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Le PS se profile lors d'un congrès à mi-législature

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Les co-présidents Mattea Meyer (gauche) et Cédric Wermuth (droite) autour du conseiller fédéral Alain Berset lors du congrès extraordinaire du PS à St-Gall. (© KEYSTONE/WALTER BIERI)

Le Parti socialiste, réuni samedi en congrès extraordinaire à St-Gall, a défini ses grandes orientations. Il s'est présenté comme le parti de la liberté pour tous qui signifie une égalité des genres, des conditions de travail dignes et une planète à protéger.

Quelque 440 délégués du PS ont enfin pu se réunir physiquement en présentiel pour la première fois depuis les restrictions liées au Covid-19. A la mi-législature, elle a passé en revue tous les grands thèmes du moment, de la politique sociale, au climat, sans oublier la pandémie de coronavirus.

Le monde vit en état de crise permanente, selon le PS. Toutes ces crises ont des causes différentes. Mais elles sont toutes liées par un mode de production économique qui ne met pas l’humain et la nature au centre, mais qui les exploite. Pour les coprésidents du PS Mattea Meyer et Cédric Wermuth, la droite défend les privilèges des puissants et des propriétaires. Le PS lui "se bat pour la liberté pour tous".

Tirer les leçons du Covid

Le Covid-19 a été largement évoqué. Le conseiller fédéral Alain Berset a lancé un appel à la solidarité pour vaincre la pandémie. Cela implique de renoncer temporairement à certaines libertés afin de ne pas mettre en danger les plus faibles. La vaccination suscite des débats passionnés, "mais aussi des dérapages que je condamne", a déclaré le ministre de la santé.

Le parti a adopté un document de synthèse sur les enseignements politiques et sociaux à tirer de cette crise. Il faut plus de sécurité sociale, plus de services publics et plus de solidarité.

Dans le détail, il propose d'introduire une "assurance générale de revenu" ainsi qu'un accueil extrafamilial des enfants qui relève du service public. Sur ce dernier sujet, une initiative populaire sera lancée en 2022.

Les socialistes veulent aussi des améliorations dans le domaine de l'aide sociale, en particulier une harmonisation de la législation au niveau suisse. Ils militent toujours pour une assurance maladie publique avec des primes calculées sur le revenu ainsi que pour de bonnes conditions de travail et de bons salaires dans le secteur des soins.

En signe de solidarité, le PS veut une contribution de la part des gagnants de la crise qui passerait par une hausse d'impôt sur les bénéfices. Le parti vise notamment l'industrie pharmaceutique, les acteurs du numérique et les sociétés immobilières qui ont refusé de renoncer à une partie des loyers commerciaux.

Initiative sur la place financière

Le PS est aussi déterminé à assurer aux générations futures une planète sur laquelle elles pourront vivre. Les banques et les assurances ne doivent plus se soustraire à leurs responsabilités. Dans ce contexte, le PS entend lancer l'année prochaine une initiative populaire pour une place financière socialement et écologiquement responsable.

Nous réfléchissons également à une réforme de la prévoyance vieillesse qui sécurise les retraites, a annoncé la direction. Cela passerait par un renforcement de l'AVS à la charge des deuxième et troisième piliers. Quant au projet "AVS 21", actuellement discuté au Parlement, le PS annonce un référendum, car en l'état, il entraîne une réduction de rentes.

Opposés au F-35

Les délégués ont aussi décidé par 252 voix contre 48 et 23 abstentions de soutenir l'initiative contre l'acquisition des F-35 A. C'était le seul sujet un tant soit peu disputé. Il n'y a en revanche pas eu d'hésitations pour soutenir l'initiative des Jeunes verts "pour la responsabilité environnementale" ainsi que le référendum contre la suppression du droit de timbre d'émission.

Le PS a encore adopté ses mots d'ordre qui n'avaient pas encore été décidés à des assemblées précédentes. Le 28 novembre, le parti recommande de rejeter l'initiative pour la "désignation des juges fédéraux par tirage au sort", dite initiative sur la justice.

Le congrès s'est prononcé en faveur de l'initiative "pour des soins infirmiers forts" lancée par l'Association suisse des infirmières et infirmiers (ASI) ainsi qu'en faveur de la loi Covid-19 révisée.

Le parti a enfin procédé à un mini-changement dans ses instances dirigeantes: Barbara Gysi quitte la vice-présidence. Elle est remplacée par David Roth, président du PS du canton de Lucerne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Mobilité

L'OFT souhaite un train de nuit pour la Suède dès avril 2026

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Dès avril 2026, une ligne de train de nuit sera exploitée entre Bâle et Malmö via Copenhague. (Image d'illustration) (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

L'Office fédéral des transports (OFT) a annoncé souhaiter la mise en service d'une ligne de train de nuit Bâle-Copenhague-Malmö dès avril 2026. Exploitée trois fois par semaine, cette ligne serait une rescapée des coupes budgétaires de la Confédération.

L'OFT a annoncé la priorisation de cette ligne et l'engagement de 1,2 million de francs dans les travaux préparatoires en 2025. D'ici 2030, la Confédération prévoit de subventionner la ligne à hauteur de 47 millions de francs. Cet argent est destiné à couvrir les coûts non couverts liés à son exploitation (sillons, énergie, personnel et matériel roulant).

Les subventions ne comprennent pas l'achat de nouveau matériel roulant, car "la liaison pourrait être assurée entre autres avec le matériel roulant actuellement utilisé de Zurich à Amsterdam", précise Sabrina Schellenberg, porte-parole des CFF à l'agence Keystone-ATS.

Les 47 millions proviennent de la loi CO2, qui prévoyait initialement 30 millions par année avant que le Parlement ne baisse cette somme à 10 millions. Cette baisse est déjà un compromis en soi, souligne, l'OFT, car le Conseil fédéral voulait purement et simplement supprimer cette contribution dans le cadre de son plan financier 2027-2029.

Décision finale au Parlement

Cette subvention vise à favoriser des moyens de transport moins émetteurs de gaz à effet de serre. "Les offres dans le trafic voyageurs à longue distance, en particulier les trains de nuit, sont encouragées", indique Michael Müller, porte-parole de l'OFT, auprès de Keystone-ATS.

Mais la décision finale reviendra aux Chambres fédérales dans le cadre du débat sur le budget 2026. Les CFF n'ont déposé qu'une seule demande pour une ligne de train de nuit, Bâle-Copenhague-Malmö. Seule la Suisse soutient cette ligne au travers des CFF, aucun autre pays n'apporte une quelconque subvention pour sa réalisation, précise encore le porte-parole. Le train y circulerait trois fois par semaine.

En parallèle, l'OFT a dépensé 5 millions de francs en 2025 pour homologuer le modèle "Giruno" afin qu'il puisse rouler à 250 km/h, contre 200 km/h actuellement. Cela vise à proposer des trains directs pour Venise, Gênes et Bologne. A terme, des gains de temps sur les différents parcours sont envisageables. Enfin, 1,9 million de francs ont été dépensés cette année afin de remplacer les wagons-restaurants sur la ligne Zurich-Innsbruck-Graz.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Cinq pays vont tester une application de vérification de l'âge

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Les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes. (image symbolique) (© KEYSTONE/AP)

Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application permettant de vérifier l'âge des utilisateurs en ligne et d'empêcher les enfants d'accéder à des contenus dangereux, a annoncé lundi la Commission européenne.

"Ce dispositif permettra aux utilisateurs de prouver facilement qu'ils ont plus de 18 ans, ce qui protégera les enfants des contenus inappropriés", a expliqué Henna Virkkunen, commissaire européenne responsable des questions technologiques.

Très concrètement, il s'agit d'un prototype européen que chaque Etat membre pourra ajuster en fonction de ses propres règles: par exemple selon qu'une interdiction est en vigueur sur internet pour les enfants de 12, 13 ou 15 ans etc.

Les cinq premiers pays à franchir le pas sont la France, le Danemark, la Grèce, l'Italie et l'Espagne.

Cette proposition était particulièrement poussée par la France, la ministre chargée du Numérique, Clara Chappaz, défendant une vérification de l'âge "au niveau européen" pour accéder aux réseaux sociaux.

Début juin, le président français Emmanuel Macron s'est engagé à interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans en France si, "d'ici quelques mois", cela ne se faisait pas au niveau européen.

"Plus d'excuse"

L'Union européenne dispose d'un arsenal législatif parmi les plus stricts au monde pour encadrer les géants du numérique.

Mais les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes.

Lundi, la Commission européenne a également publié des recommandations à l'attention des réseaux sociaux pour les jeunes, pour permettre par exemple aux mineurs de bloquer plus facilement des utilisateurs.

Ces mesures incluent également la suppression de fonctionnalités potentiellement addictives comme les "coches", qui indiquent qu'un message a été lu et peuvent pousser à attendre frénétiquement une réponse.

"Il est primordial de veiller à ce que nos enfants et nos jeunes soient en sécurité en ligne", a déclaré la commissaire Henna Virkkunen. "Les plateformes n'ont aucune excuse pour poursuivre des pratiques qui mettent les enfants en danger", a-t-elle estimé.

Bruxelles mène actuellement des enquêtes sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram du groupe américain Meta, ainsi que sur TikTok, dans le cadre de son nouveau Règlement sur les services numériques (DSA). Ces plateformes sont soupçonnées de ne pas suffisamment protéger les enfants des contenus nuisibles.

Fin mai, la Commission a également ouvert une enquête sur quatre sites pornographiques (Pornhub, Stripchat, XNXX, et XVideos) soupçonnés de ne pas empêcher l'accès des enfants aux contenus pour adultes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Droits de douane: l'UE pourrait répliquer à Donald Trump

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Le commissaire européen Maros Sefcovic a annoncé la position des 27 devant la presse. (archive) (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

La Commission européenne a proposé lundi aux 27 pays de l'UE des représailles possibles à hauteur de 72 milliards d'euros (67 milliards de francs), dans le cas où les Etats-Unis imposeraient des droits de douane de 30% sur les importations européennes.

"Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps", a assuré le commissaire européen Maros Sefcovic devant la presse, à l'issue d'une réunion des ministres du Commerce de l'UE à Bruxelles. Il a souligné qu'il s'agissait d'une position commune des Vingt-Sept.

"Les ministres ont adopté une position totalement unie sur la nécessité d'être prêts à réagir" si nécessaire, a indiqué de son côté le ministre danois des Affaires étrangères Lars Rokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE.

Le commissaire européen, négociateur en chef côté européen dans ces difficiles tractations commerciales avec Washington, a confirmé son intention de poursuivre les discussions jusqu'à la date butoir du 1er août décidée par le président Donald Trump, y compris dès lundi avec ses homologues américains.

Et M. Sefcovic d'ajouter: "Mais comme je l'ai déjà dit, il faut deux mains pour applaudir", et donc l'UE doit aussi préparer d'éventuelles représailles en cas d'échec des discussions. La liste de 72 milliards d'euros de marchandises américaines que l'UE pourrait cibler n'épuise pas le champ de toutes les possibilités, a-t-il encore indiqué.

"Tous les instruments restent sur la table", a-t-il souligné. L'UE a déjà préparé une liste distincte d'importations américaines d'une valeur de 21 milliards d'euros qu'elle est prête à viser en raison des droits de douane déjà imposés par M. Trump sur l'acier et l'aluminium. Ces mesures sont actuellement suspendues.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Suisse Romande

Le journal "La Région" licencie l'ensemble de son personnel

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Archives (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Conseil d'administration du journal La Région basé à Yverdon-les-Bains a décidé de licencier l'ensemble de son personnel, soit 14 équivalents plein temps (EPT). L'annonce en a été faite aux concernés lundi après-midi.

Par la voix de son président et actionnaire majoritaire Jean-Claude Vagnières, le Conseil d'administration a officiellement informé le personnel de La Région Hebdo SA ce lundi à 14h00. Cette décision a également été annoncée à un juge du Tribunal d'arrondissement du Nord vaudois, la société se trouvant "en surendettement", comme l'a confirmé Jean-Claude Vagnières à Keystone-ATS.

Le congé de chaque employé "sera notifié par lettre recommandée dans le courant du mois de juillet", précise le Conseil d'administration dans un communiqué.

Eviter la disparition du journal

Les raisons principales ayant mené à cette décision sont avant tout à trouver dans l’augmentation des tarifs de distribution postale. Dans son édition du 4 juillet dernier, La Région rappelait qu'elle a été confrontée à une hausse des tarifs pour la distribution de son journal. Le titre a trouvé un produit moins coûteux pour distribuer son tout-ménage du jeudi, mais cela lui a fait perdre les subventions fédérales d'aide indirecte à la presse. La situation ne s'est, depuis 10 jours, pas améliorée.

"Le Conseil d’administration continue d’explorer activement des pistes avec des partenaires pour éviter de voir le titre disparaître définitivement", a encore confirmé Jean-Claude Vagnières, sans préciser d'éventuelles pistes concrètes.

Basée à Yverdon-les-Bains, La Région paraît lundi, mardi, mercredi et vendredi sur abonnement, ainsi que le jeudi en tout-ménage à environ 46'000 exemplaires. Elle a été fondée en 2007.

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International

Droits de douane: l'UE veut négocier mais s'impatiente face à Trump

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"Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps", a assuré le commissaire européen Maros Sefcovic. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

L'Union européenne espère toujours obtenir un accord avec les Etats-Unis après les nouvelles menaces de Donald Trump de lui imposer le 1er août des droits de douane de 30%, mais sa patience s'amenuise et sa riposte pourrait atteindre les 72 milliards d'euros.

"Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps", a assuré le commissaire européen chargé du Commerce, Maros Sefcovic, devant la presse, à l'issue d'une réunion des ministres du Commerce de l'UE à Bruxelles. Il a souligné qu'il s'agissait d'une position commune des Vingt-Sept.

Le commissaire européen, qui négocie avec Washington au nom des 27, a confirmé son intention de poursuivre les discussions jusqu'à la date butoir du 1er août décidée par Donald Trump, y compris dès lundi avec ses homologues américains.

"Mais comme je l'ai déjà dit, il faut deux mains pour applaudir", et donc l'UE doit aussi préparer d'éventuelles représailles en cas d'échec des discussions, a-t-il relevé. La liste de 72 milliards d'euros de marchandises américaines que l'UE pourrait cibler n'épuise pas le champ de toutes les possibilités, a-t-il dit.

L'UE a déjà préparé une liste distincte d'importations américaines d'une valeur de 21 milliards d'euros qu'elle est prête à viser en raison des droits de douane déjà imposés par le président américain sur l'acier et l'aluminium. Ces mesures sont actuellement suspendues.

La décision de Donald Trump, annoncée dans une lettre rendue publique samedi, a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington, avant la date butoir du 1er août.

"Changer de méthode"

Et certains pays jugent que l'UE doit désormais passer à la vitesse supérieure et montrer sa force.

"Évidemment, la situation depuis samedi doit nous amener à changer de méthode", a ainsi affirmé à Bruxelles le ministre français chargé du Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin. Et il ne faut avoir "aucun tabou", a-t-il martelé.

"Nous voulons un accord, mais il y a un vieux dicton qui dit 'si tu veux la paix, tu dois te préparer à la guerre'", a déclaré de son côté le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE.

La présidente de la Commission européenne - qui négocie au nom des Etats membres de l'UE -, Ursula von der Leyen, a choisi pour le moment de temporiser, sous pression notamment de pays, comme l'Allemagne, dont les ventes vers les Etats-Unis représentent la part la plus importante du total des exportations de l'UE.

Elle a annoncé dimanche que l'Union n'allait pas riposter pour l'instant aux droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium, dans l'espoir d'obtenir un accord qui s'avérerait moins douloureux.

"Nous avons toujours été très clairs sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu'au 1er août", a-t-elle déclaré.

100 milliards d'euros

Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain.

Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission à "défendre résolument les intérêts européens" et à "accélérer la préparation de contre-mesures crédibles".

Le chancelier allemand Friedrich Merz s'est dit dimanche d'accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Ursula von der Leyen et avec Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s'impliquer "intensivement" pour tenter d'arriver à une solution.

La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d'une "guerre commerciale" au sein du monde occidental.

"L'Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L'Italie fera sa part. Comme toujours", a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l'accuse de manquer de fermeté face à Washington.

Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d'un ralentissement économique mondial.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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