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Suisse

Aucun joueur ne devine la bonne combinaison de l'Euro Millions

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Plus de deux millions de mineurs sont exposés chaque mois à des contenus pornographiques en France (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 7, 32, 33, 34 et 38, ainsi que les étoiles 6 et 9.

Lors du prochain tirage mardi, 68 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Vif débat sur le budget de l'armée

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Les débats tournent autour de l'augmentation du plafond des dépenses de l'armée (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le débat sur le budget de l'armée est vif. Gauche et droite s'affrontent sur l'orientation de l'armée jusqu'en 2035 et le plafond des dépenses. Le National est entré en matière mercredi sur les deux projets ainsi que sur les crédits pour l'armée.

C'est ce dernier point qui a donné lieu aux plus vifs affrontements. Le Conseil fédéral a placé le plafond des dépenses pour les années 2025 à 2028 à 25,8 milliards. Le Conseil des Etats l'a augmenté de 4 milliards afin d'atteindre 1% du PIB d'ici 2030 et non 2035 comme le demande le Conseil fédéral. En compensation, il propose de couper 2 milliards dans la coopération internationale.

Sur le principe, le National est favorable à une augmentation du plafond des dépenses. Mais, a souligné Jean-Luc Addor (UDC/VS) au nom de la commission, "la question est de savoir comment financer".

Le National doit trouver une solution parmi pléthore de propositions entre compensations dans d'autres domaines ou fonds spécial temporaire et remboursable. Martin Candinas (C/GR) a parlé de "concours d'idées".

L'essentiel, selon lui, est que le budget de l'armée soit augmenté. "Notre pays a besoin de plus de moyens pour la sécurité de la population". Et Isabelle Chappuis (C/VD) de rappeler que "nous ne pouvons pas laisser une dette sécuritaire à la génération future."

Fonds ou compensations

"Est-il vraiment plausible que l'armée russe se retrouve à nos portes?", lui a demandé Priska Seiler-Graf (PS/ZH). Même le Conseil fédéral répond par la négative. Pour la gauche, la sécurité doit être comprise de manière globale et prendre en compte les autres menaces comme le terrorisme, les cyberattaques ou le changement climatique. Le parti socialiste est favorable à un fonds temporaire.

L'UDC y est clairement opposée. "Ce n'est pas sérieux de devoir rembourser", a critiqué Thomas Hurter (UDC/SH). Si cette solution est adoptée, le parti conservateur refusera le plafond. Il préfère clairement passer par des compensations.

Une solution également préconisée par le PLR. "Il existe des moyens de compenser l'augmentation du budget de l'armée. De nombreuses subventions peuvent être remises en question", a lancé Jacqueline de Quattro (PLR/VD).

Les Vert-e-s ont été les seuls à s'opposer à une augmentation du budget de l'armée. Le peuple doit pouvoir s'exprimer, a dit Marionna Schlatter (Vert-e-s/ZH). Un doublement des dépenses d'ici 2030 est "inutile" et "le résultat d'une propagande alarmiste de l'armée".

Orientation stratégique

Deuxième point de friction: l'orientation stratégique de l'armée. Cette orientation doit permettre d'éviter des lacunes de sécurité, a expliqué la ministre de la défense Viola Amherd. L'armée doit pouvoir répondre à différents types d'attaques.

Il s'agit pour le Parlement de définir "les capacités dont nous voulons doter l'armée d'ici 2035", a souligné M. Addor. Et Mme de Quattro de rappeler qu'il faut "rassembler nos forces pour atteindre l'objectif qui est de défendre notre pays et sa population".

Pour Fabien Fivaz (Vert-e-s/NE), ce projet est "un grand bazar". Le Conseil fédéral a retenu un scénario qui permet de ne pas faire de choix et de "coller aux envies de l'armée". Cela lui permet de continuer à développer ses capacités conventionnelles et s'adapter aux menaces comme le cyberterrorisme, les ruptures de chaînes d'approvisionnement en énergie, etc., a critiqué le Neuchâtelois.

Cette orientation n'est "qu'une vague déclaration d'intention" qui ne prend pas suffisamment au sérieux les menaces réelles. "La sécurité de la Suisse ne doit pas être assurée uniquement par des chars, mais aussi par la diplomatie", a lancé Gerhard Andrey (Vert-e-s/FR).

La gauche souhaite orienter plus fortement l'armée sur les capacités de protection de la population ou l'aide en cas de catastrophes. Mais les partis bourgeois font barrage. L'armée doit pouvoir agir en cas de menace militaire à distance et de conflit hybride. L'UDC veut que l'exercice en vaille la peine et demande de tirer un bilan au terme de la période.

Au final, les députés sont entrés en matière par 129 voix contre 59. Seule la gauche était opposée au projet.

Le débat se poursuit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Mandat à la Suisse pour une réunion sur les Conventions de Genève

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La Suisse se voit demander d'organiser une réunion sur le droit international humanitaire (DIH) alors que de nombreuses violations dans l'offensive israélienne dans la bande de Gaza sont ciblées par la communauté internationale. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

L'Assemblée générale de l'ONU a donné le mandat à la Suisse d'organiser une réunion des parties aux Conventions de Genève dans les six mois sur le conflit au Proche-Orient. Dans un texte adopté à New York, elle exige la fin de l'occupation israélienne dans les 12 mois.

Le projet de résolution de la Palestine a été approuvé mercredi par 124 voix, contre 14 oppositions et 43 abstentions, soit les deux tiers requis. La Suisse s'est abstenue.

