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Vers un rejet au National de l'initiative contre l'élevage intensif

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L'initiative contre l'élevage intensif n'est soutenue sans réserve que par les Verts (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/BORIS ROESSLER)

L'élevage intensif ne devrait pas être interdit en Suisse. Une claire majorité se dessine au Conseil national pour rejeter l'initiative populaire en ce sens. Les lois sur la protection des animaux sont déjà assez strictes. Seuls les Verts militent à 100% pour.

L'initiative vise à interdire l'élevage intensif en Suisse dans les 25 ans. Elle veut ancrer des normes bio dans la Constitution en matière de protection des animaux. Enfin, elle demande à la Confédération de réguler les importations d'animaux et de produits d'origine animale pour protéger l'agriculture suisse.

"On a affaire à un texte extrême, car l'élevage de masse n'existe pas en Suisse", a relevé Fabio Regazzi (Centre/TI) pour la commission. Les consommateurs ont, selon lui, déjà le choix entre des labels relatifs aux modes de production de l'animal.

La Suisse a la loi la plus sévère au monde dans le domaine de la protection des animaux de rente, a martelé Markus Ritter (Centre/SG). Accepter l'initiative conduirait à une forte hausse des prix des denrées alimentaires en Suisse, ce qui pousserait encore plus au tourisme d'achat, selon le président de l'Union suisse des paysans.

Familles paysannes menacées

L'initiative menacerait la survie de nombreuses familles agricoles, craint Pierre-André Page (UDC/FR). Elle serait contre-productive, car elle entraînerait une multiplication des installations de plus petite taille sur un territoire déjà étroit. "A force de noyer le paysan dans une idéologie verte, on risque de décourager la relève", a conclu le Fribourgeois.

L'approche n'est pas la bonne, selon le PLR. C'est aux consommateurs de faire pression. On ne veut pas non plus risquer de violer certaines règles de libre-échange, a avancé Beat Walti (PLR/ZH). La législation actuelle est strictement respectée au moyen de contrôles réguliers et des sanctions sont prononcées en cas d'infractions, a renchéri Olivier Feller (PLR/VD).

Une attente de la population

A l'opposé, plusieurs élus des Verts ont dénoncé les mauvaises conditions de détention des animaux dans certaines exploitations. Dans les élevages comptant plus de 12'000 poulets d'engraissement, bon nombre sont malades; un porc de plus de 100 kilos dispose de seulement un mètre carré sur un sol en béton, a rappelé Regula Rytz (Verts/BE).

L'élevage intensif pollue les sols et réduit la biodiversité, a renchéri Balthasar Glättli (Verts/ZH). L'élevage intensif suit une logique de quantité au lieu de qualité, estime Judith Bellaiche (PVL/ZH). La population attend plus de respect envers les animaux de rente, selon elle.

Aujourd'hui, on a une pression sur les prix qui se fait aux dépens du bien-être animal. Il faut durcir les prescriptions notamment sur les importations de viande, a soutenu Martina Munz (PS/SH).

Gauche et PVL pour un contre-projet

Plusieurs élus voudraient opposer un contre-projet à l'initiative qu'ils jugent insatisfaisante. Mais l'UDC, le PLR et le Centre n'en veulent pas. La volonté de changement est nulle, a regretté Jürg Grossen (PVL/BE). Il y a pourtant matière à améliorer la situation, a plaidé le Bernois qui redoute une campagne haineuse avec des photos choc si l'on ne vote que sur l'initiative.

Le Conseil fédéral propose lui un contre-projet direct. Il soutient l'objectif général de l'initiative, mais rejette le texte, car la législation sur la protection des animaux interdit déjà l'élevage intensif. Avec son contre-projet, il propose d'inscrire le bien-être animal dans la Constitution et de l'étendre à tous les animaux.

Pour Samuel Bendahan (PS/VD), ce contre-projet émet trois critères simples, à savoir un hébergement respectueux des animaux, des sorties régulières à l'extérieur et des conditions d'abattage respectueuses.

"Ce sont des règles simples que la plupart des éleveurs en Suisse respectent déjà", selon le socialiste vaudois. Pour lui, ce projet ne viserait que quelques moutons noirs. Il constituerait une alternative crédible à l'initiative qui présente trop de défauts.

Non à de nouvelles contraintes

Mais pour Esther Friedli (UDC/SG), tant l'initiative que le contre-projet direct du Conseil fédéral imposent de nouvelles contraintes. Par ailleurs, le temps manque pour développer un contre-projet indirect comme le demande le PVL. Le délai pour traiter l'initiative est en effet limité à fin mai 2022.

Le débat reprendra mercredi. Il reste encore 47 orateurs qui ont demandé la parole.

Le texte "Non à l'élevage intensif en Suisse (initiative sur l'élevage intensif) " a été lancé par la présidente de la Fondation Franz Weber, Vera Weber, le conseiller national Bastien Girod (Verts/ZH), Sentience Politics et Greenpeace.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Genève

Primes d'assurance maladie : 9,1% de hausse l'an prochain à Genève!

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(© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La pilule va être particulièrement difficile à avaler pour les genevois : le ministre de la santé Alain Berset a annoncé cet après-midi une hausse de 9,1% des primes maladies pour le canton en 2024.

Les primes maladie 2024 vont augmenter de 8,7% en moyenne (28,70 francs) l'an prochain. La prime moyenne mensuelle atteindra 359,50 francs. Il s'agit de la 3e hausse la plus élevée depuis l'introduction de la Loi sur l'assurance maladie (LAMal) en 1996.

Trois cantons enregistrent des hausses de plus de 10%, sans pour autant enregistrer les primes les plus élevées au final. Il s'agit du Tessin (+10,5%), de Zoug (+10,2%) et d'Argovie (+10,1%).

Les cantons latins connaissent parmi les hausses les plus élevées de Suisse avec plus de 9%. L'augmentation est de 9,9% dans le canton de Vaud (400,80 francs), de 9,8% à Neuchâtel (417,20 francs), de 9,6% à Fribourg (339,40 francs), et de 9,1% à Genève et dans le Jura (388,60 francs pour ce dernier). Le Valais est un peu mieux loti avec une hausse de 8,6% (334,50 francs), tout comme Berne, (+8,3%, 367 francs).

Genève : la prime la plus élevée

La palme de la prime la plus élevée revient à Genève avec 454, 40 francs, suivi de Bâle-Ville (451,10 francs) et du Tessin (430, 10 francs). Les Appenzellois de Rhodes-Intérieures sont les plus chanceux de Suisse avec une prime moyenne de 246,10 francs. Quelques cantons de Suisse centrale (NW, OW, UR, ZG) connaissent aussi des primes en dessous de 300 francs.

La forte augmentation des coûts est due à des facteurs multiples: le vieillissement démographique, de nouveaux médicaments et traitements ainsi qu’une augmentation des prestations de santé, par exemple les prestations ambulatoires en milieu hospitalier ou en physiothérapie, avance l'Office fédéral de la santé (OFSP) dans un communiqué mardi pour expliquer la hausse de prix.

Avec ATS Keystone.

 

 

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Santé

Primes maladies 2024: Les astuces pour faire baisser la facture

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Une facture fictive de primes maladie. (© KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Avec l'annonce des augmentations de nos primes d'assurance maladie, à suivre en direct ici, Radio Lac vous propose quelques astuces. Envoyez les vôtres par WhatsApp au 079 918 3000.

(© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Comment les assurés peuvent économiser selon les experts

Selon les experts, les ménages suisses peuvent atténuer l'augmentation attendue des primes d'assurance-maladie. Il serait possible d'économiser des centaines de francs par mois.

Si les assurés changent par exemple de prestataire d'assurance maladie et choisissent le modèle d'assurance le plus avantageux, ils peuvent amortir quelque peu le "choc", avertit ainsi par exemple le service suisse de comparaison en ligne Moneyland.ch.

Moneyland ainsi que le service de comparaison Comparis conseillent en outre aux assurés adultes de toujours choisir la franchise la plus élevée (2500 francs) ou la plus basse (300 francs) auprès de leur caisse maladie. "Une franchise qui se situe entre ces deux valeurs n'est pas rentable d'un point de vue financier".

Malgré la flambée des primes et les possibilités d'économie, seul un assuré sur trois change d'assurance maladie, comme le montre un récent sondage de la plateforme de comparaison Hellosafe. Selon ce sondage, la prime moyenne en 2023 pour l'assurance de base était de 377 francs par personne et la franchise moyenne de 1304 francs.

(©KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI))

Résilier en courrier A Plus ou par lettre recommandée

L'annonce ce mardi des primes maladie 2024 fait réfléchir sur l'opportunité de changer d'assurance ou non. Le cas échéant, l'OFSP recommande d'adresser sa lettre de résiliation en recommandé ou en courrier A Plus (suivi électronique des envois).

Les caisses-maladie ont jusqu'au 31 octobre pour informer les assurés des primes qui les attendent en 2023. Qu'il trouve une prime meilleur marché ou qu'il souhaite simplement changer de caisse-maladie, tout assuré est en droit de le faire.

Le délai pour l'annonce du changement auprès de la caisse-maladie est fixé au 30 novembre. L'Office fédéral de la santé publique (OFSP), dans un fascicule, conseille d'effectuer la démarche au plus tard quinze jours avant l'échéance et de s'annoncer dans le même temps auprès de la nouvelle caisse.

Il n'est pas nécessaire d'obtenir une offre de la nouvelle assurance avant de migrer.

L'affiliation à la caisse que l'on quitte ne devient effective qu'au moment où la nouvelle a signifié à l'ancienne que la personne concernée est assurée auprès d'elle sans interruption de sa protection contractuelle.

Une personne assurée ne peut changer de caisse que si elle n'a pas de dettes auprès de celle-ci à la fin de l'année en cours.

En cas de résiliation de l'assurance de base, la caisse-maladie n'a pas le droit d'exiger que l'assuré résilie aussi une éventuelle couverture complémentaire qu'il pourrait aussi avoir auprès d'elle.

Pour les complémentaires, les délais de résiliation diffèrent généralement et sont contenus dans les dispositions générales du contrat.

Le site de calcul des primes de l'OFSP, www.priminfo.ch, permet d'obtenir une vue d'ensemble des offres et des primes des diverses caisses. Et de voir s'il vaut la peine ou non d'en changer.

(© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Soyez prévenu, les primes maladie devraient à nouveau bondir l'an prochain

Le ministre de la santé Alain Berset a annoncé pour la dernière fois de sa carrière le montant des primes d'assurance maladie. Après une hausse de 6,6% cette année, les experts s'attendent à une nouvelle flambée des primes en 2024.

Selon les données de l'association des assureurs-maladie Santésuisse, les coûts de la santé ont augmenté de 7,9% au premier semestre 2023. Les coûts par assuré ont atteint 2240 francs dans l'assurance de base obligatoire, soit une hausse de 6,4% par rapport à l'année précédente. Le fait que l'augmentation par tête soit inférieure à celle des coûts totaux s'explique par la croissance démographique.

Comme les primes sont fixées au niveau cantonal, les augmentations de coûts particulièrement fortes dans les cantons d'Uri (13,3%) et de Berne (10,5%) laissent présager les hausses de primes les plus importantes dans ces cantons. Santésuisse s'attend à une explosion des primes de 8 à 9%.

La directrice de Santésuisse Verena Nold a clairement fait savoir dans des interviews que les assureurs ne pourraient pas éviter des augmentations de primes supérieures à la moyenne en 2024. Selon elle, les caisses maladie ne pourront pas amortir la hausse en raison de la réduction de leurs réserves voulue par le politique.

L'augmentation des coûts de la santé ainsi que la mise en œuvre de l'initiative sur les soins ont contribué à une hausse plus importante des coûts.

Avec Keystone-ATS

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Culture

Lausanne accueille la première académie de cascade de Suisse

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Pavel Jancik (à droite) a présenté mardi à Lausanne l'ouverture de son académie dédiée aux cascades. (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

Lausanne accueille désormais une académie dédiée à la cascade. Première du genre en Suisse, elle va dispenser des cours aux professionnels du cinéma et du théâtre, mais également au grand public.

Présentée mardi à la presse, l'Académie européenne de cascade (AEC) ouvrira officiellement ses portes mercredi 4 octobre sur le site du Palais de Beaulieu, dans un espace de 450 m2. A l'origine du projet figure Pavel Jancik, Tchèque d'origine établi depuis 1980 à Lausanne.

Maître d'armes, le sexagénaire a chorégraphié des combats et mis en scène des cascades dans de nombreux films et pièces de théâtre, travaillant notamment avec des stars mondiales telles que Daniel Craig, Marion Cotillard ou Isabelle Adjani.

L'ouverture de l'AEC vise à combler un manque, les comédiens étant souvent "mal préparés" à réaliser des cascades, explique Pavel Jancik. Ils sont "démunis", "mauvais au moment de jouer leur scène". Ils prennent par ailleurs "trop de risques pour faire des choses qu'ils ne maîtrisent pas", estime-t-il, interrogé par Keystone-ATS.

Dès 12 ans

Le Lausannois d'adoption relève que s'il n'existe pas de tels centres de formation en Suisse, il y en a en France. Mais ceux-ci n'ont pas vocation à former des "généralistes". Et d'affirmer que son AEC permettra d'enseigner différents types de cascade. "En sortant de mon école, on pourra dire: je sais tomber d'un toit, me battre avec une épée ou devenir un homme-torche", assure-t-il.

Outre les professionnels - acteurs mais aussi réalisateurs ou metteurs en scène -, l'AEC s'adresse au grand public, avec des cours à partir de 12 ans. Les personnes en quête d'adrénaline sont les bienvenues, tout comme celles qui cherchent à prendre confiance en elles ou à mieux gérer leur stress, poursuit Pavel Jancik.

