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Jeux olympiques

Au LAD d'Epalinges, plongée au coeur de l'analyse du dopage

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Un collaborateur du LAD, le Laboratoire suisse d'Analyse du Dopage, analyse des echantillons A et B contenant de l'urine dans le laboratoire antidopage (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A Epalinges, le Laboratoire suisse d'analyse du dopage (LAD) examine chaque année près de 20'000 échantillons d'urine et de sang. Pour ses 35 ans, il a ouvert exceptionnellement ses portes aux médias.

Cet institut affilié au CHUV a ouvert exceptionnellement ses portes aux médias à l'occasion de ses 35 ans et à l'approche des Jeux olympiques de Milan-Cortina, qui promettent des mois d'activité intenses.

Le parking de cet immeuble situé à deux pas du terminus du M2, sur les hauteurs de l'agglomération lausannoise, est un habitué des livraisons. Le rez-de-chaussée du bâtiment est occupé par une célèbre enseigne de bricolage. Mais c'est un autre type de colis que reçoivent quotidiennement les employés en blouse blanche occupant le deuxième étage: des échantillons d'urine et de sang.

Les agences antidopage et les fédérations sportives qui organisent leurs propres contrôles confient à des laboratoires les prélèvements biologiques réalisés sur les athlètes. Ces flacons scellés sont anonymisés. Seul le sport pratiqué et le genre sont connus. Ils sont généralement expédiés au laboratoire le plus proche après le contrôle. Cela n'empêche pas le LAD de recevoir des prélèvements en provenance de 107 pays différents, comme l'explique Tia Kuuranne, la directrice finlandaise de l'institut.

"Oeuvrer à l'équité sportive"

A leur arrivée à Epalinges, les prélèvements passent d'abord par le laboratoire de réception, où l'on vérifie leur intégrité pour s'assurer qu'ils n'ont pas été manipulés. Ils sont ensuite aliquotés - c'est-à-dire séparés en plusieurs petits échantillons.

Dans un coin de la salle, une machine remplit des petites fioles d'un liquide jaunâtre à la teinte plus ou moins prononcée. "C'est un automate", précise un collaborateur du LAD. "Il est bien plus fiable qu'un humain pour ce genre de tâche. Il ne peut faire que ce qu'on lui demande, mais il fait toujours ce qu'on lui demande."

La formation des employés du laboratoire lausannois est variée. Ici se croisent pharmaciens, chimistes, biologistes et techniciens en analyses biomédicales. Mais tous partagent la même vision d'un "sport propre". "Si on peut oeuvrer à l'équité sportive, c'est positif", souffle l'un des chercheurs.

Une analyse rigoureuse

Une fois préparés, les échantillons sont envoyés à l'étage inférieur, dans l'une des bruyantes "salles des machines", chacune étant dédiée à une "famille" de substance: les stimulants dans l'une, les stéroïdes anabolisants dans l'autre. Là, ils sont glissés dans d'imposants spectromètres de masse capables de détecter des centaines de métabolites, révélant ainsi les traces potentielles de substances prohibées par l'AMA.

Des centaines de graphiques - un pour chaque métabolite - sont ensuite rigoureusement analysés par les collaborateurs du LAD. "Elles passent toujours devant quatre yeux, ceux d'un technicien et d'un responsable", indique Raul Nicoli, l'un des scientifiques du laboratoire.

2% d'échantillons positifs

Après l'analyse, le LAD garde les échantillons pendant trois mois avant de les détruire, sauf si l'autorité ou la fédération - à qui l'échantillon appartient - demande de le conserver plus longtemps. "Cela peut servir si la technologie progresse au point d'être capable de détecter des substances plusieurs années après le test", explique la directrice.

C'est pourquoi le LAD stocke dans ses frigos plus de 100'000 échantillons congelés. Parmi les fioles de forme et de taille différentes, un collaborateur s'empare d'un imposant flacon. "Celui-là est américain, ils font toujours plus compliqué", s'amuse-t-il.

Comme l'indique la lettre inscrite sur sa surface, il s'agit d'un échantillon "B". Lors d'un contrôle, l'athlète doit en effet remplir deux récipients et seul celui marqué d'un "A" est ouvert à l'analyse. Si le test est positif - environ 2% des 20'000 tests réalisés chaque année au LAD le sont -, l'athlète peut exiger une contre-analyse à partir de l'échantillon "B".

Dans ces situations, l'athlète - ou son avocat - est invité à assister à l'ouverture du deuxième échantillon, pour s'assurer qu'il s'agit bien de son prélèvement et que tout se fait dans les règles. Certains contrôlés positifs ont ainsi déjà arpenté les couloirs du LAD d'Epalinges. "C'est assez courant, glisse le directeur administratif du laboratoire, qui ne révèlera évidemment aucun nom. Mais de notre expérience, la contre-analyse confirme systématiquement le résultat initial."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Jeux olympiques

Le Qatar confirme sa candidature pour l'organisation des JO 2036

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Le Lusail Stadium de Doha pourrait accueillir les JO en 2036 (© KEYSTONE/AP/HASSAN AMMAR)

Le Qatar a confirmé mardi être en discussions avec le Comité international olympique (CIO) pour l'organisation des JO en 2036. Et l'état du Moyen-Orient a ses chances.

"Nous avons actuellement 95% des infrastructures de sport nécessaires (...) et nous avons un plan national complet pour que les installations soient prêtes à 100%", a déclaré le patron du Comité olympique qatari et président du comité de candidature, cheikh Joaan ben Hamad Al-Thani, dans un communiqué.

Le riche Etat gazier, hôte de la Coupe du monde de football en 2022, pourrait devenir "le premier pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord à accueillir les Jeux olympiques", a souligné pour sa part le Premier ministre qatari, cheikh Mohammed ben Abdulrahmane Al-Thani, cité par l'agence de presse officielle.

Depuis la nouvelle procédure d'attribution des Jeux olympiques, inaugurée par l'attribution en 2021 des JO 2032 à Brisbane - édition pour laquelle le Qatar était déjà sur les rangs -, les candidats n'ont plus l'obligation de se faire connaître publiquement, mais mènent avec le CIO des discussions largement confidentielles, jusqu'à la validation finale de la session.

L'ex-président du CIO Thomas Bach a néanmoins répété disposer d'un "nombre à deux chiffres" de pays intéressés par les Jeux d'été 2036 et 2040, parmi lesquels l'Inde, l'Afrique du Sud, la Corée du Sud, la Turquie et la Hongrie qui avancent ouvertement.

Rotation continentale oblige, après des éditions 2024, 2028 et 2032 respectivement en Europe, Amérique du Nord et Océanie, l'édition suivante a de bonnes chances de revenir à l'Asie, à moins qu'elle soit l'occasion des premiers JO africains de l'histoire.

La désignation de l'hôte des JO 2036 sera un des premiers grands chantiers de la nouvelle présidente du CIO Kirsty Coventry, qui a pris ses fonctions le 23 juin. Elle a d'ores et déjà lancé une réflexion sur le mode d'attribution, pour définir notamment le "moment adéquat" de ce choix: longtemps fixé à sept ans avant l'échéance, il n'obéit plus à aucune règle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Jeux olympiques

Le CIO confie à World Boxing l'avenir de la boxe olympique

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L'Algérienne Imane Khelif face à la Chinoise Yang Liu en finale des JO de Paris (© KEYSTONE/AP/ARIANA CUBILLOS)

Le CIO a accordé mercredi sa reconnaissance "provisoire" à la jeune fédération internationale World Boxing. Ceci lève l'hypothèque qui pesait depuis des années sur l'avenir olympique de la boxe.

En faisant de World Boxing l'instance "régissant la boxe au niveau mondial au sein du mouvement olympique", la commission exécutive du CIO ferme du même coup la porte à tout retour de l'IBA, mise au ban depuis 2019 et qui entretient des relations exécrables avec l'organisation lausannoise.

Créée en 2023, World Boxing n'affiche pour l'heure que 78 fédérations membres, mais "a apporté la preuve que 62% des boxeurs et boxeuses et 58% des médaillés des JO des Paris" étaient affiliés à ces fédérations, tout en affichant "des progrès" sur les critères de gouvernance, énumère le CIO.

La toute jeune instance, qui compte parmi ses principaux membres les Etats-Unis, le Japon, la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne contre seulement six pays africains, devrait récupérer l'organisation du tournoi olympique de boxe aux JO 2028 de Los Angeles.

Le maintien au programme des JO de ce sport hérité du pancrace antique, présent depuis les premiers Jeux modernes en 1896, était en effet conditionné à la reconnaissance par le CIO d'une fédération internationale apte à le superviser.

Le CIO avait dû par deux fois se charger de l'organisation directe du tournoi olympique aux JO 2020 de Tokyo, après la suspension de l'IBA, puis aux JO 2024 de Paris, après son exclusion définitive du mouvement olympique.

Or non seulement l'organisation lémanique ne compte pas se substituer dans la durée au rôle d'une fédération internationale, mais le tournoi de boxe de Paris a de surcroît été au coeur d'une polémique déclenchée par l'IBA sur le genre de deux concurrentes, l'Algérienne Imane Khelif et la Taïwanaise Lin Yu-ting.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le morceau de Gojira remporte un Grammy Award

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Gojira et Marina Viotti ont reçu un Grammy Award pour leur prestation mémorable lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

La prestation mémorable du groupe de metal français Gojira avec la chanteuse lyrique franco-suisse Marina Viotti aux JO de Paris 2024 a remporté un Grammy Award dimanche à Los Angeles.

Leur interprétation fracassante de "Mea Culpa (Ah! Ça ira!)", le 26 juillet 2024 durant la cérémonie d'ouverture des Jeux, a damé le pion de prestigieux concurrents comme Metallica et Judas Priest pour enlever une récompense dans la catégorie prestation metal de l'année.

Sur la scène de Los Angeles, le chanteur-guitariste du groupe Joe Duplantier a dédié la victoire à "tous les groupes qui repoussent les limites". "Soutenez vos artistes locaux, soutenez vos groupes locaux", a-t-il lancé aux côtés de Marina Viotti, en recevant le prix lors de la pré-cérémonie. "C'est une année fantastique pour nous et pour toute la communauté des métalleux", a-t-il ajouté.

La séquence avait fait le tour du monde sur les réseaux sociaux. Gojira, quatuor français à l'aura internationale, apparaissant aux balcons de la Conciergerie, un des plus beaux monuments de Paris, et entonnant le chant révolutionnaire "Ah! Ca ira" dans une déflagration sonore au côté de plusieurs Marie-Antoinette tenant leur tête ensanglantée. Marina Viotti, dans un décor de bateau, les avait rejoints au bord de la Seine.

Les écoutes de Gojira avaient bondi dans la foulée et le titre de 2'53, arrangé par le musicien et producteur Victor Le Masne, est devenu disponible en streaming.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Lausanne: défilé de mode inédit au Musée olympique

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L'ancienne athlète Lea Sprunger a participé mercredi soir à un inédit défilé de mode au Musée olympique de Lausanne. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Musée olympique de Lausanne a lancé sa nouvelle exposition temporaire "Mode et sport, d'un podium à l'autre", co-produite avec le Musée des arts décoratifs de Paris. Elle a été officiellement inaugurée mercredi soir avec un inédit défilé de mode.

Plusieurs créatrices et créateurs de renom ont été conviés à l'événement, à l'image de la maison de luxe française Lacoste. Kevin Germanier, qui a conçu les costumes des cérémonies d'ouverture et de clôture des JO de Paris, était également de la partie. Le Valaisan s'est dit "ému de montrer un peu des Jeux de Paris dans mon pays", d'avoir "amené une partie de notre univers" jusqu'à Lausanne.

Le défilé s'est déroulé dans les espaces d'exposition et sur l'emblématique rampe du musée. Une dizaine de tenues ont été présentées avec notamment, parmi les modèles du jour, l'ancienne athlète vaudoise Lea Sprunger.

L'événement a été produit sous la direction artistique de Yannick Aellen, initiateur de la plateforme "Mode Suisse". Il visait à célébrer "la rencontre unique" entre l'univers du sport et celui de la mode, mais aussi à lancer la nouvelle exposition temporaire du musée.

Influence du sport sur la mode

Imaginée comme un hommage aux créateurs, en particulier de l'entre-deux-guerres, l'exposition s'intéresse à l'influence croissante du sport sur la mode contemporaine. A voir jusqu'au 27 avril prochain, elle présente les collaborations avant-gardistes entre les maisons de haute couture et les marques de sport, de même que le rôle joué par de nombreux athlètes comme ambassadeurs de marques prestigieuses.

