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Suisse

Appel d'HotellerieSuisse à mieux coordonner les vacances scolaires

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Andreas Zuellig gère l'hôtel Schweizerhof à Lenzerheide dans les Grisons (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le président d'HotellerieSuisse Andreas Züllig appelle dans la SonntagsZeitung les cantons à mieux coordonner les vacances scolaires. Que les touristes se marchent sur les pieds à la montagne tout en payant des prix plus élevés n'est pas dans leur intérêt, dit-il.

"Le fait que tout le monde ait toujours des vacances en même temps est un problème", ajoute le président de l'association faîtière de la branche dans un entretien diffusé par le journal dominical alémanique.

Cette année, par exemple, les vacances scolaires des cantons de Bâle et de Zurich ainsi que de l'Allemagne sont en même temps, relève M. Züllig. "Les chambres sont rapidement réservées et les prix augmentent", poursuit-il. "Cela aiderait beaucoup le tourisme en montagne si les grands cantons pouvaient au moins coordonner leurs vacances".

Diminution des camps de ski

Il s'inquiète par ailleurs de la diminution du nombre de camps de ski, qui, selon lui, représentent une variante avantageuse des vacances d'hiver pour les enfants. Ces dernières années, de moins en moins de camps de ce type ont été organisés, remarque-t-il. Les camps "permettaient autrefois aux enfants de découvrir les sports de neige. Si cela ne se produit plus, ils [les enfants] perdent le lien avec la montagne et ne font plus de vacances de ski".

Selon le responsable, l'hôtellerie s'est bien rétablie après la pandémie de Covid-19. La Suisse n'est cependant pas devenue une destination envahie par les touristes. "L'offre reste chère en comparaison internationale".

Le problème en revanche, ce sont les influenceurs qui postent des images de sites touristiques, indique M. Züllig. "Des gens du monde entier s'y rendent alors uniquement pour prendre une photographie. C'est une évolution absurde et un vrai problème pour certains endroits".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Plus de 16 milliards à investir dans l'infrastructure du rail

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L'infrastructure ferroviaire suisse doit bénéficier de deux milliards de francs de plus entre 2025 et 2028 que pour la période en cours (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Confédération devrait investir 16,4 milliards de francs dans l'infrastructure ferroviaire entre 2025 et 2028, soit quelque deux milliards de plus que pour la période en cours. Le Conseil fédéral a transmis mercredi son message au Parlement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Plus de 16 milliards à investir dans l'infrastructure du rail

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L'infrastructure ferroviaire suisse doit bénéficier de deux milliards de francs de plus entre 2025 et 2028 que pour la période en cours (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Confédération devrait investir 16,4 milliards de francs dans l'infrastructure ferroviaire entre 2025 et 2028, soit quelque deux milliards de plus que pour la période en cours. Le Conseil fédéral a transmis mercredi son message au Parlement.

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Politique

Anne Hidalgo et près de 500 maires en congrès à Lausanne

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Anne Hidalgo présidera l'assemblée générale de l'institution (archives) (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Lausanne accueille de mercredi à vendredi prochain le 44e Congrès de l’Association internationale des maires francophones (AIMF). Quelque 500 représentants de villes, dont la maire de Paris Anne Hidalgo, sont attendus dans le chef-lieu vaudois.

"Ce réseau offre une proximité entre plus de 325 villes du monde entier", explique mercredi Grégoire Junod, syndic de Lausanne, cité dans un communiqué. De nombreuses villes seront représentées, dont Paris, Liège, Kinshasa, Luxembourg, Nouakchott, Québec, Bordeaux, Casablanca, Dakar, Namur, Phnom Penh, ou encore Yaoundé.

Pour le syndic de Lausanne, c'est "un plaisir et un honneur" d'accueillir ce congrès. Durant trois jours, du 22 au 24 mai, des cas concrets de partenariat et de projets de développement seront présentés. Ils montrent "la force de la coopération de ville à ville pour relever les grands défis mondiaux", note le communiqué.

Les changements climatiques, l’eau, l’égalité femmes hommes, le sport et les dialogues régionaux constitueront le fil rouge des discussions. Le vendredi, l'AIMF, présidée par Anne Hidalgo, tiendra son assemblée générale au Palais de Beaulieu.

Le congrès permettra aux délégations de nouer de nouveaux accords de coopération et d'assurer le suivi de leurs partenariats. Ce sera notamment le cas pour Nouakchott - capitale de la Mauritanie -, Lausanne et les communes suisses solidaires qui fêtent cette année le 15e anniversaire de leur coopération pour l’accès à l’eau en faveur des populations les plus démunies. Bordeaux, Metz et bientôt Montpellier participent désormais à ce programme "emblématique" de coopération décentralisée, souligne le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le procès Broulis/ex-Tamedia a repris mercredi à Lausanne

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Le journaliste pour le Tages-Anzeiger (au centre) et ses deux avocats à leur arrivée au Tribubal de Montbenon à Lausanne. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

La justice vaudoise a commencé mercredi à se pencher à nouveau sur la plainte civile pour atteinte à la personnalité portée par l'ancien conseiller d'Etat Pascal Broulis contre un journaliste du Tages-Anzeiger. Le politicien exige le retrait d'articles incriminés.

Plusieurs tentatives de conciliation ayant échoué, le procès devait entrer dans le vif du sujet, à savoir le contenu de neuf articles sur onze publiés dans le grand quotidien zurichois sur la situation fiscale et des voyages en Russie de l'ex-ministre des finances vaudois.

Cinq ans après le dépôt de l'action civile par l'actuel conseiller aux Etats (VD/PLR), le Tribunal d'arrondissement de Lausanne a procédé dans la matinée aux interrogatoires du politicien et du journaliste du "Tagi" ainsi qu'à l'audition de six témoins - journalistes, anciens rédacteurs en chef, ex-médiateur, juriste et fonctionnaire. Les plaidoiries des avocats, elles, étaient prévues cet après-midi.

S'agissant des articles ciblés, M. Broulis s'estime victime d'une campagne de dénigrement. L'auteur de ces papiers, à charge selon le point de vue du sénateur, est le correspondant en Suisse romande du "Tagi", qui, lui, s'en défend.

"Compromis, illusoire"

Cette procédure civile a été engagée contre l'ex-groupe Tamedia (aujourd'hui TX Group), le journaliste et l'ancienne rédactrice en chef du média zurichois. Une conciliation entre les deux parties n'avait pas abouti en avril 2019. La plainte avait été déposée ensuite en septembre de la même année. Une deuxième tentative de conciliation avait encore échoué après une audience en décembre 2021.

Le juge a de nouveau demandé mercredi si une éventuelle conciliation n'était pas envisageable. "Cela paraît très compromis", a répondu l'avocat du journaliste Me Kevin Guillet. "Illusoire", a dit celui du politicien, Me Alexandre Curchod.

Leur interrogatoire n'a rien apporté de nouveau et de très intéressant. Tout au plus, M. Broulis a évoqué sa grande curiosité pour la géographie, l'histoire et la culture de la Russie, et le journaliste a affirmé n'avoir "jamais voulu se venger" contre l'ex-ministre des finances, en lien aux "critiques" du Conseil d'Etat vaudois sur les choix économiques et les restructurations à l'époque chez Tamedia.

"Strictement privés"

Témoin, l'organisateur des voyages en Russie, ayant défrayé la chronique quant à leur prise en charge financière et posé la question des conflits d'intérêts, Eric Hoesli, a rappelé que ces voyages étaient "strictement privés". Et que leurs "frais nécessaires et prévisibles étaient répartis entre chaque participant et payés à l'avance".

L'ancien rédacteur en chef de l'Hebdo et du Temps, ex-directeur des publications romandes de Tamedia et grand connaisseur de la Russie, a aussi souligné qu'il était le seul organisateur et responsable de ces voyages. Il a aussi affirmé que plusieurs articles concernés étaient "truffés d'inexactitudes et d'erreurs de faits" et contenaient parfois même des informations "complètement farfelues".

Pascal Broulis espère obtenir la suppression des articles incriminés d'internet - y compris des archives et des réseaux sociaux - et le versement d'un franc symbolique à titre de réparation du tort moral. Il demande aussi le versement d'une somme correspondant au bénéfice réalisé par Tamedia avec la publication de ces articles, une somme qui devra être estimée par le Tribunal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Nestlé investit dans l'alimentation pour animaux au Mexique

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L'usine mexicaine de Purina représentera le plus grand site de production d'aliments pour animaux en Amérique latine (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le groupe alimentaire Nestlé va investir 200 millions de francs pour renforcer sa production d'aliments pour animaux de compagnie au Mexique. Le géant veveysan va ajouter de nouvelles lignes de production à son usine de Silao, au centre du pays.

Ces investissements feront de l'usine le plus grand site de production d'aliments pour animaux en Amérique latine, a affirmé le groupe vaudois dans un communiqué. Jusqu'à 94 emplois viendront s'ajouter aux 600 salariés actuels grâce à ce projet.

Nestlé a également acquis un terrain adjacent de 48 hectares pour de futurs projets d'expansion.

Le Mexique représente le plus important marché de Purina en Amérique latine, totalisant 45% des ventes dans la région de la filiale dédiée aux aliments pour animaux de compagnie, et il est le quatrième au niveau mondial.

Ce pays "joue un rôle fondamental pour nos activités en Amérique latine, servant de marché clé et de pôle stratégique pour Nestlé", a souligné Laurent Freixe, directeur général de la région Amérique latine.

Ces dix dernières années, Nestlé a investi 700 millions de francs dans l'usine de Silao.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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