Self-défense

A côté de l'enseignement dédié aux chutes et acrobaties, aux combats à mains nues ou encore aux armes blanches et à feu, des formations de self-défense sont aussi proposées. S'y ajoutent des stages pour apprendre à "désamorcer des situations de violence", destinés aux écoles et entreprises, relève encore le fondateur de l'AEC.

Pavel Jancik animera lui-même les cours, épaulé par cinq autres spécialistes des arts martiaux et des scènes de combat.

L'AEC table sur un budget annuel de 250'000 francs pour assurer son fonctionnement. Les travaux d'aménagement à Beaulieu ont été en partie financés par la Loterie romande, la Fondation BCV et le Centre patronal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

A Grandson, le Repuis fête ses 90 ans

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Le Repuis forme des jeunes à une vingtaine de métiers différents (Image prétexte). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le Repuis fête jeudi ses 90 ans au service de l'intégration professionnelle des jeunes. Au fil des décennies, le centre a adapté en permanence ses infrastructures et sa pédagogie. Il forme aujourd'hui quelque 400 apprentis dans plus de 20 métiers sur son campus de Grandson et dans une centaine d'entreprises partenaires en Suisse romande.

La mission du Repuis est d'offrir une formation professionnelle spécialisée à des apprenties et apprentis qui ne peuvent l'acquérir selon le parcours traditionnel. L'objectif étant qu'ils "volent ensuite de leurs propres ailes", explique mardi un communiqué.

Pour marquer ce 90e anniversaire, une exposition de photographies est disséminée sur le campus. Elle permet d'avoir trois regards successifs sur la réalité du Centre de formation professionnelle spécialisée (CFPS): les images du passé, le regard d'un photographe en 2023 et, en levant les yeux, la réalité du jour.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

UBS: audience mercredi devant la Cour de cassation à Paris

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En 2019, en première instance, le numéro un bancaire helvétique s'était vu infliger une amende record de 3,7 milliards d'euros, largement revue à la baisse en deuxième instance.(KEYSTONE/Martin Ruetschi) (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

La Cour de cassation examine mercredi à Paris le pourvoi formé par UBS suite à sa condamnation en appel en 2021 pour blanchiment aggravé de fraude fiscale et démarchage bancaire illégal de clients français. La décision sera sans doute mise en délibéré.

La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français se penche ainsi sur le recours de la banque aux trois clés dans la foulée d'une autre décision de la justice française, remontant au 13 décembre 2021.

Ce jour-là, la banque aux trois clés a été condamnée à payer au total 1,8 milliard d'euros (1,7 milliard de francs au cours actuel) par la Cour d'appel de Paris, pour avoir mis en place un "système" visant à "faciliter" la fraude fiscale de riches contribuables français entre 2004 et 2012, repérés notamment lors de réceptions, parties de chasse ou tournois de golf, afin de les convaincre d'ouvrir des comptes non-déclarés en Suisse. Au total, au procès en appel, l'accusation avait évalué à 9,6 milliards d'euros le montant des avoirs dissimulés sur la période.

Le recours déposé par UBS a suspendu la pénalité de 3,75 millions d'euros d'amende et la confiscation d'un milliard prononcées en appel. Il avait pour but de "permettre à la banque de minutieusement évaluer le verdict de la Cour d'appel et de déterminer les prochaines étapes, dans le meilleur intérêt de ses parties prenantes", expliquait alors le géant mondial de la gestion de fortune.

En 2019, en première instance, le numéro un bancaire helvétique s'était vu infliger une amende record de 3,7 milliards d'euros, largement revue à la baisse en deuxième instance.

Qualité de la décision

Mercredi, la Cour de cassation ne va pas réexaminer les faits dont il est question dans cette affaire. "Sa mission consiste à vérifier que les tribunaux et cours d'appel de l'ordre judiciaire ont correctement appliqué la loi. En d'autres termes, la Cour de cassation ne se prononce pas sur le conflit qui oppose les parties, mais sur la qualité de la décision de justice qui a été rendue", précise le site internet de l'institution.

Un prononcé à l'issue de l'audience est possible, mais peu probable. La décision devrait en principe être mise en délibéré.

La Cour peut rejeter le pourvoi, si elle l'estime sans fondement. Dans ce cas, il n'y aura plus de recours possible en France pour UBS. En revanche, l'établissement pourra interpeller la justice européenne. Sinon, l'institution peut rendre un arrêt de cassation totale ou partielle. L'affaire sera alors renvoyée, entièrement ou en partie, devant une nouvelle cour d'appel.

Contactée par l'agence AWP, UBS n'a pas souhaité faire de commentaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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