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Élections fédérales

Le PVL lance sa campagne en vue des élections fédérales

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Le président du PVL Jürg Grossen (BE) a appelé à construire activement l'avenir de la Suisse au-delà des clivages politiques. (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Lors de son assemblée des délégués samedi à Rheinfelden (AG), le PVL a lancé sa campagne en vue des élections fédérales d'octobre, sous le slogan "Le courage d'agir". Son président Jürg Grossen a exigé une politique orientée solution pour la Suisse.

Le Vert'libéral s'est également prononcé en faveur d'une politique tournée vers le long terme, qui se construit au-delà des camps partisans. Face aux nombreuses crises telles que le changement climatique, la guerre en Ukraine, la crise énergétique et la chute de Credit Suisse, il faut faire bouger les choses et innover, a-t-il plaidé au cours de son discours devant les délégués.

Le Bernois a appelé à construire activement l'avenir de la Suisse au-delà des clivages politiques. Et de déplorer ces derniers temps trop peu de compromis susceptibles de réunir une majorité.

"La Suisse est confrontée à des défis majeurs en matière de politique économique. La pénurie de main-d'oeuvre qualifiée augmente, notre productivité stagne et nous risquons de perdre notre plein accès à des marchés importants - en particulier au marché intérieur de l'UE", a-t-il encore déclaré. Et d'estimer que cette évolution met en péril la prospérité helvétique.

Dans ce contexte, les Vert'libéraux ont adopté un document stratégique concernant la politique économique. Les éléments les plus importants pour maintenir la prospérité sont une concurrence accrue, un marché du travail libéral et qui tient compte des besoins de la société actuelle, un accès total au marché intérieur européen, ainsi qu'un libre-échange durable avec le monde entier.

Commission d'enquête parlementaire

Par ailleurs, le PVL a décidé ses mots d'ordre pour les votations du 18 juin. Les délégués ont dit oui à l'unanimité à la loi climat. Ils ont aussi accepté sans opposition l'imposition minimale de l'OCDE et la loi Covid-19, à nouveau soumise au vote.

Le parti demande également une économie responsable et une commission d'enquête parlementaire (CEP) sur la reprise de Credit Suisse par UBS. Le PS et les Vert-e-s exigent aussi une CEP. L'UDC s'est elle montrée ouverte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Élections fédérales

Fédérales 2023: La plupart des candidats opposés à la reconnaissance faciale

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Un système de caméras sur un immeuble en 2014 à Zurich (© KEYSTONE/Christian Beutler)

Une large majorité des candidats aux élections fédérales sont opposés à la reconnaissance faciale automatisée dans l'espace public, selon un sondage. Seuls les représentants de l'UDC y sont favorables, de justesse.

Près de 80% des candidates et des candidats au Conseil national et au Conseil des Etats sont favorables à l'interdiction de la reconnaissance faciale dans l'espace public selon l'enquête smartvote, indique mercredi l'alliance "Protégeons nos droits fondamentaux, non à la reconnaissance faciale".

L'opposition à la reconnaissance faciale est légèrement plus élevée chez les candidats au Conseil des Etats. 83,9% se sont dits favorables ou plutôt favorables à son interdiction dans l'espace public, contre 77,9% pour celles et ceux qui briguent un siège au National. La part de ceux qui sont résolument pour une interdiction est de 55,2% pour le Conseil des Etats et de 52,7% pour le National.

Le taux d'approbation d'une interdiction atteint 90% chez les Verts et dépasse les 60% dans les rangs du PLR et du Centre. Seuls les candidats de l'UDC opposent à une interdiction, à une courte majorité (51,5%).

L'alliance "Protégeons nos droits fondamentaux, non à la reconnaissance faciale" regroupe la section suisse d'Amnesty International, AlgorithmWatch Suisse et la Société numérique.

Avec Keystone-ATS

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Élections fédérales

6 Minutes avec Simone de Montmollin, candidate PLR au Conseil des Etats

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La conseillère nationale, Simone de Montmollin, se lance dans la course au Conseil des Etats. Avec le pouvoir d'achat et l'ambition de redorer le blason de Genève, à Berne. Simone de Montmollin était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.

La hausse des primes maladie est annoncée, ce mardi. Simone de Montmollin a voté contre un contre-projet indirect à l’initiative socialiste pour un plafonnement des primes à 10%. Ce contre projet aurait permis à Genève de toucher 91 millions de francs de subsides de la Confédération:

"C'est un autre contre-projet, celui du du Conseil des Etats qui a été soutenu par le Conseil fédéral, les chambres et moi-même. Cette version coûte moins chère pour la Confédération à un moment où les comptes sont fragilisés par les conséquences de la crise du Covid, pour laquelle la Confédération a dépensé 30 milliards. Chacun à sa responsabilité. Le financement de la Confédération vient de l'impôt et nous ne souhaitons pas une augmentation des impôts pour financer des prestations nécessaires à la population mais qui sont avant tout de la responsabilité des cantons".

Vous dites que le PLR se bat pour notre pouvoir d’achat. Quelles mesures pour la contenir? 

"Nous avons eu la chance, ces dix dernières années, d'avoir une prospérité continue, aujourd'hui, la situation mondiale est différente. Même si la Suisse s'en sort plutôt bien, l'évolution des prix pèse fortement sur la classe moyenne, en particulier. La question des primes est une chose, mais il y a d'autres leviers: il faut nous assurer une économie prospère et que nos salaires ne soient pas ponctionnés de manière excessive par l'impôt. Il faut donc alléger les impôts particulièrement pour la classe moyenne. Notre projet d'imposition individuelle doit régler une inégalité de traitement entre les couples mariés et non mariés avec un milliard payé en trop".

 

 

 

 

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Élections fédérales

Les candidats au National sont plus âgés, part féminine stable

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Les sièges à la Chambre du peuple sont très convoités. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le nombre de candidats aux élections au Conseil national du 22 octobre atteint un nouveau record cette année. La moyenne d'âge est la plus élevée depuis plus de 30 ans et la part des femmes est stable, selon les chiffres publiés lundi par l'OFS.

Pas moins de 5909 candidates et candidats postulent à l'un des sièges de la Chambres du peuple dans les vingt cantons à scrutin proportionnel, soit 27% de plus qu'en 2019. Parmi eux figurent 40,8% de femmes, contre 40,3% il y a quatre ans (et 32,5% en 1991).

Plus étonnant, même si dix candidats n'ont que 18 ans, la moyenne d'âge des prétendants est la plus élevée depuis 1991 au moins: 43,6 ans, contre 41,75 en 2019 et 40,59 en 2015, selon l'Office fédéral de la statistique (OFS). Dans l'ensemble, les prétendants sont plus jeunes à gauche et chez les Verts, de même que parmi les femmes.

Les candidatures sont les plus nombreuses au Centre et chez les Vert'libéraux, avec respectivement 1099 et 839 postulants. A eux deux, ces partis représentent près d’un tiers de tous les candidats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Actualité

🔴 Fédérales en direct: Vos priorités et les partis qui grimpent

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Le parlement fédéral attend sa nouvelle composition (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le 22 octobre, faites compter votre voix! Exprimez vos valeurs et influencez les décisions qui guideront notre pays lors des élections fédérales. Pour cela, nos tableaux et suivi en direct.

Le Parlement, composé du Conseil national et du Conseil des États qui décident des lois, des budgets et de la direction du pays sera renouvelé. Votre vote façonne notre système politique, les politiques publiques et l'avenir de la Suisse.

Quelles sont vos priorités?

Comment pourrait être la future répartition?

Pour tout connaitre de la route qui mène aux fédérales, suivez notre direct.

 

Avec Keystone-ATS 

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Élections fédérales

Déjà 5908 candidats au Conseil national

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Environ 5900 candidats briguent un siège au Conseil national dans 20 cantons (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Toutes les candidatures ne sont pas encore connues au Conseil national. Mais il apparaît déjà que le nombre d'hommes et de femmes souhaitant siéger à la Chambre du peuple sera plus élevé qu'en 2019, selon un décompte de Keystone-ATS, qui recense 5908 candidats.

Il y a quatre ans, les cantons avaient annoncé - après clôture et révision des listes - 4660 candidatures au Conseil national. Plusieurs grands cantons ont annoncé un nombre record de candidats pour les prochaines élections.

Le canton de Zurich aura le droit à un siège supplémentaire à partir de la prochaine législature, soit 36. Au total, 1341 personnes vont se présenter à ces élections. Dans le canton de Berne, il y a 776 candidatures pour 24 sièges et dans le canton de Vaud, 384 candidats pour 19 sièges.

Le nombre de listes déposées jusqu'à présent a également augmenté. Dans les 20 cantons élisant leurs représentants au National au système proportionnel, 618 listes ont déjà été déposées jusqu'à lundi soir. Il y en avait 511 en 2019 et seulement 422 en 2015.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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