Rejoignez-nous

Suisse

Aucun joueur ne devine la bonne combinaison de l'Euro Millions

Publié

,

le

Lors du prochain tirage de l'Euro Millions mardi, 139 millions de francs seront en jeu (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 11, 13, 16, 23 et 34, ainsi que les étoiles 1 et 10.

Lors du prochain tirage mardi, 139 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

UBS: Ermotti en faveur de règles pour préserver les contribuables

Publié

le

La taille d'UBS nécessite une réglementation spéciale, selon son patron Sergio Ermotti. (archive) (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le patron de l'UBS Sergio Ermotti a reconnu jeudi que certaines adaptations du cadre réglementaire sont nécessaires pour préserver les contribuables en cas de problèmes de la banque. Celle-ci est néanmoins, dans sa forme actuelle, "too big to fail", a-t-il déclaré.

En raison de sa taille et de ses liens avec le système financier et l'économie nationale, UBS ne peut donc pas être abandonnée par l'Etat, a souligné Sergio Ermotti lors du Swiss Media Forum à Lucerne.

Toutefois, "nous sommes conscients de notre responsabilité", a déclaré le directeur général de la banque aux trois clés lors de ce congrès annuel des médias, ajoutant qu'il était d'accord sur le fait que certaines adaptations du cadre réglementaire étaient nécessaires. "Celles-ci doivent être conçues de manière à ce qu'aucun Etat ou contribuable n'ait à nous sauver en cas de problème".

"La taille d'UBS nécessite une réglementation spéciale", a poursuivi M. Ermotti. Selon lui, un effondrement de la banque ne devrait pas avoir de conséquences sur l'économie suisse.

Les médias ont récemment évoqué une querelle naissante entre le CEO d'UBS et la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter, celle-ci souhaitant des exigences plus strictes en matière de fonds propres pour UBS. L'UBS pourrait devoir se constituer un capital supplémentaire de l'ordre de 15 à 25 milliards de francs, selon la cheffe du Département fédéral des finances (DFF).

M. Ermotti n'a pas abordé la question des fonds propres, mais a mentionné l'affaire de manière indirecte: "Nous sommes d'accord avec 80 à 90% des 22 mesures proposées par le Conseil fédéral dans son 'rapport TBTF' ", a-t-il fait savoir.

Le patron d'UBS a plaidé pour une réglementation "forte et crédible". "Cela ne veut pas dire qu'il faut automatiquement plus de réglementation", a-t-il précisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Culture

Suppressions d'emplois à l'UBS "pas faciles mais nécessaires"

Publié

le

Interrogé au Swiss Media Forum sur les critiques à l'égard des hauts salaires des banquiers, notamment le sien, Sergio Ermotti a assuré les comprendre. Celles émises par les politiques font aussi partie du "show", a-t-il noté. (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Les suppressions d'emplois ne sont pas faciles, mais nécessaires pour assurer un "futur positif" de l'UBS, a déclaré jeudi son directeur Sergio Ermotti. Après l'intégration complète du Credit Suisse, environ 3000 postes de travail devront être supprimés d'ici à 2026.

Les décisions seront prises sur la base de la "méritocratie" et pas en fonction de la banque d'origine, a assuré le Tessinois, interrogé dans le cadre du Swiss Media Forum à Lucerne.

Sergio Ermotti a estimé que les règles 'too big to fail' (en référence à une banque "trop grande pour faire faillite") n'étaient pas forcément toujours bien comprises par les médias.

"Bien sûr, l'UBS actuelle est elle aussi 'too big to fail'", a reconnu le patron de la désormais seule grande banque de Suisse. Elle a certes besoin d'une réglementation spéciale en raison de sa taille, mais cela ne signifie pas automatiquement que "le contribuable perdrait de l'argent" en cas de sauvetage, a assuré Sergio Ermotti.

"Partie du show"

L'UBS dispose de 200 milliards de francs de capitaux et liquidités. Ces derniers ne sont cependant pas suffisants pour assurer la stabilité d'une banque, a reconnu le directeur général.

Il a affirmé que la banque soutenait 90% des nouvelles mesures de régulation proposées récemment par le Conseil fédéral. Aucun acteur ne doit cependant avoir trop de pouvoir en la matière, a-t-il mis en garde.

Interrogé sur les critiques à l'égard des hauts salaires des banquiers, notamment le sien, Sergio Ermotti a assuré les comprendre. Celles émises par les politiques font aussi partie du "show", a-t-il noté.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Deux créations et un classique au programme d'été du Béjart Ballet

Publié

le

Giorgio Madia (à gauche) et Valentina Turcu (au centre) entourent le directeur artistique a.i. du Béjart Ballet Lausanne (BBL) Julien Favreau. En arrière-plan, les assistants, Tamas Darai et Adriana Mortelliti et les danseurs Oscar Chacon, Jasmine Cammarota, Federico Matetich et Antoine Le Moal. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Pour son programme d'été au Théâtre de Beaulieu (14-20 juin), le Béjart Ballet Lausanne (BBL) propose "Hamlet" et "Rhapsody in Blue", deux créations en première mondiale. Il y présentera aussi le célèbre "Boléro", le ballet signature de Maurice Béjart.

"J'avais à coeur de présenter ces deux créations et le Boléro dans le studio 4 du BBL, notre espace de travail au quotidien, pour ouvrir la compagnie vers une vraie communication", a déclaré jeudi aux médias Julien Favreau, directeur artistique ad intérim après le licenciement en février dernier de Gil Roman. Il était pour l'occasion entouré des chorégraphes, de leurs assistants et de quatre danseuses et danseurs.

Ancienne du BBL, la Slovène Valentina Turcu signe le ballet "Hamlet", inspiré de la célébrissime pièce de William Shakespeare, portant sur la folie humaine, la passion et "la famille qui vit un enfer". "Ces thèmes nous obsèdent depuis 400 ans déjà, j'ai voulu en faire une version actualisée", explique-t-elle, tout en observant que l'oeuvre "va comme un gant aux danseuses et danseurs du BBL".

"L'art de la danse permet d'atteindre un niveau métaphysique inaccessible au théâtre classique", ajoute la chorégraphe, également active dans le théâtre. Ancienne élève de l'Ecole-atelier Rudra Béjart, elle se réjouit de ce "retour aux sources" et dédie sa création à son "père artistique Maurice Béjart", encore "tellement présent".

Liberté et plaisir de danser

Comme Valentina Turcu, l'Italien Giorgio Madia a également dansé au BBL avant de passer à la chorégraphie. Pour le programme d'été, il a imaginé le ballet "Rhapsody in Blue" sur la musique de George Gershwin. Selon ses termes, il s'agit d'un ballet abstrait, "même si Maurice dirait que ce n'est pas possible, vu qu'il y a des corps sur scène".

"Comme Gershwin, qui a décidé il y a 100 ans qu'il ne voulait pas suivre de règles pour composer son oeuvre, j'ai eu envie de créer une chorégraphie sans règles. Je voulais voir la compagnie danser et se défoncer avec le plaisir de danser", commente-t-il.

Ambiance améliorée

Interrogés sur l'atmosphère au sein du BBL depuis le licenciement de Gil Roman, les danseurs présents font état d'une "très bonne ambiance générale". "Les choses sont plus claires, on se sent mieux, plus soutenus", témoigne Jasmine Cammarota. "On a vécu une forme de choc qui nous menés à plus nous responsabiliser dans notre rôle de danseurs. Pendant les tournées, on se regarde et on se corrige les uns les autres", renchérit Antoine Le Moal.

De son côté, Julien Favreau tire un bilan "plutôt positif" de ses débuts à la direction artistique ad intérim qu'il occupe depuis le 28 février. Les spectacles et les tournées se sont poursuivis avec succès, note-t-il. "Depuis deux mois, je suis sur scène mais aussi beaucoup dans la salle. Quand je fais une correction et que je vois que les danseurs l'appliquent, je suis très touché", sourit-il.

Défi qui tombe à pic

Le Français, danseur depuis 30 ans au sein du BBL, se dit "ravi, enchanté et motivé par ce challenge" qui lui donne envie de s'"investir encore plus". Qui plus est "cette mission tombe à pic" à ce stade de sa carrière. Il ne cache pas sa volonté de poursuivre à la direction artistique. "Je danse encore le Boléro, mais ce sera bientôt mon dernier, il faut laisser la place aux jeunes."

Julien Favreau précise que si le BBL ne collabore plus avec Gil Roman, la collaboration avec la Fondation Maurice Béjart, détentrice des droits de l'oeuvre du chorégraphe et présidée par Gil Roman, est "très bonne". Il souligne encore que la mise sur pied des soirées de juin, initiées par l'ancien directeur artistique, est sa façon et celle du BBL de lui "rendre hommage" en tant qu'artiste.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

L'activité des casinos stagne en 2023, sauf en ligne

Publié

le

Les salles de jeux peinent à redynamiser leurs affaires, au contraire des portails en ligne. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

L'activité stagne dans les casinos suisses, mais le canal en ligne connaît une solide croissance. Ainsi, le transfert de chiffre d'affaires des casinos stationnaires vers ceux en ligne se poursuit, indique jeudi la Fédération suisse des casinos.

En 2023, le chiffre d'affaires issu de l'exploitation des jeux de l'ensemble des 21 casinos s'est élevé à 623 millions de francs, en léger repli de 1,1% sur un an, précise jeudi la faîtière. Les jeux d'argent en ligne ont par contre enregistré une très forte croissance. Les 10 casinos en ligne ont atteint un produit brut des jeux de 286 millions, en hausse de 14,3% sur un an.

En outre, la taxation de la banche à généré 409,3 millions de recettes fiscales, en hausse de 3,0% sur un an. Ces taxes sont essentiellement affectées au financement de l'AVS, précise la Fédération, qui regroupe tous les casinos présents en Suisse, y compris ceux en ligne, depuis que le groupe Swiss Casinos, incluant Pfäffikon, Schaffhouse, Saint-Gall et Zurich, a rejoint ses rangs.

Les concessions des casinos expirant en 2024, le Conseil fédéral a accordé à toutes les maisons de jeu une nouvelle concession pour 20 ans à partir de 2025. Des casinos supplémentaires ont été autorisés à Prilly (près de Lausanne) et à Winterthour, qui remplace le casino de Schaffhouse pour lequel aucune demande de concession n'a été déposée, précise le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Suisse

La Suisse vit à crédit sur le plan de l'énergie dès lundi

Publié

le

La Suisse aura consommé d'ici la fin de l'année 2,5 fois plus de ressources que la part globalement disponible (photo prétexte). (© KEYSTONE/AP/MICHAEL PROBST)

Lundi, la Suisse aura épuisé toutes ses ressources naturelles pour le reste de l'année, mathématiquement parlant. Selon le Global Footprint Network, la Suisse aura consommé d'ici la fin de l'année 2,5 fois plus de ressources que la part globalement disponible.

Plus de deux planètes Terre seraient nécessaires si tout le monde vivait comme la population suisse. La consommation helvétique n'est pas durable et "nous vivons au détriment des générations futures et d'autres régions du monde", écrit jeudi Greenpeace dans un communiqué.

Le déséquilibre entre l'empreinte écologique par personne en Suisse et la biocapacité mondiale n'est pas nouvelle. Elle existe depuis plusieurs décennies. Ce mode de vie est uniquement possible grâce à l'importation de ressources naturelles ainsi qu'en exploitant des biens communs globaux comme l'atmosphère.

En 2022 l'empreinte écologique mondiale par personne dépassait de 1,1 gha (hectares globaux) la biocapacité mondiale disponible par personne. Cette moyenne cache d’importantes différences dans la consommation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture