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Actualité

Lutte contre le sida: dépistages gratuits du VIH aux HUG

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Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) proposent jeudi 1er décembre des dépistages gratuits du VIH (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) proposent jeudi, à l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, des dépistages gratuits du VIH. Toute personne qui se présentera à l'entrée principale de l'établissement pourra effectuer un test de manière anonyme.

Des stands d'information seront à disposition du public. Les HUG évoqueront aussi l'arrivée en Suisse d'un nouveau traitement contre le VIH par injections intramusculaires qui est déjà proposé à certains patients depuis le mois d'avril.

En Suisse, 17'350 personnes sont séropositives. Depuis quelques années toutefois, le nombre de nouveaux cas déclarés diminue régulièrement. En 2021, 318 nouveaux cas ont ainsi été recensés contre 1300 en moyenne par an dans les années 1990. Cette diminution s’explique notamment par le fait que beaucoup de personnes séropositives connaissent leur statut sérologique grâce au dépistage.

Un certain nombre de personnes sont toutefois toujours dépistées à un stade tardif de l’infection au VIH, augmentant ainsi les risques de séquelles et de mortalité. La prévention et le dépistage restent donc des outils essentiels dans la lutte contre cette maladie, relèvent les HUG. Une table ronde en ligne ouverte au public sera aussi proposée à l'occasion de cette journée mondiale.

https://www.hug.ch/evenement/journee-mondiale-lutte-contre-sida-depistage-table-ronde

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Suisse

Les prix à la production et à l'importation repartent à la hausse

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Des hausses de prix ont été enregistrées pour les produits pharmaceutiques. (archive) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

L'indice des prix à la production et à l'importation, indicateur avancé de l'inflation, a progressé de 0,2% en août 2024. Des hausses de prix ont été enregistrées pour les produits pharmaceutiques. En revanche, les produits pétroliers sont devenus meilleur marché.

L'indice des prix à la production a progressé de 0,6% par rapport à juillet 2024, rapporte l'Office fédéral de la statistique (OFS) lundi dans un communiqué. Outre la hausse des prix des produits pharmaceutiques, cette augmentation s'explique par le renchérissement des produits organiques de l'industrie chimique et du lait cru.

Les prix ont baissé en revanche pour les produits pétroliers, l'électricité (pour les gros consommateurs), les colorants et les pigments ainsi que les produits en métaux non ferreux.

Pour ce qui est de l'indice des prix à l'importation, il a reculé de 0,5% par rapport au mois précédent. Des baisses de prix par rapport à juillet 2024 ont été enregistrées notamment pour les produits pétroliers, les métaux non ferreux ainsi que pour les produits en matières plastiques. Les prix ont par contre augmenté pour les produits organiques de l'industrie chimique, les produits pharmaceutiques de base, les hydrocarbures et les autres produits chimiques.

Par rapport à août 2023, le niveau des prix de l'offre totale des produits indigènes et des produits importés a baissé de 1,2%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Serafe continuera à percevoir la redevance radio-TV

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Serafe continuera de percevoir la redevance radio-TV jusqu'en 2034 au moins (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

L'entreprise Serafe continuera à percevoir la redevance de radio-télévision auprès des ménages après 2025. La Confédération lui a octroyé le mandat pour la période 2026-2034.

Le Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) a prolongé le mandat de Serafe AG concernant la perception de la redevance de radio-télévision. La société, dont le siège est à Pfäffikon (SZ), a convaincu grâce à son concept de mise en ½uvre.

Son offre présentait le meilleur rapport qualité-prix, écrit mardi l'Office fédéral de la communication (OFCOM). Serafe, qui avait repris le mandat de Billag au 1er janvier 2019, a soumis une offre prévoyant une rémunération de 158 millions de francs, soit 17,5 millions par année, pour toute la durée du contrat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

L'UDF lance un référendum contre l'Eurovision à Bâle

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Le président du gouvernement de Bâle-Ville, Conradin Cramer, lors d'une conférence de presse sur l'Eurovision à Bâle. Le peuple pourrait devoir se prononcer. (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

L'Union démocratique fédérale (UDF) veut empêcher le concours Eurovision de la chanson de se dérouler à Bâle. Le parti chrétien conservateur a lancé un référendum contre les crédits votés par le Parlement bâlois pour la manifestation prévue du 13 au 17 mai 2025.

