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Economie

Axel Lehmann devrait présider Helvetia dès 2023

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Doris Russi Schurter ne se représentera pas au poste de présidente lors de l'assemblée du 22 avril prochain. (Archives) (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Administrateur chez Credit Suisse, Axel Lehmann est appelé à reprendre la présidence d'Helvetia. Le Suisse sera candidat à ce poste en 2023, prenant ainsi la succession de Doris Russi Schurter, qui ne se représentera pas lors de l'assemblée du 22 avril prochain.

En attendant l'arrivée probable d'Axel Lehmann au printemps 2023, le vice-président Thomas Schmuckli devrait assurer l'intérim, indique mercredi le groupe saint-gallois. Les actionnaires devront encore avaliser cette décision.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Karin Keller-Sutter parmi les "femmes les plus influentes" du monde

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Karin Keller-Sutter (ici en septembre dernier) en bonne compagnie dans la liste des "25 femmes les plus influentes du monde" publiée par le Financial Times. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Karin Keller-Sutter fait partie des 25 femmes les plus influentes du monde, aux côtés notamment de Beyoncé, Olena Zelenska ou Makiko Ono, selon le Financial Times (FT). Le "courage" et la "détermination" de la conseillère fédérale sont mis en avant.

Le quotidien britannique publie sur son site internet jeudi un hommage aux 25 femmes à l'honneur pour 2023. Pour Karin Keller-Sutter, dont les mérites sont vantés par la ministre suédoise des Finances Elisabeth Svantesson, il est écrit: "Connaissances, courage et détermination sont peut-être les caractéristiques les plus importantes pour un politicien - et à mes yeux, Karin incarne toutes ces qualités", relève Mme Svantesson.

Cette dernière souligne le rôle décisif joué par la ministre suisse des Finances lors de la crise de Credit Suisse en mars: "L'action énergique de Karin pour surmonter la crise bancaire a sauvé l'économie suisse", estime-t-elle.

Large spectre

Karin Keller-Sutter et son homologue suédoise s'étaient rencontrées pour la première fois en février dernier à Stockholm lors du premier voyage à l'étranger de la conseillère fédérale saint-galloise.

La liste du "top 25", souligne le FT, a été établie sur la base d'observations de plusieurs mois établies par des femmes occupant des postes à responsabilités dans le monde entier, en collaboration avec des centaines de journalistes et les lecteurs du journal.

Dans le détail de ce "top 25", Mme Keller-Sutter figure parmi les quatre lauréates de la catégorie "leaders", aux côtés notamment de la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen.

Parmi les autres femmes de divers domaines se trouvant dans la liste des femmes les plus influentes apparaissent notamment Margot Robbie, Alia Bhatt, Marie-Claire Daveu, Beyoncé ou encore Katalin Kariko.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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PwC sanctionné pour non respect de règles de contrôle en Chine

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Deux filiales chinoises de PwC ont été accusées d'avoir laissé l'accès "à plus d'un millier de personnes à des données" dont elles n'auraient pas dû avoir connaissance "du fait de l'usage de logiciels non autorisés", selon le régulateur. (archives) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le cabinet américain PwC s'est vu imposer une amende de sept millions de dollars pour non respect des règles de contrôle et d'audit dans deux de ses filiales en Chine, a annoncé jeudi l'organisme en charge de la supervision des cabinets d'expert-comptables.

Le Public Company Accounting Oversigh Board (PCAOB), entreprise dont le rôle est de s'assurer que les cabinets respectent les règles d'audit pour les entreprises cotées à Wall Street, a justifié cette amende par le fait que les filiales basées à Hong Kong et Shanghai de PwC n'ont pas respecté "les règles et standards du PCAOB".

Les deux filiales sont notamment accusées d'avoir laissé l'accès "à plus d'un millier de personnes à des données" dont elles n'auraient pas dû avoir connaissance "du fait de l'usage de logiciels non autorisés", a détaillé la présidente du PCAOB, Erica Williams, lors d'une conférence de presse en ligne.

Dans le détail, une amende de quatre millions de dollars est imposée à la filiale hongkongaise, "la deuxième plus importante de l'histoire de PCAOB", a précisé Mme Willliams, et trois millions de dollars contre la branche shanghaïenne.

Une entreprise chinoise de certification, Shandong Hoaxin Certified Public Accountants (ou Hoaxin) s'est également vue imposer une amende de 940'000 dollars, notamment pour avoir publié de faux rapports d'audits et du fait de son incapacité à "maintenir son indépendance vis-à-vis de son client".

"Avant même d'être engagé en tant qu'auditeur externe" du groupe technologique chinois Gridsum, "la société a affirmé à l'entreprise qu'elle était prête à publier un rapport d'audit confirme sur trois années de publications financières", a expliqué Erica Williams.

Gridsum avait alors mis fin au contrat avec son précédent auditeur externe pour engager Hoaxin, qui a publié "un rapport d'audit conforme dès le lendemain".

Ces sanctions viennent s'inscrire dans le cadre du contrôle des cabinets d'experts-comptable enregistrés en Chine et ayant pour clients des entreprises chinoises cotées à Wall Street.

Un accord en ce sens avait été signé en août 2022 entre le PCAOB et les autorités chinoises, ouvrant la voie à des inspections sur place.

Les régulateurs américains exigent que les sociétés chinoises cotées à Wall Street se plient aux mêmes règles comptables que les autres sociétés et ont menacé à plusieurs reprises de retirer ces groupes de la Bourse si elles s'obstinaient dans leur refus d'obtempérer.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Vail Resorts rachète le domaine skiable de Crans-Montana (VS)

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La station de Crans-Montana sera intégrée au réseau des forfaits Epic Pass (archives). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

Le groupe américain Vail Resorts devient propriétaire du domaine skiable de Crans-Montana (VS). Il a acquis 84% des parts de la société Remontées Mécaniques Crans Montana Aminona (CMA) SA qui contrôle et exploite l’intégralité des remontées mécaniques.

La société acquiert également 80% des parts de la société anonyme SportLife, qui exploite l'une des écoles de ski de la station, annonce-t-elle jeudi dans un communiqué. Finalement, Vail Resorts devient l'unique propriétaire des 11 restaurants situés dans la station.

"L'acquisition de cette station est ancrée dans notre stratégie de croissance et le développement de notre réseau de stations en Europe" relève Kirsten Lynch, directrice de Vail Resorts. Elle vise à apporter "une valeur ajoutée additionnelle aux détenteurs de notre Pass et à nos clients à travers le monde".

Transaction en cours

La transaction est prévue durant la saison de ski 2023/2024, période durant laquelle les opérations à Crans-Montana se poursuivront normalement. Vail Resorts s'engage à conserver la grande majorité des employés, l'infrastructure opérationnelle existante, ainsi que l'expertise locale.

Sous réserve d'ajustements lors de la finalisation de l'accord, la valorisation des opérations de la station est estimée à 118,5 millions de francs, comprenant environ 7 millions de dette, qui demeureront. Le groupe américain table sur un résultat avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements (EBITDA) d'environ 5 millions au cours de l'exercice fiscal de sa première année complète d'exploitation.

Intégration à l'Epic Pass

Le domaine skiable de Crans-Montana sera intégré au réseau de forfaits Epic Pass pour la saison 2024/2025, un abonnement qui permet de skier gratuitement dans toutes les stations du groupe. Ce réseau compte aussi des stations partenaires dont fait partie Verbier 4 Vallées, où toute personne disposant du sésame américain peut skier cinq jours gratuitement.

Vail Resorts prévoit une croissance importante pour Crans-Montana, grâce à des investissements continus dans la station et à son intégration aux produits Epic Pass. "Cela permettra d'attirer une clientèle internationale plus diversifiée, en quête d'une expérience haut de gamme dans les Alpes suisses", estime Vail Resorts.

Sous réserve du calendrier d'approbation et de réalisation des différents projets, le groupe américain prévoit d'investir environ 30 millions de francs étalés sur les cinq prochaines années pour améliorer l'expérience des visiteurs. Après ces investissements et l'intégration à Epic Pass, la société espère un EBITDA annuel de plus de 15 millions.

Les mesures opérationnelles et les actions marketing seront les principaux leviers de croissance lors de la phase initiale. Ils seront soutenus par des investissements visant à améliorer l'efficience au niveau de la gastronomie et à étendre et optimiser les capacités de fabrication de neige artificielle.

Après la finalisation de la transaction, les investissements annuels de maintenance se monteront à 3 millions de francs.

Les communes se réjouissent

Dans une déclaration de son comité, l'Association des communes de Crans-Montana (ACCM) dit se réjouir de travailler en étroite collaboration avec Vail Resorts. Le groupe américain élaborera une stratégie à long terme pour développer la station et y impulsera une nouvelle énergie, bénéfique à l'ensemble de la structure économique de la région, détaille l'association.

Cette acquisition devrait aussi s'avérer positive pour l'organisation des Championnats du monde de ski alpin qui auront lieu à Crans-Montana en 2027, relève-t-elle aussi. Du côté de Crans-Montana Tourisme & Congrès, on indique que le réseau de Vail Resorts sera "un atout indéniable", notamment pour développer le marché nord-américain.

Vail Resorts n'est pas inconnu en Suisse. Basé dans l'Etat du Colorado, le groupe américain détient déjà depuis août 2022 55% de la société de remontées mécaniques du domaine urano-grison Andermatt-Sedrun.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Helvetia lance une assurance pour vélo et scooter en Espagne

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Le nouveau produit d'Helvetia, lancé sous la marque Smile, répond à la demande croissante de solutions d'assurance numériques (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Helvetia a lancé une assurance responsabilité civile pour les scooters, vélos et autres véhicules électriques en Espagne. Le lancement intervient un an après une opération similaire en Autriche, précise l'assureur mardi dans un communiqué.

De son petit nom "Smile", l'assurance répond à la demande croissante de solutions d'assurance numériques de la part de la clientèle. Elle permet de se couvrir pour les utilisateurs de véhicules à deux ou trois roues dont la vitesse maximale ne dépasse pas 25 km/h.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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La pénurie de main-d'oeuvre reste prégnante en Suisse

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Les métiers les plus recherchés se trouvent dans la santé (infirmiers), l'informatique ainsi que dans le secteur de l'ingénierie (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le manque de personnel qualifié persiste en Suisse. Les postes dans la santé, l'informatique et l'ingénierie restent difficiles à pourvoir, selon Adecco, dans un marché de l'emploi tendu.

Après avoir bondi de 69% en 2022, l'indice de la pénurie de main-d'oeuvre en Suisse a crû encore de 24% cette année, selon les données d'Adecco Suisse et du Moniteur du marché de l'emploi suisse de l'Université de Zurich, publiées mardi.

Deux facteurs sont mis en avant pour expliquer cette persistance. "D'une part, le nombre de demandeurs d'emploi a nettement diminué", avec un taux de chômage à 2% en octobre dernier. "D'autre part, le nombre de postes vacants a augmenté de 7% par rapport à l'année précédente", selon le communiqué.

Les secteurs tournés vers la demande domestique, comme l'hôtellerie et la restauration, "ont pu grandement compter sur une solide demande intérieure" et prévoient encore des créations d'emplois malgré le ralentissement économique. A l'inverse, les secteurs tournés vers l'exportation peinent face à la baisse de la demande mondiale.

"Bien que les perspectives conjoncturelles mitigées pour l'année prochaine et la baisse visible de la dynamique de l'indice de la pénurie de main-d'oeuvre laissent présager une phase de détente à court et moyen terme, les entreprises resteront durablement confrontées à une pénurie" de ressources qualifiées dans le pays, a souligné Marcel Keller, directeur d'Adecco Suisse, cité dans le document.

Il note aussi que "le vieillissement de la population, la numérisation croissante et la transition vers une économie verte continueront d'alimenter cette tendance à l'avenir."

Pénurie plus généralisée

Les métiers les plus recherchés se trouvent dans la santé (infirmiers, endocrinologues ou pharmaciens), l'informatique (développeurs, analystes de logiciels et d'applications, consultants SAP), ainsi que dans le secteur de l'ingénierie (techniciens en génie mécanique, planificateurs en chauffage). Adecco note toutefois une certaine détente dans l'informatique, avec une forte hausse du nombre de demandeurs d'emploi en septembre dernier dans ce domaine.

Le phénomène de pénurie a été plus marqué en Suisse alémanique (+28%) qu'en Suisse romande (+14%). La première région a connu une diminution plus marquée du nombre de personnes en recherche d'emploi (-16%) et une augmentation modérée du nombre de postes vacants (+8%) sur un an.

A l'inverse, la Suisse romande a enregistré un recul plus modéré du nombre de demandeurs d'emploi (-10%) et une hausse de seulement 3% des postes vacants sur un an. Le marché du travail s'est donc développé "de manière nettement plus dynamique" en Suisse alémanique que de l'autre côté du Röstigraben.

L'étude insiste sur le fait que le manque de personnel "tend à se transformer en pénurie de main-d'oeuvre généralisée", même dans des secteurs affichant "une offre excédentaire de personnel qualifié" et "exigeant moins de qualifications, comme le personnel auxiliaire".

Le géant du placement de personnel estime que les entreprises doivent "mieux tirer parti du marché du travail intérieur", en investissant dans la formation et la formation continue, en faisant appel à des personnes en réorientation professionnelle, en assouplissant les conditions de travail ou en recrutant du personnel temporaire, a égrené Martin Meyer, en charge de la Suisse alémanique chez Adecco, qui plaide aussi pour "considérer la main-d'oeuvre étrangère".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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