L'exposition montre notamment "les échanges mutuels", dès le 19e siècle, entre le sport et la mode. Deux domaines où se croisent "quête du confort, technicité, libération des corps, mais aussi recherche d'élégance et d'esthétisme", explique Sophie Lemahieu, commissaire de l'exposition et conservatrice au Musée des arts décoratifs de Paris (MAD).

"Mode et sport, d'un podium à l'autre" a été imaginé et présenté au MAD de septembre 2023 à avril 2024, où l'exposition a été un des temps forts de l'Olympiade culturelle de Paris. A Lausanne, elle est co-organisée et co-produite par le MAD et le Musée olympique.

Par rapport à l'exposition parisienne, celle de Lausanne propose de nouvelles tenues en lien avec les JO de l'été dernier. La scénographie a aussi été repensée. "A Paris, nous avions amené le sport dans un musée dédié à la mode. Alors qu'à Lausanne, c'est la mode qui entre dans un lieu consacré au sport. La dynamique est différente", relève Sophie Lemahieu.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

JO de Paris: plus de 200 objets collectés par le Musée olympique

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Le justaucorps de la gymnaste Rebeca Andrade ou la tenue imaginée par le styliste Kevin Germanier rejoignent les collections du Musée olympique de Lausanne. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Musée olympique a enrichi ses collections de plus de 200 objets cet été lors des JO de Paris. Issus de donations d'athlètes, ces artefacts ont été glanés sur place par le musée lausannois, qui a présenté mardi à la presse un florilège de sa récolte.

Parmi ces "objets stars" figurent les équipements ayant servi à plusieurs médaillés d'or des Jeux parisiens, à l'instar de la raquette de Novak Djokovic, du justaucorps de la gymnaste Rebeca Andrade, de la tenue de la sprinteuse Julien Alfred, du maillot de la marathonienne Sifan Hassan, des chaussures du lutteur Mijain Lopez ou encore du ballon de la finale de basket signé par l'équipe des Etats-Unis.

La collecte ne s'est toutefois pas limitée à des objets sportifs. Le Musée olympique a notamment mis la main sur des tenues portées lors des cérémonies d'ouverture et de clôture. Avec comme principal butin: la tenue "Golden Voyager" créée par le styliste valaisan Kevin Germanier.

Cela fait depuis les JO de 1984 que le Musée olympique acquiert directement sur place des artefacts. A Paris, trois personnes s'y sont consacrées à plein temps, abordant les athlètes dans les stades, les hôtels ou au village olympique. Pour Novak Djokovic par exemple, il a fallu attendre plusieurs heures devant son vestiaire, après la finale, avant de pouvoir récupérer sa raquette, raconte Yasmin Meichtry, directrice associée du musée.

"Liste idéale"

Si l'essentiel de cette collecte découle des compétitions, le travail démarre aussi en amont, six mois à l'avance, avec des contacts auprès des fédérations sportives, des comités olympiques nationaux et des managers de sportifs, explique Mme Meichtry.

Une "liste idéale" des acquisitions est ensuite établie. Celle-ci comprend les noms de "grandes stars" dont le musée souhaite rapporter un objet, mais aussi des artefacts qui "racontent une histoire" ou qui sont peu représentés dans ses collections. Un manque que le Musée olympique a notamment essayé de combler à Paris dans les disciplines artistiques (natation synchronisée, gymnastique rythmique) ou dans les nouveaux sports olympiques (breaking, skate, surf).

Jusqu'ici, 209 artefacts ont été récoltés en lien avec les JO de Paris, issus de 27 sports différents (sur 32 au programme). Les acquisitions se poursuivent toutefois après la fin des Jeux. "Nous avons appris lundi que nous allions recevoir un maillot de bain de Léon Marchand", la superstar des épreuves de natation, relève Mme Meichtry.

Ces différents objets doivent désormais être inventoriés et photographiés. Une partie d'entre eux sera ensuite présentée au public dès l'an prochain au sein de l'exposition permanente du musée. Certains seront utilisés pour des expositions temporaires, tandis que d'autres seront prêtés à d'autres institutions.

En tout, le musée lausannois abrite plus de 90'000 objets retraçant 120 ans d'olympisme. Environ 1500 d'entre eux sont visibles dans l'exposition permanente.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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