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Les jeux vidéo, Robin Garcia

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Robin GarciaChroniqueur Jeux Vidéo

 

Il était attendu comme pas possible depuis longtemps et voilà qu’il arrive sur PC, Ps4 et Xbox One, Jump Force!

L’histoire, la voilà: Une ville se fait attaquer par le terrible freezer, le méchant bien connu de dragon ball z… Il cause pleins de dégâts et vous, simple humain, manquez de peu de vous faire avoir par Freezer… Sauvé par Sangoku et Trunks, eux aussi des héros de dragon ball z, vous vous retrouvez rapidement en compagnie de ces derniers mais aussi de Naruto du manga du même nom et de Luffy de One piece… Vous formez alors la jump force, chargée de protéger le monde contre les ennemis de ces trois univers de manga!

 

Jump Force un jeu de combat donc, mais contient également quelques aspects de jeux de rôles…. Alors quoi dire de ce jeu?

Bon on va commencer par les bons points…

 

Le jeu est beau. Très beau même. Les effets des attaques sont vraiment bien travaillés.

Il y a énormément de personnages venant de pleins d’univers différents… Dragon Ball, Naruto, One Piece, Les chevaliers du zodiaque, Jojo's Bizarre Adventures… Il y en a pour tous les fans!

Voilà ça c’était les bons points!

Je sais c’est un peu rude mais pour un titre qui se laissait désirer depuis longtemps, avoir une liste de défauts comme celle qui va suivre est tout simplement inadmissible.

 

Déjà, une première chose vous saute aux yeux dès le début, ce sont les temps de chargements…. Ils sont loooooooonnnnnnnnnngs! Je veux dire, on est en 2019, et en 2019 le problème des chargements qui durent 1000 ans ne devrait plus exister.

Après ces temps de chargements, vous avez une cinématique qui commence.. On voit un héros connu, un méchant connu pas content et hop, de nouveau temps de chargement…. Vous attendez donc bien 5 minutes, puis une nouvelle cinématique apparaît… celle ci dure 2 minutes… et rebelote, temps de chargement, cinématique… Je vous promet, je n’en revenait pas, j’ai dû attendre facilement 20 minutes avant de pouvoir toucher la manette!  

Bon une fois l'introduction finie vous pouvez créer votre personnage.. Niveau création c’est correct hein, comme la plupart des jeux du moment mais lorsque il a commencé à bouger….

Mon Dieu l’animation! On aurait dit que le personnage avait un balai coincé là ou il ne fallait pas! Je vous jure même Dora l'exploratrice, qui est destiné au tout petits, est mieux animée que ce jeu!

Bon et puis la vous vous dites surement… oui mais Robin c’est pas très important pour un jeu de combat tout ça… Ce qui compte c’est la baston! C’est se défouler sur la manette!

Eh bien moi je vous répondrais que, déjà oui tout ça compte, mais que le pire dans ce jeu ce sont les combats justement!

J’ai vraiment cru rêver quand j’ai vu que le nombre de coups spéciaux… Ils s'élèvent, attention accrochez vous, au nombre de 4! C’est vide! Le jeu est vide. C’est simple après deux heures de jeu, dont la moitié de cinématiques et chargements, j’ai éteint ma console.

 

Certes j'y vais peut-être un peur fort mais vous savez, le jeu vidéo ce n’est pas juste un divertissement pour enfants et grands adultes… Le jeu vidéo c’est un moyen de vivre une aventure encore plus intensément que devant un film ou un livre… Ça permet de se détacher de notre monde quelques instants, vivre dans la peau d’un personnage avec ses émotions et partager tout ça avec d’autres personnes!

Alors nous annoncer quelques chose de superbe et finalement nous sortir un jeu dont le seul argument est : “Eh regardez dans ce jeu il y a Naruto qui fait une blague à Sangoku, et il y a tout les personnages que vous aimez dedans, vous êtes content hein??”

Eh bien non… Je suis désolé mais non…    Si vraiment vous êtes fan de manga et de tous les personnages cités, alors oui vous y trouverez peut être un peu de nostalgie, mais vous ne trouverez rien d’autre.  

 

Sortie PC, PS4, Xbox One : 15.02.2019

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Culture

Le Genevois Slimka, meilleur artiste romand aux Swiss Music Awards

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Les Bernois de Züri West ont remporté le prix du meilleur groupe de l'année (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/SAMUEL GOLAY)

La chanteuse st-galloise Joya Marleen, le chanteur bâlois Baschi et le groupe bernois Züri West ont été désignés artistes de l'année mercredi à Zurich lors des Swiss Music Awards 2024. Le rappeur genevois Slimka, lui, est le meilleur artiste romand.

Le public avait jusqu'au 21 avril pour désigner ses artistes préférés. Dans la catégorie "Romandie", Slimka était opposé à deux femmes, l'auteure-interprète lausannoise Nnavy et la rappeuse jurassienne Baby Volcano.

D'autres romands sont repartis les mains vides. Dans la catégorie "Best Breaking Act", qui met en avant de nouveaux artistes, le trio de Ländler schwyzois Rusch-Büeblä a été préféré au chanteur valaisan Nuit Incolore.

