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Actualité

Partage a récolté plus de 148 tonnes de produits secs samedi dernier

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A Genève, la Fondation Partage a récolté 148,4 tonnes de marchandise samedi dernier, soit près d’une tonne de plus qu'en mai 2018.

Deux samedis par an, les gens sont invités à donner des denrées non périssables pour les personnes dans le besoin. Depuis près de 15 ans, la fondation distribue gratuitement des aliments et des repas aux plus démunis grâce aux invendus des grandes surfaces et grâce à la générosité des Genevois. Reportage:

Le cercle des bénéficiaires ne cesse de s’agrandir, comme l’explique Marc Nobs, le directeur de la Fondation Partage.

Marc NobsDirecteur de la Fondation Partage

Les applications pour valoriser les invendus comme « Too good to go », sont-elles une concurrence pour Partage ? Ecoutez la réponse du directeur de la Fondation.

Marc NobsDirecteur de la Fondation Partage

On estime à 2 millions de tonnes les aliments jetés chaque année en Suisse.

 

 

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International

Premier conseil de l'alliance européenne des mosquées

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L'Alliance européenne des mosquées a pour objectif de répandre un i"slam juste". Sur la photo: la Mosquee du Petit-Saconnex à Geneve, (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Une alliance européenne des mosquées et leaders musulmans baptisée Ammale a tenu son premier conseil vendredi à Paris, pour promouvoir "un islam juste" et combattre les discriminations visant les musulmans.

Fruit de plusieurs années de travail, l'Alliance des mosquées, associations et leaders musulmans en Europe (Ammale) avait été officiellement lancée le 7 octobre dernier à Paris, avec des responsables musulmans de 17 pays, mais sa naissance avait été occultée par l'attaque du Hamas en Israël.

Il s'agit d'"unir les voix et les efforts des institutions et personnalités musulmanes à travers l'Europe, en défendant le véritable message de l'islam, contraire à toute forme d'extrémisme, et en protégeant la dignité et la citoyenneté des musulmans", a affirmé le recteur de la Grande mosquée de Paris Chems-eddine Hafiz lors d'une conférence de presse.

Espoir

En effet, "le manque de coordination entre institutions musulmanes affaiblit la portée de nos actions et de notre voix alors qu'elles sont nécessaires", a martelé M. Hafiz, également président de l'Ammale (qui veut aussi dire "espoir" phonétiquement).

"Cela produit des espaces vides dans lesquels s'immisce et grandit toute forme d'extrémisme", a-t-il ajouté, se disant "conscient de la montée de l'incompréhension, de l'intolérance et du racisme par l'entremise de mouvements politiques et médiatiques".

D'autres associations représentatives existent déjà, telles que l'European Muslim Leaders Council (EULEMA) par exemple. Pour l'Ammale "nous avons réuni celles et ceux qui se rapprochent de ce que représente la Grande mosquée de Paris (GMP), c'est-à-dire une école de pensée sunnite, malékite". Mais nous "savons qu'il y a plusieurs écoles" et "les portes sont grandes ouvertes", a souligné M. Hafiz.

"Participons aux élections européennes"

Association de droit français, organisée autour de la GMP qui assure son financement, l'Ammale ambitionne notamment de "coordonner les actions" pour lutter contre la haine et les discriminations antimusulmanes, de "promouvoir les valeurs humanistes de l'islam", de lutter contre la radicalisation et de "faire barrage à l'extrême droite".

"Participons aux élections européennes", a plaidé M. Hafiz en défendant "un islam juste".

Pour Adbassamad El Yazidi, vice-président de l'Ammale et secrétaire général du Conseil central des musulmans en Allemagne, "notre rôle est de mobiliser les gens pour qu'ils participent au vote" face à une extrême droite qui veut "que les Etats européens se retournent contre les valeurs fondatrices de l'Europe".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Deux skieurs pris dans une avalanche aux Diablerets

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L'avalanche s'est déclenchée jeudi après-midi dans la région des Diablerets (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Deux randonneurs à skis ont été pris jeudi dans une avalanche au col du Pillon aux Diablerets (VD). Le premier est sain et sauf, tandis que le second a été blessé au bassin et héliporté au CHUV par la REGA. Ses jours ne sont pas en danger.

Ces deux randonneurs, des Néerlandais de 30 et 29 ans, ont été piégés par une avalanche qui s'est déclenchée jeudi vers 15h45, indique vendredi la police vaudoise dans un communiqué. L'un des skieurs a réussi à se sortir indemne de la coulée. L'autre a été projeté contre les arbres en bordure de piste et touché au bassin.

Cet événement a nécessité l'engagement de deux personnes de la colonne de secours des Diablerets, de deux conducteurs de chiens du Secours alpin romand, de deux gendarmes de la patrouille des Mosses et de deux hélicoptères de la REGA.

A la suite des récentes chutes de neige, le degré d'avalanche dans les Alpes vaudoises se situe au niveau 3 (marqué), rappelle la police. Elle souligne que pour limiter les risques, il faut utiliser les itinéraires sécurisés et balisés, se renseigner sur la situation météo et le risque d'avalanche.

Par ailleurs, chaque skieur hors-piste doit emporter avec lui son équipement d'urgence (détecteur de victimes d'avalanche, pelle, sonde et téléphone portable chargé) et s'exercer régulièrement à l'utiliser correctement. La police conseille également de suivre un cours sur les avalanches et/ou se laisse guider par une personne ayant des connaissances sur les avalanches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le nouveau concept de la fête des mères à l’école de Lully fait des vagues

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Photo d'illustration (KEYSTONE/Martial Trezzini)

A Bernex, la fête des mères à l’école de Lully tourne à la polémique suite à l’annonce d’un nouveau concept mis en place par le personnel de l’établissement scolaire. 

 Le pot de fleurs en poterie ou la carte dessinée que les écoliers réalisent habituellement en classe pour la fête des mères tournent à la polémique politicienne à Bernex. En cause : un nouveau concept de la fête des mères souhaité par le directeur de l’école primaire de Lully.

Dans un courrier adressé jeudi aux parents d’élèves, le chef d’établissement explique que dans un souci d’inclusion et d’égalité homme-femme, le concept de fêtes mères va changer cette année. Ainsi, les enfants prépareront désormais des cadeaux pour les “gens qu’ils aiment” et non plus spécifiquement pour leurs parents. Avec une date fixée au 24 mai.

L'équipe enseignante de l'école de Lully précise dans la lettre avoir pris la décision, "au vu de la mouvance actuelle traitant de l'inclusion des genres et de l'égalité femme/homme, de ne plus fêter exclusivement les mamans durant le mois de mai, mais, de manière plus globale, les gens qu'on aime."

Il n’en fallait pas plus pour que l’UDC Genève ne dénonce aussitôt “la nouvelle mission woke du DIP”, assurant même que la conseillère d’Etat Anne Hiltpold avait déclaré la guerre avec les parents. Inquiétude aussi dans les rangs du MCG qui a déposé une question écrite au Grand Conseil.

Sauf que la conseillère d’Etat en charge du DIP parle, elle dans Le Temps, d’une  erreur de la part de la direction de l’école et lui demande de revenir sur sa décision.

 

 

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Genève

Restrictions sur les parcours et les horaires des manifestations

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Photo d'archives (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)
A Genève, le Conseil d'Etat a décidé d'agir face à la multiplication des manifestations à caractère politique au centre-ville. Une hausse qui provoque l'exaspération des commerçants. Désormais, il ne sera plus possible de défiler quand on veut et où on veut.

Ces restrictions concernant les parcours et les horaires ont été annoncées par la conseillère d'Etat Carole-Anne Kast sur les ondes de la télévision locale Léman Bleu. L'idée est de faire une pesée entre trois libertés: la liberté d'expression, la liberté de manifester et la liberté de commercer.

Ce changement de cap prendra un peu de temps avant de se concrétiser. Les autorisations déjà délivrées ne sont pas remises en cause. Seules les nouvelles demandes seront soumises au nouveau régime. La manifestation pour Gaza samedi aura ainsi lieu comme prévu, selon le parcours qui a été validé.

Depuis le début de l'année, il existe une hausse importante des demandes des organisateurs de manifestation de faire passer leur cortège d'une rive à l'autre, relève vendredi le porte-parole du département des Institutions et du numérique (DIN) Laurent Paoliello. Les défilés sont presque devenus hebdomadaires.

Ces manifestations génèrent des coûts collatéraux, souligne encore M. Paoliello. Elles bloquent par exemple les transports publics. De leur côté, les commerces du centre-ville se plaignent d'un manque à gagner, surtout lorsque les manifestations ont lieu le samedi, jour de grande affluence pour eux.

Projet de loi

Cette question n'a pas échappé au monde politique. Le PLR Genève a ainsi déposé un projet de loi pour que "les manifestations n'entravent pas les principaux axes de circulation et ne péjorent pas les commerçants". Le parti veut empêcher les défilés d'emprunter les tracés dévolus aux trams et le périmètre du "U Lacustre".

Interrogée par la Tribune de Genève, Clémence Jung, une juriste travaillant pour la campagne de boycott contre Israël BDS dit craindre une violation des libertés d'expression et de manifestation. "Si des refus par principe devaient être signifiés, la justice serait saisie", avertit-elle.

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Suisse

La Suisse est "ouvertement hostile" à la Russie, estime Lavrov

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La Suisse n'est pas adaptée pour organiser un sommet sur l'Ukraine, a déclaré le ministre des Affaires étrangères russe Lavrov dans une interview à des radios russes. (archives) (© KEYSTONE/EPA/MAXIM SHIPENKOV)

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov considère que la Suisse s'est transformée d'un pays neutre en un pays "ouvertement hostile" envers la Russie. Elle n'est donc pas adaptée aux négociations sur le conflit ukrainien.

Le diplomate a fait cette remarque vendredi aux stations de radio russes Sputnik, Komsomolskaya Pravda et Govorit Moskva.

En visite en Chine, le chancelier allemand Olaf Scholz avait affirmé mardi en marge de sa rencontre avec le président chinois Xi Jinping que Berlin et Pékin souhaitaient "se concerter de manière intensive et positive sur la promotion de l'organisation d'une conférence de haut niveau en Suisse".

Interrogé mercredi sur le fait de savoir si Pékin pousserait Moscou à participer à cette conférence, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lin Jian, a nuancé ces propos. "De ce que je sais, cette réunion est encore en préparation et il reste encore beaucoup de travail à faire", a-t-il dit.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky estime que la Chine, partenaire clé de la Russie, peut "accélérer" la paix en Ukraine en jouant un "rôle actif" lors de la conférence organisée en Suisse en juin sur cette thématique.

Mais il a prévenu que la priorité devait être de "rétablir le plein respect des objectifs et des principes de la Charte des Nations unies, y compris le respect des principes d'intégrité territoriale". Une manière d'exclure l'abandon de territoires ukrainiens au profit de Moscou.

Non à la "formule de Zelensky"

Pour le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, "la formule de Zelensky doit être rejetée", réplique-t-il dans l'interview publiée vendredi. La Russie respecte la position de la Chine, dont les représentants se sont prononcés en faveur de la convocation d'une conférence acceptable pour la Russie et l'Ukraine, a-t-il déclaré.

"Cela signifie que ce n'est pas avec la 'formule Zelensky' qu'il faut commencer, il faut la mettre de côté tout à fait". Pour M.Lavrov il s'agit de discuter des bases sur lesquelles la Russie est prête à négocier. Il a alors ajouté sa critique à l'adresse de la Suisse, qui n'est selon lui pas adaptée aux négociations sur le conflit.

Pas digne de confiance

En février déjà, M. Lavrov avait déclaré que Berne n'est pas digne de confiance, la tentative de la Suisse de devenir une médiatrice sur l'Ukraine échouera donc. Le diplomate avait fait cette déclaration, rapportée par l'agence russe Tass, lors du forum international sur le Proche-Orient de Valdaï, en Russie.

"Ils (la Suisse ndlr) essaient maintenant de faire pression pour devenir un médiateur sur l'Ukraine; il n'en sortira rien. Ce n'est pas un acteur auquel on peut faire confiance".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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