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Actualité

Nez Rouge établit un nouveau record de prises en charge

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Le nombre de transports et celui des bénévoles engagés par l'Opération Nez Rouge ont également augmenté (archives). (©KEYSTONE/TI-PRESS/GABRIELE PUTZU)

Le succès de Nez Rouge ne cesse de grandir. Plus de 35'000 personnes ont été raccompagnées à bon port en 2018. C'est 2% de plus que l'année précédente.

Le nombre de transports a également augmenté de 3% à 16'900 courses, indique mardi l'organisation. Pour la 29e édition, 10'400 bénévoles, soit une légère hausse de 1%, ont sillonné les routes pour ramener en toute sécurité les fêtards dans leur propre véhicule.

Le Réveillon de la St-Sylvestre a été une fois de plus la soirée la plus chargée pour les chauffeurs de Nez Rouge. Plus de 1600 bénévoles ont ramené à bon port 8800 personnes. A Noël, quelques 1000 bénévoles avaient déjà pris en charge 3900 personnes.

C'est de nouveau l'antenne argovienne qui détient la palme du nombre de transports effectués avec 2944 courses. Côté romand, le Jura arrive en tête (1610), suivi du Valais (1349) et de Neuchâtel (899). Genève et Lausanne viennent ensuite avec respectivement 775 et 637 courses.

Moyens alternatifs

Seules les régions de Bâle, du Haut-Valais et de l'Engadine ne sont pas couvertes. Mais pour la fédération à but non lucratif, Nez Rouge a une portée symbolique qui vise à habituer les citoyens à trouver le moyen de rentrer chez soi en toute sécurité tout au long de l'année après une soirée bien arrosée.

Cela peut consister à choisir un chauffeur désigné, soit une personne qui reste sobre pour ramener les autres, appeler un taxi, prendre les transports publics, dormir sur place ou appeler un proche pour venir nous chercher.

Initiée au Québec, l'Opération Nez Rouge a débuté en 1990 en Suisse, dans le canton du Jura. Depuis la première édition, 159'600 bénévoles ont été engagés et 457'700 personnes ont été raccompagnées à leur domicile. Ce service compte 23 sections régionales chapeautées par une Fédération suisse.

Source ATS

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Culture

Démission en cascade au FIFDH

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Irène Challand © KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Trois membres du Conseil de fondation et la directrice des programmes quittent le FIFDH, le Festival du film et forum international sur les droits humains de Genève.

Le conseil de fondation a tenu une réunion à huis clos jeudi dernier, suite aux tensions apparues ces derniers mois au sein du Festival.

Dans un communiqué de presse du FIFDH, Nadia Dresti, Ursula Meier et Stina Werenfels disent regretter le manque de soutien de la part de l’équipe opérationnelle et les conflits internes qui ont amené à la situation actuelle.

Constat partagé par la directrice des programmes Irène Challand qui dit ne pas vouloir mettre davantage sa santé en péril. 

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Suisse

L'Université de Berne est prête pour le voyage vers Jupiter

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Au centre spatial européen de Kourou, en Guyane française, "Juice" est préparé pour le lancement. (© ESA)

A bord d'une fusée Ariane 5, la mission spatiale "Juice" de l'Agence spatiale européenne (ESA) entame le 13 avril son voyage de 700 millions de kilomètres vers Jupiter. Plusieurs instruments de l'Université de Berne se trouvent à bord.

"La sonde spatiale est prête, tous les tests sont terminés", a déclaré Peter Wurz, directeur de l'Institut de physique de l'Université de Berne, à Keystone-ATS. Sous sa direction, un appareil de mesure, le "Neutral and Ion Mass Spectrometer" (NIM), a été développé et construit à Berne pour la mission "Juice". Le scientifique suivra à Berne le lancement de la fusée depuis le centre spatial européen de Kourou, en Guyane française.

Dans les prochains jours, la sonde sera positionnée sur la fusée. Puis la fusée sera ravitaillée. "Nous ne pouvons plus qu'espérer que tout se passe bien", a glissé le directeur. "Il y a toujours un petit risque. Le ravitaillement en carburant hautement explosif, par exemple, est une opération délicate."

Le lancement est un grand pas pour les chercheurs de l'Université de Berne. Il y a dix ans, ils ont commencé à construire les instruments de mesure. Le travail intellectuel sur la mission avait déjà démarré des années auparavant.

Huit ans pour atteindre Jupiter

"Nous attendons avec impatience le moment où les premières données des instruments seront reçues", a poursuivi M. Wurz. Mais avant d'en arriver là, il faudra faire preuve de beaucoup de patience. Le voyage vers Jupiter dure huit ans. Ce n'est qu'en juillet 2031 que la sonde arrivera sur la planète géante.

Les chercheurs veulent étudier trois des plus de 80 lunes de Jupiter: Ganymède, Callisto et Europe. La température moyenne à la surface de ces lunes glacées est inférieure à moins 140 degrés Celsius.

"Nous voulons ainsi comprendre la formation de notre système solaire", a expliqué le scientifique. Jupiter étant la plus grande planète de notre système solaire, la compréhension de sa formation est considérée comme importante pour les connaissances sur l'origine de la Terre.

L'histoire est conservée dans la glace des lunes de Jupiter. Concrètement, le NIM étudiera la composition chimique et isotopique et la distribution des particules dans les atmosphères des lunes glacées de Jupiter ainsi que les paramètres physiques de ces atmosphères. "Juice" ne se posera pas sur les lunes glacées pour y prélever directement des échantillons d'eau, mais se contentera de les survoler.

La mission a également pour but de rechercher des signes de vie. Les missions précédentes vers Jupiter laissent supposer que des océans se trouvent sous l'épaisse couche de glace de Ganymède et d'Europe. Et là où il y a des océans, la vie est théoriquement possible. Peter Wurz s'attend à ce que la vie extraterrestre soit découverte dans les 20 prochaines années.

Radioactivité

Pour cette mission, "un grand défi pour les instruments est la radioactivité", selon le scientifique. Elle est plus forte sur Jupiter que nulle part ailleurs dans notre système solaire. "Nos instruments doivent pouvoir résister à ce rayonnement".

Les chercheurs ont donc dû développer et mettre en place des boucliers de protection. En outre, les instruments de Jupiter doivent faire face à de grandes variations de température et la sonde doit pouvoir accumuler suffisamment d'énergie malgré une lumière solaire environ 25 fois plus faible que sur Terre.

Outre NIM, deux autres instruments, en partie "bernois", seront à bord de "Juice". Les scientifiques suisses ont développé un module pour l'altimètre Gala, qui étudiera la topographie de Ganymède, la lune de Jupiter.

En outre, l'Université de Berne a développé l'optique et l'unité de calibration pour l'instrument Submillimeter Wave Instrument (SWI). Le SWI mesurera la stratosphère de Jupiter ainsi que les atmosphères et les surfaces des lunes glacées de Jupiter.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Un appartement témoin pour sensibiliser à la protection de l'eau

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A l'occasion de la 30ème journée mondiale de l'eau, des animations et des ateliers ont pris possession du Pavillon Sicli. Le public était invité à découvrir les bons comportements pour préserver notre plus grande ressource naturelle. 

Quels sont les bons gestes à adopter pour économiser l'eau ?  L'Exp'Eau se tenait ce week-end au Pavillon Sicli pour sensibiliser la population genevoise à la protection de la plus précieuse des ressources. Divers ateliers étaient ouverts au public pour comprendre tous les enjeux autour de l'eau à Genève. Parmi les animations, un petit appartement témoin avec une salle de bain et un kit vaisselle était installé.  Objectif de ce dispositif : démontrer les bonnes pratiques à suivre chez soi au quotidien.

ReportageYann Rossier

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Economie

Swiss supprime 42 vols de et vers l'Allemagne

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Les grèves en Allemagne affectent lundi les vols de Swiss (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

En raison des grèves en Allemagne, Swiss a annulé lundi 42 vols au départ de Zurich et de Genève en provenance et à destination de ce pays. D'autres compagnies aériennes ont également annulé des vols.

Tous les vols à destination de Düsseldorf, Francfort, Hanovre, Munich, Nuremberg et Stuttgart ont été annulés, a indiqué l'aéroport de Zurich à Keystone-ATS. Ils ont disparu des tableaux d'affichage et les voyageurs ont été informés.

Il n'y a pas eu d'afflux de passagers en attente. Les différentes compagnies aériennes avaient déjà annulé les vols correspondants vendredi dernier.

Dimanche déjà, quatre vols entre Zurich et Munich ont été annulés, a indiqué Swiss à Keystone-ATS. Les aéroports de Berlin et de Dresde continuent d'être desservis par Swiss, tandis que seuls des vols entrants sont prévus à Hambourg.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Drogues: les 11-15 ans ont presque tout essayé

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Les évolutions à la hausse chez les 13 ans pour l’alcool et pour la cigarette conventionnelle sont préoccupantes. (© KEYSTONE/DPA/PATRICK SEEGER)

A 15 ans, les écoliers en Suisse ont essayé presque toutes les substances psychoactives. Les évolutions à la hausse pour l'alcool et la cigarette conventionnelle dès 13 ans sont préoccupantes, souligne Addiction Suisse dans sa 10e étude nationale quadriennale.

Les consommations sont le plus souvent expérimentales ou sporadiques, mais les usages fréquents et les mélanges de produits impliquant des médicaments se retrouvent chez une minorité non négligeable, écrit Addiction Suisse lundi en présentant sa 10e étude nationale représentative multithèmes Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) sur mandat de l'Office fédéral de la santé publique.

En 2022, les consommations de substances psychoactives ont augmenté rapidement entre 11 et 15 ans. Les écoliers de 15 ans sont très minoritaires à n’en avoir consommé aucune dans leur vie. La consommation d’alcool chez les 11 à 15 ans et de cannabis illégal chez les 14 et 15 ans est assez stable par rapport à 2018, mais à un niveau élevé. Chez les 14 et 15 ans, on observe de fortes hausses pour la consommation de produits du tabac et/ou de la nicotine, excepté la cigarette conventionnelle.

L'accès à l’alcool et à la cigarette conventionnelle est toujours plus aisé malgré les interdictions de vente aux mineurs. D'une manière générale, les écarts entre les filles et les garçons tendent à se réduire.

Pour son enquête, Addiction Suisse a interrogé 74,2% des 857 classes de 5e à 9e années de programme (7e à 11e années HarmoS). Celles-ci ont été sélectionnées au hasard. Au total, cela représente 9345 élèves de 11 à 15 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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