Ces derniers jours, Berne avait dit "étudier sérieusement" la possible demande d'une réunion des hautes parties contractantes aux Conventions de Genève. Elle considérait qu'un vote en faveur du texte lui donnerait un "mandat".

La demande la plus significative porte sur la fin de l'occupation israélienne d'ici une année. En juillet, dans un avis demandé par l'Assemblée générale, la Cour internationale de justice (CIJ) avait dit que "la présence continue d'Israël dans le territoire palestinien occupé est illicite". L'Etat hébreu est "dans l'obligation (d'y) mettre fin (...) dans les plus brefs délais", selon elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Pour une utilisation "à l'amiable" de la Place fédérale

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L'utilisation de la Place fédérale devrait être gérée par une structure tripartite entre la Confédération, la Ville et le canton de Berne (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le Parlement, le Conseil fédéral, la Ville de Berne et le canton de Berne devraient trouver un accord à l'amiable pour l'utilisation de la Place fédérale et de la "Bundesmeile". Le Conseil des Etats a tacitement adopté mercredi une motion du bureau du National.

Le Palais fédéral et son périmètre forment le centre politique du pays. Ils abritent le Parlement, le Conseil fédéral, la Chancellerie fédérale et les départements fédéraux. Ils sont facilement accessibles depuis les rues adjacentes ou la terrasse fédérale. Cette contiguïté n’est pas problématique en soi, mais elle peut présenter un risque lors de manifestations ou de rassemblements.

Les travaux du Parlement ou du Conseil fédéral peuvent être perturbés par des événements sportifs ou des manifestations, a rappelé Andrea Caroni (PLR/AR) au nom du bureau. A cela s’ajoutent des actes répétés de vandalisme et des déprédations.

Assouplissement

Le Conseil national a refusé à plusieurs reprises la levée de l’interdiction de manifester pendant les sessions. Mais la Ville de Berne a assoupli son règlement et autorisé les manifestations d’un maximum de 50 personnes durant ces semaines.

De l'avis du Parlement, la situation actuelle qui laisse à la Ville de Berne la compétence de décider pratiquement seule de l’utilisation du domaine public environnant le Palais fédéral n’est pas satisfaisante. Elle va à l’encontre de la collaboration pragmatique qui avait prévalu jusqu’alors en particulier avec le protocole d’entente, signé en 2016 entre l’Assemblée fédérale et la Ville de Berne.

La situation actuelle complique aussi la tâche de la Confédération et du Canton de Berne en matière de protection des personnes et des bâtiments relevant de la compétence fédérale.

Le Conseil fédéral est donc appelé à entamer des négociations avec la Ville et le Canton de Berne dans le but de créer une structure de collaboration tripartite Parlement / Conseil fédéral – Ville de Berne – Canton de Berne. Les besoins spécifiques du Parlement, du Conseil fédéral et de l'administration fédérale, entre autres en matière de sécurité, doivent être pris en compte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Les requérants mineurs doivent aussi pouvoir être fouillés

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La gauche a lutté de toutes ses forces contre les mesures prévues pour les requérants mineurs. Ci-dessus, la conseillère nationale Delphine Klopfenstein Broggini (Vert-e-s/GE) (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les requérants d'asile mineurs doivent aussi pouvoir être soumis à des fouilles. Le National a rejeté mercredi la volonté de la gauche de mieux les protéger, après être en matière sur un projet du Conseil fédéral visant à renforcer la sécurité dans les centres d'asile.

Le projet concrétise des améliorations recommandées suite à une enquête menée par l'ancien juge fédéral Niklaus Oberholzer. Il avait été mandaté après la dénonciation dans les médias en 2021 d'un recours disproportionné à la force dans les centres fédéraux d'asile.

Tout le monde s'est accordé sur la nécessité d'agir dans ce domaine. Les débats sont en revanche houleux sur la manière. Une partie des députés, soutenus par l'Organisation suisse d'aide aux réfugiés, ont exigé une meilleure protection des requérants mineurs, en les exemptant par exemple de fouilles sauf cas exceptionnel. En vain.

Le débat se poursuit sur un autre point qui suscite beaucoup de discussions: l'usage d'armes que l'UDC veut autoriser au personnel de sécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les loyers ont marqué une pause dans leur escalade en août

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L'indice des loyers Homegate s'est érodé de 0,8 point sur un mois et s'établit à 127,9% en août (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le prix des nouveaux beaux locatifs en Suisse s'est quelque peu assagi au mois d'août, pour retomber à son niveau d'avril dernier. Sur un an, le renchérissement demeure toutefois non négligeable.

L'indice des loyers Homegate calculé par la plateforme immobilière en collaboration avec la Banque cantonale de Zurich (ZKB) s'est ainsi érodé de 0,8 point sur un mois et s'établit à 127,9%. Sur un an, cet indicateur affiche une progression de 4,2%.

Parmi les rares exceptions à l'accalmie aoutienne, les cantons des Grisons (+1,3% sur un mois) et de Zoug (+0,3%) sont aussi ceux connaissant les plus vives hausses sur un an, de plus de 11% dans les deux cas. Les plus fortes baisses par rapport à juillet ont été observées au Tessin (-1,7%), à Obwald (-1,3%), ainsi que dans les cantons de Neuchâtel et du Jura (-1,2%).

La plupart des centres urbains aussi ont profité d'une embellie, à l'exception notable de Zurich (+0,7%). Les baisses sont restées anecdotiques à Genève ou Lausanne (-0,1%), plus marquées à Berne et Saint-Gall (-1,2%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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