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Actualité

Léman Express: fin de la grève

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(KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

La grève du Léman Express, côté français, est suspendue. Les grévistes ont mis fin à leur mouvement ce lundi matin, sans avoir obtenu la prime de cherté qu'ils réclamaient.

"La direction du Léman express à gagné un bataille mais a perdue la confiance des cheminots et celle des usagers." Le syndicat Force Ouvrière des cheminots d’Annemasse

Le mouvement avait été engagé le 18 octobre dernier avec comme principale revendication une prime de cherté mensuelle de 300 euros, versée à tous les cheminots haut-savoyards.

Les syndicats se réuniront prochainement pour définir quelle suite donner à cette grève suspendue.

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Genève

L'UNIGE dévoile les dessous de l’industrie de la pornographie en ligne

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© KEYSTONE/CHRISTOF SCHUERPF

La pornographie en ligne au cœur d’une conférence organisée par l’UNIGE ce mercredi. 4 experts vont analyser l’impact de l'industrie de la pornographie et notamment ses revenus. Il sera aussi question de la manière dont la réalité virtuelle influence la pornographie actuelle ainsi que la vie sexuelle des internautes.

Intitulée "Les dessous de l'industrie de la pornographie en ligne", la conférence parlera des acteurs de cette industrie et des flux d'argent sous-jacents, de l'impact des nouvelles technologies sur la transformation de l'industrie pornographique, aussi.

Les sujets seront traités par Giedre Huber, maître d'enseignement et de recherche au Centre de philanthropie de l'Université de Genève, Francesco Bianchi-Demicheli, thérapeute et médecin spécialiste en sexologie, et Saul Pandelakis, chercheur à l'Université de Toulouse et auteur de fiction. Cathline Smoos, psychologue et sexologue sera également présente. Elle expliquera notamment ce que permet la réalité virtuelle dans la pornographie en ligne.

Cathline SmoosPsychologue et sexologue

Pour elle, la réalité virtuelle peut offrir des alternatives aux problématiques de la pornographie actuelle.

Cathline SmoosPsychologue et sexologue

Quels sont les avantages de la réalité virtuelle dans la pornographie ?

Cathline SmoosPsychologue et sexologue

La conférence est organisée en partenariat avec le Centre Maurice Chalumeau en sciences de la sexualité de l'UNIGE. Elle s'inscrit dans le cadre de la 4e édition du cycle de conférences-débats du Bureau de la transition numérique destiné à créer un dialogue entre la communauté universitaire et le grand public. Ce cycle se déroulera jusqu'en mars. Les événements ont lieu à Uni Dufour et en ligne.

Si voulez suivre la conférence, rendez-vous ici.

Laurie Selli avec ATS

 

 

 

 

 

 

 

 

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Suisse

Accident d'un avion militaire lors d'un atterrissage à Emmen (LU)

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L'avion accidenté est un PC-21 du constructeur suisse Pilatus (archives). (© Schweizer Armee)

Un avion militaire de type PC-21 a eu un accident mardi lors d'une manoeuvre d'atterrissage sur la base aérienne d'Emmen (LU). Le pilote et l'élève-pilote qui se trouvaient à bord ont pu s'éjecter, a indiqué l'armée suisse.

L'avion accidenté est un avion-école de type PC-21, du constructeur suisse Pilatus. Cet appareil biplace est en service dans l'armée depuis 2008. Au total, huit avions de ce type ont été acquis.

L'appareil est utilisé pour l'instruction de base et avancée des pilotes de jets, ainsi que pour l'instruction au combat aérien, au vol sans visibilité et à la voltige aérienne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Abattage d'arbres: la nouvelle loi vaudoise est jugée trop stricte

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Le Grand Conseil vaudois demande de revoir la loi pour simplifier l'abattage et l'élagage des arbres, sauf si ceux-ci sont jugés remarquables (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Entrée en vigueur depuis moins d'une année, la nouvelle loi vaudoise sur la protection du patrimoine naturel et paysager (LPrPNP) doit être révisée. Le Grand Conseil en a fait mardi la demande au Conseil d'Etat, estimant qu'elle est trop contraignante pour l'abattage et l'élagage de certains arbres.

Même si son règlement d'application n'est pas encore connu, cette nouvelle loi a amené "certaines surprises aux propriétaires et aux communes", a remarqué Charles Monod (PLR), auteur de la motion visant à rectifier la loi. Il a pris l'exemple de demandes d'abattage d'arbres malades ou secs qui nécessitent, selon la nouvelle loi, une mise à l'enquête publique. Jusqu'ici, une autorisation de la municipalité suffisait.

Si la protection du patrimoine arboré peut être "saluée", une application "trop stricte" entraîne "une bureaucratie inutile", a souligné le député. Selon lui, certaines communes devront même engager du personnel pour répondre à ces demandes. Il a demandé au Conseil d'Etat de réviser la LPrPNP, afin de préciser que la mise à l'enquête publique est uniquement obligatoire lorsqu'il s'agit d'abattre ou élaguer des arbres dits "remarquables". Les autres demandes doivent rester de la compétence des municipalités.

Plusieurs députés ont abondé dans le même sens, certains affirmant que le Parlement n'avait "pas vu passer le puck" au moment de voter la loi et qu'il fallait désormais "rectifier le tir". Il ne s'agit pas "d'affaiblir" la loi mais de parvenir à "une sobriété administrative", a résumé Sébastien Humbert (Vert'libéraux).

Du côté des Vert-e-s, Rebecca Joly a reconnu qu'une publication "systématique" dans la Feuille d'avis officiel (FAO) était exagérée dans certaines situations, car "coûteuse et chronophage". Elle a toutefois prévenu que l'arrêt "complet de toute enquête publique" allait "trop loin" car un "contrôle" doit rester possible pour le grand public et les organisations environnementales.

Fausses informations

Le ministre de l'environnement Vassilis Venizelos a aussi dit comprendre "la surcharge administrative" liée à une publication dans la FAO, qui ne devrait être maintenue que pour les arbres remarquables. Pour le reste, il a estimé possible de revenir à l'ancienne loi avec un affichage au pilier public et sur le site internet de la commune.

Le conseiller d'Etat a aussi indiqué que le règlement d'application de la nouvelle loi était "à bout touchant". En attendant, il a tenu à démentir certaines "rumeurs" et fausses informations. Comme par exemple le fait qu'un arbre "à deux doigts de s'écrouler et représentant un danger imminent" ne pourrait pas être abattu sans mise à l'enquête.

Il a promis que les communes allaient être informées, en attendant que cette loi soit rectifiée et que son règlement d'application soit connu.

Dans un vote à mains levées, le Grand Conseil a accepté la motion de Charles Monod demandant la révision de LPrPNP.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Les entreprises font face à des perspectives mitigées pour 2024

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Les carnets de commandes du second oeuvre connaissent des taux de remplissage record. Cette branche du secteur de la construction est toutefois fortement impactée par la pénurie de main d'oeuvre (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT MERLET)

Les entreprises vaudoises résistent comme elles peuvent au ralentissement de la conjoncture mondiale. De fortes disparités marquent les branches des différents secteurs, notamment en fonction des marchés dont elles dépendent.

"Après le rebond extraordinaire de 2021, qui a suivi la récession due à la pandémie, la conjoncture a de nouveau ralenti en 2022 sur l'ensemble du globe en raison de la guerre en Ukraine et des tensions sur le marché de l'énergie. Une situation incertaine a marqué 2023 et devrait perdurer en 2024", a expliqué mardi Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la Banque cantonale vaudoise (BCV) aux médias lors de la présentation des derniers indicateurs conjoncturels publiés par la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI).

Dans ce contexte, la croissance dans le canton de Vaud s'inscrit en baisse de un point, à 1,4% pour cette année et devrait se maintenir à 1,3% en 2024. Une tendance similaire s'observe en Suisse. "Il faut comprendre que le dossier de l'inflation est soudain devenu prioritaire pour les banques centrales et a fait passer la croissance au second plan", a fait remarquer Claudio Bologna, chef de projet chez Statistique Vaud. La Suisse est toutefois parvenue à éviter une stagnation, voire une récession, comme en Allemagne, a-t-il relevé.

Baisse des exportations

Sans surprise, les exportations vaudoises ont reculé de 5,3% sur les 10 premiers mois de l'année. Leur niveau reste cependant supérieur à celui de 2019. Les différentes branches connaissent des fortunes diverses: en baisse pour la chimie et le matériel médical, en hausse pour l'horlogerie.

"Cela s'explique notamment par les marchés dont dépendent les branches", poursuit Claudio Bologna. "Les industries dépendantes de la zone euro sont impactées en raison de la cherté du franc. En revanche, l'horlogerie et la joaillerie, qui ont l'Asie comme principal marché ressentent moins ce paramètre."

Fortes disparités

Les secteurs connaissent également de fortes variations. Dans la construction, les carnets de commande du second oeuvre atteignent des valeurs record, avec 11 mois de réserves de travail. Ceux du gros oeuvres sont plus clairsemés avec des réserves de trois mois. "Les démarches administratives qui deviennent toujours plus longues et complexes ont tendance à décourager les investisseurs", analyse Nicolas Tripet de la Fédération vaudoise des entrepreneurs.

Le second oeuvre ressent fortement le manque de main d'oeuvre. Ainsi, l'enquête conjoncturelle de la CVCI révèle que 64% des répondants des travaux de finition, d'installation électrique et de plomberie jugent le manque de personnel comme un obstacle à la bonne marche des affaires.

Dans le secteur de l'industrie, de grandes disparités sont également observées. Ainsi, la durée assurée de production pour la branche machines et de l'équipement est de 14 mois, et les professionnels sont 98% à juger les affaires satisfaisantes ou bonnes. En revanche la branche industrie et travail des métaux souffre de la faiblesse de la demande. Quelque 53% des professionnels jugent les affaires mauvaises.

Restaurateurs mécontents

Du côté de l'hôtellerie-restauration, les hôteliers ont le sourire tandis que les restaurateurs tirent la langue. Bien que 51% des répondants hôteliers ont enregistré un chiffre d'affaires en baisse pour l'été 2023 par à 2022, ils ont de quoi se réjouir. L'été 2022 avait en effet constitué un record avec une augmentation de 6% du total des nuitées.

En revanche, malgré la météo favorable de l'été 2023, les restaurateurs vaudois sont 42% à mentionner un chiffre d'affaires en baisse et 40% à juger la situation des affaires mauvaises. Ils invoquent la demande insuffisante, la pénurie de personnel et la hausse des coûts, en particulier de l'énergie.

Commerçants inquiets

Le secteur des services s'est globalement maintenu en 2023, mais a souffert du manque de main d'oeuvre, en particulier dans la branche des services informatiques. Cette dernière a connu un pic historique au premier trimestre 2023. "La digitalisation, la cybersécurité et l'avènement de l'intelligence artificielle constituent des tendances particulièrement porteuses", a fait remarquer Karine Bardetscher Chamoso de l'Ordre vaudois d'Experts Suisse.

Quant au secteur du commerce de détail, en constante mutation, il se trouve dans une situation "relativement mauvaise", a déclaré Patrick Zurn de la CVCI. Les inquiétudes portent actuellement sur "le franc fort et le tourisme d'achat qui en résulte". Les commerçants étaient 30% à juger la marche des affaires mauvaise en octobre, mais s'attendaient toutefois à une embellie avec les fêtes de fin d'année.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le metteur en scène Eric Devanthéry dirigera le Théâtre du Grütli

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A Genève, le metteur en scène Eric Devanthéry dirigera le Théâtre du Grütli à partir du 1er juillet pour trois saisons. Le Genevois succèdera à Barbara Giongo et Nataly Sugnaux Hernandez, dont le mandat arrive à son terme.

Le dossier porté par Eric Devanthéry a été choisi à l'unanimité par une commission d'évaluation composée de quatre experts externes après trois tours, a annoncé la Ville de Genève mardi, tout en précisant qu'elle a reçu onze candidatures de grande qualité. Le mandat du metteur en scène, traducteur et dramaturge né en 1974 est renouvelable une fois pour trois nouvelles saisons.

Nommé "Scènes du Grütli", ce projet est axé sur la pluralité du théâtre. "Il cultive un fort enthousiasme et une capacité à fédérer autour de l'accompagnement des artistes et des compagnies genevoises, tout en portant une véritable attention au développement des publics", souligne la Ville de Genève. Des projets "Pop Up" feront ainsi ponctuellement sortir le théâtre de ses murs.

Accompagnement des artistes

Eric Devanthéry s'est formé à l'Université de Genève et à l'Ecole supérieure d'art dramatique de Genève. Il a été assistant de Thomas Ostermeier à la Schaubühne de Berlin en 2002. Il a mené une résidence au Théâtre Pitoëff, à Genève, de 2015 à 2018. Ses pièces tournent régulièrement en Suisse romande et alémanique. Il a aussi enseigné le théâtre.

Barbara Giogo et Nataly Sugnaux Hernandez ont dirigé le Théâtre du Grütli depuis 2017. Durant leurs deux mandats, elles ont développé l'accompagnement des artistes. Elles ont récemment été récompensées par un Prix suisse des arts de la scène.

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