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Jeux olympiques

Cap sur le Musée olympique à Lausanne pour vivre les JO de Paris

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Durant les JO, le Musée olympique se met à l'heure de Paris 2024. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Musée olympique, à Lausanne, vivra dès vendredi à l'heure des JO de Paris 2024. Jusqu'au 11 août, il propose une série d'activités festives et sportives, incluant des ateliers, des démonstrations, des soirées musicales et la retransmission des moments forts de cette 33ème Olympiade d'été.

Vendredi, le musée investira les quais d'Ouchy pour la retransmission en direct de la cérémonie d'ouverture sur un écran géant installé près de la Fontaine olympique. Samedi et dimanche, les compétitions seront retransmises au même endroit.

En parallèle, le musée propose des animations de rugby, des démonstrations de VTT trial et des compétitions de skate pour les enfants dès 8 ans. Le 1er août, jour de Fête nationale, les amateurs de pétanque pourront participer à un tournoi dans le parc, encadré par des spécialistes. Une initiation est aussi proposée aux familles sur la terrasse du restaurant.

Escalade et tir à l'arc

Lors du deuxième week-end des JO, les 3 et 4 août, la grimpeuse suisse Sofya Yokoyama fera découvrir au public l'escalade sportive et défiera les plus téméraires, annonce le musée. Il sera aussi possible de tester sa précision au tir à l'arc et son équilibre grâce à une animation liée à la gymnastique.

Le dernier week-end, le parc olympique accueillera vendredi et samedi les Garden Parties lausannoise, qui proposent un mélange de concerts, spectacles, animations et balades. Au menu également des battles de breaking ouvertes à tous et du basketball acrobatique, puis la retransmission en direct de la cérémonie de clôture, le 11.

De Lausanne à Paris

Durant toute la période des JO, le duo de danseurs de la compagnie San.toor parcourra 520 km, symbolisant la distance entre Lausanne et Paris. Cette performance allie course, danse et dépassement de soi. Elle sera présentée dans le musée, où le public est invité à courir avec l'artiste sur un tapis de course.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Turc Yusuf Dikeç veut protéger sa pose devenue virale

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Yusuf Dikeç (à droite( veut protéger sa pose devenue virale pendant les JO 2024 (© KEYSTONE/EPA/VASSIL DONEV)

Le tireur turc Yusuf Dikeç a déposé une demande auprès de l'institut turc de la propriété intellectuelle pour protéger l'utilisation commerciale de la pose qui l'a rendu célèbre aux Jeux de Paris.

"Après avoir été informés de nombreuses initiatives de dépôt de marque effectuées à l'insu de Yusuf Dikeç, nous avons soumis une demande il y a environ une semaine (...). D'autres demandes ont ainsi été rejetées", a déclaré à l'AFP l'entraîneur de l'athlète, Erdinç Bilgili.

Yusuf Dikeç, médaillé d'argent au tir au pistolet à 10 m, est devenu une star mondiale après que des images le montrant effectuer ses tirs de manière presque nonchalante, main gauche dans la poche, sans lunettes de protection ni casque, ont fait le tour des télévisions et des réseaux sociaux.

De nombreux athlètes ont copié sa pose après avoir remporté une médaille aux JO, comme la star suédoise de la perche, Armand Duplantis. De nombreux produits, parmi lesquels des t-shirts, des tasses ou des coques de téléphone portable, reprenant sa pose semblant mêler nonchalance et confiance en soi, ont été mis en vente, a rapporté la chaîne d'information publique turque TRT Haber.

"Certains ont pensé que ma main dans la poche était un signe d'arrogance. Je le fais uniquement pour tenir mon corps plus stable. Il ne faut pas chercher plus loin", avait confié Yusuf Dikeç début août dans un entretien à l'AFP.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Clap de fin, en attendant les Paralympiques

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Ces JO furent un feu d'artifice (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Un sans-faute organisationnel, une liesse en continu et des exploits à foison: après deux semaines de victoires, d'émotions, de déceptions aussi parfois, les JO de Paris se sont éteints dimanche.

Ils vont laisser la place aux Jeux paralympiques qui débutent dans plus de deux semaines (28 août-8 septembre).

Paris avait des airs de fin de vacances dimanche soir. Des vacances réussies, avec d'ores et déjà une pointe de nostalgie. Sous une chaleur de plomb, qui s'est invitée pour les dernières heures de ces JO, le nageur Léon Marchand, quadruple médaillé d'or et l'un des héros français de ces Jeux, a éteint la vasque lors de la cérémonie de clôture au Stade de France.

Une cérémonie pleine de poésie, symbole d'un passage de relais avec les futurs JO de Los Angeles en 2028 et des Paralympiques qui vont réinvestir la capitale à la fin du mois.

"Sensationnels"

Ces JO de Paris ont été "sensationnels du début à la fin", a lancé dimanche soir le président du CIO Thomas Bach. "Les Jeux du match aller" pour le patron du comité d'organisation Tony Estanguet, qui a donné rendez-vous pour les Paralympiques .

Les nuits de Tony Estanguet ont toutefois été écourtées par une météo capricieuse pendant la quinzaine, venue troubler les épreuves prévues dans la Seine comme le triathlon ou l'eau libre. Mais toutes les compétitions ont bien eu lieu, et au final, les JO de Paris peuvent se targuer d'une organisation au cordeau.

Les peurs étaient pourtant grandes avant l'évènement, notamment autour des questions de sécurité pour la cérémonie d'ouverture. Mais tout s'est déroulé sans accroc majeur, les transports franciliens ont tenu le choc, et les Français, fragmentés par la crise politique il y a près d'un mois, se sont pris aux Jeux.

"On a vu une France heureuse et cela n'est pas à minimiser avec l'héritage des JO", a estimé vendredi Tony Estanguet.

Sites de carte postale

Le monde retiendra sans aucun doute les sites de carte postale de ces JO, comme le beachvolley sous la Tour Eiffel ou encore l'hippisme au Château de Versailles. Il retiendra aussi la liesse et l'engouement des Français pour leurs athlètes, avec une ambiance proche de l'hystérie parfois dans certains sites comme la piscine olympique lors des exploits de Léon Marchand.

Les exploits ont été légion pour ces JO, avec des stars au rendez-vous comme la légende Katy Ledecky, titrée une nouvelle fois sur le 1500m en natation, Simone Biles décrochant trois médailles d'or en gymnastique, pour un total de sept, et le perchiste Armand Duplantis, encore sacré à Paris après Tokyo, et toujours plus haut (6m25, nouveau record du monde).

Jamais les stades n'avaient jamais autant vibré pendant deux semaines en France, avec une atmosphère incroyable quasiment sur chaque site, et des athlètes poussés comme jamais. Une belle ambiance que les organisateurs espèrent aussi pour les Paralympiques (28 août-8 septembre) qui vont prendre le relais.

Un curieux chassé-croisé devrait animer le village olympique lundi: les équipes du Cojo vont en effet commencer à s'affairer pour nettoyer et préparer les chambres pour accueillir plus de 9000 personnes, dont près de 4000 para-athlètes, pendant que les derniers athlètes vont eux quitter les lieux.

La mue des sites

La carte des sites olympiques va également opérer sa mue, car seuls 16 sites sur les 25 des JO vont être utilisés pour les Jeux paralympiques.

Le site de la Concorde qui a accueilli les épreuves de skateboard notamment va par exemple être démonté. Le Stade de France pour le para athlétisme, le pont Alexandre III pour le départ du para triathlon, ou encore le Grand Palais pour l'escrime fauteuil et le para taekwondo, vont eux encore fonctionner.

La ferveur qui a traversé la France pour les JO va-t-elle de nouveau frapper les rues de la capitale et des sites? Pour l'instant, 1,2 million de billets ont été vendus selon les organisateurs sur les 2,5 millions prévus. Mais les organiseurs comptent sur l'effet des JO pour faire décoller ces ventes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

JO pas gâchés par la dissolution du Parlement français, dit Macron

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Quand les Français ont des objectifs communs, ils peuvent travailler ensemble, estime Emmanuel Macron. (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

Le président français Emmanuel Macron estime dimanche dans un entretien à L'Equipe que "c'était beaucoup plus responsable de clarifier" la situation politique en dissolvant l'assemblée nationale "avant" les JO. Cette décision ne les a pas "gâchés", ajoute-t-il.

"Le message qu'ont envoyé les Français est très cohérent avec les JO: travaillez ensemble. C'est ce qu'ils ont dit aux forces politiques" lors des élections législatives anticipées, les 30 juin et 7 juillet, a poursuivi le chef de l'Etat, alors qu'un nouveau gouvernement devrait être nommé dans les prochains jours.

Emmanuel Macron a en outre "remercié" la maire de Paris, Anne Hidalgo (PS) et la présidente de l'Île-de-France, Valérie Pécresse (LR), au terme des jeux Olympiques (JO) de Paris, en rappelant que tous les trois étaient "en compétition les uns contre les autres pour l'élection présidentielle" de 2022.

"Et pourtant, on a travaillé ensemble", s'est félicité le chef de l'Etat, en notant que "les Français ont redécouvert qu'ils pouvaient faire de grandes choses ensemble".

Les Cassandre, les perdants

"Il ne faut pas écouter les Cassandre. Tous ceux qui vous disent que les clivages sont plus importants. Quand on a des objectifs communs, quand on travaille ensemble, rien n'est insurmontable", a-t-il lancé.

Dressant le bilan de la quinzaine olympique, le président français a dressé assuré qu'"il y a un perdant: c'est l'esprit de défaite". "Tous ceux qui n'ont pas cru aux JO se sont trompés, dans l'organisation comme dans le sport. Ce qui m'a ému, au fond, c'est la capacité d'enthousiasme et d'émotion des Français devant le dépassement".

"La cérémonie d'ouverture a été un moment formidable, parce qu'elle a été pleine d'audace, d'esprit français": les JO ont été "un succès d'organisation", a-t-il souligné, saluant le travail du comité d'organisation, des forces de l'ordre et des 45'000 bénévoles mobilisés.

Il a indiqué qu'il dévoilerait "des mesures d'héritage" des JO de Paris, le 14 septembre, en marge du défilé des athlètes français sur l'avenue des Champs-Élysées. "Il ne faut rien s'interdire" concernant la vasque olympique qui pourrait rester dans la capitale après les JO, a ajouté le chef de l'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Lyles, qui souffre du Covid, "pense" que ses JO "sont terminés"

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Noah Lyles, qui souffre du Covid, pense que ses JO sont terminés (© KEYSTONE/AP/Petr David Josek)

"Je pense que mes JO 2024 sont terminés", a écrit Noah Lyles tard jeudi soir sur ses réseaux sociaux.

Le sprinter américain a révélé qu'il souffrait du Covid peu après sa médaille de bronze obtenue sur 200 m, quatre jours après son sacre olympique sur 100 m.

"Ce n'est pas les JO dont je rêvais, mais ils m'ont rempli le coeur de joie", a poursuivi Lyles. Le triple champion du monde 2023, sur 100 m, 200 m et 4x100 m, ambitionnait même un quadruplé aux Jeux de Paris, en y ajoutant le 4x400 m.

Ses deux courses individuelles terminées, Lyles était a priori attendu en finale du 4x100 m vendredi soir, avant une plus hypothétique participation au 4x400 m samedi.

"J'espère que tout le monde a apprécié le spectacle. Que vous m'ayez soutenu ou que vous ayez été contre moi, reconnaissez que vous avez regardé, non ?", a-t-il encore écrit, sans se départir de son sens du show.

"S'il ne peut pas courir, nous allons devoir reconstruire l'équipe pour avoir la meilleure" possible, envisageait un peu plus tôt en conférence de presse Kenny Bednarek, médaillé d'argent du 200 m et membre du relais américain.

A 90 ou 95%

Grand favori du 200 m, distance dont il est triple champion du monde en titre, Noah Lyles n'a obtenu que la médaille de bronze jeudi, visiblement diminué physiquement et sorti de la piste en chaise roulante. Il a expliqué dans les minutes qui ont suivi avoir été testé positif au Covid mardi matin, veille des demi-finales du demi-tour de piste.

"J'ai rapidement été placé en quarantaine près du Village olympique et j'ai essayé de prendre des médicaments autorisés, a-t-il expliqué à la presse. Je voulais courir. On m'a dit que c'était possible, donc je me suis juste tenu à l'écart des autres et j'ai pris tour après tour. Des trois derniers jours, cette journée a été de loin la meilleure. Je ne peux pas dire que je suis à 100%, mais plutôt à 90 ou 95%", a-t-il estimé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Inquiétude pour Lamecha Girma, victime d'une chute violente

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Lamecha Girma a été transporté à l'hôpital après sa lourde chute (© KEYSTONE/AP/Bernat Armangue)

Le recordman du monde du 3000 m steeple Lamecha Girma a violemment chuté lors de la finale olympique mercredi soir.

Immobile et visiblement inconscient, l'Ethiopien a été évacué sur une civière de la piste violette du Stade de France avant d'être transporté à l'hôpital.

"Nous sommes à l'hôpital pour le moment", a indiqué mercredi soir un cadre de la Fédération éthiopienne qui prévoit de communiquer plus amplement quand un diagnostic plus précis sera posé. "Il est en train de passer des examens" d'imagerie, a-t-il précisé.

La chute impressionnante sur l'avant-dernière barrière, à un peu plus de 200 m de l'arrivée, a éclipsé la victoire du Marocain Soufiane El Bakkali (8'06''05). Girma, en quête d'une première médaille d'or olympique éthiopienne dans la discipline, est arrivé à pleine vitesse sur la barrière alors qu'il rattrapait le groupe de tête mais sa jambe droite a heurté violemment la haie.

Le demi-fondeur, triple vice-champion du monde et vice-champion olympique, est tombé lourdement au sol. Il ne bougeait plus et a été évacué quelques minutes plus tard sur une civière, sous les applaudissements du public.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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