatéralement annulé des obligations supplémentaires" dites "Additional Tier-1" ou "AT1", a souligné Drew & Napier.

Le 19 mars 2023, UBS avait accepté de racheter dans l'urgence son ex-rivale Credit Suisse, sous la pression du Conseil fédéral, pour éviter qu'elle ne sombre. Pour faciliter le rachat par UBS, l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma), avait déprécié ces obligations réservées à des investisseurs professionnels d'un montant cumulé d'environ 17 milliards de dollars, ramenant leur valeur à zéro, ce qui avait choqué les investisseurs et déclenché une vague de plaintes.

Les investisseurs "ont soumis des lettres de déclenchement à la Suisse en vertu de divers traités bilatéraux d'investissements entre leurs pays d'origine" et la Confédération helvétique, première étape avant de pouvoir entamer une procédure d'arbitrage, a précisé le cabinet d'avocats. Les parties doivent désormais entamer des négociations au cours des six prochains mois pour tenter de résoudre le différend à l'amiable, a déclaré Mahesh Rai, avocat principal de Drew & Napier.

En vertu des traités bilatéraux d'investissements, "la Suisse est tenue de protéger les droits des investisseurs et de veiller à ce qu'ils soient traités équitablement", selon le cabinet. Omni Bridgeway, une société qui offre des services de financement et de règlement des litiges, a conclu un accord avec les investisseurs pour couvrir les coûts de cette démarche, en échange d'une part des dommages et intérêts recouvrés.

Le cabinet Drew & Napier encourage fortement les autres investisseurs de Singapour, du Japon et de Hong Kong concernés à se joindre à cette procédure "au début de 2025 afin qu'ils puissent également être inclus dans la demande", a déclaré M. Rai. Le cabinet cherche "également à entamer des procédures d'indemnisation" pour les investisseurs de Thaïlande et des Philippines, "nombreux" à continuer "d'exprimer leur intérêt dans l'action que nous menons", a-t-il fait valoir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Le risque de bulle immobilière reste modéré, selon UBS

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Au cours des trois derniers mois de 2024, les prix de la propriété résidentielle ont progressé de 0,6%, selon UBS. (archive) (© )

Les prix de l'immobilier ont encore augmenté au quatrième trimestre 2024. Toutefois, le risque d'une bulle sur le marché de l'immobilier en Suisse continue de diminuer, estime UBS.

L'UBS Swiss Real Estate Bubble Index a continué de reculer au quatrième trimestre 2024, pour s'établir à 0,29 point, indique la grande banque dans un rapport présenté jeudi. A en croire cet indice, le risque de bulle immobilière demeure donc modéré.

La baisse des taux directeurs de la Banque nationale suisse (BNS) a diminué le coût de la propriété, tandis que la hausse réelle des prix a récemment ralenti. Les prix d'achat continuent toutefois d'augmenter plus vite que les revenus des ménages.

Au cours des trois derniers mois de 2024, les prix de la propriété résidentielle ont progressé de 0,6%. Par rapport à l'année précédente, ils ont même augmenté de 2,4%. Les perspectives d'avenir ne sont guère meilleures, selon UBS. Le coût des logements en propriété devrait ainsi progresser de 3 à 4% cette année.

Quant aux biens locatifs, les loyers en cours (locaux déjà occupés) et les loyers proposés (offres sur le marché) étaient supérieurs de respectivement 3,3% et 2,3% à leurs niveaux de l'année précédente.

Au niveau régional, le rapport entre le prix des logements en propriété et les revenus des ménages et entre le prix d'achat et les loyers, indicateur des déséquilibres et risques existants, s'est détérioré principalement dans le canton de Vaud. A Genève, le déséquilibre est moins marqué qu'auparavant, car l'évolution des prix dans cette région a été dernièrement inférieure à la moyenne.

En Suisse alémanique, le rapport prix-revenu et prix-loyer est particulièrement déséquilibré dans les Grisons. La raison en est le boom des résidences secondaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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