Rejoignez-nous

Economie

Axpo va alimenter les sites espagnols de Berry en énergie solaire

Publié

,

le

Axpo alimentera les usines espagnoles de l'américain Berry en énergie solaire depuis une nouvelle centrale de 50 mégawatts (MW) qui sera construite par Solaria d'ici fin 2021. (archives) (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

La filiale espagnole du groupe énergétique Axpo va alimenter en électricité solaire les usines du géant américain de la plasturgie Berry Global basées dans la péninsule.

Un accord d'achat d'énergie (AAE) pour une durée de dix ans a été conclu entre les deux entreprises dans ce sens.

Selon ses termes, Axpo Iberia alimentera les sites espagnols de Berry depuis une nouvelle centrale de 50 mégawatts (MW) qui sera construite par le spécialiste madrilène des installations photovoltaïques Solaria d'ici fin 2021, dans le cadre du projet Trillo, indique l'énergéticien argovien mardi dans un communiqué.

Le colosse étasunien s'est engagé d'ici 2025 à réduire d'un quart ses émissions par rapport à 2019. L'accord d'approvisionnement devrait lui permettre d'améliorer son bilan carbone de près de 20'000 tonnes par année.

Avec une puissance installée de 626 MW, le parc solaire de Trillo, dans la région de Guadalajara (centre) se veut le plus grand d'Europe. L'accord revêt une grande importance pour Axpo Iberia, dans la mesure où il permet à l'entreprise de "renforcer (sa) position sur le marché en tant que partenaire compétitif et fiable pour les AAE d'entreprises à long terme", a déclaré son directeur exécutif Ignacio Soneira, cité dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

CEP: 14 membres et 5 millions pour enquêter sur Credit Suisse

Publié

le

La CEP sur Credit Suisse comptera 14 membres et disposera d'un budget de 5 millions de francs (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

La commission d'enquête parlementaire (CEP) sur le rachat de Credit Suisse par UBS prend forme. Elle devrait compter 14 membres du Parlement. Elle aura un budget de cinq millions de francs. Le National devrait donner son feu vert la semaine prochaine.

La CEP est chargée d'enquêter sur la gestion au cours des dernières années par le Conseil fédéral, l'administration fédérale et d’autres organes ou personnes auxquels sont confiées des tâches de la Confédération, en rapport avec la fusion d'urgence de Credit Suisse avec UBS. Elle comptera 14 membres, annonce mardi un communiqué du bureau du Conseil national.

La commission se composera de sept membres du Conseil national et de sept membres du Conseil des États, propose le bureau. Elle fera rapport aux deux conseils sur les résultats de ses travaux et sur les responsabilités et les lacunes constatées sur le plan institutionnel. Elle devra aussi faire des propositions quant aux mesures à prendre.

Le mandat confié à la CEP est assorti d'un crédit d'engagement de 5 millions de francs. L'arrêté fédéral correspondant sera débattu au Conseil national le mercredi 7 juin, après que le Conseil fédéral aura donné son avis. Il sera ensuite soumis au Conseil des États, également au cours de la deuxième semaine de la session d'été, afin de permettre une éventuelle élimination des divergences durant la troisième semaine de session.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Quotas viticoles de 2022 maintenus ou légèrement rehaussés en 2023

Publié

le

Après le millésime 2021 historiquement faible en raison des aléas climatiques, la viticulture vaudoise a retrouvé le sourire en 2022 dans des conditions presque méditerranéennes où qualité et quantité étaient au rendez-vous (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Canton de Vaud a décidé de maintenir, voire de légèrement rehausser, pour 2023 les quotas de production fixés en 2022 pour les divers crus de chaque région viticole. Ils ont été fixés alors que le millésime 2022 a retrouvé le sourire tant au niveau qualitatif que quantitatif, a indiqué mardi le Conseil d'Etat.

"Dans une tendance à la réduction générale de la consommation de vin en Suisse, le marché des vins vaudois est stable et montre des signes positifs pour les vins effervescents et le rosé", relèvent les services de Valérie Dittli, cheffe du Département des finances et de l'agriculture (DFA), dans un communiqué.

D'après les analyses de l'Observatoire suisse du marché du vin de Changins et des propositions de la Communauté interprofessionnelle du vin vaudois (CIVV), la ministre en charge de la viticulture a fixé les quotas pour la récolte 2023: ils sont maintenus au niveau de l'an dernier ou légèrement rehaussés pour certains cépages rouges. L'objectif est de conserver voire de renforcer les parts de marchés des vins vaudois, explique le DFA.

Gamay et garanoir relevés

Ces droits de production, exprimés en kilo par mètre carré de vigne, représentent les quantités maximales pouvant être encavées par les opérateurs de la branche vitivinicole, est-il rappelé.

Dans le détail, les quotas définis en 2023 maintiennent la production de chasselas et des autres cépages blancs à 1,10 kg/m2. Les régions de Lavaux, Dézaley et Calamin sont alignées sur les autres, après avoir bénéficié de 1,15 kg/m2 pour les blancs en 2022.

S'agissant du pinot noir et des autres cépages rouges, la limite de production reste globalement inchangée à 0,90 kg/m2 (1,00 kg/m2 pour les vignobles du Nord vaudois). Seuls le gamay et le garanoir sont relevés de 0,90 à 1,00 kg/m2 à Lavaux, Dézaley, Calamin et La Côte. Cette augmentation relative vise à développer l'offre dans le segment porteur des vins rosés, précise le DFA.

Excellente cuvée 2022

En 2022, toutes les vignes ont connu un été caniculaire et subi un stress hydrique qui a localement contraint à l'arrosage, souligne le Canton. Avec 24,5 millions de kg de raisins blancs (72%) et 9,5 millions de kg de raisins rouges (28%), les quotas ont pratiquement été atteints dans toutes les régions du canton, à l'exception de Bonvillars sévèrement touchée par la grêle l'année précédente.

"Partout, l'excellente qualité des raisins a permis d’élaborer des vins d'exception", affirment les services de Mme Dittli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Les perspectives se dégradent encore pour l'économie suisse

Publié

le

Les nuages s'accumulent notamment sur les secteurs de la finance et de l'assurance, (archive) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'horizon de l'économie helvétique continue de s'assombrir en ce milieu d'année, notamment dans l'industrie, les services financiers et l'assurance. Les nuages s'amoncellent aussi en matière d'exportations.

En mai, le baromètre économique du KOF a chuté à 90,2 points, après 96,4 points en avril. "C'est la deuxième fois consécutive que le baromètre accuse une forte baisse", souligne mardi le Centre d'études conjoncturelles de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ). C'est bien en-deçà des attentes, les économistes sondés par AWP l'ayant anticipé entre 94,0 et 97,5 points.

Cette chute est principalement liée aux indicateurs du secteur manufacturier ainsi que des services financiers et d'assurance. Le sentiment est aussi négatif concernant la demande extérieure. En revanche, la consommation privée est légèrement positive, après un accès de faiblesse en avril.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Economie

La Suisse affiche une légère croissance en début d'année

Publié

le

Alerte Info (© )

Après avoir marqué le pas fin 2022, l'économie suisse a repris un peu de vigueur au 1er trimestre 2023, soutenu par la consommation privée et la hausse des exportations. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé entre de 0,6% sur un an et de 0,3% sur trois mois.

Corrigé des effets des événements sportifs, le PIB de la Suisse s'est étoffé au 1er trimestre de 0,5% au regard du dernier partiel de 2022 et de 0,9% en l'espace de douze mois, a indiqué mardi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).

L'évolution s'est révélée conforme aux attentes des économistes sondés par l'agence AWP, ceux-ci ayant anticipé une croissance entre 0,1 et 0,3% sur trois mois et entre 0,6 et 0,7% sur un an.

La croissance de la demande intérieure finale de 0,9% au 1er trimestre par rapport aux trois mois précédents a dépassé sa moyenne historique, observent les économistes de la Confédération. Si la consommation de l'Etat a stagné (+0,0%), celles des privés a progressé de manière substantielle (+0,6%). Les dépenses de consommation dans les services, notamment, ont nettement progressé, entre autres dans le domaine de la mobilité et du tourisme. Portée par le secteur des voyages, qui continue de se revigorer, la création de valeur a enregistré une croissance supérieure à la moyenne dans la branche des transports et de la communication (+0,7%) et dans l'hôtellerie-restauration (+1,0%).

Les dépenses de consommation pour les biens ont présenté une évolution moins favorable, la création de valeur ayant fléchi de 0,4% dans le commerce de détail. Considéré dans son ensemble, le commerce clôt néanmoins le trimestre sur un résultat positif (+2,1%) à la faveur du commerce de gros et des ventes d'automobiles. La plupart des autres branches tertiaires ont également enregistré une évolution positive au 1er trimestre, dont le secteur important des services aux entreprises (+0,2%) ainsi que ceux de la santé (+0,7%) et des activités récréatives (+1,2%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Economie

Nestlé change de directeur financier

Publié

le

François-Xavier Roger (à droite), trésorier de Nestlé depuis huit ans, a décidé de quitter la multinationale veveysanne pour relever de nouveaux défis professionnels. (archive) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Un changement se dessine à la direction générale de Nestlé. Après huit ans en tant que directeur financier du géant veveysan de l'alimentation, François-Xavier Roger a décidé de quitter l'entreprise en vue de poursuivre d'autres opportunités professionnelles.

Pour lui succéder, le conseil d'administration a nommé Anna Manz, actuellement responsable des finances de la Bourse de Londres.

Egalement administratrice de London Stock Exchange Group (LSEG), Mme Manz rejoindra Nestlé et la direction générale du groupe une fois libérée de ses actuelles fonctions, précise mardi la multinationale établie à Vevey. Afin d'assurer la transition, M. Roger restera en poste jusqu'à l'arrivée de Mme Manz.

Avant de rejoindre le groupe exploitant la Bourse de Londres, Anna Manz a oeuvré en tant que directrice financière de l'entreprise chimique britannique Johnson Matthey. Auparavant, elle a passé 17 ans chez le producteur de boissons alcoolisées Diageo où elle a occupé plusieurs postes à responsabilité, notamment ceux de directrice de la stratégie, directrice financière pour la région Asie-Pacifique et trésorière du groupe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture