Urbanature, c'est parti. Bacs fleuris et jardinières suspendues à des échafaudages font leur apparition en Ville de Genève. L'idée: aménager des espaces verts temporaires au coeur de la cité. On vous présente en avant-première les nouveautés de cette sixième édition.
Cette année, le concept de "jardin suspendu" débarque. Pour l'occasion, les jardinières prennent de la hauteur. Bruno Aeschlimann, architecte-paysagiste au Service des espaces verts (SEVE), détaille le but de ces installations, notamment place de la Navigation, aux Pâquis:
Bruno Aeschlimann
Architecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Sur le quai du Général-Guisan, les plantes forment, cette fois, un toit végétal. A l'ombre, le passant pourra profiter de la vue sur la rade ou lire un bon bouquin. Les explications de Bruno Aeschlimann:
Bruno Aeschlimann
Architecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Selon l'objectif recherché, on n'utilise pas les mêmes plantes. Les précisions de l'architecte-paysagiste, qui commence par décrypter les plantes situées dans les bacs au sol, place de la Navigation:
Bruno Aeschlimann
Architecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Se réapproprier l'espace public
De manière générale, Urbanature, comme son nom l'indique, vise à amener la nature dans l'espace urbain et à permettre aux citadins de se réapproprier l'espace public. Comme l'explique le conseiller administratif en Ville de Genève, Guillaume Barazzone:
Guillaume Barazzone
Conseiller administratif
Guillaume BarazzoneConseiller administratif
Guillaume BarazzoneConseiller administratif
Enfin, il n'y a pas que des plantes et des fleurs qui viennent agrémenter les lieux. Des rondins de bois sont mis en place pour servir d'assises, comme le souligne Bruno Aeschlimann:
Bruno Aeschlimann
Architecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Des cosmos et des zinnias
Autre lieu, autre type d'aménagement: la place du Bourg-de-Four. Une présentation signée Bruno Aeschlimann:
Bruno Aeschlimann
Architecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Bruno AeschlimannArchitecte-paysagiste au SEVE
Urbanature ne mise pas que sur l'éphémère. Comme le rappelle Guillaume Barazzone:
Un motard a été grièvement blessé mardi dans un accident de la circulation sur la route du Pont-Butin.
Un motocycliste et un véhicule d’entreprise se sont percutés peu avant 13h30, à la hauteur du chemin des Pâquerettes. Le conducteur du deux roues, âgé de 21 ans, a été grièvement blessé.
La Brigade routière et accidents a lancé un appel à témoins. Vous pouvez les contacter au 022 427 64 50.
Greenpeace s'est immiscé mardi dans le centre des congrès à Davos où se déroule l'ouverture officielle du Forum économique mondial (WEF). Deux activistes ont brandi une banderole devant le hall principal, avant de se faire évacuer.
Deux activistes habillés en costume sont montés sur une estrade à l'aide d'une échelle avant de brandir une banderole appelant à la taxation des super riches. La sécurité les a évacués quelques minutes avant l'ouverture officielle du WEF après un moment de flottement, a constaté Keystone-ATS.
L'organisation et d'autres mouvements ont mené plusieurs actions ces derniers jours. Des activistes ont notamment aspergé de peinture verte l'enseigne Amazon sur la rue principale de Davos.
Greenpeace a pour sa part tenté de bloquer la sortie de l'héliport où atterrissent les jets privés. La police est rapidement intervenue. D'autres actions ont eu lieu le week-end dernier également dans les Grisons et à Berne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
La Chine a battu en 2024 son propre record mondial en termes d'installations de capacités de production d'énergie renouvelable, selon des données officielles chinoises publiées mardi.
Le pays a installé l'an passé quelque 277 gigawatts (GW) de nouvelles capacités en solaire, contre 217 GW en 2023, et 80 GW de nouvelles capacités en éolien, également plus que l'année précédente, selon des chiffres publiés par l'Administration nationale de l'Energie (NEA).
Le pays, qui est le plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre, est aussi depuis quelques années celui qui connaît la hausse la plus fulgurante en matière d'installation de capacités renouvelables.
Pékin veut atteindre son pic d'émissions de CO2 en 2030 et parvenir à la neutralité carbone en 2060. Sa capacité totale installée est désormais de 887 GW en solaire et de 521 GW en éolien, soit plus de 15% de plus que l'objectif de 1200 GW installés au total en 2030 qu'avait fixé le président Xi Jinping en 2020.
50 milliards de dollars
Le pays, qui construit davantage de capacités en solaire et en éolien que le reste du monde cumulé, a investi plus de 50 milliards de dollars dans le domaine de 2011 à 2022, selon des données de l'Agence internationale de l'énergie.
La deuxième économie mondiale reste toutefois fortement dépendante du charbon. Elle a cependant réduit de 83% les autorisations de construction d'usines électriques au charbon au premier semestre 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Le peuple suisse devrait à nouveau voter sur la responsabilité des multinationales. Après un premier échec dans les urnes en novembre 2020, le comité d'initiative a récolté 183'661 signatures en 14 jours.
Lors du lancement le 7 janvier dernier, il avait fait le pari de collecter les 100'000 paraphes nécessaires en un mois. Dans un communiqué publié mardi, le comité interpartis parle de "récolte record", qui montre l'ampleur du soutien au sein de la population.
La nouvelle initiative prévoit des règles contraignantes pour obliger les multinationales helvétiques à respecter les droits humains et les normes environnementales dans leurs activités commerciales et à réduire leurs émissions nocives pour le climat.
Ces obligations s'inspirent étroitement des normes internationales dans le domaine et des règles adoptées par l'UE. Lors de la campagne en 2020, les opposants à l'initiative avaient affirmé que la Suisse ne devait pas faire cavalier seul, mais plutôt agir de manière coordonnée avec l'UE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Des pirates informatiques russes ont attaqué mardi les sites internet de plusieurs communes et banques suisses. L'Office fédéral de la cybersécurité s'attendait à ce que de telles attaques se produisent pendant le Forum économique mondial (WEF) de Davos.
Pour les pirates, il s'agit d'une quasi-manifestation en ligne. Ils veulent attirer l'attention, a indiqué mardi l'Office fédéral de la cybersécurité (OFCS) à Keystone-ATS, confirmant une information du portail d'information Bluewin.ch.
Le groupe de pirates russes "NoName" serait responsable de ces attaques par déni de service, dites DDoS. Selon le portail d'information, les banques cantonales zurichoise et vaudoise ainsi que les communes lucernoises d'Adligenswil, Kriens et Ebikon ont notamment été touchées.
Selon l'OFCS, les attaques DDoS consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées, de sorte qu'ils ne soient plus accessibles. Il n'y a pas de fuite de données lors d'une telle attaque.
Le même groupe de pirates avait déjà paralysé plusieurs sites web de l'administration fédérale en juin 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats