Eric Stauffer accuse sur Radio Lac. Le candidat PBD - Genève d’abord s’est interrogé sur “les rapports entre la famille Amaudruz et le groupe Mutuel”.
Ce sont plus particulièrement les liens entre le groupe Mutuel et le groupe Minoteries SA, dont Céline Amaudruz est administratrice qui interpellent. Eric Stauffer était l'invité de Béatrice Rul, à 7h20.
"J’ai une question à poser à Céline Amaudruz c’est qu’elle vienne expliquer devant la population genevoise quels sont les rapports de la famille Amaudruz avec le groupe Mutuel. Pourquoi le groupe Mutuel dans lequel la famille Amaudruz est très impliquée dans le Conseil d’Administration, dans les décisions, dans les investissements (...) pourquoi le groupe Mutuel investit 11,13 % dans une société familiale des Amaudruz le groupe Minoteries SA, où Céline Amaudruz est au membre du Conseil d’Administration. Pourquoi l’argent des assurés du groupe Mutuel sert à financer l’entreprise de la famille Amaudruz. J’aimerais bien que l’UDC Genève vienne expliquer aux électeurs, aux Genevois, aux familles qui n’arrivent plus à boucler leur budget pour cause de primes maladies exorbitantes."
Contactée, Céline Amaudruz nous a répondu, par écrit. Elle rappelle que "le groupe Minoteries SA est une société cotée en bourse, dont les actions sont sur le marché et soumis à surveillance". Les actionnaires sont également connus. "Le Groupe Mutuel juge, seul, dans quelles sociétés suisses, il souhaite investir. Dès lors qu'il détient des actions des Minoteries, je peux y voir la reconnaissance du fait que les Minoteries sont administrées de manière efficace car on imagine mal le Groupe Mutuel acquérir des actions d'une société qui perd de l'argent."
De son côté, le Groupe Mutuel, via Loïc Mühlemann, son responsable communication, assure, par écrit que « aucun membre de la famille Amaudruz ne figure au Conseil d’Administration ou au Conseil de Fondation du Groupe Mutuel et la famille Amaudruz ne possède aucun lien direct avec les dirigeants actuels du Groupe Mutuel. Les placements financiers du Groupe Mutuel répondent à une stratégie basée sur la performance de ceux-ci et correspondent totalement aux exigences légales. »
C'est la bête noire des parents : les poux, aussi, ont fait leur rentrée depuis quelques semaines. Plusieurs méthodes existent pour s'en débarrasser, les shampoings anti-poux mais aussi des solutions naturelles.
Si parfois les traitements anti-poux manquent à l’appel dans certaines pharmacies, on peut avoir recours à des huiles végétales qui vont tuer les poux et des huiles essentielles pour éviter qu’ils s'accrochent aux têtes des petits. Céline Célardin co-directrice des pharmacies eaux-Vives à Genève.
Céline Célardin
Co-directrice des pharmacies Eaux-Vives à Genève
Céline Célardin Co-directrice des pharmacies Eaux-Vives à Genève
Céline Célardin Co-directrice des pharmacies Eaux-Vives à Genève
Les poux provoquent de fortes démangeaisons et des plaques rouges qui peuvent mener à une infection. S'il est difficile de bien distinguer les poux dont la couleur est proche du cheveu, il est plus facile d'observer les «lentes» qui sont de teinte claire. Pour éliminer toutes les lentes des cheveux, renouvelez le traitement.
Céline Célardin
Co-directrice des pharmacies Eaux-Vives à Genève
Céline Célardin Co-directrice des pharmacies Eaux-Vives à Genève
Céline Célardin Co-directrice des pharmacies Eaux-Vives à Genève
Comme chaque année, le coup d’envoi de la campagne mondiale de sensibilisation au dépistage de cette maladie a été donné dimanche, le 1er octobre. Certains organisent des marches pour sensibiliser au cancer, d'autres tentent une approche gourmande avec des caracs roses représentant un sein. Ils sont vendus durant tout le mois d'octobre dans près de 100 boulangeries-pâtisseries en Suisse romande.
Il s'agit d'une campagne de sensibilisation pour rappeler l'importance du dépistage précoce du cancer du sein. Pour chaque carac vendu, 50 centimes sont reversés à OSE Thérapies, association vaudoise qui accompagne les personnes atteintes d’un cancer. La boulangerie pâtisserie Eric Emery fait partie des enseignes du bout du lac associées au projet. Son patron est particulièrement sensible à cette cause.
Eric Emery
Patron de la boulangerie-pâtisserie éponyme
Eric EmeryPatron de la boulangerie-pâtisserie éponyme
Eric EmeryPatron de la boulangerie-pâtisserie éponyme
En-dessous des caracs, il y a une petite affiche sur laquelle il est écrit “palpez-vous autant que vous likez”, la campagne de sensibilisation visant à rappeler l'importance du dépistage précoce.
Reportage boulangerie-pâtisserie Eric Emery
Reportage boulangerie-pâtisserie Eric Emery
Reportage boulangerie-pâtisserie Eric Emery
6’000 nouveaux cas de cancer du sein sont détectés chaque année en Suisse, dont plus de 1’200 concernent des femmes de moins de 50 ans.
Il fait chaud pour un début octobre, trop chaud même. Un météorologue nous explique le phénomène.
25 degrés ce lundi à Genève, 26° mardi...
L'ensemble de la Suisse se croit encore en été alors que nous sommes déjà en octobre.
Un léger front froid est attendu mardi en fin de journée mais mercredi, le soleil fera déjà son retour et la fin de semaine repassera au-dessus des normales de saison. C’est donc un été indien qui se prolonge. Les explications de Nicolas Borgognon, météorologue à MétéoNews:
Nicolas Borgognon
Météorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Le mois de septembre a été exceptionnel en termes de chaleur, la lancée semble la même pour les 10 premiers jours d’octobre donc.
Nicolas Borgognon
Météorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
C’est un été indien qui se prolonge, idéal pour les balades en forêt. Sauf pour la nature, qui elle souffre de la sécheresse qui ne fait qu’empirer. Nicolas Borgognon:
Nicolas Borgognon
Météorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Enfin, ces journées agréables permettent de mieux observer le paysage changeant et l'ambiance lumineuse, on parle alors d'automne "doré":
Nicolas Borgognon
Météorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Nicolas BorgognonMétéorologue à MétéoNews
Cette douceur devrait durer au moins jusqu'au 10 octobre.
Armando Santacesaria, à la tête de Migros Industrie et membre de la direction générale de la Fédération des coopératives Migros (FCM) quittera ses fonctions fin mars 2024. Le recrutement d'un successeur est en cours.
"Grâce à l'engagement d'une équipe très motivée, nous avons pu lancer de nombreuses innovations sur le marché au cours des cinq dernières années et adapter Migros Industrie à l'évolution des besoins de la clientèle", a affirmé Armando Santacesaria, cité dans le document du géant orange lundi.
Selon Mario Irminger, président de la direction générale de la FCM, au cours des cinq dernières années, M. Santacesaria "a réorienté stratégiquement Migros Industrie et l'a rapprochée de l'activité Supermarché de Migros" et "a également augmenté sa productivité".
Armando Santacesaria continuera d'assurer la direction de Migros Industrie jusqu'à fin mars 2024, "puis il se tiendra à la disposition de l'entreprise pour aider la personne qui lui succédera à prendre ses marques et ainsi assurer une transition sans accroc", d'après le document.
Migros Industrie, qui compte environ 14'000 collaborateurs et collaboratrices, produit 20'000 produits alimentaires et non alimentaires. Cette branche du géant helvétique de la distribution a réalisé en 2022 un chiffre d'affaires de 5,78 milliards de francs et investi 237 millions de francs dans la place industrielle suisse, assure Migros.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Les cas de dengue augmentent en Suisse. Selon le dernier bulletin de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) publié lundi, 154 cas ont été déclarés depuis le début de l'année contre 68 en 2022. L'OFSP met cette hausse sur le compte de la reprise des voyages.
Outre la dengue, le nombre de cas de chikungunya est aussi nettement plus élevé, passant de 2 déclarations en 2022 à 17 cette année. Le nombre de cas de paludisme suivent la même tendance avec 272 cas enregistrés jusqu'à la 38e semaine de cette année, contre 241 l'an passé.
Selon l'OFSP, l'augmentation des cas de dengue et d'autres maladies transmises par les moustiques est due à la reprise des voyages après les années de pandémie du Covid. Les chiffres atteignent à nouveau le niveau d'avant 2020. Les cas déclarés en Suisse concernent exclusivement des personnes infectées à l'étranger.
La présence du moustique tigre en Suisse ne signifie pas nécessairement qu'il y aura une épidémie de dengue, précise l'OFSP. Mais il est possible qu'un moustique local pique une personne infectée de retour d'une région endémique et devienne à son tour vecteur du virus sur une autre personne, ajoute l'office.
Le risque à long terme de transmission de maladies et le fait que les moustiques tigres puissent être extrêmement gênants sont les raisons pour lesquelles la propagation est activement surveillée par les cantons. Le moustique tigre a été repéré au Tessin dès 2003 et, depuis, dans plusieurs cantons romands. Des mesures de lutte pour éviter sa propagation ont été mises en place.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats