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Economie

Swiss Re a fortement accru sa rentabilité en 2023

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Evoquant l'actuel exercice, Swiss Re se veut confiant. Le groupe, qui a adopté depuis le début de l'année la norme comptable IFRS, continue de viser un bénéfice net de 3,6 milliards de dollars, comme annoncé début décembre. (KEYSTONE/Steffen Schmidt) (© KEYSTONE/STEFFEN SCHMIDT)

Swiss Re a enregistré une solide performance en 2023. Avec des charges moins élevées liées aux dommages des catastrophes naturelles et une embellie de ses placements, le réassureur affiche un bénéfice net de 3,21 milliards de dollars, contre 472 millions en 2022.

Le rendement des fonds propres s'est lui envolé à 22,3%, contre 2,6% en 2022. Soutenu par un environnement de marché attrayant, les hausses des taux d'intérêt ayant entraîné une augmentation des revenus des placements récurrents, le résultat illustre aussi l'amélioration des marges de souscription, a indiqué vendredi Swiss Re.

Le retour sur investissement s'est nettement redressé, passant de 2,0% à 3,4% d'une année à l'autre. Celui des revenus récurrents s'est étoffé à 3,6%, contre 2,6% douze mois auparavant. L'environnement de taux d'intérêt devenu plus attrayant à la faveur des resserrements des politiques monétaires des banques centrales dans un contexte d'inflation a bénéficié aux réinvestissements. Côté revenus, les primes nettes encaissées et les commissions se sont hissées à 45,03 milliards de dollars, gagnant 4,4% sur un an. A taux de change constants, la croissance s'est fixée à 4,9%.

La performance a peu ou prou correspondu aux attentes des analystes, les revenus des primes et le dividende les ayant toutefois dépassées. Sondés par AWP, les experts avaient anticipé en moyenne des primes de 44,76 milliards de dollars, un bénéfice net de 3,29 milliards ainsi que des ratios combinés de 94,4% pour P&C et de 92,2 pour Corso.

Sinistres moins onéreux

Dans le secteur de l'assurance dommage et responsabilité civile (PS&C), les primes nettes acquises se sont étoffées de 3,9% à 22,9 milliards de dollars. A taux de change constants, elles ont augmenté de 4,3%. Inférieures aux 1,7 milliards inscrits au budget, les charges des sinistres liés aux grandes catastrophes naturelles, notamment le tremblement de terre en Turquie et en Syrie au début de l'année, l'ouragan Otis au Mexique au 4e trimestre, ainsi que plusieurs tempêtes et les inondations intervenues en Europe tout au long de l'année, ont pesé à hauteur de 1,3 milliard, contre 2,6 milliards en 2022.

Le ratio combiné de P&C Re, soit le rapport entre les primes encaissées et les remboursements, s'est amélioré à 94,8%, contre 102,4% affichés douze mois auparavant, un niveau supérieur à 100% étant synonyme d'une activité non rentable. L'unité a au final vu son bénéfice net décoller à 1,9 milliard de dollars, contre 312 millions en 2022.

Les affaires vie, L&H Re, ont dégagé un bénéfice net de 976 millions de dollars, contre 416 millions l'année précédente. Les primes nettes acquises et les commissions ont augmenté de 4,4% à 15,6 milliards de dollars en 2023. A taux de change constants, elles ont crû de 5,6%. La gestion active des portefeuilles en vigueur et un résultat d'investissement solide ont compensé les sinistres de mortalité élevés aux États-Unis.

Les solutions réservées aux entreprises (Corso) ont poursuivi leur croissance, le bénéfice net passant d'un exercice à l'autre de 486 à 678 millions de dollars, quand bien même ls primes nettes acquises sont restées stables à 5,5 milliards. À taux de change constants et en excluant l'activité elipsLife vendue mi-2022, ces dernières ont augmenté de 7,3%. Le ratio combiné de Corporate Solutions s'est élevé à 91,7%, contre 93,1% en 2022.

Optimisme de mise

La jeune branche des marques blanches IptiQ, a poursuivi son développement, les primes brutes bondissant de près de 30% à 1,1 milliard de dollars. La perte nette s'est elle contractée à 247 millions, contre 362 millions auparavant.

Les actionnaires du réassureur bénéficieront du bon résultat dégagé l'an dernier, le conseil d'administration leur proposant lors de la prochaine assemblée générale le versement d'un dividende augmenté de 40 cents, à 6,80 dollars par action. Swiss Re note à cet effet disposer d'une dotation en capital toujours très robuste, le réassureur, estimant son taux de solvabilité (SST) à 300% au début de l'année 2024, bien au-delà de la cible de 200 à 250%.

Evoquant l'actuel exercice, Swiss Re se veut confiant. Le groupe, qui a adopté depuis le début de l'année la norme comptable IFRS, continue de viser un bénéfice net de 3,6 milliards de dollars, comme annoncé début décembre. Dans un contexte de prix favorable au secteur de la réassurance, Swiss Re note avoir augmenté le volume de primes en attente de renouvellement en ce début d'année de 9% à 13,1 milliards dans les affaires P&C Re. Dans l'ensemble, une hausse tarifaire de 9% a été obtenue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Bénéfice net en léger repli pour UBS

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Solide au premier trimestre, UBS a affiché une performance largement supérieure aux attentes des analystes (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

UBS a vu sa rentabilité fléchir au 1er trimestre 2025. De janvier à fin mars, le numéro un bancaire helvétique a dégagé un bénéfice net de 1,690 milliard de dollars, contre 1,75 milliard douze mois auparavant.

Le bénéfice avant impôts s'est en revanche contracté de 10% sur un an à 2,1 milliards de dollars, a indiqué mercredi UBS. En termes ajustés, le résultat avant impôts des activités clefs a cependant augmenté de 15%. Le rendement des capitaux propres dits durs (CET) s'est inscrite à 9,6% et à 11,3% en termes ajustés.

Les revenus ont quant à eux reculé de 1% à 12,56 milliards de dollars, ceux-ci se tassant aussi en termes ajustés à 11,9 milliards. Pour les activités clefs ils ont crû en termes ajustés de 6%.

Les afflux nets de fonds ont atteint 32 milliards de dollars dans les activités globales de gestion de fortune et 7 milliards dans la gestion d'actifs.

Alors qu'UBS revendique des progrès dans les efforts d'intégration des activités de Credit Suisse, les économies supplémentaires brutes se sont montées à 900 millions de dollars, portant leur montant total à 8,4 milliards, soit 65% de la somme attendue de 13 milliards.

La performance s'est révélée supérieure aux attentes des analystes. Sondés par AWP, les experts avaient en moyenne anticipé un bénéfice net de 1,30 milliard de dollars, des revenus ajustés de 11,38 milliards et un bénéfice avant impôts de 1,75 milliard.

UBS fait preuve de prudence dans ses perspectives: "les premières semaines d'avril ont été marquées par des changements rapides et importants des tarifs douaniers à l'échelle mondiale, par une augmentation du risque d'escalade et par une incertitude économique beaucoup plus élevée au niveau global, ce qui a entraîné une volatilité importante sur les marchés". L'évolution économique est "extrêmement incertaine", a-t-elle ajouté, compte tenu de la multiplicité des scénarios possibles.

L'augmentation des tarifs douaniers représente un risque important pour la croissance et l'inflation, et les marchés continueront de réagir "de manière extrêmement sensible" à toute nouvelle évolution, ce qui devrait entraîner d'autres phases de volatilité accrue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Swiss Re table sur des coûts dus aux intempéries élevés à l'avenir

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Les dommages économiques globaux ont été nettement plus élevés, à 328 milliards de dollars, dont seulement 10 milliards de dollars n'étaient pas dus aux intempéries ou aux tremblements de terre. Ces montants correspondent à peu près au niveau des estimations fournies précédemment par Swiss Re. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Les intempéries pourraient entraîner des dommages assurés liés aux catastrophes naturelles d'un montant allant jusqu'à 300 milliards de dollars dans le cas d'un ouragan majeur par exemple, selon les calculs des experts de Swiss Re Institute.

Un montant de dommages assurés de 300 milliards de dollars au niveau mondial lors d'une année de pointe serait environ deux fois plus élevé que la tendance à long terme, écrit le réassureur zurichois dans la dernière livraison de son étude Sigma. L'an dernier, les ouragans "Helene" et "Milton" en Floride ont marqué le bilan des catastrophes.

En 2024, les dommages assurés consécutifs à des catastrophes s'élèveront à 146 milliards de dollars, contre 125 milliards l'année précédente, calcule Swiss Re. Sur ce total, 137 milliards de dommages ont été causés par des catastrophes naturelles.

Les dommages économiques globaux ont été nettement plus élevés, à 328 milliards de dollars (année précédente : 303 milliards), dont seulement 10 milliards de dollars n'étaient pas dus aux intempéries ou aux tremblements de terre. Ces montants correspondent à peu près au niveau des estimations fournies précédemment par Swiss Re.

