Alors que Google fête ses 20 ans, certains veulent concurrencer le géant américain. Un acteur européen se détache, Qwant, qui propose une galaxie de services similaires à Google, mais avec une particularité, vos données personnelles ne sont jamais utilisées.
Google, le géant américain des moteurs de recherche
Avec près de 90% des recherches mondiale, Google est actuellement le leader des moteurs de recherche. Cependant, ces derniers temps, de nombreuses protestations à propos de la collecte et de l'utilisation des données personnelles se sont faites entendre.
La question de la protection des données personnelles est devenue un sujet brûlant dans l'actualité et tous les pays se penchent sur la législation le concernant. Aussi, de plus en plus d'internautes se méfient et cherchent à protéger leurs données personnelles.
Profitant de cette polémique autour de l'indétrônable Google, plusieurs concurrents ont fait leur place dans le paysage des moteurs de recherche.
Qwant, le challenger qui protège vos données personnelles
Parmi ces concurrents, Qwant, un moteur de recherche européen et ambitieux qui fait de la protection des données privées son cheval de bataille.
Le moteur de recherche conçu en France se différencie des moteurs de recherche traditionnels et notamment de Google par l'importance qu'il accorde à la protection des données personnelles de ses utilisateurs. Une différence de taille que Tristan Nitot, VP Advocacy de Qwant explique à Benjamin Smadja :
Tristan Nitot
VP Advocacy de Qwant
Tristan NitotVP Advocacy de Qwant
Tristan NitotVP Advocacy de Qwant
Conscients du danger que pouvait représenter la collection de données personnelles et leur utilisation, les créateurs de Qwant ont souhaité proposer un produit qui respecte les données personnelles des utilisateurs tout en leur offrant un service performant.
La philosophie du moteur de recherche se pose en opposition totale à celle de Google : ils s'engagent contre le fichages des internautes. Son ambition aujourd'hui : faire aussi bien que Google en terme d'expérience de recherche sans récolter et exploiter les données personnelles de ses utilisateurs mais également en limitant la publicité et le ciblage des utilisateurs. Un but dont il se rapproche rapidement en améliorant d'année en année ses algorithmes.
Après les scandales au sujet de l'exploitation des données tels que l'affaire Cambridge Analytica, le moteur de recherche a été rejoint pas de nombreux utilisateurs et ne cesse de gagner des parts de marché.
Le personnel du CHUV à Lausanne veut une meilleure reconnaissance des heures de piquet et du travail en dehors des heures de bureau. Il a remis lundi en fin de journée une pétition en ce sens, munie de plus de 1700 signatures, au Département de la santé et de l'action sociale de Rebecca Ruiz.
"Cette pétition demande au Conseil d'Etat d'augmenter de manière significative les indemnités versées au personnel qui doit travailler le samedi, le dimanche, les jours fériés et la nuit. Le montant de ces indemnités n'a pas été revu depuis dix ans", écrit le syndicat SSP-Vaud dans un communiqué.
Concrètement, les signataires demandent que les indemnités pour le travail de nuit passent à 10 francs par heure dès le 1er janvier prochain, contre 7 francs actuellement. Ils réclament également que les indemnités horaires pour le travail du dimanche passent de 4 à 8 francs, et celles du samedi de 2 à 4 francs.
11 heures de repos minimum
La pétition demande en outre que chaque heure de piquet soit compensée "à hauteur de 15% du temps de piquet", soit 9 minutes de congé par heure de piquet, en plus de la rémunération financière actuelle. Celle-ci s'élève à 1 franc 50 par heure de piquet de nuit et 2 francs 30 par heure de piquet de jour.
Les signataires souhaitent également un temps de repos minimal de 11 heures après une intervention de nuit dans le cadre du piquet. Enfin, si le délai d’intervention d’un piquet est inférieur ou égal à 30 minutes ou si ce dernier doit être joignable par téléphone à tout moment, le temps de piquet doit être "compté comme temps de travail", demandent-ils encore.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le président Joe Biden a participé lundi aux cérémonies du 11-Novembre, jour d'hommage aux anciens combattants, aux côtés de sa vice-présidente Kamala Harris. C'est leur première apparition commune depuis la défaite de la démocrate la semaine passée face à Trump.
La cérémonie au cimetière national d'Arlington, près de la capitale Washington, constitue aussi la première apparition publique de Kamala Harris depuis son discours de défaite, mercredi.
Le Parti démocrate s'interroge sur les raisons de sa déroute - Maison Blanche et Sénat perdu, échec attendu à la Chambre. Certains commencent à mettre en cause le président et son choix initial de se représenter malgré son âge avancé de 81 ans.
La ténor démocrate Nancy Pelosi a confié samedi au New York Times que "si le président était sorti (de la course) plus tôt, il y aurait peut-être eu d'autres candidats". L'ancienne présidente de la Chambre des représentants a toutefois loué "l'engouement" suscité par Kamala Harris lors de sa campagne.
Lundi, Joe Biden a rendu hommage au soldat inconnu dans le cimetière d'Arlington. Il cédera sa place, le 20 janvier prochain, à celui qui est aussi son prédécesseur, Donald Trump. Les deux hommes doivent se rencontrer mercredi à la Maison Blanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Une frappe russe a "endommagé" un barrage sur un réservoir de l'est de l'Ukraine. Les dégâts provoquent une importante montée du niveau des eaux sur une rivière, créant "une menace" d'inondations pour des localités voisines, a affirmé lundi le gouverneur local.
"Les Russes ont endommagé le barrage du réservoir de Kourakhové", a déclaré Vadym Filachkine sur Telegram. "Cette attaque menace potentiellement les habitants des localités situées sur la rivière Vovtcha dans les régions de Donetsk et de Dnipropetrovsk", a-t-il ajouté.
Le niveau des eaux de cette rivière près du village de Velyka Novossilka "est monté de 1,2 mètre" mais "aucune inondation n'a été signalée jusqu'à présent", a affirmé le gouverneur. Ce réservoir est situé près de la ville de Kourakhové, à proximité immédiate du front, dans un secteur où les troupes russes se sont rapprochées en venant de l'est ces dernières semaines.
Attaque sur un autre barrage en 2023
En juin 2023, un énorme barrage datant de l'époque soviétique situé dans la région de Kherson (sud), a été partiellement détruit, entraînant le déversement de milliards de litres d'eau en aval et l'inondation de dizaines de villages sur les rives du fleuve Dniepr.
Kiev a accusé la Russie, dont les troupes contrôlaient le barrage à l'époque, de l'avoir fait sauter pour contrecarrer une contre-offensive ukrainienne en préparation. Moscou a de son côté accusé l'Ukraine.
Des dizaines de personnes ont été tuées dans les inondations qui ont suivi la rupture de ce barrage, qui a également causé d'importants dégâts environnementaux dans le sud de l'Ukraine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Un nouvel atelier permettant à des détenus de travailler afin de faciliter leur réinsertion à l'issue de leur peine a été ouvert au sein de l'établissement pénitentiaire de La Brenaz, à Puplinge (GE). On y fabrique des plaques d'immatriculation pour l'office cantonal des véhicules.
L'atelier offre six places de travail, indiquent lundi le Département des institutions et du numérique et le Département de la santé et des mobilités. Il est capable de produire plus de 60'000 plaques d'immatriculation par année. Il s'ajoute aux autres ateliers qui existent dans la prison.
Cette nouvelle activité contribue à désenclaver le milieu de la détention en créant des ponts avec la cité à travers des sujets porteurs de sens et utiles autant à la collectivité qu'aux personnes détenues, relève, dans le communiqué, Claude Bettex, le directeur général de l'office cantonal de la détention.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
L'Assurance suisse contre les risques à l'exportation assure désormais trois centrales à gaz à l'étranger. Il s'agit de deux projets au Vietnam et un au Turkménistan, a indiqué le Seco à Keystone-ATS, confirmant une information des journaux alémaniques de Tamedia.
La somme assurée pour les trois centrales à gaz s'élève au total à 520 millions de francs, peut-on lire lundi dans les journaux de Tamedia. Ensemble, les trois centrales à gaz devraient émettre environ huit millions de tonnes de CO2: 5 millions de tonnes pour celle au Turkménistan et 3 millions pour les deux au Vietnam. Cela correspond à environ 20% des émissions de gaz à effet de serre de la Suisse.
Or Berne a promis, dans le cadre de la conférence de Glasgow sur le climat fin 2021, de ne plus favoriser les entreprises qui réalisent des projets de pétrole, de charbon ou de gaz à l'étranger.
Pesée des intérêts
Interrogé à ce sujet, le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) écrit que la Suisse s'efforce de mettre en ½uvre la Déclaration de Glasgow également dans le domaine d'action de l'Assurance suisse contre les risques à l'exportation (Serv). Il peut toutefois y avoir des conflits d'objectifs dans certains cas, qui nécessitent une pesée minutieuse. Ce qui est certain, c'est que la Serv n'assurera plus de projets basés sur le charbon, le pétrole ou la tourbe.
Le Seco souligne en outre que les centrales à gaz restent importantes pour une production d'énergie plus respectueuse du climat et pour le progrès économique dans les pays en développement et émergents. Cela est en particulier le cas si la centrale au gaz permet de renoncer à des centrales fonctionnant au charbon ou au pétrole et contribue ainsi à réduire nettement les émissions de CO2 dans un pays.
Le Seco rappelle les deux objectifs légaux principaux de la Serv: créer et maintenir des emplois en Suisse et promouvoir les exportations des entreprises suisses.
Selon les informations de Tamedia, les entreprises Calik Enerji Swiss AG à Lucerne et General Electric Global Parts & Products dans le canton d'Argovie profiteraient de ces projets.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats