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Actualité

Mondiaux: Marlen Reusser 2e du contre-la-montre

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Ellen van Dijk a été la plus forte (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Marlen Reusser a obtenu une médaille d'argent frustrante dans le contre-la-montre des Mondiaux en Belgique. Elle n'est pas parvenue à se parer d'or le jour de son 30e anniversaire.

Quelques jours après son titre européen, la Suissesse, qui était passée en tête aux deux temps intermédiaires, a un peu faibli sur la fin des 30,3 km du parcours. Le titre est revenu à la Néerlandaise Ellen van Dijk (34 ans), qui a précédé Marlen Reusser de dix secondes. Le bronze est revenu à une autre Néerlandaise, Annemiek van Vleuten (38 ans), à 24 secondes.

Abonnée à la 2e place

La Bernoise avait déjà fini deuxième dans la même épreuve l'an passé en Italie, ainsi qu'aux Jeux olympiques cet été. Elle a longtemps pu croire à la victoire puisqu'elle a fait la course en tête sur les deux tiers de ce tracé tout plat fait de longues lignes droites. Mais Ellen van Dijk, déjà championne du monde du chrono en 2013, a terminé en trombe pour monter sur la plus haute marche du podium.

Karin Thürig reste donc la seule Suisssesse de l'histoire à avoir été championne du monde du contre-la-montre. Elle avait été titrée en 2004 et 2005.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Culture

Digital Dreams, le nouveau défi de Marc Atallah

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Marc Atallah a dévoilé le programme de son nouveau festival. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Après les Numerik Games et la Maison d'Ailleurs à Yverdon-les-Bains, voici le Digital Dreams Festival sur le campus de l'Université de Lausanne (Unil). Marc Atallah lance un nouveau festival dédié à la créativité digitale, du 6 au 8 septembre.

Des concerts, des jeux vidéo, des ateliers, des conférences et diverses performances, dont une soirée techno et une silent disco: le nouveau rendez-vous décline une trentaine de propositions sur trois jours. Il s'adresse au grand public, y compris aux enfants.

"On a essayé de couvrir une grande partie des champs de la créativité numérique", a expliqué lundi Marc Atallah. Le festival s'est construit avec des acteurs du domaine artistique, de la médiation, du débat citoyen ou de la réalité virtuelle.

Caverne d'Ali Baba

"Le but est de pouvoir mélanger, un peu comme dans une caverne d'Ali Baba numérique", a ajouté Marc Atallah. Car le digital n'est pas qu'un outil fonctionnel, c'est aussi un "langage" qui permet de créer et proposer des expériences émotionnelles, abordables par tous.

Célèbre auteur de science-fiction, l'écrivain Alain Damasio livrera un concert-lecture à partir d'extraits de son roman "Les Furtifs", en collaboration avec le groupe marseillais Palo Alto. After Cooking détournera des objets du quotidien pour faire de la musique électronique, comme Dario Rossi avec ses vieilles casseroles.

Aussi la nuit

Le vendredi, une silent disco prolongera la fête jusqu'à 04h00 du matin, de même le samedi avec une soirée techno. Dès la tombée de la nuit, le vidéomapping transformera la façade de l'Anthropole. Il sera possible de découvrir l'e-sport, des jeux d'arcade ou des ordinateurs du passé. Un vaste espace proposera des ateliers pour petits et grands, notamment pour s'initier à la robotique.

Le festival se veut durable et inclusif. Il se tiendra en plein air et sous tente entre l'Anthropole et l'Internef, à l'entrée du site universitaire en venant de la ville, explique Marc Atallah, qui est maître d'enseignement et de recherche à l'Unil. Entre 5000 et 10'000 personnes sont attendues. "Peut-être plus proche des 10'000, mais c'est très difficile à estimer pour une première édition". Le budget fluctue encore. Il pourrait avoisiner les 650'000 francs.

Numerik Games concurrents

A ses yeux, le Digital Dreams Festival ne fait pas de la concurrence aux Numerik Games, qu'il a créés il y a quelques années à Yverdon-les-Bains. Il parle plutôt de saine émulation, car il y a de la place pour plusieurs événements autour du numérique.

Pour rappel, Marc Atallah a passé 12 ans à la tête de la Maison d'Ailleurs, musée yverdonnois de la science-fiction et des utopies qu'il a contribué à développer et à faire connaître. Il a démissionné en début d'année après qu'on a refusé son souhait de monter sur le site de l'Unil un festival dédié au numérique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Plus de 45'000 signatures en soutien à Gaza

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Amnesty International a déposé deux pétitions de plus de 45'000 signatures demandant la poursuite de l'aide humanitaire suisse à Gaza. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Plus de 45'000 personnes demandent au Conseil fédéral et au Parlement d'assurer le financement de l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNWRA). L'ONG Amnesty International a déposé lundi à Berne deux pétitions.