Rôle d'amortisseur

Une fois de plus, les Etats-Unis ont été particulièrement touchés par les intempéries. Selon les données, près de 80% des dommages assurés dans le monde en 2024 concernaient les États-Unis, notamment parce que le pays est particulièrement exposé aux orages violents, aux ouragans, aux inondations, aux incendies de forêt et aux tremblements de terre.

"Helene" et "Milton" ont causé à eux seuls des dommages d'environ 50 milliards de dollars. Et au début de l'année en cours, de graves incendies de forêt à Los Angeles ont déjà entraîné des dégâts assurés élevés, estimés à 40 milliards, ajoute Swiss Re.

La croissance économique et démographique, l'urbanisation ainsi que l'augmentation du prix des maisons et des coûts de construction ont entraîné une forte hausse des coûts des catastrophes naturelles au cours des dernières années. En revanche, la protection contre les inondations réduit l'exposition aux risques. Les digues, barrages et portes anti-inondation ont certes un prix, mais les calculs du Swiss Re Institute montrent que ces mesures sont jusqu'à dix fois moins chères que la reconstruction après une catastrophe.

Solidement doté en capitaux à hauteur de 500 milliards de dollars, la branche de la réassurance agit en tant qu'amortisseur et contribue à accélérer le retour à la normale pour la population et l'économie, selon Jérôme Haegeli, économiste en chef de Swiss Re. "Pour que le secteur puisse remplir ce rôle lors des futures années de pointe, il est important que le capital croisse en fonction de l'augmentation des risques."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Deutsche Bank entame bien l'année 2025 et confirme ses objectifs

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La banque d'investissement a amélioré son résultat imposable de 22% sur un an, à 1,5 milliard, de même que la banque des entreprises (+3%) malgré un léger recul des recettes et celle de détail (+43%), enfin la gestion d'actifs (+67%). (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Le groupe bancaire allemand Deutsche Bank a fait état mardi d'un bénéfice net part du groupe de 1,8 milliard d'euros (à peine moins en francs) au premier trimestre 2025, en progression de 39% sur un an, meilleur qu'attendu grâce à la progression des recettes.

Tous les segments d'activité ont contribué à la hausse du résultat, permettant à la banque de dégager son "meilleur bénéfice trimestriel depuis 14 ans", a souligné le président du directoire, Christian Sewing, dans un communiqué. Les analystes sondés par Facstet anticipaient un résultat de 1,69 milliard.

Dans un contexte de baisse des taux d'intérêts, les recettes globales ont néanmoins progressé de 10% par rapport au premier trimestre de l'année précédente, atteignant 8,5 milliards, tirées par les activités de marchés dans la banque d'investissement.

Après une chute de ses bénéfices l'an dernier, due notamment à d'importants frais de litiges, Deutsche Bank s'est fixée des objectifs plus ambitieux pour 2025, qui sont "en bonne voie" d'être atteints au terme du premier trimestre, a ajouté le patron de la banque.

Le ratio rapportant le résultat net aux capitaux propres tangibles s'est élevé à 11,9% sur le trimestre, dépassant l'objectif annuel fixé à plus 10%. Il avait à peine atteint 5% sur l'année passée.

Autre indicateur clé, le coefficient de charges s'est établi à 61,2% de janvier à mars, conformément à l'objectif annuel de moins de 65%.

La banque d'investissement a amélioré son résultat imposable de 22% sur un an, à 1,5 milliard, de même que la banque des entreprises (+3%) malgré un léger recul des recettes et celle de détail (+43%), enfin la gestion d'actifs (+67%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Les ménages suisses ont étoffé leur patrimoine en 2024

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Les actifs financiers des ménages ont progressé de 3,9% pour s'établir à 3146 milliards de francs l'an dernier. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les ménages suisses ont augmenté leur patrimoine l'an dernier, selon les chiffres de la Banque nationale suisse (BNS) présentés lundi. Ils ont bénéficié à la fois de placements réguliers et de la hausse des cours de la Bourse.

En 2024, les actifs financiers des ménages ont progressé de 3,9% pour s'établir à 3146 milliards de francs, indique lundi dans un communiqué la BNS qui a publié les chiffres relatifs aux comptes financiers de la Suisse. Cet accroissement s'explique tant par les opérations que par des gains en capital: les ménages ont effectué des investissements chaque trimestre et bénéficié de la hausse des cours boursiers, surtout au premier trimestre.

Cette évolution est particulièrement marquée pour les parts de placements collectifs de capitaux: sur l'ensemble de l'année, les ménages en ont acquis pour un montant de 29 milliards de francs, ce qui a permis des gains en capital à hauteur de 23 milliards. Fin 2024, ils possédaient ainsi des parts de placements collectifs de capitaux pour un montant de 413 milliards de francs.

Avec 40%, les droits sur les assurances et les caisses de pensions représentaient fin 2024 la plus grande part, suivie par celle des titres et celle du numéraire et des dépôts, qui s'inscrivaient chacune à 30%.

La croissance du patrimoine immobilier des ménages a connu un ralentissement en 2024. Sa valeur de marché s'est inscrit à 2770 milliards de francs, soit une hausse de 3,1% sur un an. Cette progression est un peu moins forte que les années précédentes du fait du ralentissement de la croissance des prix de l'immobilier.

Les passifs des ménages ont quant à eux augmenté de 2,1% l'an dernier à 1037 milliards de francs. Les prêts hypothécaires en constituent, de loin, la plus grande part avec 953 milliards de francs. Leur croissance s'est de nouveau accélérée en 2024, de 2,1% exactement, après avoir ralenti à compter du quatrième trimestre 2022.

La valeur nette des ménages, qui correspond à la somme des actifs financiers et du patrimoine immobilier diminuée des passifs, s'est accrue de 3,8% en 2024 pour atteindre 4880 milliards. La progression des actifs financiers et du patrimoine immobilier a été nettement plus importante que celle des passifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Italie: Mediobanca lance une OPE sur Banca Generali

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Elle-même dans le viseur de Banca Monte Paschi di Siena, Mediobanca cible Banca Generali, la banque de l'assureur italien Generali (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAURITZ ANTIN)

La banque d'affaires italienne Mediobanca, déjà visée par une offre publique d'échange (OPE) de Banca Monte Paschi di Siena, a à son tour annoncé lundi une OPE sur Banca Generali, branche bancaire du groupe Generali, évaluant la transaction à 6,3 milliards d'euros.

Mediobanca propose de payer 100% de ce montant à Banca Generali avec les titres qu'il détient dans l'assureur Generali et dont il est le premier actionnaire, avec 13,1% du capital.

Cette OPE est soumise à plusieurs conditions, entre autres l'obtention d'un minimum de 50% plus une action de Banca Generali ainsi que les autorisations règlementaires, précise un communiqué.

Mediobanca offre 1,70 action de Generali pour chaque action de Banca Generali, ce qui représente une prime de 11,4% par rapport par rapport au cours de clôture du titre de la banque vendredi soir.

"Banca Generali représente une opportunité unique pour Mediobanca", assure cette dernière dans le communiqué, revendiquant "une grande complémentarité" entre les deux institutions.

Cette complémentarité "d'échelle et industrielle" existerait aussi bien sur le plan professionnel que dans la gestion et la gouvernance.

"L'union entre Banca Generali et Mediobanca (...) permettra la création d'un groupe diversifié (...) avec des perspectives de croissance nettement supérieures au marché", a estimé le directeur général de Mediobanca, Alberto Nagel, cité par le communiqué.

"Leader national"

L'opération comporte des synergies de 300 millions d'euros, dont 150 millions de réduction des coûts de fonctionnement et 150 d'augmentation des recettes.

Elle permettrait "la création d'un leader national dans la gestion de l'épargne" et la possibilité pour les clients "d'accéder à une gamme élargie et excellente de produits".

La Banca Monte Paschi di Siena (MPS), la plus vieille banque du monde dont le premier actionnaire est l'Etat italien, a surpris en lançant en janvier une OPE sur Mediobanca, valorisant cette dernière à 13,3 milliards.

La banque d'affaires avait rejeté cette OPE, déclarant que "l'offre n'a pas fait l'objet d'un accord et doit être considérée comme hostile et contraire aux intérêts de Mediobanca".

Cette opération, soutenue par le gouvernement de Giorgia Meloni, a pour but de "créer un nouveau champion national", numéro trois du secteur bancaire italien, derrière Intesa Sanpaolo et UniCredit, avait fait valoir Monte dei Paschi.

Peu après 07H30 GMT, Banca Generali gagnait 7,63% à 52,50 euros, MPS 3,15% à 7,427 euros, Mediobanca 0,65% à 17,705 euros tandis que Generali perdait 1,97% à 31,33 euros dans un marché en hausse de 0,80%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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