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Coups de feu et course-poursuite entre Grandson et Bienne

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Les policiers vaudois se sont fait tirer dessus lorsqu'ils ont voulu arrêter deux suspects à Grandson (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Deux personnes ont été arrêtées lundi après une course-poursuite avec la police entre Grandson (VD) et Bienne (BE). Les policiers ont essuyé des coups de feu, mais personne n'a été blessé.

La gendarmerie vaudoise a repéré ces deux individus suspects tôt lundi matin, vers 04h15 à la gare de Grandson. Ces deux personnes ont alors pris la fuite à bord d'une voiture.

Peu après un giratoire, un occupant de la voiture a fait feu en direction de la patrouille à plusieurs reprises, sans en blesser les occupants, indique la police cantonale vaudoise dans son communiqué. De nouveaux coups de feu ont encore été tirés entre Onnens et Corcelles-Concise.

Les suspects ont ensuite repris leur course à vive allure en direction de Neuchâtel. Les polices fribourgeoise, neuchâteloise et bernoise ont été alertées, et un important dispositif coordonné a été mis en place.

Deux hélicoptères

Un hélicoptère des forces aériennes suisses et un autre de la police cantonale vaudoise ont permis de repérer la voiture qui roulait en direction de Bienne. Celle-ci a finalement été stoppée lors d'une collision avec deux véhicules des polices fribourgeoise et neuchâtelois, peu avant Bienne, sur la rue de Neuchâtel.

Lors de la fouille de la voiture, une arme longue a été retrouvée. Les suspects ont, eux, été acheminés au centre de police de la Blécherette à Lausanne pour la suite de la procédure. Des contrôles sont en cours pour identifier formellement les deux suspects interpellés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Immeuble en feu à Bex (VD)

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Les pompiers ont dû intervenir dans la nuit de lundi à mardi à Bex en raison d'un incendie dans un immeuble (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Un incendie s'est déclaré dans la nuit de lundi et mardi à Bex (VD), peu avant deux heures du matin. A l'arrivée des secours, les habitants avaient déjà tous pu évacuer le bâtiment. Aucun blessé n'est à signaler, hormis une personne légèrement incommodée par la fumée.

Un des appartements situés au rez-de chaussée a été entièrement ravagé par les flammes. Durant les opérations, les locataires ont été pris en charge par la commune et la plupart ont été relogés chez des proches, précise la police vaudoise dans un communiqué. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du sinistre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Rachat de Credit Suisse: le gouvernement suit la situation de près

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Des députés vaudois se sont inquiétés mardi des conséquences de la fermeture de Credit suisse sur l'emploi et l'économie du canton. Le Conseil d'Etat annonce suivre la situation de près (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Suite à deux interpellations développées mardi au Grand Conseil vaudois sur l'impact dans le canton de Vaud de la fermeture de Credit Suisse, le gouvernement a fait part de sa préoccupation quant à cette situation. La conseillère d'Etat Isabelle Moret a demandé au Service de l'emploi d'examiner différentes mesures.

La cheffe du Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP) s'exprimait suite aux questions posées au nom de l'Alliance vaudoise par l'UDC Yvan Pahud. Le député s'inquiétait de l'impact de la fermeture sur les employés vaudois, du Credit Suisse et d’UBS et sur l'économie, et s'interrogeait d'un éventuel soutien du Conseil d'Etat.

Un questionnement également porté dans une autre interpellation, celle du socialiste Jean Tschopp, sur les conséquences du fiasco de la banque pour le personnel, mais aussi les petits actionnaires, la Caisse de pension de l’Etat de Vaud, le canton, les communes ou encore les institutions culturelles et sportives pour leur contrat de sponsoring.

Isabelle Moret a fait part de la préoccupation du Conseil d'Etat, relevant que dans le canton, Credit Suisse compte 480 collaborateurs et six succursales, UBS 900 employés et quatorze succursales. La ministre a pris le pouls des associations économiques, des banques concernées et d'autres, afin de sonder et sentir la situation.

La conseillère d'Etat a également demandé au Service de l'emploi d'examiner différentes mesures avant et après la fermeture du Credit Suisse. "Nous avons décidé de monitorer la situation régulièrement, afin d'être prêt à agir le moment venu", a-t-elle déclaré.

Il faut cependant agir au niveau suisse et pas seulement vaudois, a-t-elle poursuivi. La Conférence des directeurs cantonaux de l'économie publique plaide pour une task force au niveau national. "Nous avons écrit à la Confédération et demandons des garanties pour les clients privés et les PME", a-t-elle relevé, en amont de la réponse aux deux interpellations.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vente régulée de cannabis: feu vert au projet lausannois

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Lausanne a reçu le feu vert de l'OFSP pour mener une étude sur la vente régulée de cannabis (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le projet lausannois de vente régulée de cannabis se concrétise. Intitulé Cann-L, l'essai pilote a reçu l'autorisation de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), rejoignant ainsi les projets déjà validés à Bâle et Zurich.

Les personnes souhaitant participer à cette étude - 2000 ont déjà dit leur intérêt sur le site internet du projet - pourront s'inscrire courant juin. Le lieu de vente, qui n'est pas encore connu, devrait ouvrir en septembre, indique mardi la Ville de Lausanne.

La capitale vaudoise et son partenaire Addiction Suisse, qui conduit le volet scientifique du projet, espèrent réunir un panel d'environ 1200 personnes consommatrices de cannabis et résidant à Lausanne.

Les produits seront disponibles dans un point de vente unique et sans connotation médicale. Plusieurs locaux sont actuellement en cours d'évaluation.

De même, l'équipe de vente est en train d'être formée. Celle-ci dispensera des conseils en matière de consommation et de réduction des risques, ainsi que des rappels sur la législation en vigueur. Elle pourra également "évaluer et orienter les personnes à consommations problématiques dans le réseau d'aide", précise la Ville de Lausanne.

Récolte cet été

"Après la Commission cantonale d'éthique, l'autorisation de l'OFSP marque une étape majeure pour notre projet", a commenté Emilie Moeschler, la municipale en de la cohésion sociale, citée dans le communiqué. Elle a ajouté que la phase concrète pouvait désormais démarrer avec, comme première étape, le lancement des inscriptions.

Nécessaire à l'étude, la culture "locale et biologique" des plants peut aussi débuter. La première récolte se fera dans le courant de l'été. Suivra une période de préparation des produits avant leur mise en vente d'ici à septembre.

Ces produits seront destinés "à une consommation personnelle et dans la sphère privée", souligne la capitale vaudoise. Et de rappeler qu'elle cherche à étudier, via ce projet pilote, "les effets de la vente régulée de cannabis à but non lucratif sur le comportement des consommatrices et consommateurs ainsi que son impact sur le marché illégal."

Le projet doit ainsi permettre de mieux cerner la consommation, mais aussi renforcer la prévention. En matière de sécurité, il s'agit de limiter les nuisances engendrées par le marché illégal.

Projets complémentaires

A Bâle, l'étude sur la distribution réglementée de cannabis a démarré fin janvier dans des pharmacies. Elle réunit 374 participants. Quant au projet zurichois, prévu pour la mi-août, il prévoit la vente de cannabis dans 21 points de vente, soit des pharmacies, des clubs sociaux et un centre d'information sur les drogues.

L'approche de Cann-L est complémentaire à celles de Bâle et de Zurich. "L'ensemble de ces projets nourriront les réflexions sur l'évolution de la législation fédérale dans le domaine du cannabis", indique encore la Ville de Lausanne. D'autres essais ailleurs en Suisse pourraient s'ajouter à cette liste, notamment à Vernier dans le canton de Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Contre-proposition des syndicats de la fonction publique

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Les fonctionnaires vaudois sont une nouvelle fois descendus dans la rue mardi soir. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

La contestation des fonctionnaires vaudois s'est poursuivie mardi pour exiger une hausse des salaires. Outre la manifestation, suivie par environ 3000 personnes à Lausanne, la journée a été marquée par la contre-proposition des syndicats au Conseil d'Etat.

Cette contre-proposition porte sur la prime "vie chère" de 15 millions de francs pour le personnel des services publics et parapublics, proposée mercredi dernier par le gouvernement vaudois et comprise dans une enveloppe globale de 47 millions pour 2024.

Au lieu que cette prime soit versée en une seule fois l'an prochain, comme l'a envisagé le Conseil d'Etat, les syndicats aimeraient qu'elle soit intégrée dans les salaires de novembre et décembre 2023. Ces salaires serviraient ensuite de base à partir de laquelle l'indexation 2024 serait calculée.

Autre exigence, la Fédération des sociétés de fonctionnaires (FSF Vaud), le Syndicat des services publics (SSP Vaud) et la fédération syndicale SUD demandent au Conseil d'Etat qu'il s'engage "à indexer les salaires 2024 du service public à l'indice des prix à la consommation d'octobre 2023", peut-on lire dans le courrier adressé mardi à l'exécutif vaudois.

"Autre chemin"

Avec cette contre-proposition, les syndicats renoncent, d'une certaine manière, à réclamer une pleine indexation des salaires en 2023, comme ils l'ont toujours fait depuis le début du mouvement de contestation.

"C'est une manière différente d'y arriver. Nous avons bien vu que le gouvernement est figé sur cette question de la pleine indexation et nous proposons un autre chemin", a expliqué David Jeanquartier, secrétaire général de la FSF, contacté par Keystone-ATS.

Selon lui, la contre-proposition permet de "limiter la baisse des salaires" pour 2023 et "d'obtenir des garanties pour l'avenir" en matière d'indexation. Il reconnaît que cette solution serait moins onéreuse pour le Conseil d'Etat cette année, mais coûterait "beaucoup plus cher" en 2024. Le syndicaliste a dit s'attendre à ce que le Conseil d'Etat revienne avec une autre proposition sur la table.

Environ 3000 manifestants

Parallèlement au courrier des syndicats, une partie de la fonction publique a participé mardi à sa sixième journée de grève et de manifestation. Environ 3000 manifestants - 2500 selon un décompte de Keystone-ATS, 3500 selon une estimation de la police - ont défilé en début de soirée entre l'esplanade de Montbenon et le Château, siège du gouvernement. Une participation qui reste importante, mais moins forte qu'en janvier quand elle tournait autour des 5000 personnes et même 10'000 selon les syndicats.

Au terme du cortège, les syndicats ont présenté leur contre-proposition du jour aux manifestants. Ils ont harangué la foule, lui demandant de "maintenir la pression" sur le Conseil d'Etat qui "ne comprend que la mobilisation de la rue". Un gouvernement qualifié de "méprisant" et qui, selon eux, considère les fonctionnaires comme "une variable d'ajustement" au budget de l'Etat.

Suite pas encore connue

La mobilisation s'est aussi déployée durant la journée, notamment dans les écoles, où 942 membres du corps enseignant (obligatoire et postobligatoire) ont pris part à la grève, selon les estimations du Département de l'enseignement et de la formation professionnelle. La mobilisation s'affiche en recul d'une centaine de personnes par rapport à la précédente journée d'action du 1er mars. Le pic avait été atteint le 31 janvier avec environ 2100 enseignants grévistes.

La suite de la contestation de la fonction publique vaudoise, entamée l'automne dernier, n'est pas encore connue. "Nous allons laisser le temps au Conseil d'Etat de répondre à notre contre-proposition", indique David Jeanquartier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hyper Ouest, nouveau festival de l'Ouest lausannois

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Les Young Gods figurent parmi les nombreux artistes attendus pour la première édition du festival Hyper Ouest (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Un nouveau festival, Hyper Ouest, débarque dans l'Ouest lausannois. Dès le 27 avril et durant onze jours, la manifestation proposera concerts, spectacles, créations artistiques, balades, expos ou encore soirées clubbing.

L'événement a été imaginé pour fêter les quinze ans du district de l'Ouest lausannois. Concocté notamment par l'équipe du festival genevois Antigel et le bureau Urbaplan, il se déploiera sur 26 lieux dans les huit communes partenaires: Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, Saint-Sulpice et Villars-Ste-Croix.

"Cette aventure multi-lieux invite à redécouvrir les trésors de l'Ouest lausannois en investissant les espaces quotidiens et des lieux en transition de façon inédite, unique et exceptionnelle", indiquent les organisateurs mardi dans leur communiqué.

Des créations

Pour les concerts, la programmation mêle musiciens locaux, suisses et internationaux avec, en tête d'affiche, les Young Gods. Le rappeur Makala, le pionnier de la techno française Arnaud Rebotini, le groupe des Psychotic Monks ou encore la chanteuse Billie Bird sont notamment annoncés.

De nombreux spectacles sont également programmés, en collaboration avec le théâtre Kléber-Méleau et la Grange/UNIL. Sept créations spécialement conçues pour le festival se tiendront dans des lieux inédits (entreprise de recyclage, tracé du futur tram, tuilerie, forêt, lac, etc).

Balades et clubbing

Diverses balades seront proposées sur la thématique des graffitis, de la Venoge, des campus de l'UNIL et de l'EPFL ou encore sur le passé industriel de l'Ouest lausannois. Une septantaine d'étudiants de l'ECAL vont aussi investir les anciennes halles du bâtiment Veillon pour créer une exposition en utilisant des projections vidéo.

Cette friche industrielle sera également transformée en espace de clubbing, l'Hyper Club. Quatre soirées y sont prévues, en collaboration avec des acteurs des nuits lausannoises (Sacrée Déter, Electrosanne, la Main Mise et le D! Club).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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