Avec une action intitulée "Suisse humanitaire, où es-tu ?", Amnesty International Suisse et d'autres organisations ont remis au Conseil fédéral et au Parlement deux pétitions munies de plus de 45'000 signatures. Ces pétitions appellent la Suisse à se souvenir de sa tradition humanitaire et à se ranger clairement du côté du droit international, indique lundi un communiqué.

La Suisse continue de retenir sa contribution financière à l'UNRWA, soit 20 millions de francs par an. Pendant ce temps, la population civile de la bande de Gaza est menacée par la guerre et la famine, rappelle Amnesty.

Et ce, bien que le gouvernement israélien n'ait jusqu'à présent délivré aucune preuve des graves accusations formulées contre des collaborateurs de l'UNRWA. Le rapport d'enquête indépendant de l'ancienne ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna estime en outre que l'UNWRA est en conformité avec les principes de neutralité, constate l'ONG.

Après les accusations d'Israël, plusieurs Etats avaient suspendu le financement de l'UNRWA. "Cette décision draconienne a des conséquences catastrophiques sur la vie et la survie de millions de personnes", plaide Amnesty.

Décision proche

La commission de politique extérieure du Conseil national devrait se prononcer en début de semaine sur le financement de l'agence. Le Parlement fédéral avait décidé de suspendre l'aide suisse dans le cadre de l'examen du budget 2024. L'UDC et une partie du PLR n'ont pas fait mystère de leur intention de sabrer purement et simplement l'aide destinée à l'UNRWA, et d'affecter les fonds à d'autres organisations.

Le Conseil fédéral a dit la semaine dernière qu'il prendrait une décision "ultérieurement". "L'hésitation de notre pays à financer l'aide de l'ONU alors que des millions de Palestiniens souffrent de la faim est difficilement compréhensible, et va ternir l'image de la Suisse humanitaire", selon Patrick Walder d'Amnesty, cité dans le communiqué. Un jugement de la Cour internationale de justice a établi que la population palestinienne de la bande de Gaza pourrait être menacée de génocide.

Amnesty appelle encore la Suisse à tout faire pour que la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU exigeant un cessez-le-feu immédiat, la libération inconditionnelle de tous les otages et une aide humanitaire pour Gaza, votée récemment et juridiquement contraignante, soit appliquée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Neuf Allemands devant la justice pour avoir projeté un coup d'Etat

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Ce procès sans précédent s'est ouvert lundi sous haute surveillance. (© KEYSTONE/EPA/THOMAS LOHNES / POOL)

Le procès sans précédent dans l'ère récente de neuf membres présumés d'un réseau armé s'est ouvert lundi à Stuttgart (sud-ouest) sous haute surveillance. Les suspects sont soupçonnés d'avoir projeté un coup d'Etat en Allemagne par "haine de la démocratie".

Âgés de 42 à 60 ans, les accusés, tous allemands, sont les premiers des 26 membres de ce réseau extrémiste, démantelé fin 2022, à comparaître devant la justice. Deux autres procès sont prévus dans quelques semaines à Francfort (centre) et Munich (sud) pour le reste du groupe.

Le groupuscule, nourri aux idéologies complotistes et d'extrême droite, celles des "Reichsbürger" ("citoyens du Reich"), projetait d'envahir la chambre des députés allemands à Berlin pour y arrêter les élus et se faisait fort de renverser le gouvernement.

Dimanche, la ministre allemande de l'Intérieur, Nancy Faeser, a mis en garde cette mouvance: "Nous allons continuer à les poursuivre durement jusqu'à ce que nous ayons complètement mis à jour et démantelé les structures militantes des Reichsbürger".

Les neuf hommes appelés à la barre lundi sont soupçonnés pour la plupart d'avoir été chargés des opérations militaires du réseau.

Un "prince"

Le cerveau présumé du groupuscule est un aristocrate et homme d'affaires septuagénaire, Henri XIII, dit prince Reuss, descendant d'une lignée de l'Etat de Thuringe.

Il sera jugé avec huit autres meneurs présumés du groupe, dont une ancienne députée d'extrême droite et un ex-haut gradé de l'armée, à Francfort à partir du 21 mai. Le groupuscule s'était structuré fin juillet 2021, avec une organisation politique et militaire, en vue d'un coup d'Etat.

La mouvance des Reichsbürger regroupe des extrémistes de droite et amateurs d'armes qui rejettent la légitimité de la République allemande moderne: ils croient en la pérennité du Reich allemand d'avant la Première Guerre mondiale, sous la forme d'une monarchie, et plusieurs groupes de sympathisants ont décrété la création de leurs propres mini-Etats.

Ombre de Moscou

Sur le complot plane également l'ombre de Moscou. La compagne présumée de Henri XIII, une ressortissante russe nommée "Vitalia B.", est en effet suspectée d'avoir "mis en contact l'aristocrate avec le consulat général de Russie à Leipzig et l'y a accompagné en juin 2022".

Henri XIII cherchait à s'assurer du soutien de Moscou, même si, au moment du démantèlement de la cellule, le Kremlin avait démenti toute "ingérence".

Le réseau s'était donné les moyens de ses ambitions, avec "environ 500'000 euros" à disposition, ainsi qu'un "arsenal d'environ 380 armes à feu, près de 350 armes blanches ainsi que 500 autres armes et au moins 148'000 munitions", selon les enquêteurs.

Il avait également acheté d'autres équipements, y compris des casques balistiques, des gilets pare-balles, des appareils de vision nocturne et des menottes.

A Stuttgart, la majeure partie des neuf accusés sont soupçonnés d'avoir tenté de recruter d'autres personnes à leur cause dans les rangs de l'armée ou de la police allemande, ou parmi d'anciens membres de ces deux institutions.

Parmi les neuf suspects, Markus H. et Andreas M. faisaient partie des instances dirigeantes, tandis que Matthias H. et Steffen W. étaient responsables de la formation militaire.

Alexander Q. était chargé par Marco van H. de répandre des théories du complot sur internet et avait pour objectif la création d'une propre chaîne de télévision à des fins de propagande, une fois le coup d'Etat réussi.

Wolfram S. était chargé de développer les infrastructures informatiques du groupe.

Un dernier suspect, Markus L., est en outre accusé de tentative de meurtre pour avoir tiré à bout portant sur des policiers qui effectuaient une perquisition à son domicile à Reutlingen en mars 2022.

Pour chacun des trois procès, Stuttgart, Francfort, Munich, la justice a prévu une cinquantaine de jours d'audience, jusqu'en janvier 2025 au moins.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Administration vaudoise: 100'000 m2 de panneaux solaires d'ici 2035

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L'Etat de Vaud souhaite poser environ 6000 m2 de panneaux solaires par an pour assurer l'autonomie électrique de ses bâtiments administratifs (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'Etat de Vaud souhaite entièrement couvrir les besoins électriques des bâtiments de son administration d'ici 2035. Cela passe par la pose d'environ 6000 m2 de panneaux solaires par an, couplée à une diminution de 30% de la consommation d'électricité actuelle.

"L'autonomie électrique pour 2035, c'est faisable", a affirmé lundi Isabelle Moret, en présentant une étude à la presse. Une étude qui confirme "l'énorme potentiel" de l'énergie solaire qui pourrait être produite sur les toits et façades des bâtiments de l'administration cantonale.

L'Etat de Vaud prévoit de couvrir de panneaux solaires une surface d'environ 100'000 m2 d'ici 2035, ce qui correspond à 14 terrains de foot. Entre les toits déjà équipés (environ 20'000 m2) et les projets en cours de réalisation, il faudra poser 6000 m2 de panneaux par an pour atteindre cet "ambitieux objectif", a relevé la ministre en charge des immeubles et du patrimoine. Ces installations devraient permettre de produire annuellement 23 GWh d'électricité, l'équivalent de la consommation annuelle de 5000 ménages suisses.

Confiée à un bureau indépendant, l'étude s'est penchée sur 431 bâtiments sur les quelque 1000 objets de l'administration cantonale. Elle a permis de prioriser les sites, de "hautement prioritaires" à "sans potentiel", en tentant compte de différents facteurs (type de toiture, surface disponible, consommation du bâtiment, coût de l'installation, note au recensement architectural, etc).

"Cette étude nous montre un chemin, là où il faut agir en priorité", a continué Isabelle Moret. La ministre a aussi parlé d'un "changement de paradigme": l'Etat de Vaud va désormais se montrer "proactif" et n'attendra plus une rénovation de toiture pour poser des panneaux.

Par ailleurs, tous les bâtiments en construction seront dotés d'installations photovoltaïques - sur le toit et/ou en façade -, de manière à ce qu'ils produisent autant d'énergie, voire davantage, qu'ils n'en consomment.

Financement à trouver

L'autonomie électrique en 2035 ne passera pas uniquement par une production "maison", mais aussi par une réduction de la consommation. A savoir par une baisse de 30% par rapport à la situation actuelle, a prévenu la conseillère d'Etat. Il s'agira notamment "d'optimiser" les installations techniques, d'améliorer les éclairages (utilisation de LED, capteurs de présences, etc) ou encore de sensibiliser le personnel.

Pour financer ces différentes mesures, une enveloppe de 18 millions de francs a déjà été accordée, permettant entre autres de mener l'étude et de lancer la pose d'une partie des panneaux solaires. D'autres montants devront toutefois être trouvés pour la suite du programme. "Il faudra convaincre le Grand Conseil de nous accorder les moyens financiers nécessaires", a relevé Isabelle Moret.

A noter finalement qu'après les bâtiments de l'administration cantonale, l'Université de Lausanne (UNIL) et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) vont aussi procéder à une telle étude de leur potentiel photovoltaïque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Ecosse : le Premier ministre Humza Yousaf annonce sa démission

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Humza Yousaf était menacé par un vote de défiance quelques jours après avoir mis fin à la coalition gouvernementale entre son parti, le SNP, et les écologistes. (© KEYSTONE/AP/Jeff J Mitchell)

Le Premier ministre indépendantiste écossais Humza Yousaf a démissionné lundi pour éviter un double vote de défiance au Parlement local. Son parti, le SNP, y est plus que jamais en difficulté un an après le départ de Nicola Sturgeon.

Dépasser les divisions politiques actuelles "ne peut être fait que par quelqu'un d'autre à la barre", a déclaré M. Yousaf lors d'une conférence de presse depuis sa résidence officielle de Bute House à Edimbourg.

Il a précisé qu'il resterait en poste jusqu'à la désignation d'un successeur.

Humza Yousaf, 39 ans, avait été élu à la tête du SNP en mars 2023, après la démission surprise de l'ancienne Première ministre Nicola Sturgeon après neuf ans au pouvoir.

Premier dirigeant musulman à la tête d'un important parti politique au Royaume-Uni, il incarnait la continuité avec sa prédecesseure et avait continué de porter haut le combat pour l'indépendance de l'Ecosse malgré la popularité chancelante du SNP.

Opposition écologiste

Son départ intervient quatre jours après qu'il a mis fin à la coalition gouvernementale entre le Scottish National Party et les écologistes, sur fonds de désaccord sur la politique environnementale du pays.

Les écologistes s'étaient également opposés à la décision récente du gouvernement de suspendre la prescription de bloqueurs de puberté aux jeunes transgenres.

Sans ses alliés des Verts, le SNP, bien que dominant à Holyrood, le Parlement écossais, avec 63 sièges sur 129, se retrouvait en minorité et cherchait de nouveaux partenaires. Sans succès.

Les oppositions conservatrice et travailliste avaient déposé chacune une motion de défiance, l'une visant personnellement Humza Yousaf, et l'autre ciblant l'ensemble de son gouvernement.

Les votes étaient attendus cette semaine, et les Verts écossais avaient indiqué qu'ils voteraient contre le Premier ministre, laissant peu d'espoir à Humza Yousaf de sauver sa tête.

Le parlement a désormais 28 jours pour trouver un nouveau Premier ministre.

Menace travailliste

Plus jeune dirigeant à la tête du SNP, Humza Yousaf qui était salué pour ses talents de communicant susceptibles d'unir le parti, n'aura donc pas réussi à tourner la page Sturgeon.

Ses treize mois au pouvoir, en pleine crise du coût de la vie, auront surtout été marqués par ses affrontements avec Londres, par exemple sur une loi écossaise sur le changement de genre, finalement bloquée par le gouvernement britannique, sur la position du Royaume-Uni dans le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza, ou encore sur l'autorisation d'un important projet pétrolier en mer du Nord.

L'année écoulée a aussi été particulièrement difficile pour le SNP, sous le coup d'une enquête sur ses finances, dans laquelle Nicola Sturgeon a été entendue par la police, et son mari, Peter Murrell, ancien directeur général du parti, inculpé pour détournements de fonds.

A quelques mois des élections législatives, le parti est par ailleurs menacé par le Labour, en pleine ascension en Ecosse, et qui est aussi bien placé pour prendre le pouvoir au Royaume-Uni.

Son combat pour l'autodétermination de l'Ecosse se trouve quant à lui dans l'impasse depuis que la Cour suprême britannique a statué fin 2022 que seul le gouvernement britannique pouvait autoriser un nouveau référendum.

Le dernier vote, en 2014, avait été remporté par le "non" à l'indépendance à 55%.

Dans le système politique britannique, le gouvernement écossais est compétent sur de nombreux domaines, comme l'éducation, la santé, la justice et l'environnement, tandis que le gouvernement britannique, basé à Londres, conserve notamment les pouvoirs de défense et de politique étrangère.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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