Une exposition controversée qui débute ce jeudi à Palexpo, à Genève. Il s’agit de Body Worlds.
De véritables corps humains sans peau. L’exposition Body Worlds ouvre ses portes ce jeudi 21 septembre à Palexpo. Il s’agit de cadavres conservés intacts grâce à un procédé de plastination. Les explications du docteur Angelina Whalley, en charge de la conception de l’expo.
Dr Angelina Whalley
en charge de la conception de l'exposition
Dr Angelina Whalley en charge de la conception de l'exposition
Dr Angelina Whalley en charge de la conception de l'exposition
Les visiteurs auront l’occasion de voir à quoi ressemblent les articulations, des organes malades aussi, notamment le poumon d’un fumeur. Ce qui est sûr, c’est que les gens sortent changés de cette exposition.
Dr Angelina Whalley
en charge de la conception de l'exposition
Dr Angelina Whalley en charge de la conception de l'exposition
Dr Angelina Whalley en charge de la conception de l'exposition
Cette exposition tourne depuis plus de vingt ans, maintenant, à travers le monde. New-York, Berlin, et même Bâle, 44 millions de personnes l’ont déjà vu. Ce qui ne l’empêche pas de susciter une nouvelle fois la polémique. Un élu genevois, notamment réclame son interdiction. Mais Vincent Sager, directeur d’Opus One, organisateur de l’exposition, estime que les conditions sont remplies pour la tenue de cette manifestation à Genève.
Vincent Sager
Directeur d'Opus One
Vincent Sager Directeur d'Opus One
Vincent Sager Directeur d'Opus One
La provenance des corps est contrôlée mais le député vert genevois François Lefort n’en démord pas. Il a déposé une question écrite au Grand Conseil sur des questions de légalité.
François Lefort
Député Vert
François Lefort Député Vert
François Lefort Député Vert
L’exposition Body Worlds est à découvrir jusqu’au 7 janvier à Palexpo. 150 000 visiteurs sont attendus.
Eric Emery était le seul boulanger genevois en lice pour les qualifications suisses pour la coupe du monde de panettone. Il n'a malheureusement pas été retenu.
Il n'y aura pas de porte-drapeau genevois à la coupe du monde de panettone qui se déroulera en 2024 à Milan. Le seul candidat genevois en lice, Eric Emery, n'a pas franchit les qualifications qui avaient lieu fin novembre.
Les 18 candidats étaient jugés sur deux thèmes imposés: un panettone tout chocolat et un panettone classique. Pour Eric Emery, c'était surtout l'occasion de voir où il en était... Alors verdict?
Eric Emery
Boulanger-confiseur
Eric EmeryBoulanger-confiseur
Eric EmeryBoulanger-confiseur
Une compétition internationale qui aurait été l'occasion de braquer un peu plus les projecteurs sur le "panettone genevois".
Eric Emery
Boulanger-confiseur
Eric EmeryBoulanger-confiseur
Eric EmeryBoulanger-confiseur
Les trois candidats suisses retenus pour la coupe du monde de panettone viennent du Tessin, du Valais et de Suisse alémanique.
La "précarité financière" dénoncée récemment par les musiciens de l'Orchestre de chambre de Genève place l'Orchestre de la Suisse romande dans un "rapport de force", regrette son directeur général Steve Roger. Ce dernier a tenu à réagir lundi dans les colonnes du Temps.
Les musiciens de l'Orchestre de chambre de Genève (OCG) avaient, dans une lettre envoyée le 30 novembre au conseiller administratif Sami Kanaan et au maire Alfonso Gomez, mis en avant une forme d'injustice par rapport à l'Orchestre de la Suisse romande (OSR).
Le cri d'alarme de l'OCG est légitime, dit Steve Roger. Mais il "nous place dans un rapport de force que je regrette, alors que nous sommes complémentaires", préciste-t-il.
Pas moins de 93% des subventions dédiées à la musique classique à Genève sont attribuées à l'OSR et au Grand Théâtre de Genève (GTG). Mais sur ce pourcentage, 28% sont pour l'OSR et le reste pour la GTG, tient à souligner Steve Roger. Cette subvention de la ville et de l'Etat de Genève s'élève à un peu moins de 19 millions de francs et représente 65% du budget de l'OSR.
Sans cette subvention et les apports privés à hauteur de plus de 5 millions par année, l'OSR ne pourrait pas assumer les salaires de son personnel, constitué de 130 personnes engagées à plein temps, assure le M. Roger. Il précise en outre que la seule subvention importante à avoir été baissée cette année est celle de l'OSR.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Après deux défaites sans appel contre Lugano et St. Gall, Yverdon a relevé la tête le jour où il le fallait. L’équipe du Nord-Vaudois a remporté le derby de la peur face au Stade Lausanne-Ouchy.
Menés au score à la pause sur une réussite magnifique d’Ismaël Gharbi, les Yverdonnois ont pu rafler la mise grâce à Anthony Sauthier (72e) et à Mohamed Tijani (80e). Les deux défenseurs ont concrétisé une domination presque écrasante face à un adversaire qui fut bien loin d’évoluer dans le registre qui avait été le sien mercredi dernier au Wankdorf face aux Young Boys.
Après avoir pu compter sur un Dany Da Silva remarquable dans la cage, les Stadistes ont un peu creusé leur propre tombe avec l’expulsion de Florian Danho à la 68e. Déjà expulsé huit jours plus tôt contre Bâle, l’attaquant venait pratiquement d’entrer en jeu. On ne pourra donc pas parler de coaching gagnant pour Ricardo Dionisio....
A la faveur de cette victoire, Yverdon revient à la hauteur des Grasshoppers et de Lausanne à la septième place du classement. Quant au SLO qui n’a cueilli qu’un point lors de ses cinq derniers matches, on a le sentiment que cette défaite va faire très mal dans les têtes.
Une montagne de regrets pour le FC Zurich
Dans l’autre match disputé à 16.30, le FC Zurich a été tenu en échec par le FC Lucerne (1-1). Ce résultat fait l’affaire des Young Boys qui auront l’assurance de terminer l’année à la première place en cas de succès samedi prochain à la Pontaise contre le SLO. Les Zurichois peuvent nourrir une montagne de regrets. Ils ont été piégés par une... rupture conclue par Thibault Klidje sur l’égalisation avant que la VAR annule le 2-1 d’Ifenany à la 95e minute pour un hors-jeu qu’aucun ½il humain n’aurait pu déceler.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
L'Institut pour l'étude de la neige et des avalanches (SLF) signale dimanche un danger "fort" d'avalanche de degré 4 du Valais jusqu'aux Alpes glaronaises. Ailleurs, le degré de danger 2 à 3 prévaut sur une grande partie des Alpes, écrit le SLF.
Sur la crête nord des Alpes et en Valais, le danger d’avalanche augmentera encore un peu mardi à l'intérieur du degré 4 (fort).
Neige fraîche
Jusqu'à lundi après-midi au-dessus de 2500 m environ, entre 40 et 70 cm de neige vont tomber sur la crête nord des Alpes, Bas-Valais et vallées de la Viège.
De 20 à 40 cm sont prévus ailleurs en Valais et dans la région du Gothard, sur les sommets les plus élevés et depuis le Prättigau jusque dans la vallée de Samnaun.
En plaine et dans le Jura, la pluie va continuer de tomber.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats