La Russie doit être à la pointe du progrès technologique militaire, notamment concernant les drones, a affirmé Vladimir Poutine. Le président a reconnu que Moscou parvenait à se fournir sur le marché international malgré les sanctions.
"Les équipements militaires actuels évoluent très rapidement. Si nous voulons remporter des succès, nous devons toujours avoir une longueur d'avance", a déclaré le président russe.
"L'ennemi a des moyens assez modernes, car toute la société occidentale travaille pour lui", a-t-il ajouté.
Selon le Kremlin, Vladimir Poutine a tenu ces propos lors d'un échange avec des combattants russes, le 7 mai, mais diffusé seulement jeudi pour les célébrations de la victoire soviétique contre l'Allemagne nazie.
"Ce n'est pas simple pour nos gars, nos combattants, qui sont face à des drones ennemis qui volent au-dessus de leur tête comme des mouches. On le sait. On travaille là-dessus et je suis sûr qu'il y aura des résultats", a dit M. Poutine.
Il s'est aussi félicité de l'usage, généralisé par Moscou, de bombes aériennes guidées pour anéantir les défenses ukrainiennes et a assuré que l'armée russe parvenait à "surmonter" les systèmes de brouillage de drones.
Interrogé par un officier sur le développement de drones robots terrestres sur le front, il a affirmé que Moscou parvenait à acquérir certaines de ces technologies sur le marché international, en dépit des sanctions occidentales.
De la Chine à la Russie
"Nous prendrons (...) ce que nous voyons sur le marché international. Malgré les difficultés, nous recevons (...) des choses mobiles, à double, triple usage, ou usage civil mais pouvant être utilisées pour les opérations militaires", a-t-il détaillé.
Depuis le début de son offensive à grande échelle contre l'Ukraine, la Russie est confrontée à des sanctions occidentales censées l'empêcher de recevoir des technologies utilisées par son industrie militaire.
Mais les Etats-Unis disent constater depuis des mois le transfert de matériels de la Chine vers la Russie, dont Moscou se sert pour rebâtir son industrie de défense.
En guise d'illustration du soutien de Pékin au complexe militaro-industriel russe, Washington a cité des achats massifs par Moscou de composants électroniques, de machines-outils et d'explosifs chinois, des accusations démenties par Pékin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Jacques
1 septembre 2020 à 0 h 17 min
L’auto-proclamé « anthropologue de la santé » (il n’a aucune formation ni certification justifiant ce titre) est surtout le spécialiste des faits déformés (biaised facts) et de la réthorique pour amener ses interlocuteurs à rejoindre son point de vue.
Je vous renvoie à l’article de Heidinews sur le personnage et ses méthodes.
https://www.heidi.news/sante/que-penser-des-interventions-de-jean-dominique-michel-sur-l-epidemie
Bar
3 septembre 2020 à 10 h 27 min
Ah ces médias ! L’art de dénigrer...
Ce ne sont pas les « anti-masques ». Mais les pro-liberté.
Bredillet
12 septembre 2020 à 16 h 08 min
La mauvaise foi,c’est pathétique...à quel endroit c’est marqué anti-masque ? Bande de fourbe à 2.- sans aucune subtilité. C’est une manif pour La Liberté du port du masque .