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La vague Omicron met sous pression le système de test genevois

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@Judith Monfrini

A Genève 20'000 personnes sont malades et à l’isolement. Omicron met le système sanitaire et hospitalier sous pression.

A Genève, la 5ème vague met le système hospitalier et de testing sous pression, avec près de 3000 cas positifs par jour et 20’000 personnes malades à l’isolement. Ce qui représente 4 à 5% de la population genevoise. Selon la Médecin cantonale, les contaminations risquent de toucher l’ensemble des Genevois dans quelques semaines. Le variant Omicron prédomine et le testing est fortement sollicité comme l’explique le Directeur général de la santé Adrien Bron.

Adrien BronDirecteur général de la santé

Omicron est plus contagieux et moins dangereux, selon les autorités sanitaires. Mais vu le nombre de personnes contaminées, il provoque la surcharge des hôpitaux. La Médecin cantonale Dr Aglaé Tardin.

Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise

Booster utile

186 personnes sont actuellement aux soins aigus pour un Covid. 13 sont aux soins intensifs et 26 aux soins intermédiaires. 5 décès sont à déplorer depuis le début 2022. La dose booster fait-elle encore sens avec un variant moins sensible aux vaccins ? Ecoutez la réponse du Dr Tardin.

Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise

Selon la Médecin cantonale, la 3ème dose protège à 30% des nouvelles infections et à 70% des infections sévères.

Quarantaines en question

Les quarantaines ne concernent que les contacts étroits à Genève et elles sont réduites de 10 à 7 jours. Les précisions d’Aglaé Tardin.

Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise

Des voix s’élèvent pour que les quarantaines soient réduites à cinq jours au niveau fédéral. Ceci afin de permettre à la société de fonctionner. Mais pour la Médecin cantonale, cela ne résoudra pas le problème.

Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise

Soignants rappelés

Pour permettre aux hôpitaux de fonctionner, les autorités sanitaires ont émis de nouvelles règles. Les personnes malades avec des symptômes légers sont invitées à venir travailler malgré tout.

Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise

La mesure concerne tous les services de l’hôpital, sauf trois d’entre eux qui abritent des patients particulièrement vulnérables.

Masques FFP2

Dans certains pays d’Europe, les masques FFP2 sont obligatoires. La Task force les recommandait à son tour la semaine dernière. Les FFP2 réduiraient le risque de contamination de 70 fois lorsqu’ils sont bien portés. Une solution que ne prise pas la Médecin cantonale genevoise.

Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise

Actuellement les centres genevois effectuent 50'000 tests par semaine environ. Les autorités sanitaires souhaiteraient que Berne abandonne l’obligation de doubler le test antigénique par un test PCR.

Omicron: fin de pandémie?

Certains experts en Suisse, en Angleterre et aux Etats-Unis estiment qu’Omicron signe la fin de la pandémie. Les autorités sanitaires genevoises craignent surtout les semaines à venir.

Adrien BronDirecteur général de la santé

Les soins aigus seraient particulièrement sollicités par le variant Omicron et épargnerait davantage les soins intensifs. Ce qui met tout de même le système hospitalier sous pression.

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Genève

A Genève, 4200 nageurs participent à une Coupe de Noël "olympique"

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A Genève, les nageurs déguisés de la Coupe de Noël samedi se font d'abord asperger d'eau du lac, avant de plonger dans le Léman pour parcourir les 100 mètres réglementaires. (© KEYSTONE/EPA/MARTIAL TREZZINI)

La rade genevoise verra 4200 personnes plonger dans les eaux froides du Léman samedi et dimanche, pour la 87e édition de la Coupe de Noël. Pour la première fois, des nageurs olympiques participeront à la plus ancienne manifestation sportive du canton.

"Les courses sportives de dimanche ont les palmarès les plus élevés depuis que la Coupe existe", relève Daniel Béran, directeur marketing bénévole pour la Coupe de Noël. Les nageurs olympiques Charlotte Bonnet et Jérémy Desplanches parrainent cette édition et y participent dimanche.