Le lancement de la récolte des signatures est annoncé dans la feuille d'avis cantonale de Bâle-Ville publiée samedi, a indiqué lundi Daniel Frischknecht, président de l'UDF Suisse. Le parti se dit confiant de pouvoir faire aboutir le référendum contre le crédit de 34,9 millions de francs. Ainsi, la population de Bâle-Ville pourrait se prononcer.

Le Grand Conseil de Bâle-Ville a plébiscité mercredi dernier le crédit en vue de l'organisation du concours dans la cité rhénane par 87 oui contre 4 non et 4 abstentions. Seuls quelques représentants de l'UDC et du groupe composé du Centre et du PEV l'ont rejeté.

Le crédit doit couvrir des frais d'infrastructure, de sécurité, de transports, d'hébergement, d'actions de bienvenue, pour les évènements cadres et pour les secours. Le plus grand concours musical au monde aura lieu à la halle St-Jacques.

Afin que le référendum aboutisse, l'UDF a jusqu'au 26 octobre pour réunir au moins 2000 signatures valables. Le petit parti, non représenté au Parlement bâlois, avait déjà annoncé sa volonté de lancer un référendum contre ce qu'il appelle une "manifestation de propagande". L'éventuelle votation aurait lieu le 24 novembre. En cas de refus par les citoyens, la SSR serait amenée à trouver d'autres solutions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

6 minutes avec Yorick Treille, entraîneur assistant du GSHC

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Le Genève-Servette Hockey Club reprend la National League, mardi, avec un derby du Lac fasse à Lausanne. Une saison où les Grenat compte bien se racheter après la déconvenue de l'année dernière. L'entraîneur assistant du GSHC, Yorick Treille, était invité de Béatrice Rul, à 7h30. 

Début de la saison de National League, mardi, avec un derby du Lac pour commencer, à Lausanne. Suivront huit matchs à l'extérieur, à cause des travaux à la patinoire des Vernets... 

"L'intersaison a été longue, pour les joueurs, les entraîneurs, après une fin de saison prématurée. Nous avons hâte de reprendre et un derby contre Lausanne, il n'y a rien de mieux. On va débuter par huit matchs à l'extérieur, ce qui est particulier mais ça fait partie de notre chemin, cette année. Il va falloir être bon dès le début de saison. C'est un gros challenge! Être à l'extérieur peut permettre aussi de souder un groupe".

"On va débuter par huit matchs à l'extérieur (...) c'est un gros challenge!"

Cette saison, il y a aussi, un petit goût de revanche, après la non qualification du GSHC, pour les plays-offs, la saison dernière:

"Je pense que la motivation est encore plus forte. L'année dernière, on a fait des erreurs, on s'est peut-être sentis trop beaux, trop forts, en début de saison. Aujourd'hui, il y a une dose d'humilité qui est de retour mais aussi une grosse motivation pour reprouver ce que l'on peut faire. On apprend de nos expériences, cet échec on ne l'oublie pas mais ça fait partie du passé. On a une approche différente avec une envie de retourner au combat. Le titre reste, bien évidemment, un objectif!"

 

 

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International

L'avenir de TikTok en suspens devant un tribunal américain

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TikTok risque d'être interdit aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/AP/KIICHIRO SATO)

TikTok va tenter de convaincre un tribunal fédéral lundi que la loi exigeant la vente de l'application par ses propriétaires chinois, sous peine d'interdiction aux Etats-Unis, est inconstitutionnelle.

Depuis que cette loi a été votée par le Congrès américain en avril, le sort de TikTok dans le pays est devenu un enjeu majeur du débat politique.

Le candidat républicain à la présidence Donald Trump s'oppose à toute interdiction de la très populaire plateforme, après avoir lui-même tenté de l'interdire en 2020, à la fin de son mandat.

Le président Joe Biden, en revanche, a signé la législation qui donne à TikTok jusqu'au mois de janvier pour ne plus être détenue par une société chinoise. Sa vice-présidente Kamala Harris est la candidate démocrate à la Maison Blanche.

ByteDance, la maison mère de TikTok, a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention de se séparer de sa précieuse application. Le recours en justice est donc sa seule option pour survivre aux États-Unis.

Une interdiction provoquerait probablement une vive réaction de la part de Pékin et rendrait les relations entre les États-Unis et la Chine encore plus tendues.

Trois juges de la cour d'appel du district de Columbia doivent entendre lundi TikTok, ByteDance et un groupe d'utilisateurs. Ils vont essentiellement soutenir que la loi viole le droit à la liberté d'expression garanti par la Constitution américaine.

Les juges se prononceront sur l'affaire dans les semaines ou les mois à venir. Mais quelle que soit leur décision, elle est susceptible d'être portée devant la Cour suprême des États-Unis.

"Coquille vide"

TikTok affirme que "la Constitution est de notre côté", ajoutant que la loi ferait taire les voix de 170 millions d'Américains.

"Il ne fait aucun doute que la loi entraînera la fermeture de TikTok d'ici le 19 janvier 2025", indique le recours de l'entreprise, "réduisant au silence ceux qui utilisent la plateforme pour communiquer d'une manière qui ne peut être reproduite ailleurs".

TikTok a également fait valoir que même si la cession était possible, l'application "serait toujours réduite à une coquille vide, dépourvue de la technologie innovante qui adapte le contenu à chaque utilisateur".

Le gouvernement américain rétorque que la loi porte sur des questions de sécurité nationale et non sur la liberté d'expression et que ByteDance ne peut se prévaloir des droits protégés par la Constitution.

"Étant donné la vaste portée de TikTok aux États-Unis, la capacité de la Chine à utiliser les fonctionnalités de TikTok pour atteindre son objectif global, qui est de saper les intérêts américains, constitue une menace pour la sécurité nationale d'une profondeur et d'une ampleur immenses", a écrit le ministère américain de la Justice.

Les États-Unis estiment que ByteDance peut se conformer - et se conforme - aux demandes du gouvernement chinois pour obtenir des données sur les utilisateurs américains. Les autorités affirment aussi que le groupe acquiesce à des pressions pour censurer ou promouvoir certains contenus sur la plateforme.

TikTok nie ces accusations.

Vers la Cour suprême

Les décrets de 2020 pour interdire TikTok de l'ancien président Donald Trump ont été bloqués par un juge fédéral, qui avait évoqué des raisons probablement exagérées et une violation potentielle du droit à la liberté d'expression.

Depuis, le milliardaire républicain, très remonté contre Meta (Facebook, Instagram) et les autres grandes plateformes qui l'ont temporairement banni pour incitation à la violence après l'assaut du Capitole en 2021, a changé d'avis.

"Pour tous ceux qui veulent sauver TikTok en Amérique, votez pour Trump", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée la semaine dernière.

La candidate démocrate Kamala Harris est présente sur TikTok et a adopté les réseaux sociaux comme moyen de communication avec les jeunes électeurs.

La nouvelle loi signée par Joe Biden a été conçue pour surmonter les obstacles juridiques mais certains experts pensent que la Cour suprême des États-Unis aura du mal à considérer que les inquiétudes au sujet de la sécurité nationale l'emportent sur la protection de la liberté d'expression.

Une grande partie des arguments du gouvernement sont sous scellés, ce qui "complique les efforts pour les évaluer", a souligné Carl Tobias, professeur de droit de l'université de Richmond.

"Toutefois, la Cour suprême des États-Unis s'est généralement montrée très prudente lorsqu'il s'agit d'accepter les arguments de sécurité nationale lorsque la réglementation (en question) restreint le droit à la liberté d'expression, en particulier en ce qui concerne internet", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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