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La clientèle au rendez-vous de la réouverture des terrasses

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Malgré les températures fraîches lundi matin, les habitués étaient heureux de pouvoir reprendre leur café en terrasse. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La clientèle a été au rendez-vous de la réouverture des terrasses lundi, même si le froid a empêché une ruée en matinée. Le soleil de midi a finalement attiré un plus grand nombre de personnes.

Sur le temps de midi, les terrasses étaient bien remplies à Lausanne, a constaté sur place une journaliste de Keystone-ATS. Les terrasses ensoleillées et bien placées étaient complètes, comme celle du Raisin à la Palud, place piétonne en plein coeur de la ville.

Il y avait également du monde sur les autres places du centre-ville. A l'inverse, la fréquentation était moindre dans les espaces ombragés, ou un peu à l'écart. Même constat à Genève, où les terrasses au soleil ont été remplies, mais moins les autres. Dans l'après-midi, les terrasses des bistrots de la rue de l'Ecole-de-Médecine étaient bien remplies. La terrasse de Remor, à la Place du Cirque, était aussi très prisée.

Moins de monde en matinée

Au vu des températures fraîches du début de journée, les tables des terrasses n'ont pas été prises d'assaut en matinée. C'est notamment le cas à Genève, où peu de monde était installé sur les terrasses à la rue de L'Ecole-de-Médecine, à Plainpalais. Toutefois, plusieurs établissements préparaient déjà le service de midi. "Les réservations arrivent", a relevé Le Volt, qui s'attendait à remplir ses tables.

Pas de ruée non plus à Bienne, où les établissements du centre-ville disposaient encore tous de tables libres vers 12h00. Les places au soleil étaient bien occupées alors que celles à l'ombre restaient pour la plupart vides, même si les tenanciers avaient placé des couvertures sur les chaises.

"Un plaisir de retrouver les gens"

A Sierre, les terrasses étaient occupées sans être bondées, a constaté Keystone-ATS sur place. Ce que confirmait un peu avant midi le Café-Bar Les Vidômes: "ce n'est pas la folie, mais nous avons un peu plus de monde que d'habitude à la même période. Les clients sont vraiment contents de revenir".

"Les gens n'attendaient que ça et pour nous c'est un vrai bonheur de les retrouver", abonde Véronique, gérante de Chez Zen sur la place du Midi à Sion, dont les clients se prélassent au soleil en consommant. En ce premier jour d'ouverture, les clients sont revenus "gentiment", même si la boulangerie a déjà "pas mal de réservations" pour le repas de midi.

Trop froid pour certains

Tous n'ont pourtant pas décidé de rouvrir leur terrasse lundi. "On n'imagine pas que beaucoup de clients vont venir fréquenter notre établissement lorsqu'il fait six degrés, que ce soit pour leur confort ou la qualité des mets", relève par exemple Pierre-Alain Oberson, administrateur de la Poularde, à Romont (FR). Il préfère attendre le mois de mai et une météo plus favorable.

Pour la directrice de GastroNeuchâtel, Karen Allemann-Yerly, la réouverture des terrasses reste également problématique, surtout en altitude et le soir. Il a neigé ce week-end à La Chaux-Fonds (NE) et au vu de la température ambiante, "peu de terrasses sont donc ouvertes", relève-t-elle.

Dans le bas du canton, les terrasses ensoleillées ont attiré des clients pour manger à midi. "Mais il est utopique d'ouvrir le soir quand il fait moins de 10 degrés", ajoute-t-elle.

Bonne fréquentation en Suisse alémanique

En Suisse alémanique, les espaces extérieurs des restaurants étaient bien occupés à Berne, à Bâle. A Saint-Gall également, même si les terrasses ne se sont remplies qu'à partir de midi. A Lucerne, de nombreuses personnes ont profité du soleil pour déguster une salade, un hamburger ou un café. L'affluence était également importante à Thoune, où la moitié de la Mühleplatz était déjà pleine de clients vers 11h30.

Les terrasses étaient également bien fréquentées à Bellinzone, et ce dès le matin. Sur la Piazza Collegiata, sept tables étaient déjà occupées peu avant 09h00. L'affluence était moindre en matinée à Winterthour, où seuls quelques clients bien emmitouflés dans leurs vêtements d'hiver étaient attablés aux terrasses des cafés.

Conditions strictes

Le Conseil fédéral a décidé mercredi dernier la réouverture des terrasses, mais aussi des cinémas, des théâtres ou des stades de football, à des conditions strictes. Sur les terrasses, les clients doivent être servis à table, n'ôter leur masque que pour manger et laisser leurs coordonnées.

Les tables sont limitées à quatre convives. Elles doivent être espacées d'un mètre et demi ou séparées par une paroi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Catastrophe ferroviaire: le Parlement rejette la motion de censure

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Le Parlement grec a rejeté jeudi soir une motion de censure qui visait le gouvernement du Premier ministre de droite, Kyriakos Mitsotakis. (© KEYSTONE/EPA/ALEXANDROS BELTES)

Le Parlement grec a rejeté jeudi soir une motion de censure contre le gouvernement de droite de Kyriakos Mitsotakis, accusé par l'opposition de dissimuler les responsabilités politiques dans la catastrophe ferroviaire de 2023 qui a fait 57 morts.

Sur les 300 députés du Parlement monocaméral grec, 159 députés ont voté contre cette motion déposée par le parti socialiste Pasok et soutenue surtout par la principale formation d'opposition de gauche Syriza. Le camp du Premier ministre dispose de la majorité absolue.

Le dépôt de cette motion de censure mardi est intervenu après des révélations du journal dominical To Vima affirmant que les enregistrements des conversations entre le chef de gare et les conducteurs de train le soir de l'accident ont été manipulés pour accréditer la thèse de l'erreur humaine.

Le porte-parole du Premier ministre a vivement démenti ces informations. Mais depuis un an, des familles de victimes et des responsables politiques ne cessent de dénoncer les négligences graves à l'origine de cet accident.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams

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Proposé en Suisse et dans sept autres pays européens, le jeu Eurodreams offre un gain principal sous forme d'une rente mensuelle de 22'222 francs pour une durée de 30 ans. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams jeudi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 1, 7, 9, 13, 18 et 37, ainsi que le numéro "dream" 3, a indiqué la Loterie romande.

Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Braquage à l'office postal de Penthalaz (VD), malfrat en fuite

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Un homme a commis un hold-up à l'office postal de Penthalaz (VD) jeudi. Il s'est enfui avec une grande quantité de monnaie, selon la police vaudoise, et court toujours. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Un braquage a eu lieu jeudi à l'office postal de Penthalaz (VD). L'auteur du hold-up a menacé l'employée de la poste avec une arme blanche avant de prendre la fuite avec une grande quantité de monnaie. Il est toujours recherché.

Les faits se sont déroulés peu avant midi, détaille la police cantonale vaudoise dans un communiqué. Le braqueur a réclamé le contenu du coffre tout en menaçant à l'aide d'une arme blanche l'employée présente dans l'office postal.

La Suissesse de 55 ans a pu rapidement alerter la police après la fuite du malfrat. Les forces de l'ordre ont immédiatement mis en place un important dispositif de recherches, ont-elles indiqué. Le braqueur court toujours.

La police lance un appel à témoins. L'auteur a une barbe noire, il est âgé entre 18 et 40 ans et mesure environ 175 cm. Il portait des vêtements noirs lors de l'attaque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Un bus chute d'un pont, faisant au moins 45 morts

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Au moins 45 personnes sont mortes en Afrique du Sud jeudi dans un accident de la route. Le bus qui les transportait a chuté d'un pont. (Photo symbolique) (© KEYSTONE/EPA/KIM LUDBROCK)

La quasi totalité des passagers d'un bus, soit 45 personnes, sont morts jeudi en Afrique du Sud dans un grave accident de la route. Le véhicule a fait une chute d'une cinquantaine de mètres du haut d'un pont avant de s'écraser au fond d'un ravin.

"L'accident, impliquant un bus transportant apparemment des passagers du Botswana à Moria (nord), a fait au moins 45 morts et un blessé grave", a annoncé le ministère des Transports dans un communiqué.

"Le chauffeur aurait perdu le contrôle de son véhicule, percutant les barrières de sécurité sur le pont. Le bus est passé par-dessus le pont et a heurté le sol, où il a pris feu", a précisé le ministère.

Un seul survivant

Le bus transportait au total 46 passagers incluant le chauffeur. Une seule personne, un enfant de huit ans, a survécu au crash, selon le département provincial des Transports. Il a été transporté à l'hôpital.

"Certains corps ont été brûlés au point d'être méconnaissables, d'autres sont coincés sous les débris et d'autres encore sont éparpillés sur les lieux", a précisé le département dans un communiqué. Il a ajouté que les opérations de secours se sont poursuivies jusque tard dans la soirée.

Bus du Botswana

L'accident est survenu sur un immense pont suspendu entre deux collines près de Mmamatlakala dans la province du Limpopo (nord), à plus de 300 km de Johannesburg.

Le bus avait une plaque d'immatriculation botswanaise, selon les autorités locales. La nationalité des passagers n'a pas encore été confirmée. La ministre des Transports Sindisiwe Chikunga, qui s'est rendue sur place dans la journée, a promis une enquête approfondie sur les causes de l'accident.

L'Afrique du Sud dispose d'un des réseaux routiers les plus développés du continent mais compte parmi les plus mauvais élèves en matière de sécurité routière.

Plus tôt dans la journée, le président Cyril Ramaphosa avait appelé les Sud-Africains à "faire de leur mieux pour que les fêtes de Pâques se passent en toute sécurité". "Pâques ne doit pas être une période où nous attendons les statistiques des tragédies ou blessures sur nos routes", avait-il enjoint dans un communiqué quelques heures avant l'accident.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie impose la fin de la surveillance des sanctions onusiennes

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Dans son dernier rapport daté de début mars, le comité d'experts soulignait une nouvelle fois que la Corée du Nord continuait de "bafouer les sanctions du Conseil de sécurité", notamment en développant son programme nucléaire et en lançant des missiles balistiques. (Photo d'illustration) (© KEYSTONE/AP/AHN YOUNG-JOON)

La Russie, accusée par les Occidentaux d'importer des armes de Corée du Nord, a imposé jeudi la fin du système de surveillance des sanctions de l'ONU contre Pyongyang et son programme nucléaire. De nombreux membres du Conseil de sécurité ont décrié cette décision.

La Russie a mis son veto à un projet de résolution prolongeant d'un an le mandat du comité d'experts chargé de surveiller ces sanctions, une résolution qui a recueilli 13 voix pour. La Chine s'est abstenue.

"Ce qu'a fait la Russie aujourd'hui sape la paix et la sécurité dans le monde, tout cela pour favoriser un troc vicié que Moscou a scellé" avec Pyongyang, sur de l'armement notamment, a réagi Matthew Miller, le porte-parole du département d'Etat américain.

Moscou veut une réévaluation annuelle

La Corée du Nord est soumise depuis 2006 à des sanctions du Conseil de sécurité liées en particulier à son programme nucléaire, sanctions renforcées plusieurs fois en 2016 et 2017. Depuis 2019, la Russie et la Chine réclament au Conseil l'allègement de ces sanctions qui n'ont pas de date de fin.

Dans ce contexte, la Russie estime que le comité d'experts, dont les rapports font référence en la matière, n'a plus lieu d'être, se concentrant sur "des questions sans intérêt pas à la mesure des problèmes auxquels fait face la péninsule".

Elle a ainsi proposé au Conseil une réévaluation annuelle des sanctions. "S'il y avait un accord pour un renouvellement annuel des sanctions, le mandat du comité d'experts aurait un sens", a estimé l'ambassadeur russe Vassili Nebenzia.

"Admission de culpabilité"

Dans son dernier rapport début mars, le comité d'experts soulignait que la Corée du Nord continuait de "bafouer les sanctions du Conseil de sécurité", notamment en développant son programme nucléaire, en lançant des missiles balistiques, en violant les sanctions maritimes et les limites d'importations de pétrole.

Il indiquait d'autre part avoir commencé à enquêter sur "des informations venant des Etats membres sur la fourniture par la Corée du Nord d'armes conventionnelles et de munitions" à d'autres Etats en violation des sanctions, en particulier vers la Russie pour sa guerre en Ukraine.

"Ce veto n'est pas un signe de l'inquiétude pour la population nord-coréenne ou pour l'efficacité des sanctions. Cela concerne la Russie, obtenant la liberté de violer les sanctions en quête d'armes pour les utiliser contre l'Ukraine", a dénoncé l'ambassadrice britannique Barbara Woodward.

Ce veto "est en fait une admission de culpabilité. Moscou ne cache plus sa coopération militaire avec la Corée du Nord (...) ainsi que l'utilisation d'armes nord-coréennes dans la guerre contre l'Ukraine", a commenté sur X le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba.

"Comité plus important que jamais"

"Au regard des tentatives répétées (de la Corée du Nord) de saper la paix et la sécurité internationale, le travail du comité est plus important que jamais", avaient insisté juste avant le vote dix membres du Conseil (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Corée du Sud, Japon, Malte, Sierra Leone, Slovénie, Equateur, Suisse).

"Il ne peut y avoir aucune justification à la disparition des gardiens du régime de sanctions", a fustigé l'ambassadeur sud-coréen Joonkook Hwang. "C'est comme détruire des caméras de surveillance pour empêcher d'être pris la main dans le sac".

La Chine, tout en s'abstenant, a soutenu les demandes russes de réévaluation des sanctions. "Les sanctions ne devraient pas être gravées dans le marbre ou illimitées", a lancé l'ambassadeur adjoint Geng Shuang, estimant qu'elles avaient "exacerbé les tensions" dans la péninsule et eu un impact "négatif" sur la situation humanitaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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