Samedi, les 3700 inscrits aux courses populaires se sont élancés dans une eau à 8,71 degrés. Sur les quais du Jardin anglais, les nageurs se sont enchaînés par vagues d'environ 25 personnes, qui se sont dépassées pour trouver des déguisements à la fois originaux et résistant au plongeon. Certains ont parcouru les 100 mètres réglementaires déguisés en champignons, en dinde ou en pirate, beaucoup avec des chapeaux très variés.

Manifestation dangereuse

Encouragés par l'animateur Philippe Andoque, les nageurs se font d'abord asperger de seaux d'eau, en criant ou riant, avant de plonger dans les entrailles du Léman. Ils rejoignent ensuite le quai sous les acclamations du public et les yeux attentifs des sauveteurs, puis se mêlent à la foule, encore trempés, pour traverser les stands et se réchauffer dans le jacuzzi géant qui leur est réservé.

La manifestation, classée dangereuse par la Brigade de la navigation, est bien encadrée. Des bateaux de sauvetage et de la police veillent sur les nageurs, ainsi que quelques plongeurs placés dans l'eau le long du parcours. Pendant le week-end, plus de 180 bénévoles font aussi tourner la Coupe de Noël. "Tout est associatif", soutient Daniel Béran.

Edition olympique

Personnalité dans le monde de la nage en eau froide, Marion Joffle, nageuse de l'extrême et première Française à parcourir un kilomètre en eaux glacées, s'est également élancée dans le Léman samedi matin aux côtés des nageurs déguisés. Dimanche, 500 nageurs plongeront pour les courses sportives.

"La série avec Charlotte Bonnet est particulièrement exceptionnelle cette année", s'est enthousiasmé Daniel Béran, ravi que la course "revienne à ses racines sportives". Aux côtés de la médaillée olympique s'élanceront Ludivine Blanc, multi-championne du monde d'eau froide et recordwoman du parcours, Marie-Thérèse Armentero, ancienne nageuse olympique, ainsi que les multi-médaillées Emma Onolfo et Sarah Abdul Baki.

La Coupe de Noël avait été créée en 1934. Elle a été inscrite au Patrimoine culturel immatériel suisse de l'Unesco en 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Ukraine: stocks d'huile d'une entreprise genevoise bombardés

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Allseeds Group est actif en Ukraine dans le commerce de céréales et d'huile depuis 28 ans. (© KEYSTONE/DPA/PETER KNEFFEL)

Des stocks d'huile de tournesol d'Allseeds Switzerland, sise à Genève, ont été bombardés par la Russie près d'Odessa, a indiqué samedi son directeur à Keystone-ATS. Il a fait état d'un mort et deux blessés dans l'attaque. Des milliers de tonnes d'huile sont perdues.

"Nos installations dans le port de Pivdennyi, situé à 50 km à l'est d'Odessa, ont été bombardées la semaine dernière, hier soir et ce matin. Trois citernes sont actuellement encore en feu", a déclaré Kees Vrins. Selon lui, il est trop tôt pour donner un inventaire précis des dégâts.

"Pour le moment, on essaie d'éteindre le feu", a dit M. Vrins. "Il y a beaucoup de dommages aussi dans les stocks voisins", a ajouté le responsable, sans pouvoir donner de détails. "Nous ne sommes pas assurés" pour de tels évènements, a-t-il précisé.

"Il s'agit de notre huitième bombardement depuis le début de la guerre", a déclaré M. Vrins, dont l'entreprise est active en Ukraine dans le commerce de céréales, ainsi que d'huile de tournesol et de colza, depuis 28 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Interdiction des armes nucléaires: majorité pour adhérer au traité

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Le Traité d'interdiction des armes nucléaires (TIAN) a pour objectif de proscrire ces armes dans le monde entier et de parvenir à leur élimination complète. Depuis son entrée en vigueur en 2021, près de cent pays ont adhéré à ce texte de l'Assemblée générale de l'ONU, dont 74 l'ont ratifié. (© KEYSTONE/EPA, US DEPARTMENT OF ENERGY/STR)

La population soutient majoritairement une adhésion de la Suisse au Traité d'interdiction des armes nucléaires de l'ONU, indique un sondage de Demoscope. Environ 70% des personnes interrogées ont répondu positivement à cette perspective.

Diffusée samedi, l'enquête montre que la demande est soutenue par une majorité de personnes, quel que soit le sexe, l'âge, la formation, le statut professionnel, la région ou le type d'habitat.

Le taux d'approbation est le plus faible parmi les électeurs de l'UDC (51%), contre 68% pour ceux du PLR, 78% pour les centristes, et 92% pour le PS, les Vert-e-s et le PVL.

Au total, 1007 personnes ont été interrogées dans toute la Suisse pour cette enquête réalisée en novembre par Demoscope pour la Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires (ICAN).

Le Traité d'interdiction des armes nucléaires (TIAN) a pour objectif de proscrire ces armes dans le monde entier et de parvenir à leur élimination complète. Depuis son entrée en vigueur en 2021, près de cent pays ont adhéré à ce texte de l'Assemblée générale de l'ONU, dont 74 l'ont ratifié.

Les puissances nucléaires officielles et non officielles, ainsi que l'ensemble des Etats membres de l'OTAN ne l'ont pas signé.

Le gouvernement n'en voit pas l'utilité

En Suisse, c'est le peuple qui doit décider d'une éventuelle adhésion. Selon ses propres indications, l'Alliance pour l'interdiction des armes nucléaires a récolté plus de 135'000 signatures, soit suffisamment pour son initiative populaire.

Le Conseil fédéral a refusé une nouvelle fois de signer le traité en mars 2024, estimant que l'engagement de la Suisse en faveur d'un monde sans armes nucléaires dans le cadre du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) était plus conforme à ses objectifs.

Selon le gouvernement, une adhésion au traité d'interdiction n'est en outre pas dans l'intérêt de la Suisse dans le contexte international actuel, où la sécurité est revenue au premier plan avec une nouvelle guerre en Europe.

Le Conseil fédéral estime en outre que l'impact du traité est "faible", car il n'est reconnu ni par les détenteurs d'armes nucléaires ni par la quasi-totalité des pays occidentaux et européens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Pourparlers sur l'Ukraine: un émissaire russe en route pour Miami

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Le président russe Vladimir Poutine a affirmé que "la balle" était "dans le camp" de Kiev et de ses alliés européens. (© KEYSTONE/AP/Mikhail Metzel)

Les pourparlers pour mettre fin à la guerre en Ukraine se poursuivent samedi à Miami, où se trouvent des négociateurs ukrainiens, européens et américains. Ils seront rejoints par une délégation russe, sans toutefois que toutes les parties ne se rassemblent.

L'émissaire russe Kirill Dmitriev a annoncé samedi être en route pour cette ville de Floride où des équipes ukrainienne et européenne se trouvent déjà pour participer aux négociations menées par Steve Witkoff, l'envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président américain.

"En route pour Miami", a écrit M. Dmitriev dans un message sur le réseau social X, ajoutant un emoji de colombe de la paix et en joignant une courte vidéo montrant le soleil du matin perçant les nuages au-dessus d'une plage bordée de palmiers.

"Alors que les bellicistes continuent de travailler d'arrache-pied pour saper le plan de paix américain pour l'Ukraine, je me suis souvenu de cette vidéo de ma précédente visite: la lumière perçant les nuages d'orage", a ajouté M. Dmitriev.

MM. Witkoff et Kushner ont rencontré vendredi près de Miami le négociateur ukrainien Roustem Oumerov et des représentants de la France, du Royaume-Uni et de l'Allemagne.

Nouveauté

A l'issue de ces discussions, M. Oumerov a simplement assuré que sa délégation s'était mise d'accord avec les Américains "pour poursuivre le travail en commun dans un avenir proche".

L'inclusion directe des Européens constitue une nouveauté par rapport aux précédentes réunions qui ont eu lieu ces dernières semaines entre Ukrainiens et Américains à Genève, Miami et Berlin.

Vendredi, alors que cette nouvelle série de discussions venait de débuter, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a assuré qu'aucun accord ne serait imposé à l'Ukraine.

"C'est à eux de conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer l'Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu'ils (le) veuillent", a affirmé lors d'une conférence de presse à Washington le chef de la diplomatie américaine.

Les pourparlers diplomatiques destinés à mettre fin au conflit, qui entrerait en février dans sa cinquième année, se sont accélérés ces dernières semaines après la publication d'un plan de l'administration Trump, sans aboutir à un cessez-le-feu.

Sur le terrain, la Russie continue de viser les infrastructures ukrainiennes: vendredi soir, un missile balistique a fait sept morts et quinze blessés près d'Odessa, a annoncé le gouverneur local Oleg Kiper. Moscou a également affirmé samedi avoir pris deux villages dans les régions de Soumy (nord) et Donetsk (est).

De son côté, Kiev a annoncé samedi avoir détruit deux avions de combat russes sur un aérodrome situé dans la péninsule de Crimée occupée, selon les services de sécurité SBU.

"Progrès"

De plus en plus impatient, Donald Trump a pressé Kiev de "bouger rapidement", lors d'un échange avec la presse dans le Bureau ovale.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui aussi fait part des "progrès" vers un compromis entre Kiev et Washington sur le contenu d'un plan à proposer à Moscou pour mettre fin aux combats. Mais, a-t-il averti, la Russie se prépare selon lui à une nouvelle "année de guerre" en 2026.

Les Etats-Unis ont proposé, il y a plus d'un mois, un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine déclenchée par la Russie en février 2022. Ce texte initial, perçu comme étant largement favorable au Kremlin, a depuis été remanié après les consultations avec Kiev.

Les détails de la nouvelle mouture ne sont pas connus mais, selon le président ukrainien, elle implique des concessions territoriales de la part de l'Ukraine en échange de garanties de sécurité occidentales.

Vendredi, le président russe Vladimir Poutine a affirmé que "la balle" était "dans le camp" de Kiev et de ses alliés européens, la Russie ayant déjà accepté des "compromis" au cours de ses propres pourparlers avec les Américains.

Il s'est félicité des gains territoriaux obtenus dans l'est de l'Ukraine par les forces russes, assurant que celles-ci "avancent sur toute la ligne de contact".

Les troupes russes ont accéléré cette année leurs conquêtes sur le front en Ukraine, dont elles contrôlent environ 19% du territoire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse Romande

Trois hôpitaux romands veulent valoriser le vécu des patients

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L'Ensemble Hospitalier de la Côte, l'Hôpital Riviera-Chablais et le Centre hospitalier Bienne veulent mieux connaître et valoriser le vécu de leurs patientes et patients (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

L'Ensemble Hospitalier de la Côte, l'Hôpital Riviera-Chablais et le Centre hospitalier Bienne s'associent pour mieux comprendre le vécu de leurs patients. Ils lancent un modèle de suivi de la qualité des soins.

Ce projet est porté par SPX, une association internationale active dans la promotion de l'expérience du patient. L'idée consiste à développer "des questionnaires fiables et faciles à utiliser", puis "d'évaluer scientifiquement" la qualité perçue des soins, mais aussi de "guider la prise de décision clinique et d'orienter les ressources vers ce qui crée le plus de valeur" pour les patients, relèvent les trois hôpitaux dans leur communiqué.

Le projet, qui bénéfice notamment du soutien de la fondation Leenaards, est prévu pour deux ans. Il est déployé dans onze domaines comme la maternité, la chirurgie de la hanche ou du genou, le dépistage du cancer du sein, la prise en charge de la sclérose en plaques ou encore le diagnostic d'Alzheimer.

"A la suite de cette phase, il pourra servir d'exemple pour davantage de domaines et d'autres hôpitaux dans toute la Suisse", relèvent les partenaires du projet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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