Dans la catégorie "Most Rising Artist Social Media", qui récompense l'activité sur les réseaux sociaux, la Jurassienne bernoise Phanee de Pool s'est inclinée face à la rappeuse grisonne Gigi. Et Shuttle, projet du musicien indie-pop fribourgeois Grégoire Pasquier, n'a pas été retenu dans la catégorie "SRF 3 Best Talent". Le prix est allé à l'Appenzelloise Riana.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

A l'UNIL, fin de l'occupation nocturne de Géopolis

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Le bâtiment Géopolis ne sera plus occupé de nuit (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Université de Lausanne (UNIL) a demandé au collectif pro-palestinien qui occupe Géopolis depuis jeudi dernier de quitter les lieux mercredi soir. Il a été admis que les locaux pourront continuer à être utilisés aux heures ouvrables, le temps des négociations.

La direction de l'UNIL a fixé comme condition pour la poursuite des négociations le retrait du bâtiment par le collectif dans la soirée, ce qui a été fait, annonce mercredi soir l'institution dans un communiqué. Les discussions pourront se poursuivre à condition que le collectif reste composé de membres de l’UNIL ou affiliés à l’UNIL.

La Haute Ecole exige aussi le respect du bon déroulement des activités de recherche et d’enseignement sur le campus, ainsi que de l’intégrité des personnes et des infrastructures. Depuis jeudi dernier, un collectif pro-palestinien occupait jour et nuit Géopolis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 14, 25, 26, 31, 34 et 38. Le numéro chance était le 5, le rePLAY le 3 et le Joker le 608983.

Lors du prochain tirage samedi, 17,6 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Climeworks inaugure une seconde usine de captage de CO2 en Islande

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La première usine de Climeworks en Islande, baptisée Orca. La seconde usine dévoilée mercredi, Mammoth, permettra de capter bien plus de CO2 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les ventilateurs moulinent: la deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air et stockage sous terre a été dévoilée mercredi par la start-up suisse Climeworks. Elle décuple ainsi ses capacités et espère "éliminer" des millions de tonnes de ce gaz d'ici 2030.

Mammoth est située à quelques centaines de mètres de sa petite soeur, Orca, usine pionnière en service depuis septembre 2021, au milieu d'un champ de lave solidifiée recouverte de mousse, à une demi-heure de la capitale Reykjavik.

Entourés par des montagnes, douze conteneurs ont commencé ces derniers jours à ventiler de l'air pour en extraire le CO2 grâce à un procédé chimique, alimenté par la chaleur issue de la centrale géothermique voisine ON Power.

D'ici la fin de l'année, 72 unités seront installées autour de l'usine qui compresse ensuite le gaz et le dissout dans de l'eau avant de l'injecter sous terre. A 700 mètres profondeur, au contact du basalte, roche volcanique poreuse riche en calcium et magnésium, le CO2 met environ deux ans à se minéraliser et est ainsi stocké durablement, selon un procédé mis au point par la société islandaise Carbfix.

36'000 tonnes de CO2 par an

Quelque 10'000 tonnes de CO2 étaient jusqu'ici captées puis stockées par an dans le monde, dont 4000 par Orca et le reste principalement par des unités pilote expérimentales. Une fois pleinement opérationnelle, Mammoth permettra d'en absorber 36'000 tonnes par an.

"Nous sommes passés de quelques milligrammes de CO2 captés dans notre laboratoire il y a 15 ans à quelques kilos, puis des tonnes et des milliers de tonnes", se réjouit Jan Wurzbacher, fondateur et codirigeant de Climeworks. D'ici 2030, l'entreprise vise une capacité de plusieurs millions de tonnes et entrevoit le milliard pour 2050.

Une vingtaine d'autres projets développés par Climeworks et d'autres start-up devraient permettre d'atteindre les 10 millions de tonnes d'ici 2030. A comparer aux 40 milliards de tonnes émises l'année dernière dans le monde.

Crédit carbone

Ces usines énergivores se distinguent de celles qui captent le CO2, plus concentré, à la sortie d'infrastructures industrielles ou énergétiques mais aussi de celles qui réutilisent ce gaz au lieu de le stocker.

Pour chaque tonne de CO2 stockée, Climeworks peut ainsi générer un crédit carbone qui permet à ses clients (Lego, Microsoft, H&M, Swiss Re, JP Morgan Chase, Lufthansa...) de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre.

Ces technologies sont reconnues par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) comme une solution pour éliminer du CO2 de l'atmosphère mais ne sont pas encore très intégrées aux scénarios de réductions des émissions tant leur développement, extrêmement couteux, est encore au stade embryonnaire avec des financements publics limités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Occupation d'UniMail: Le dialogue est ouvert entre le rectorat et les étudiants

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Les étudiants pro-palestiniens occupent le hall d'UniMail depuis mardi midi (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Le vice recteur de l'Université de Genève a rencontré mercredi après-midi une délégation des étudiants pro-palestiniens qui occupent Unimail depuis mardi. Il leur a proposé de se joindre au conseil scientifique pour discuter de leurs revendications.

Les discussions sont enclenchées entre le rectorat de l’université de Genève et les étudiants pro palestiniens qui occupent UniMail depuis deux jours. Une délégation a été reçue ce mercredi après-midi, pendant près de deux heures, par le vice-recteur Édouard Gentaz, en charge du vivre-ensemble.

Une ouverture des discussions saluée par l'une des porte-paroles du collectif des étudiants.

 

Le rectorat a notamment proposé à la coordination étudiante Palestine-Unige de rejoindre une réunion de travail du conseil scientifique qui se réunira jeudi pour aborder les revendications du collectif et le rôle de l’université de Genève dans le débat public. Edouard Gentaz, vice-recteur.

 

Toutes les propositions formulées par le rectorat doivent maintenant être soumises à l'assemblée générale des étudiants. Seule certitude, l'occupation d'UniMail est maintenue pour la nuit de mercredi.

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