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Thierry Burkart veut présider le PLR en équipe

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Seul candidat à la présidence du PLR, Thierry Burkart prône le travail d'équipe, avec quatre vice-présidents. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Thierry Burkart devrait être le prochain président du Parti libéral-radical suisse. Le conseiller aux Etats argovien est le seul candidat à la succession de Petra Gössi. Il sera soutenu par quatre vice-présidents.

Les délégués du PLR éliront leur nouveau président le 2 octobre. Ils donneront aussi leur aval à un changement de statut pour que la vice-présidence passe de deux à quatre membres. Thierry Burkart, qui aura 46 ans le 21 août, lie sa candidature à la mise en place d'une équipe forte et diversifiée, a indiqué le PLR lundi au terme du délai de candidature.

Le président pourra compter sur le conseiller aux Etats appenzellois Andrea Caroni et le conseiller national valaisan Philippe Nantermod, déjà vice-présidents, ainsi que la conseillère aux Etats fribourgeoise Johanna Gapany et le conseiller national zurichois Andri Silberschmidt. Le quintette composé essentiellement de trentenaires et quadragénaires s'est constitué ces derniers jours.

"Ma candidature est la candidature d'une équipe", a expliqué Thierry Burkart devant les médias. L'objectif est l'unité et non la division. Il y aura un chef et quatre vice-présidents prêts à l'épauler dans les régions et les médias, a abondé Philippe Nantermod.

Voix libérale

La Suisse a besoin d'une voix libérale et seul le PLR peut l'apporter, a affirmé Thierry Burkart. Le parti doit apporter des solutions à long terme, constructives et réfléchies.

La politique environnementale fera partie de ses prérogatives. "Nous soutenons les objectifs de l'Accord de Paris". Une nouvelle loi sur le CO2 est nécessaire. Mais il faut trouver des mesures dans ce domaine qui soient aussi durables socialement et économiquement, a noté l'avocat argovien.

Appartenant à l'aile droite du parti, le futur président s'était opposé au virage écologique adopté par le parti et à la loi sur le climat. Le conseiller aux Etats s'est aussi engagé très tôt pour une rupture des négociations avec l'UE sur l'accord-cadre, rejoignant la position de l'UDC.

Il y aura toujours des opinions divergentes au sein du parti libéral. Il faut en tenir compte avant de trouver un consensus, a relevé M. Burkart. Le PLR est un parti populaire, a-t-il ajouté. L'énergie, la migration ou les assurances sociales sont aussi ses thèmes-clés.

Procédure à suivre

En attendant son élection, Thierry Burkart devra suivre la procédure fixée par la commission de sélection. Il sera entendu par la Conférence des présidents des sections cantonales le 13 septembre. Une seconde audition est prévue le 1er octobre, à la veille de l'assemblée des délégués.

La liste des candidats à la présidence du PLR s'est étiolée au cours des dernières semaines. Le conseiller national saint-gallois Marcel Dobler, qui était le seul à s'être officiellement annoncé, a finalement renoncé, soutenant Thierry Burkart. Il envisageait notamment une co-présidence.

Pressentie pour diriger le parti avec Marcel Dobler, la conseillère nationale vaudoise Jacqueline de Quattro a annoncé vendredi qu'elle jetait l'éponge.

Aile droite

Le PLR compte sur le nouveau président pour relancer sa stratégie en vue des élections fédérales de 2023. Thierry Burkart aura pour tâche de redonner des ailes au parti qui a perdu des plumes en 2019, avec une part électorale ayant chuté à 15,1%.

Thierry Burkart a étudié à l'Université de St-Gall. Il a été membre du Parlement argovien de 2001 à 2013. En 2015, il a été élu au Conseil national avant de rejoindre le Conseil des Etats quatre ans plus tard. Capitaine à l'armée, il occupe différents mandats, dont celui de président central de l'Association suisse des transports routiers (ASTAG).

Au Parlement, Thierry Burkart est vice-président de la commission de gestion du Conseil des Etats. Il est également membre de la commission des transports et télécommunications ainsi que de celle de la politique de sécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Suisse

Le Swiss Loto fait un nouveau millionnaire samedi

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Swiss Loto a fait un nouvel heureux, qui a empoché un million de francs samedi. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Suisse compte un nouveau millionnaire samedi. Il empoche 1 million de francs après avoir deviné les six bons numéros du Swiss Loto. Il fallait cocher les numéros 7, 8, 15, 33, 37 et 41. Le numéro chance était le 1, le rePLAY le 6 et le Joker le 632762.

Lors du prochain tirage mercredi prochain, 24,9 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Les vins de Lausanne ont trouvé preneur

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Un vigneron travaille sur un des domaines de Lausanne en Lavaux "Le Clos des Abbayes". (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Lausanne a vendu son vin aux enchères samedi : la 221e mise aux enchères des vins de la capitale vaudoise s’est tenue à l’Hôtel de Ville. L’intégralité des lots proposés, soit 12’132 bouteilles, a été misée pour une recette totale de 202’561 francs, peut-on lire dans un communiqué samedi.

Lausanne compte cinq domaines viticoles, qui s'étalent sur quelque 33 hectares (ha) en Lavaux et sur la Côte : le domaine du Burignon, perché sur les hauteurs de Saint-Saphorin. Dans le Dézaley, entre Cully et Rivaz, le Clos des Abbayes de 4,7 ha, et le Clos des Moines et 4 ha, perché en haut de pentes à plus de 30% de déclivité.

Sur la Côte, on trouve L'Abbaye du Mont à cheval entre Mont-sur-Rolle et Perroy, le plus grand domaine viticole lausannois avec ses 13,5 ha. Et enfin le Château Rochefort, avec 4,3 ha à Allaman.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

"Un million d'étoiles" contre la pauvreté samedi en Suisse

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Les événements commencent à la tombée de la nuit et sont ouverts à tous. L'action se déroule aussi bien dans les grandes villes que dans les petites localités et propose aussi un programme pour les familles et pour la réflexion. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Avec son action "Un million d'étoiles", Caritas a donné samedi un "signe lumineux de solidarité" aux plus d'1 million de personnes en Suisse qui n'ont pas assez pour vivre. Des océans de lumière avec jusqu'à 2000 bougies étaient allumés dans une centaine de lieux.

Les événements, ouverts à tous, ont commencé à la tombée de la nuit. L'action s'est déroulée aussi bien dans les grandes villes que dans les petites localités et proposait aussi un programme pour les familles et pour la réflexion. La pauvreté est souvent invisible, constate l'ONG, c'est pourquoi Caritas invitait chacun à passer et à allumer sa bougie personnelle en signe de soutien.

Selon l'Office fédéral de la statistique (OFS), 745'000 personnes sont touchées par la pauvreté en Suisse. Presque autant vivent avec le minimum vital, ce qui signifie qu'au total, environ 1'240'000 personnes n'ont pas assez d'argent pour vivre, soit une personne sur sept.

Leur revenu est nettement inférieur à celui de l'ensemble de la population. Les familles avec trois enfants ou plus sont plus nombreuses que la moyenne à être touchées par la pauvreté.

De plus en plus de pauvres

Et le phénomène s'aggrave. Depuis 2014 en effet, la pauvreté ne cesse d'augmenter en Suisse. La hausse des primes d'assurance maladie pour la nouvelle année va encore péjorer la situation des personnes dont les conditions financières sont déjà précaires.

Celles-ci souffrent aussi plus que la moyenne de la hausse du coût de la vie. Car les prix des denrées alimentaires ont augmenté également plus fortement que le renchérissement général, relève Caritas.

"La pauvreté a souvent pour conséquence l'isolement social. La période de Noël est particulièrement difficile lorsque l'argent manque pour tout", explique Christine Gerstner, coordinatrice de l'événement pour les Caritas régionales, citée dans le communiqué.

"Avec cette action menée dans toute la Suisse, nous souhaitons offrir aux gens l'occasion de s'arrêter un moment et de montrer leur soutien aux personnes concernées", dit-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Protège-cou pour les équipes nationales

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Les deux Finlandais de Langnau Harri Pesonen et Juuso Riikola portent le protège-cou. Les équipes nationales suisses en feront de même à l'avenir (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les prochains rendez-vous des équipes nationales verront Suissesses et Suisses porter le protège-cou. Une mesure immédiate qui va dans le sens de la fédération internationale (IIHF).

Obligatoire pour les équipes nationales juniors, le protège-cou le sera également pour les équipes nationales féminine et masculine à partir de la semaine prochaine. "La santé des joueuses et des joueurs est notre priorité absolue, explique le directeur des équipes nationales Lars Weibel dans un communiqué. Etant donné que plusieurs nations ainsi que la Fédération internationale IIHF introduiront l’obligation du port du protège-cou prochainement, nous souhaitons aussi montrer l’exemple en introduisant cette obligation dès les prochains matchs des équipes nationales."

Les dames porteront un protège-cou lors du tournoi des cinq nations à Falun en Suède et les hommes en feront de même lors des prochains matches internationaux à Zurich.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Alain Berset : en 2023, "pas de sujet important sans fuite"

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Les indiscrétions sont monnaie courante, mais n'influencent pas les discussions au Conseil fédéral, selon Alain Berset (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le président de la Confédération Alain Berset a critiqué samedi les indiscrétions qui ont émaillé la politique fédérale cette année. Il a regretté qu'il n'y ait pas eu en 2023 de sujet important discuté au Conseil fédéral sans "fuite".

Ce problème n'a malheureusement jamais été approfondi, a ajouté le Fribourgeois sur les ondes de la radio alémanique SRF. Les fuites n'influencent pas beaucoup les discussions au sein du Conseil fédéral, mais elles indignent toujours.

Le conseiller fédéral socialiste n'a reconnu qu'à la fin novembre avoir eu connaissance des contacts entre son chef de la communication et le directeur du groupe Ringier pendant la pandémie de coronavirus. Il a toutefois assuré que rien de confidentiel n'a été échangé. Il a également critiqué le rapport des commissions de gestion (CdG) du Parlement sur les "coronaleaks".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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