L’application "White Risk", qui est un outil conçu pour aider à planifier les randonnées à ski et les sorties hors des pistes, a été remaniée. Désormais, elle possède un nouveau design et propose plus de fonctions, ainsi que des contenus de formation.
L’application "White Risk" développée par l’Institut pour l’étude de la neige et des avanlanches (SLF) de l’Institut fédéral de recherche sur la forêt, la neige et le paysage (WSL), a été entièrement renouvelée pour la deuxième moitié de la saison hivernale, a indiqué le SFL mardi dans un communiqué.
Celle-ci vise à accompagner tous les passionnés de montagne, qu'ils soient en hors-piste, à pied, en raquettes ou en skis de randonnée. Le SLF a fait savoir que l’application est "tout-en-un" pour les sorties. Elle permet de se renseigner sur les conditions météorologiques, nivologiques et avalancheuses.
"Désormais plus accessible, l’application est plus facile à manipuler", a expliqué le développeur de logiciels, Julian Fisch, cité dans le communiqué.
Création et gestion des itinéraires simplifiées
Une des nouveautés majeures est la simplification de la création et de la gestion des itinéraires. Les détails des passages clés ont été étudiés afin de mieux faire ressortir les dangers du terrain. En outre, les utilisateurs de l’application ont désormais la possibilité d’ajuster un itinéraire en cours de route et d’obtenir des informations détaillées sur le profil d’altitude, ainsi que sur la durée estimée de l’alternative.
L’application intègre également des contenus d’apprentissage, avec des formations en ligne destinées à renforcer la sécurité des utilisateurs en montagne. Bien que cette fonctionnalité soit encore en phase de test, elle est déjà accessible à tous les utilisateurs de l’application.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Seule une personne sur cinq en Suisse assiste à un service religieux pendant la période pascale ou renonce à la viande ou à l'alcool pendant au moins un jour de jeûne. Environ 25% des sondés se représentent Pâques avant tout comme une fête familiale, selon un sondage.
Environ six personnes sur dix (57%) en Suisse fêtent Pâques, indique vendredi l'institut d'études de marché et d'opinion numérique Marketagent Suisse.
La coutume pascale la plus prisée en Suisse est le lapin en chocolat, mais les ½ufs en chocolat et les ½ufs de Pâques colorés sont également populaires, selon le sondage. Et Pâques est aussi l'occasion de faire des cadeaux, pour lesquels les Suisses dépensent en moyenne 20 francs par personne.
Un peu plus d'un quart des personnes interrogées profitent des vacances de Pâques pour partir en vacances, un chiffre qui monte même à un tiers en Suisse romande, écrit Marketagent. En ce qui concerne les destinations, la tendance est clairement au soleil et à la chaleur, avec une part de 84%. Seuls 16% des sondés ont envie de faire du ski à Pâques.
Dans le cadre de l'enquête, 1020 personnes âgées de 14 à 75 ans ont été interrogées en Suisse romande et en Suisse alémanique. Les entretiens ont eu lieu de fin mars à début avril.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Un bouchon de 12 kilomètres s'est formé sur le côté nord du tunnel du Gothard ce Vendredi saint au matin. En raison de la surcharge de trafic, une file de voitures s'est formée entre Erstfeld et Göschenen, dans le canton d'Uri.
La perte de temps atteint donc jusqu'à deux heures, indique le Touring Club Suisse (TCS) sur son site Internet. Celui-ci recommande l'itinéraire alternatif par l'A13 et le tunnel du San Bernardino.
Pour les jours de Pâques, l'Office fédéral des routes table sur des bouchons et d'importantes perturbations du trafic sur l'axe nord-sud. Le TCS prévoit un "très fort trafic" au portail nord du Gothard pendant cinq jours consécutifs. La route du col du Gothard restera fermée pendant la période pascale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce à l'Eurodreams jeudi soir. Elle a coché les six bons numéros 2, 10, 14, 23, 30 et 32, a annoncé la Loterie romande.
Le pactole a été remporté dans l'un des huit pays européens proposant ce jeu. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique.
Le gros lot est une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans. Il faut pour cela trouver les 6 bons numéros ainsi qu'un numéro spécial appelé "dream". Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Elle s’appelle Zoë Më, elle a 24 ans, et dans quelques semaines, des millions de téléspectateurs la découvriront sur la scène de l’Eurovision 2025. Mais qui est vraiment cette artiste qui incarne la Suisse cette année à Bâle? Elle était mon invitée.
Zoë Më dégage une douceur qui contraste avec l’ampleur de sa mission: porter haut les couleurs helvétiques lors du plus grand concours musical du monde.« Je ne viens pas pour gagner, je viens pour dire quelque chose », pose-t-elle d’emblée.Car sa chanson "Voyage" ne ressemble à rien de ce qu’on a pu entendre ces dernières années au concours: pas de refrains formatés, pas d’explosion finale, mais une atmosphère suspendue, presque cinématographique.
Une performance sans artifice
Née en Suisse alémanique, formée au jazz et à la musique expérimentale, Zoë Më est une habituée des marges plus que des projecteurs.« J’ai toujours été attirée par les sons qui ne rentrent pas dans les cases. Pour moi, la musique, c’est d’abord une exploration émotionnelle. » Sur scène, Zoë Më sera seule.« C’est un choix artistique. Je veux que le public sente chaque souffle, chaque tremblement. Il n’y aura pas de danseurs, pas de feu d’artifice. Juste moi et mon histoire. »Un pari audacieux à l’Eurovision, où le spectaculaire prime souvent sur la sobriété.Mais la jeune artiste assume: « Je préfère toucher cent personnes profondément que divertir mille en surface. »
Une artiste ancrée dans son époque
Engagée, féministe, lucide sur les codes de l’industrie musicale, Zoë Më ne cherche pas à plaire à tout prix.« Je pense que la sincérité est une forme de radicalité aujourd’hui. On attend des artistes qu’ils soient lisses. Moi, je veux être vraie. Même si ça dérange. »Ce refus du compromis se lit aussi dans son clip, tourné à la frontière entre rêve et cauchemar, comme un miroir de nos contradictions contemporaines.
À quelques semaines de son départ pour la St. Jakobshalle de Bâle, Zoë Më se dit « prête à être vulnérable ». Et si elle appréhende le moment, elle garde le cap: « Je veux que les gens, pendant trois minutes, soient complètement ailleurs. Que la chanson les emporte, même s’ils ne parlent pas français. »
L'ancien international suisse François Moubandje tire sa révérence, à l'âge de 34 ans. Le défenseur genevois a annoncé sa décision sur les médias sociaux.
"J'ai douté, j'ai gagné et j'ai perdu, mais je n'ai jamais cessé de me battre pour le maillot et pour l'honneur", écrit François Moubandje, qui était sans club depuis l'été dernier.
Passé par Meyrin et Servette, le latéral a rejoint en 2013 Toulouse, où il a connu jusqu'en 2019 sa période la plus faste, avant de tenter sa chance en Croatie et en Turquie. Il était revenu en Suisse en 2022, passant deux saisons au FC Sion.
Moubandje a disputé 21 matches avec l'équipe de Suisse. Il faisait partie de la sélection pour l'Euro 2016 et la Coupe du monde 2018, mais n'a pas été aligné durant ces deux tournois majeurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats