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Les rentiers toucheront 30 à 60 francs de plus par mois

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Les rentes seront adaptées dès le 1er janvier (archives). (© KEYSTONE/DPA/FRANK RUMPENHORST)

Les rentiers toucheront 30 à 60 francs de plus par mois en 2023. Le Conseil fédéral a relevé mercredi de 2,5% les rentes AVS et AI.

La rente minimale passera ainsi de 1195 à 1225 francs par mois et la rente maximale de 2390 à 2450 francs pour une durée de cotisation complète. Ce relèvement coûtera 1,37 milliard.

Le Conseil fédéral a décidé d'adapter les rentes selon l'indice mixte. Il a tenu compte du renchérissement attendu de 3% et de l'augmentation des salaires de 2%, soit une moyenne de 2,5%. Lors de la session d'automne, les Chambres ont demandé une adaptation complète au renchérissement.

Le montant minimal de la cotisation pour les indépendants et les personnes sans activité lucrative a également été adapté, indique le gouvernement. Il passera de 503 à 514 francs par an pour l'AVS, l'AI et les APG. La cotisation facultative pour l'AVS et l'AI passera quant à elle de 958 à 980 francs.

Prévoyance professionnelle

Dans la prévoyance professionnelle individuelle, les personnes ayant un pilier 3a pourront déduire au maximum 7056 francs de leur déclaration d'impôt, s'ils sont affiliés à une institution de prévoyance 2e pilier, contre 6883 actuellement. Ceux qui n'y sont pas affiliés pourront déduire jusqu'à 35'280 francs (34'416).

Le seuil d'entrée pour la prévoyance professionnelle obligatoire passera de 21'510 francs à 22'050. Et le montant de la déduction de coordination de 25'095 francs 25'725.

Prestations complémentaires

Les montants annuels des prestations complémentaires, destinées à couvrir les besoins vitaux, passeront de 19'610 à 20'100 francs pour les personnes seules et de 29'415 à 30'150 francs pour les couples. Ils augmenteront à 10'515 francs pour les enfants âgés de plus de 11 ans et à 7380 francs pour les enfants de moins de 11 ans.

L’adaptation des prestations complémentaires à l’AVS et à l’AI induit, quant à elle, des dépenses supplémentaires de 5,2 millions de francs pour la Confédération et de 3,5 millions pour les cantons.

Le Conseil fédéral examine, en règle générale, tous les deux ans la nécessité d'adapter les rentes de l'AVS et de l'AI. La dernière adaptation date de 2021.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Chine: exportations en baisse pour la première fois en huit mois

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Les exportations chinoises ont reculé de 1,1% sur un an en octobre, baissant pour la première fois depuis février, dans une période de regain des tensions commerciales avec les États-Unis, ont indiqué les douanes chinoises vendredi. (© KEYSTONE/AP/ANDY WONG)

Les exportations chinoises ont reculé de 1,1% sur un an en octobre, baissant pour la première fois depuis février, dans une période de regain des tensions commerciales avec les États-Unis, ont indiqué les douanes chinoises vendredi.

Ces chiffres sont plus défavorables que les prévisions d'économistes interrogés par l'agence Bloomberg, qui tablaient sur une augmentation de 2,9% sur un an.

Les importations ont quant à elles augmenté de 1% sur la même période, ont précisé les douanes. C'est également en deçà des prévisions des mêmes économistes qui misaient sur une hausse de 2,7%.

La période concernée correspond à un nouvel accès de crispation commerciale entre les deux plus grandes puissances économiques mondiales, avec l'annonce au début du mois d'octobre de nouvelles restrictions chinoises sur les exportations relatives aux stratégiques terres rares. En représailles, le président américain Donald Trump avait annoncé des droits de douanes supplémentaires de 100%, sans toutefois être passé à l'acte par la suite.

Un sommet entre le président américain et son homologue chinois Xi Jinping le 30 octobre en Corée du Sud a ensuite débouché sur des mesures de détente réciproques.

Avant cela, les exportations chinoises vers les États-Unis ont augmenté de 1,8% en octobre par rapport à septembre, selon les données rendues publiques vendredi, alors qu'elles avaient augmenté de 8,6% en septembre par rapport à août.

Les importations en provenance des États-Unis ont quant à elles reculé de 11,6% entre septembre et octobre, d'après les douanes chinoises.

Moteur grippé

Les exportations font depuis des années office de moteur de l'économie chinoise, avec une consommation domestique obstinément languissante comme l'ont montré fin octobre les chiffres des ventes de détail qui, à 3% sur un an en septembre, ont affiché leur rythme de croissance le plus faible depuis novembre 2024.

Au même moment, la Chine annonçait un ralentissement de la croissance au troisième trimestre: +4,8% sur douze mois, soit sa progression la plus faible depuis un an.

Les exportateurs chinois avaient pris les mois précédents leurs dispositions pour anticiper l'augmentation des droits de douanes américains, rappelle dans une note Zhiwei Zhang, économiste chez Pinpoint Asset Management.

"Cette pratique d'anticipation semble avoir fini par s'atténuer en octobre", ajoute-t-il.

"La guerre commerciale étant suspendue pendant un an, les exportations devraient se normaliser", présage-t-il en faisant référence aux mesures annoncées par Chinois et Américains à la suite du sommet Xi-Trump, comme la baisse ou la confirmation de la suspension de droits de douanes.

"Maintenant que la dynamique des exportations s'affaiblit, la Chine doit davantage miser sur la demande intérieure", prévient Zhiwei Zhang.

Le Parti communiste au pouvoir énonce la nécessité de "stimuler fortement la consommation" dans son récent projet de plan quinquennal définissant les grandes orientations du pays pour 2026-2030.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Pourquoi le secteur automobile européen traverse "un ouragan"

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Le patron de Mercedes, Ola Källenius, évoque "une transformation comme on en voit tous les 100 ans, dans un environnement balayé par un ouragan force 5". Tandis que Marylise Léon, à la tête de la CFDT, a qualifié le moment d'"historique" et de "charnière", devant la presse cette semaine également. (© KEYSTONE/EPA DPA/JULIAN STRATENSCHULTE)

Profits et ventes en berne, marché de la voiture électrique décevant, concurrence de la Chine et "sur-réglementation" de la part de Bruxelles: le secteur automobile européen est "à un moment charnière" de son existence, selon ses acteurs.

Lors de la Journée de la filière auto, organisée cette semaine à Paris par la Plateforme automobile (PFA, le lobby des constructeurs et équipementiers français), les dirigeants ont tous ou presque sonné le tocsin: "Le sol se dérobe sous nos pieds" (Luc Chatel, président de la PFA), "notre industrie vit un tournant, avec un risque de décrochage" (François Provost, patron du groupe Renault), "l'Europe décline" (Antonio Filosa, Stellantis) etc.

Pourquoi cette crise?

Sans forcément tomber dans les prédictions les plus noires, dirigeants mais aussi syndicalistes et ONG environnementales sont d'accord sur les bouleversements en cours.

Le patron de Mercedes, Ola Källenius, évoque "une transformation comme on en voit tous les 100 ans, dans un environnement balayé par un ouragan force 5". Tandis que Marylise Léon, à la tête de la CFDT, a qualifié le moment d'"historique" et de "charnière", devant la presse cette semaine également.

De fait, le marché automobile n'a pas retrouvé ses niveaux d'avant Covid. Les ventes de véhicules neufs en Europe ont reculé de quelque 3 millions d'unités en Europe en 2024 par rapport à 2019, à 10,6 millions. Pour la France seulement, la chute est de 22% (2,21 millions d'unités en 2019, 1,72 million en 2024).

Olivier Hanoulle, expert automobile au cabinet Roland Berger, explique le sentiment du secteur par trois facteurs: voiture électrique, protectionnisme américain et montée en puissance de la Chine. "L'Europe doit accomplir la transition vers la voiture électrique la plus rapide du monde. Les Chinois ont démarré bien avant nous, sans viser la fin du moteur thermique en 2035, et les Etats-Unis", dirigés par Donald Trump, "s'électrifient lentement", relève-t-il.

L'échéance 2035?

L'UE prévoit pour 2035 l'interdiction des voitures thermiques et hybrides neuves, une mesure phare du Pacte vert européen (Green Deal) acté en mars 2023 malgré les réticences allemandes. Une clause de revoyure est prévue pour 2026 mais, sous la pression des industriels qui espèrent un assouplissement des textes, la Commission devrait annoncer des décisions courant décembre.

"Les risques qui pèsent aujourd'hui sur l'industrie européenne" résultent "d'un choix politique et dogmatique, et non pas technologique", a asséné mardi Luc Chatel, président de la PFA.

Les consommateurs n'achètent pas de véhicules électriques car ils sont trop chers, arguent des acteurs de l'industrie. Il faut donc autoriser les voitures hybrides rechargeables (moteur thermique et batterie électrique) et les agrocarburants pour après 2035. Et limiter "le tsunami de normes sur la sécurité et la décarbonation", selon François Provost, le patron de Renault.

2035 a été choisie afin d'avoir un parc automobile 100% vert en 2050, année de la neutralité climatique (une voiture dure en moyenne 15 ans), a rappelé Christophe Périllat, directeur général de l'équipementier Valeo, selon qui "le défi climatique n'a pas changé". Mais les "concessions automobiles sont vides" et il faut donc "introduire de la flexibilité" pour relancer le marché.

Et les prix des voitures?

Ils ont augmenté de 24% pour les véhicules neufs en France entre 2020 et 2024, indique une étude de l'Institut Mobilités en transition, publiée en mai. Selon ses analyses, "l'électrification" ne représente que 6 points de ces 24%, de même que l'inflation des coûts. La moitié de la hausse s'explique par des augmentations de marge et des montées en gamme.

Une "SUVisation" des modèles proposés, qui rendent inaccessibles les véhicules neufs à la classe moyenne, note Thomas Uthayakumar, de l'ONG Fondation pour la nature et l'Homme. "Les constructeurs ont cyniquement abandonné les voitures abordables au profit des plus chères", "aux dépens des PME implantées sur le sol français", et "malgré les aides publiques largement distribuées", abonde Marylise Léon.

"Des voitures très grosses, très chères, très équipées" qui ont boosté les profits des constructeurs auto au tournant des années 2020, s'agace Diane Strauss, de l'ONG Transport & Environnement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

La Chine met en service son troisième porte-avions

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Photo satelllite du porte-avion Fujian. (© KEYSTONE/AP/Planet Labs PBC)

La Chine a mis en service son troisième porte-avions lors d'une cérémonie en présence du président Xi Jinping, marquant un jalon crucial dans la modernisation de sa marine face aux Etats-Unis, a rapporté l'agence Chine Nouvelle vendredi.

Le Fujian, bien plus moderne et plus puissant que ses deux prédécesseurs, est équipé d'un système de catapulte qui lui permet de propulser une plus grande variété d'avions, et offre un meilleur rayon d'action que ses prédécesseurs, selon cette source.

Le seul autre porte-avions actuellement équipé de ce système est le Gerald R. Ford, de la marine américaine.

Après la cérémonie de mise en service qui s'est tenue mercredi sur l'île tropicale de Hainan (sud), "Xi Jinping est monté à bord du Fujian (...) et s'est informé du développement des capacités de combat du système de porte-avions ainsi que de la construction et l'application du système de catapultage électromagnétique", a rapporté Chine Nouvelle.

Le Fujian, à propulsion conventionnelle (et non nucléaire), est le plus grand et le plus avancé des porte-avions chinois.

La Chine dispose de deux porte-avions en service actif: le Liaoning, acheté à l'Ukraine en 2000, et le Shandong, premier porte-avions à avoir été construit en Chine, mis en service en 2019.

Mais ils n'ont pas le degré de technicité du Fujian: dépourvus de catapultes, ils sont équipés d'une rampe de type "tremplin", qui ne permet pas aux avions de décoller avec autant de puissance. Cela les contraint à emporter moins d'armes et de carburant.

Engagé dans une rivalité navale avec Washington en mer de Chine méridionale et autour de Taïwan, Pékin reste toutefois sensiblement derrière les Américains en termes de capacité de projection, soulignent la plupart des analystes

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Valais: le futur abbé de Saint-Maurice veut restaurer la confiance

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Le chanoine Alexandre Ineichen, actuel recteur du College de Saint-Maurice, sera le nouvel abbé en 2026. Il entend restaurer la confiance. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Futur abbé de Saint-Maurice, le chanoine Alexandre Ineichen prendra ses fonctions en début d’année 2026. Dans une interview accordée au Nouvelliste, il affirme vouloir restaurer la confiance et promet des réformes à l'abbaye.

Elu par ses pairs et validé dans sa future fonction par le pape Léon XIV, Alexandre Ineichen se sait attendu au tournant, dans le climat de défiance qui prévaut après la publication du rapport Aubert. Ce dernier avait, pour rappel, mis en lumière des années de violences sexuelles permises voire favorisées au sein de l'abbaye.

"La recherche de confiance, d’unité et d’authenticité" constitueront les premiers objectifs d'Alexandre Ineichen. "Je ne viens pas avec un programme politique ou une stratégie précise. Mais avec le souci de retisser les liens: entre les chanoines, avec les fidèles, avec tous ceux qui, de près ou de loin, se sentent liés à l’abbaye. Il faut retrouver un climat serein où la vie religieuse puisse se déployer pleinement", pose le futur abbé sans entrer dans les détails ni fixer un agenda.

Il convient toutefois: "Des actions concrètes seront entreprises. Le plan d’action du rapport Aubert va être repris. Il y a, par exemple, cette commission de conseil en gouvernance qui est sur le point de voir le jour. Cette entité nous permettra de bénéficier d’un regard extérieur sur nos pratiques afin d’en corriger les potentiels travers".

Alors que le quotidien valaisan lui rappelle que le rapport Aubert suggère une "reconnaissance publique de responsabilité", M. Ineichen s'engage à favoriser le dialogue entre l'institution et les victimes: "Mais il faut que cela convienne et soit adéquat, surtout pour les victimes. La confiance se bâtit aussi par des actes concrets, en particulier envers les victimes", prévient-il.

Un laïc dirigera vraisemblablement le collège

Conscient que les dérives du passé font ombrage aux perspectives d'avenir, le chanoine estime qu'"une image est toujours récupérable. Elle est l’effet d’une cause. Je travaillerai sur ces causes".

Recteur du collège de Saint-Maurice depuis 19 ans, le chanoine tient pour acquis qu'il sera remplacé par un laïc: "une fois que je serai parti, il ne restera plus qu’un seul chanoine professeur dans l’établissement. Une page historique va donc se tourner", convient-il avant d’ajouter: "la volonté est de donner un nouveau souffle à l’établissement. Si une forte personnalité externe au collège est candidate, elle aura toute notre attention. Dans tous les cas, on analysera l’ensemble des postulations pour choisir la meilleure", promet-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Gaza: une force internationale sera bientôt déployée, dit Trump

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Donald Trump a dit qu'une force internationale sera "très bientôt" déployée à Gaza. (© KEYSTONE/AP/Jacquelyn Martin)

Donald Trump a affirmé jeudi qu'une force internationale serait déployée "très bientôt" à Gaza. Une annonce faite au lendemain de celle d'un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU destinée à soutenir le plan de paix du président américain.

"Très bientôt. Ça va arriver très bientôt. Et ça se passe bien à Gaza", a répondu Donald Trump à une question d'un journaliste sur le déploiement annoncé d'une telle force dans le territoire palestinien, qui fait face à une situation humanitaire toujours très précaire près d'un mois après l'entrée en vigueur d'une trêve entre Israël et le Hamas.

"On a plusieurs pays qui se sont portés volontaires pour intervenir en cas de problème avec le Hamas, par exemple, ou pour tout autre problème", a-t-il ajouté lors d'un échange avec la presse en marge d'une rencontre diplomatique à la Maison Blanche avec des dirigeants d'Asie centrale.

Les Etats-Unis ont présenté mercredi à des pays partenaires un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU destinée à soutenir le plan de paix de Donald Trump à Gaza, incluant le déploiement d'une force internationale.

L'ambassadeur Mike Waltz a réuni mercredi les dix membres élus du Conseil ainsi que plusieurs partenaires régionaux (Egypte, Qatar, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Turquie), selon la mission américaine à l'ONU, notant que cela témoignait du "soutien régional" à ce texte.

Selon des sources diplomatiques, plusieurs pays ont déjà évoqué être prêts à participer à cette force de stabilisation (ISF), notamment l'Indonésie, mais tiennent à un mandat du Conseil de sécurité pour effectivement déployer des troupes dans le territoire palestinien.

Cette force est prévue dans l'accord qui a conduit à un fragile cessez-le-feu le 10 octobre, après deux ans de guerre dévastatrice déclenchée par l'attaque du Hamas.

Selon les termes de cet accord, elle sera composée d'une coalition en majorité composée de pays arabes et musulmans, et déployée à Gaza pour y superviser la sécurité à mesure que l'armée israélienne s'en retirera.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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