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Suisse

Sion: une voiture tombe d’un pont et prend feu

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Une voiture est tombée d'un pont à Sion avant de prendre feu dans la nuit de samedi à dimanche. Le conducteur blessé a été transporté à l'hôpital (photo prétexte). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Une voiture a pris feu après être tombée d’un pont à Sion dans la nuit de samedi à dimanche. Le pronostic vital du conducteur n’est pas engagé.

Le véhicule a chuté vers 02h00 dans la nuit pour une raison que l'enquête devra déterminer, a indiqué dimanche la police cantonale valaisanne à Keystone-ATS, revenant sur une information du Nouvelliste. Il a ensuite pris feu.

Le conducteur a été sorti de l'engin par des tiers, qui ont vu l'accident. La victime a été transportée à l'hôpital de Sion.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

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Proposé en Suisse et dans sept autres pays européens, le jeu Eurodreams offre un gain principal sous forme d'une rente mensuelle de 22'222 francs pour une durée de 30 ans. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce à l'Eurodreams jeudi soir. Elle a coché les six bons numéros 1, 3, 25, 27, 30 et 35, a annoncé la Loterie romande.

Le pactole a été remporté en Belgique, l'un des huit pays européens proposant ce jeu. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique.

Le gros lot est une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans. Il faut pour cela trouver les 6 bons numéros ainsi qu'un numéro spécial appelé "dream". Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Bond des exportations horlogères en août, mais nuages à l'horizon

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Sur huit mois, l'industrie a envoyé pour 17,1 milliards de francs de montres à l'étranger, en recul de 1,4% par rapport à la même période de l'an passé. En 2023, la branche avait enregistré un record annuel, avec des envois pour une valeur totale de 26,7 milliards de francs. (KEYSTONE/V. Flauraud) (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Les exportations horlogères suisses ont augmenté de 6,9% en août sur un an, après un rebond en juillet. Mais la tendance reste négative pour la branche, de quoi augurer d'une fin d'année difficile notamment sur les marchés clés que sont la Chine et Hong Kong.

Le mois dernier, les envois de garde-temps helvétiques ont totalisé 1,95 milliard de francs, selon le communiqué de la Fédération horlogère suisse (FH) jeudi.

Sur huit mois, l'industrie a envoyé pour 17,1 milliards de francs de montres à l'étranger, en recul de 1,4% par rapport à la même période de l'an passé. En 2023, la branche avait enregistré un record annuel, avec des envois pour une valeur totale de 26,7 milliards de francs.

Les perspectives pour la fin de l'année en cours restent "négatives", d'après la faîtière, pour qui "les entreprises du secteur déplorent un manque de visibilité à moyen terme, les incitant à la plus grande prudence pour la suite, voire à la réduction de l'activité pour nombre d'entre elles."

En début de semaine, la FH et la Convention patronale de l'industrie horlogère suisse (CP) ont alerté sur le ralentissement de la demande et la baisse des exportations depuis le début de l'année, qui pèsent en particulier sur les sous-traitants et les entreprises opérant dans l'entrée et le milieu de gamme. La faîtière et le patronat ont réclamé un franc moins fort pour améliorer la compétitivité du secteur.

Les Etats-Unis en force

En août, la plupart des marchés se sont inscrits en hausse, parfois soutenue. Les plus fortes variations ont concerné les Etats-Unis (+7,6%), qui restent le premier destinataire de montres suisses. Le Japon (+14,4%), qui se classe troisième, Singapour (+9,3%), les Emirats arabes unis (+26,9%), l'Italie (+17,6%) ou la Corée du Sud (+14,2%) ont aussi affiché de fortes augmentations.

Les marchés européens tels que le Royaume-Uni (+3,5%), l'Allemagne (+2,9%) et la France (+0,7%) se sont tenus en retrait.

A l'inverse, les exportations horlogères vers la Chine (-5,9%), redevenue la seconde destination mensuelle des envois, et Hong Kong (-11,1%) ont encore reculé, mais de manière moins marquée que les mois précédents. Les prévisions pour les prochains mois restent toutefois très défavorables pour ces deux débouchés, assure la FH.

Depuis le début de l'année, les envois vers l'Empire du Milieu, où de nombreux indicateurs économiques continuent de se dégrader, ont fondu de 21% et ceux vers l'ancienne colonie britannique de presque 19%.

En volume, les principaux groupes de matières ont tous diminué en août d'environ 10%, soit 125'000 pièces de moins qu'en août 2023.

Les montres de plus de 3000 francs (prix export) ont porté la croissance, avec une progression mensuelle de 14,9% en valeur. Pour les segments inférieurs à ce montant, l'évolution s'est révélée clairement négative, aussi bien en valeur (-14,4%) qu'en nombre de pièces (-11,3%).

Prudence des analystes

Si le résultat mensuel dépasse les prévisions de la Banque cantonale de Zurich (ZKB), l'analyste Patrik Schwendimann met en garde contre toute surinterprétation, car il ne s'agit pas de ventes. De plus, il estime que les chiffres sont "fortement dénaturés" par certaines grandes marques indépendantes comme Patek Philippe, Audemars Piguet et Rolex, qui peuvent notamment liquider leurs listes d'attente. Cela ne reflète donc pas la marche des affaires de Richemont et Swatch Group.

L'expert rappelle avoir raboté lundi ses estimations en matière de bénéfice pour Richemont et Swatch Group tant pour 2024 que 2025 en raison des difficultés des marchés chinois et hong-kongais. Le genevois et le biennois sont recommandés chacun à "pondérer au marché".

Jean-Philippe Bertschy de Vontobel estime aussi que les exportations suisses seront portées cette année principalement par Rolex et quelques marques indépendantes haut de gamme. Pour les autres, 2024 s'apparente à une remise des compteurs à zéro et à une normalisation de la croissance après l'essor post-Covid.

Il se montre positif quant à Richemont - recommandant le titre à l'achat - qui réalise plus de la moitié de son chiffre d'affaires dans la joaillerie et qui est positionné sur le haut de gamme. A l'inverse, l'expert se montre prudent à propos de Swatch Group ("hold"), en raison de sa forte dépendance à l'entrée et milieu de gamme et de son importante exposition à la Chine, qui pèse pour un tiers des ventes.

Vers 12h15, la porteur Swatch caracolait en tête d'un SLI en hausse de 1,1%, gagnant 4,7% à 160,55 francs. L'action de son concurrent Richemont prenait 1,3% à 119,50 francs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

L'inflation suisse plus faible que prévu jusqu'en 2025

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Une demande internationale plus faible aurait un impact sur le commerce extérieur suisse et la conjoncture domestique, souligne le Seco. Dans un tel contexte, le franc continuerait à s'apprécier. (KEYSTONE/Michael Buholzer) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le groupe d'experts de la Confédération pour les prévisions conjoncturelles a raboté ses prévisions de renchérissement jusqu'en 2025. Pour cette année, l'inflation est ainsi attendue à 1,2%, contre 1,4% lors du dernier pointage du mois de juin.

En ce qui concerne 2025, le renchérissement en Suisse devrait atteindre 0,7%, indique jeudi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco), qui publie ces prévisions trimestrielles. Ce niveau est sensiblement revu à la baisse par rapport au taux de 1,1% de juin.

Aucun changement ne se dessine pour l'économie helvétique cette année, dont la croissance du produit intérieur brut (PIB) est toujours escomptée à 1,2% en 2024. Le Seco rappelle dans son communiqué qu'une telle évolution serait "nettement" inférieure à la moyenne depuis 1980. Les spécialistes pointent du doigt un "rythme d'expansion de la demande mondiale (...) inférieur à la moyenne historique au cours des prochains trimestres".

Après un deuxième trimestre porté essentiellement par les secteurs chimique et pharmaceutique ainsi que la vigueur des exportations de marchandises, la croissance devrait cependant être modérée dans un avenir proche, précise le communiqué. Le Seco rappelle que la dynamique pour l'industrie et la demande intérieure demeure faible. L'appréciation du franc constitue un autre frein, alors que les marchés européens d'exportation rencontrent des difficultés.

Une légère détérioration est ainsi envisagée pour 2025, le groupe d'experts ayant raboté ses prévisions de PIB à 1,6%. Cela représente 0,1 point de moins par rapport aux estimations de juin. La moyenne à long terme est fixée à 1,8%.

Risques internationaux, effets locaux

Le nombre de chômeurs devrait augmenter, le taux de sans-emplois étant attendu à 2,4% cette année et à 2,6% en 2025. Ces prévisions demeurent inchangées.

Le groupe d'experts a identifié une série de risques conjoncturels parmi lesquels figurent les conflits armés en Ukraine et au Proche-Orient. Ceux-ci pourraient entraîner une forte hausse des prix des matières premières ou des coûts de transports, impliquant des répercussions inflationnistes, selon le communiqué.

L'assouplissement monétaire dans les principales économies se fait à un rythme lent, ce qui augmente les risques liés à l'endettement et au bilan des institutions financières. Ces perspectives pourraient conduire à des corrections sur les marchés financiers. La faiblesse des économies allemande ou chinoise figure également parmi les facteurs qui pourraient gripper la machine, tout comme un fléchissement potentiel de la conjoncture aux Etats-Unis.

Une demande internationale plus faible aurait un impact sur le commerce extérieur suisse et la conjoncture domestique, souligne le Seco. Dans un tel contexte, le franc continuerait à s'apprécier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Priorité à la poursuite de l'exploitation des centrales existantes

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L'Institut Paul Scherrer (PSI) à Villigen (AG) effectue une grande partie de la recherche nucléaire suisse. (Photo d'archives) (© KEYSTONE/STEFFEN SCHMIDT)

La priorité en matière de recherche nucléaire suisse reste la poursuite de l'exploitation des réacteurs existants. Et ce même après la décision du Conseil fédéral de lever l'interdiction de construire de nouvelles centrales nucléaires.

Tant que les réacteurs continueront à être exploités, cela sera nécessaire, a indiqué jeudi devant les médias Andreas Pautz, directeur du domaine de recherche Energie nucléaire et sécurité à l'Institut Paul Scherrer (PSI) à Villigen (AG).

Il s'agit ainsi de garantir la poursuite de l'exploitation des centrales nucléaires en toute sécurité et la relève des experts dans le domaine nucléaire. "Mais nous serions prêts à faire plus", a ajouté M. Pautz. Il a notamment critiqué la recherche sur les nouveaux types de réacteurs, qui a du mal à décoller en Suisse.

La Confédération ne finance pas cette recherche. "Sans les fonds de l'Union européenne, nous ne pourrions pas faire de recherche sur les réacteurs de quatrième génération", a déclaré le scientifique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Parlement valide le budget de près d'un milliard pour la culture

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Le budget culturel de ces quatre prochaines années permet de mener des projets ambitieux, selon la ministre de la culture Elisabeth Baume-Schneider. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le Parlement a validé jeudi le budget de près d'un milliard dédié à la culture entre 2025 et 2028. Le National a, sous la pression du Conseil des Etats, finalement plié sur le budget de Pro Helvetia qu'il voulait amputer de 6,5 millions.

Les députés voulaient procéder à cette coupe en raison notamment d'activités jugées problématiques en Russie. La fondation a entre-temps assuré qu'elle allait supprimer son antenne à Moscou d'ici la fin de l'année. L'argument a apaisé le Parlement, qui a donc, par 106 voix contre 79, maintenu le budget de 187 millions pour Pro Helvetia.

Le budget total prévu pour la culture entre 2025 et 2028 s'élève à 987,9 millions de francs. Quelque 210 millions sont dédiés au cinéma, 159 millions pour l'encouragement de la culture et 139 millions au Musée national suisse.

Les autres crédits vont à la conservation des monuments (126 millions), aux langues (80 millions), au transfert des biens culturels (3 millions).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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