Rejoignez-nous

Suisse

Les nuitées de l'hôtellerie suisse toujours en hausse en mars

Publié

,

le

L'hôtellerie suisse est bien partie pour battre le record de 2023. (archive) (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

L'hôtellerie suisse a continué d'enregistrer des nuitées en hausse en mars, selon les chiffres provisoires de l'Office fédéral de la statistique (OFS) publiés lundi.

L'hôtellerie suisse a enregistré 3,3 millions de nuitées en mars, ce qui correspond à une hausse de 3,9% par rapport à la même période de l'année précédente. Les visiteurs étrangers ont réservé 1,6 million de nuitées, soit une progression de 6,6%. Les touristes allemands ont été les plus nombreux (376'546), suivis par les Américains (199'453) et les Anglais (152'542).

Le tourisme indigène n'était pas en reste non plus. Les résidents ont généré 1,7 million de nuitées, en hausse de 1,5%.

Au niveau des communes, Zurich se taille la part du lion, avec 283'274 nuitées, toute provenance confondue, suivie par Zermatt (187'415). Première commune romande dans le classement et troisième au général, Genève enregistre 175'294 nuitées.

Sur les trois premiers mois de l'année, les hôtels suisses ont enregistré 9,8 millions de nuitées, un chiffre en hausse de 3,3% par rapport à la même période de l'année précédente. Avec 4,5 millions de nuitées, les visiteurs étrangers sont en progression de 6,7%. L'évolution du tourisme indigène est moins prononcée. Avec 5,2 millions de nuitées, la hausse n'est que de 0,6%.

En 2023, la branche avait enregistré plus de 41 millions de nuitées. Ce chiffre représentait une hausse de 9,2% par rapport à 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suisse

WSL: un nouvel outil pour mieux cartographier les espèces végétales

Publié

le

Le nouvel outil développé par l'institut WSL permet de mieux cerner la répartition des espèces végétales et leurs réactions possibles aux changements environnementaux (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Un nouvel outil développé par l'institut WSL indique où poussent les espèces végétales en Suisse et où elles se trouveront à l'aveni. Il utilise des millions d'observations rapportées par le grand public, qui sont ensuite traitées par l'intelligence artificielle.

Les scientifiques mesurent l'état de la biodiversité par des observations sur le terrain et des extrapolations sur ordinateur. En saisissant l'habitat préféré d'une espèce, c'est-à-dire sa niche écologique, ainsi que les conditions environnementales locales, ils peuvent établir des cartes de répartition à l'aide d'algorithmes.

Les scientifiques de l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) ont eu l'idée de profiter de l'engouement actuel pour les sciences citoyennes. Les possibilités d'observer et d'identifier les plantes et de partager ces données à l'aide d'applications ont en effet fortement augmenté ces dernières années.

"Grâce aux observations du grand public, nous avons accès à des informations bien supérieures à ce qu'il nous serait possible d'obtenir en nous rendant sur le terrain", commente Philipp Brun, auteur principal de cette étude parue dans la revue Nature Communications.

Le champ des possibles

Sur la base de 6,7 millions d'observations de plantes et en recourant à l'intelligence artificielle, le WSL a développé un modèle de biodiversité inédit qui calcule la répartition de 2477 espèces végétales en Suisse. Il montre à 25 mètres près et jour après jour quelles plantes peuvent être observées à quel endroit et comment ce tableau évolue au fil des saisons.

Pour certaines espèces, il permet par exemple d'estimer la date probable de leur floraison. L'étude montre que ce modèle d'apprentissage profond est plus précis que les approches utilisées jusqu'à présent.

L'outil du WSL peut par exemple indiquer quelle espèce d'arbre est la plus susceptible d'être présente dans quelle forêt. Les calculs tiennent également compte des changements attendus en raison du changement climatique.

Quantité d'observations cruciale

Le modèle est le plus précis là où de très nombreuses observations sont disponibles. Philipp Brun est convaincu du potentiel de ce nouvel outil: "Il est fort possible que ce modèle saisonnier de biodiversité fasse bientôt partie des instruments standard de la recherche écologique", estime le chercheur, cité lundi dans un communiqué du WSL.

La crise de la biodiversité est un des grands défis actuels de la société. Les plantes sont en grande partie nécessaires à la structure de la plupart des écosystèmes et remplissent des fonctions écosystémiques essentielles.

Il est donc très important de comprendre en détail les modèles de répartition des espèces végétales et leurs réactions possibles aux changements environnementaux. Ce n'est qu'ainsi que l'on pourra prendre des mesures efficaces et durables pour protéger la biodiversité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

La filiale de fonds d'UBS omniprésente dans les sociétés suisses

Publié

le

Au 20 mai, UBS Fund Management détenait une part d'au moins 3% ou plus dans 119 des 221 sociétés cotées, selon le décompte réalisé par l'agence AWP. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La filiale dédiée à la gestion de fonds d'UBS est devenue, après sa fusion avec son homologue de Credit Suisse, la plus grande actrice du marché actions helvétique. UBS détient ainsi une participation de plus de 3% dans une centaine de sociétés du marché élargi (SPI).

Dans la foulée de la fusion d'UBS Fund Management (Switzerland) et de Credit Suisse Funds, la banque aux trois clés a dévoilé à l'opérateur de la Bourse suisse SIX ses participations d'au moins 3%. Au 20 mai, UBS Fund Management détenait une part d'au moins 3% ou plus dans 119 des 221 sociétés cotées, selon le décompte réalisé par l'agence AWP.

La filiale pèse donc fortement sur le marché suisse et même davantage que le gestionnaire de fonds américain Blackrock, qui possède 3% ou plus des parts de 46 entreprises cotées sur SIX. Les autres acteurs clés sont la filiale de la Banque cantonale de Zurich (ZKB), Swisscanto (17 sociétés), l'américain Capital Group (14), le bâlois J. Safra Sarasin Investmentfonds (13) et le norvégien Zentralbank Norges (8).

Parmi les actionnaires individuels se démarquent l'ancien président de Straumann, Rudolf Maag, (7, dont le fabricant d'implants dentaires bâlois et l'entreprise spécialisée dans la construction Implenia), Michael Pieper (5, dont le groupe Franke/Artemis) et Peter Spuhler (5, dont le fabricant de matériel roulant Stadler et le constructeur de machines textile Rieter).

Nombreux secteurs

La super-filiale d'UBS est aussi souvent la plus grande actionnaire des sociétés dont elle détient des parts. Elle est ainsi numéro une dans 28 entreprises tandis qu'elle a acquis plus de 10% de 14 autres. Elle est particulièrement présente chez le fournisseur de solutions de communication Ascom (18,6%) et le producteur d'aliments Orior (18,2%), mais aussi dans les sociétés immobilières PSP (14,9%) et Allreal (+14,1%) ainsi que le spécialiste du crédit à la consommation Cembra (14,0%). En moyenne, une participation atteint 6%.

UBS Fund Management est également représentée dans 18 des 20 sociétés de l'indice phare de la Bourse Suisse, le SMI, comme l'assureur Swiss Life (7,3%) et le logisticien Kühne+Nagel (3,2%). En revanche, sa participation n'est pas connue pour le géant du luxe Richemont et le géant pharmaceutique Roche.

La filiale est aussi présente au sein de l'actionnariat de sa maison-mère UBS à hauteur de 5,3%, en deuxième place derrière la banque aux trois clés elle-même. Selon des courtiers, c'est la première fois qu'elle détient plus de 3% d'UBS. Cette participation a récemment fait parler d'elle, car il est mal vu de "charger" le portefeuille de ses clients avec des titres de sa propre entreprise, soulignait récemment le portail Cash Insider.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Suisse

Aucun licenciement chez Vetropack avant fin juin

Publié

le

Une des revendications des employés de Vetropack a été entendue. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les premiers licenciements sont reportés d'un mois chez Vetropack à St-Prex (VD), de la fin mai à la fin juin. La grève se poursuit, mais les employés ont partiellement repris le travail.

Révélée lundi par Le Temps, l'information a été confirmée à Keystone-ATS par Nicole Vassalli, responsable du secteur industrie chez Unia Vaud. Ce report était l'une des revendications des employés de la verrerie, qui demandent que les licenciements soient gelés jusqu'à la fin des négociations et la signature du plan social.

La direction a accepté ce compromis lors d'une rencontre lundi matin avec les représentants du personnel et les syndicats. De leur côté, les employés, en grève depuis vendredi, ont accepté de reprendre le travail sur deux des quatre lignes de production. Aucune bouteille ne sort toutefois encore de l'entreprise, a précisé Nicole Vassalli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Le secteur de l'assurance vie a le vent en poupe, selon une étude

Publié

le

Le volume mondial des primes d'assurance vie devrait se monter à un total de 4000 milliards de dollars d'ici 2034, selon l'Institut Swiss Re. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Les produits d'assurance vie et de prévoyance redeviennent attractifs pour constituer un capital vieillesse en raison des taux d'intérêt plus élevés. Cela entraînera une rentabilité accrue pour les assureurs-vie, selon une étude de l'Institut Swiss Re.

Dans sa nouvelle étude publiée lundi, l'Institut Swiss Re prédit que les assurances-vie avec capitalisation généreront à l'échelle mondiale 1500 milliards de dollars supplémentaires au cours des dix prochaines années. C'est deux fois plus que les dix années précédentes.

La hausse des taux d'intérêt change la donne dans le secteur de l'assurance-vie, selon l'Institut Swiss Re. "Les produits d'assurance-vie et de prévoyance redeviennent attractifs pour constituer un capital vieillesse", explique Jérôme Jean Haegeli, économiste en chef du groupe Swiss Re.

Les consommateurs souscrivent par conséquent de plus en plus de produits d'assurance-vie générateurs de capital et garantissant une pension de retraite plus élevée. Cela devrait porter le volume mondial des primes à un total de 4000 milliards de dollars d'ici 2034. En revanche, pendant toute la période de taux d'intérêt bas, à savoir entre 2010 et 2019, les primes mondiales d'assurance-vie n'ont augmenté que de 300 milliards de dollars.

L'Institut Swiss Re estime que parmi les primes supplémentaires générées au cours de la prochaine décennie, environ 61% (900 milliards de dollars ou 823 milliards de francs) proviendront des pays industrialisés et 39% (578 milliards de dollars) des pays émergents. La Chine représente à elle seule 17% de toutes les primes supplémentaires, où le volume augmentera de 256 milliards de dollars entre 2025 et 2034.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Mobilité

Police, canton et TCS organisent un week-end "Sécurité motards"

Publié

le

Un week-end dédié à la sécurité des motars est organisé samedi et dimanche au centre TCS de Cossonay (image d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Une équipe de moniteurs de conduite de la gendarmerie vaudoise, d’instructeurs du TCS et d’experts du SAN proposent samedi et dimanche un week-end "Sécurité motards" à Cossonay. Ces deux journées de prévention routière sont organisées dans le but d’allier prudence et sécurité à deux-roues. Les inscriptions se font sur place.

L’objectif de la campagne "Sécurité motards" est d’adopter une conduite adaptée aux conditions de la route et de suivre des trajectoires sûres dans les virages, écrit la police cantonale lundi dans un communiqué. Ces journées seront dédiées notamment aux trajectoires de sécurité avec le nouveau marquage du col du Mollendruz, aux exercices de maniabilité et aux conseils pour une bonne conduite sur la piste du centre TCS.

Cette action est soutenue par les experts du Service des automobiles et de la navigation (SAN). Ils assureront les contrôles des éléments de sécurité des motos et se tiendront à disposition pour toutes les questions techniques. Des instructeurs moto de la section vaudoise du TCS seront également présents et en charge du chantier maniabilité sur la piste.

Cette manifestation est accessible à tous les motards résidant dans le canton de Vaud en possession d'une moto d'une puissance de 35 KW minimum et immatriculée. Chacun circulera et participera aux ateliers sous sa propre responsabilité. Les inscriptions se font sur place.

L’ouverture du site est prévue à 8h30. Quatre sessions par jour seront organisées (9h00-10h30, 10h30- 12h00, 13h00-14h30 et 14h30-16h00), afin d’enseigner "une conduite sûre en alliant le plaisir que procure le pilotage d’un deux-roues".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture