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Movember : un mois pour parler des maladies masculines

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L’évènement a été créé pour mobiliser et sensibiliser à la santé des hommes, notamment au dépistage des cancers. Quatre maladies masculines sont visées.  Le docteur Guillaume Altwegg est médecin interne au service d’urologie aux HUG. Il coordonne les actions Movember cette année.

Guillaume Altwegg Médecin interne au service d’urologie aux HUG

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Actualité

Emprunt bancaire, crédit privé, prêt personnel : quelles modalités pour emprunter en Suisse ?

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crizzystudio©/AdobeStock
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Vous avez un projet et pour le réaliser, vos fonds propres sont insuffisants ? Quels que soient votre profil et vos besoins, vous pouvez avoir recours à un emprunt bancaire. Découvrons ensemble toutes les modalités pour emprunter en Suisse !

Premières conditions pour un emprunt suisse

Besoin d'une somme d'argent pour mener à bien votre projet ? Avant de faire votre demande en ligne ici, assurez-vous de respecter les conditions de base. Quel que soit l'établissement bancaire envisagé, pour emprunter en Suisse, il est nécessaire de répondre à certains impératifs que sont :

  • l'âge : en Suisse, les demandes des emprunteurs de moins de 18 ans et de plus de 70 ans sont automatiquement refusées. Toute personne active contractant un prêt devra s'être acquittée de toutes les mensualités avant l'âge de 65 ans.
  • la nationalité : avoir la nationalité suisse ou vivre en suisse permet d'avoir accès à un crédit à la consommation. Les citoyens suisses, les titulaires de permis B, les frontaliers permis G et les titulaires de cartes de légitimation D, E, F ont quant à eux accès au prêt privé. Posséder un permis de séjour F, N ou S ne permet pas d'avoir accès à un emprunt en Suisse.
  • la situation professionnelle : les modalités d'octroi d'un prêt varient en fonction de la politique de l'établissement bancaire visé mais sont également conditionnées par la situation professionnelle de l'emprunteur. Un employé, un cadre, un indépendant ou un rentier ne se verront pas proposer les mêmes conditions. En cas de chômage, la possibilité d'emprunter est évidemment réduite à zéro.

La question de la solvabilité

Faire la demande d'un prêt en Suisse permet d'envisager un avenir financier plus serein. Un voyage, un déménagement ou un regroupement de crédits sont des projets qui peuvent être soutenus par un crédit. Néanmoins en Suisse, comme ailleurs, on ne peut emprunter sans être certain de pouvoir rembourser. C'est alors que rentrera en compte la question de la solvabilité.

Pour la jauger, c'est simple : l'établissement bancaire fera le point sur vos charges. Elles peuvent être diverses et bien souvent en lien avec la vie courante. Loyer, voiture, alimentation : en fonction de la composition de votre foyer et de vos habitudes, elles peuvent être plus ou moins lourdes. La somme obtenue sera analysée en fonction de vos revenus et des potentiels crédits déjà en cours. Vous obtiendrez alors votre taux d'endettement maximal et aurez ainsi une vision plus précise de la somme que vous pourrez emprunter sans dépasser le montant maximal autorisé.

Bon à savoir : être solvable au moment où est faite la demande d'emprunt en Suisse est capital mais sachez également que votre historique doit être vierge. Autrement dit : il ne faut pas avoir eu, par le passé, des défauts de paiement, des poursuites ou avoir eu des inscriptions pénalisantes à la Zek.

Quelles perspectives de crédit en Suisse ?

Que l'on envisage un crédit personnel, un crédit privé ou tout autre type d'emprunt en Suisse, on sera forcément soumis à des critères de sélection rigoureux. Toutes les banques analysent en effet le degré de risque que représente chaque demande et pour certains profils, l'obtention d'un crédit semble difficile, voire impossible. Il est cependant intéressant de savoir qu'au-delà de ces vérités communes, chaque établissement bancaire applique ses propres critères. Ce scoring, différent d'une banque à une autre, incarne un véritable espoir pour les emprunteurs en Suisse. Chaque profil peut en effet y voir la possibilité d'obtenir un crédit, l'important étant de savoir vers quels professionnels se tourner en fonction de ses besoins et de sa situation financière actuelle.

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Genève

Quels changements pour le Nutri-Score dès le 1er avril?

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KEYSTONE Source DPA Byline CHRISTOPHE GATEAU

Le Nutri-Score a été réévalué. A partir du 1er avril, certains produits transformés vont changer de catégories. 

Vous avez peut-être pris l’habitude de le consulter avant d'acheter un produit alimentaire.

Le Nutri-Score va changer à partir du 1er avril prochain. Ce système de notation classe la qualité nutritive des aliments avec des lettres, de A à E et avec des couleurs, de vert foncé à rouge.

En clair, il permet d’identifier rapidement si un produit est bon ou pas pour notre santé. L'algorithme de ce Nutri-Score a donc été recalculé et par conséquent, des produits qui contiennent du sucre, du sel ou des édulcorants seront davantage pénalisés. C’est pourquoi le Coca Zéro va passer par exemple de B à D.

Le détails de ces changements avec Tania Lehmann, la directrice de Fourchette Verte Genève:

Tania LehmannDirectrice de Fourchette Verte Genève

Des changements qui étaient donc nécessaires car certains produits étaient bien notés, alors qu’ils ne le méritaient pas.

Tania LehmannDirectrice de Fourchette Verte Genève

Si le Nutri-Score peut-être un bon indicateur, il faut continuer à lire la liste des ingrédients des produits transformés et garder une certaine forme de bon sens:

Tania LehmannDirectrice de Fourchette Verte Genève

Les huiles changent aussi de catégories. Par exemple l’huile d'olive ou de colza, réputées pour être bonne pour la santé, vont passer de la catégorie C à B. 

Rappelons que le Nutri-Score est un système européen et n’est pas obligatoire. Et qu’il devrait continuer à évoluer. 

Pour en savoir plus, l'interview de  Tania Lehmann en intégralité est à retrouver ci-dessous:

Tania LehmannDirectrice de Fourchette Verte Genève

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International

La poste allemande met fin au transport de courrier par avion

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"Les lettres transportées par avion en Allemagne ne se justifient plus en période de changement climatique", selon la Deutsche Post (archives). (© KEYSTONE/DPA/MORITZ FRANKENBERG)

Le géant du courrier et de la logistique Deutsche Post DHL a mis fin jeudi à son service de transport aérien du courrier à l'intérieur de l'Allemagne.

Pour mettre fin à ce service assuré depuis plus de 60 ans, le groupe invoque des impératifs économiques et écologiques.

"Une époque touche à sa fin: après 63 ans, Deutsche Post abandonne son réseau de courrier aérien de nuit en Allemagne", indique un communiqué de presse du groupe de Bonn. Pour la dernière fois, des avions des compagnies allemandes Eurowings et Tui Fly, partenaires de l'opérateur, ont effectué dans la nuit de jeudi plusieurs liaisons aller-retour en Allemagne (Stuttgart-Berlin, Hanovre-Munich et Hanovre-Stuttgart) pour le transport des paquets de lettre, disposés sur les sièges de passagers dans les cabines.

"Les lettres transportées par avion en Allemagne ne se justifient plus en période de changement climatique, notamment parce que les lettres ne sont plus aussi urgentes qu'elles l'étaient il y a plusieurs décennies", avant l'arrivée de la messagerie électronique, a déclaré Marc Hitschfeld, directeur de la division courrier et colis du groupe. Signe du repli tendanciel des lettres sur papier, Deutsche Post a dernièrement transporté chaque nuit en moyenne 53 tonnes de courrier - soit 1,5 million de lettres - avec six avions, contre 430 tonnes de lettres avec 26 avions en 1996.

À l'avenir, les lettres ne seront transportées à travers l'Allemagne que par route, explique le groupe, qui compte ainsi économiser "plus de 80% de la quantité de CO2" produite lors du transport aérien. Pendant des décennies, le groupe a misé sur les vols, car il avait des délais d'acheminement légaux à respecter. Mais une réforme législative en cours prévoit d'alléger l'obligation actuelle de délivrer les courriers le lendemain de leur envoi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Sam Bankman-Fried condamné à 25 ans de prison

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L'ex-magnat des cryptomonnaies Sam Bankman-Fried photographié en février alors qu'il quittait un tribunal de New York. (Archives) (© KEYSTONE/AP/Seth Wenig)

Sam Bankman-Fried, superstar déchue des cryptomonnaies, a été condamné jeudi à 25 ans de prison pour l'une des plus importantes fraudes financières de l'histoire récente. Le juge a notamment relevé qu'il avait commis plusieurs parjures à la barre.

Lors de l'audience devant un tribunal de New York, le trentenaire a présenté ses excuses, reconnaissant avoir "pris une série de mauvaises décisions". Il avait été reconnu coupable en novembre des sept chefs d'accusation retenus contre lui.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Liberty Media veut la MotoGP en plus de la F1

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La MotoGP bientôt dans l'escarcelle de Liberty Media (© KEYSTONE/EPA/JOSE SENA GOULAO)

Le groupe américain Liberty Media, propriétaire de la formule 1, veut racheter Dorna Sports, la société possédant les droits de la MotoGP. Le montant serait de plus de 4 milliards d'euros.

Dorna Sports, qui est basée à Madrid et possède notamment, outre les droits sur le championnat de MotoGP, ceux sur le championnat de Superbike, est aujourd'hui contrôlée à 40% par le fonds Bridgepoint et à 39% par le Fonds d'investissement du régime de retraite du Canada, rappelle le quotidien britannique. Le reste du capital est entre les mains des dirigeants de Dorna.

L'accord avec Liberty Media valorise Dorna à plus de 4 milliards d'euros, dette incluse, selon le Financial Times. Cette acquisition, qui offrirait au groupe Liberty Media le contrôle de la F1 et du MotoGP, pourrait toutefois être scrutée de près par les instances de contrôle de la concurrence.

Le fonds CVC, un temps propriétaire des deux mêmes championnats, avait par exemple été contraint par le gendarme européen de la concurrence de céder en 2006 le championnat moto quand il avait acquis la F1, dont il a cédé le contrôle à Liberty Media en 2017, rappelle encore le Financial Times.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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