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La Banque cantonale genevoise tire son épingle du jeu en 2020

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@judith monfrini

Un bénéfice en hausse mais un chiffre d'affaires en baisse pour l'an dernier. Un résultat contrasté même si la BCGE tire son épingle du jeu. Plus de 1100 clients ont choisi son modèle d'affaires, considéré comme sûr. Elle a octroyé 2000 prêts Covid-19 à des PME en 2020. 

Résultat en demi-teinte pour la Banque cantonale genevoise en 2020. Son bénéfice a augmenté de 8,4% pour s’établir à 105 millions mais son chiffre d’affaires est en baisse de plus de 12% pour s’établir à 367 millions. La crise sanitaire a fortement touché le tissu économique genevois. La BCGE a accordé 2000 prêts covid-19 l’an dernier pour un total de 200 millions de francs. Elle a vu sa clientèle augmenter avec près de 2 milliards de dépôts en plus. Son dividende reste stable à 7,5%. Le Président de la direction générale de la Banque cantonale de Genève, Blaise Goetschin.

Blaise GoetschinPrésident de la direction générale de la BCGE

Les fonds propres sont en hausse comme les créances hypothécaires. Les prévisions pour cette année 2021 sont plutôt bonnes: le PIB devrait croître de 3,2%, selon les économistes de la banque. Blaise Goetschin.

Blaise GoetschinPrésident de la direction générale de la BCGE

L'an dernier le PIB a chuté de 2,9%. L'économie a essuyé un véritable choc conjoncturel. La BCGE soutient les secteurs les plus touchés.

Blaise GoetschinPrésident de la direction générale de la BCGE

Jusqu'au 31 juillet 2020, la banque a octroyés 2000 prêts covid pour un montant de 200 millions de francs. Le mécanisme de ces prêts avec Blaise Goetschin.

Blaise GoetschinPrésident de la direction générale de la BCGE

Les prêts se sont adressés surtout à des toutes petites PME, dont le nombre d'employés s'élève à moins de 10 personnes.

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International

Un an après le couronnement de Charles, un anniversaire assombri

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Aucun évènement fastueux n'était prévu pour célébrer cette première année écoulée depuis le couronnement de Charles III le 6 mai 2023 (archives). (© KEYSTONE/AP Pool/ALASTAIR GRANT)

Le Royaume-Uni marque lundi sans fanfare le premier anniversaire du couronnement du roi Charles III. Le souverain voit son début de règne assombri par son cancer, diagnostiqué en début d'année, après avoir attendu longtemps pour succéder à sa mère Elizabeth II.

Aucun évènement fastueux n'est prévu pour célébrer cette première année écoulée depuis le couronnement de Charles III et de la reine Camilla le 6 mai 2023 à l'Abbaye de Westminster. A midi, la Royal Horse Artillery effectuera 41 tirs de canon depuis Green Park, près du palais de Buckingham, puis l'Honourable Artillery Company en tirera 62 autres depuis la Tour de Londres à partir de 13h00 locales.

Le palais de Buckingham n'a pas indiqué où le roi âgé de 75 ans célèbrerait cet anniversaire. Charles III suit actuellement un traitement contre un cancer qui lui a été diagnostiqué en début d'année, neuf mois après son couronnement, à l'occasion d'une opération de la prostate.

Engagements limités

Après trois mois sans engagement public, mais tout en continuant d'exercer certaines fonctions officielles, le souverain a repris la semaine dernière ses activités publiques.

Symboliquement, il a d'abord visité mardi dernier un centre spécialisé contre le cancer avec la reine Camilla, 76 ans. Il est apparu détendu et souriant, serrant de nombreuses mains, et s'est entretenu avec des soignants et des malades.

Dans les jours qui ont suivi, il a reçu au palais de Buckingham le Coronation Roll, le document officiel retraçant le couronnement. Il a également assisté à un concours hippique à Windsor, que la reine Elizabeth II adorait.

Le palais de Buckingham avait annoncé le 26 avril que Charles III allait reprendre un "certain nombre" d'engagements, "soigneusement calibrés", en "concertation étroite avec ses médecins". Ils sont "très encouragés par les progrès accomplis jusqu'à présent et restent optimistes sur la poursuite du rétablissement du roi", avait précisé le palais.

Retrouvailles avec Harry?

Cette semaine, le roi doit notamment assister mercredi à une Garden Party à Buckingham, et peut-être, selon des médias britanniques, revoir son fils le prince Harry, qui vit en Californie mais qui sera à Londres pour le dixième anniversaire des Jeux Invictus, une compétition pour soldats et vétérans blessés.

Pour les prochaines semaines, le palais a seulement annoncé que le roi recevrait en juin l'empereur Naruhito du Japon et son épouse l'impératrice Masako, pour une visite d'Etat à l'invitation du gouvernement britannique.

D'autres engagements possibles - Royal Ascot, 80 ans du D-Day, Trooping the Color en juin, traditionnelles garden parties - seront conditionnés à l'avis des médecins, plus près de leur date.

Roi mieux aimé

Dans le contexte de ce début de règne compliqué, la famille royale a vu sa popularité croître dans le pays. Selon un sondage publié dimanche dans le tabloïd The Mail on Sunday, 54% des Britanniques ont une opinion favorable de Charles III, en hausse de 4 points sur un an. Et 56% pensent qu'il remplit bien sa mission de souverain.

La princesse Kate, elle aussi atteinte d'un cancer qu'elle a révélé fin mars dans un message vidéo, est elle la "royal" la plus populaire, avec son époux le prince William, héritier du trône. A 42 ans, Kate n'a pas été vue en public depuis Noël, à part cette brève vidéo.

Signe de cette approbation, dimanche, une manifestation du mouvement antimonarchiste Republic n'a rassemblé que quelques dizaines de personnes sur Trafalgar Square à Londres, et ce malgré le regain de vigueur du mouvement prorépublicain depuis la disparition d'Elizabeth II.

"La question pour la monarchie est de savoir si c'est une amélioration momentanée (de sa popularité), du fait de la sympathie du public, où si elle peut se maintenir, notamment parmi les jeunes générations", analyse Gideon Skinner, de la société de sondage Ipsos.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Les recettes publicitaires ont stagné en 2023

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Le ralentissement du marché suisse de la publicité reflète la faiblesse de la conjoncture. (archive) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le marché suisse de la publicité a marqué le pas l'an dernier, mettant fin à deux années de hausses consécutives. Avec une petite hausse d'un million de francs sur un an, les recettes du secteur ont pour ainsi dire stagné, totalisant 4,2 milliards de francs.

Ce ralentissement reflète la faiblesse de la conjoncture, avec une croissance du produit intérieur brut de 0,7% en 2023, observe la Fondation statistique suisse en publicité lundi dans un communiqué. Le chiffre d'affaires du secteur s'inscrit par ailleurs en repli de 6,3% comparé à son niveau d'avant la pandémie, en 2019.

Certains segments ont toutefois vu leurs revenus progresser, notamment les articles promotionnels (+8,6%), l'affichage extérieur (+8%), la pub au cinéma (+6%) et à la radio (+0,4%), ainsi que les annonces en ligne (+1,6%, hors plateformes étrangères). A l'inverse, les canaux tels que la télévision (-7,3%), la publicité directe (-5,8%) et la presse (-3,2%) ont une nouvelle fois reculé. Ces deux derniers segments conservent cependant une part importante du marché, totalisant respectivement 614 millions de francs et 747 millions, derrière les articles promotionnels (875 millions).

Ces montants demeurent toutefois nettement inférieurs aux recettes générées par les plateformes publicitaires étrangères telles que YouTube, les moteurs de recherche et les réseaux sociaux qui, elles, ont continué de croître, note la Fondation. Sans les avoirs comptabilisés, elle estime leurs revenus entre 1,84 milliard et 2,24 milliards de francs, soit une hausse de 8%, s'arrogeant la plus grande part du marché publicitaire en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Préavis de grève levé aux TPG

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(photo d'illustration) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Il n'y aura finalement pas de grève aux Transports Publics Genevois. Le préavis de grève a été levé ce lundi.

La phase de concertation des membres du SEV sur le protocole d’accord proposé par la direction courait jusqu'à ce lundi. 64% des membres ont donné mandat au syndicat pour l'accepter.

Les négociations entre la direction et les syndicats se prolongeaient depuis février. Plusieurs séances dites "de la dernière chance" avaient eu lieu courant avril, avant d'aboutir à ce protocole d'accord.

Les syndicats demandaient notamment depuis plusieurs mois une hausse du nombre de conducteurs et une revalorisation de leur salaire de 1,5%.

Développement à suivre.

 

 

 

 

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Genève

Les entreprises tirent un bilan globalement positif pour 2023

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Les entreprises genevoises tirent un bilan globalement positif pour 2023 (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les affaires ont bien marché à Genève en 2023. Selon l'Enquête conjoncturelle de la Chambre de commerce, d'industrie et des services de Genève (CCIG) publiée lundi, le niveau de satisfaction générale est en légère progression, dépassant les excellents niveaux de 2019 et 2022.

"2023 a été bonne à très bonne pour 47% des répondants (+7 points par rapport à 2022), en particulier dans les entreprises de plus de 100 collaborateurs et dans les secteurs du tourisme, de l’industrie, de l’énergie, de la finance et de l’horlogerie-bijouterie, relève la CCIG dans un communiqué. La satisfaction globale des entreprises s’établit ainsi à 3,3 sur 5 (+0,1 par rapport à 2022).

L’évolution du volume d’affaires est bonne, avec 55% des répondants qui annoncent une augmentation, alors que 24% d’entre eux enregistrent une diminution. Il en est de même pour la rentabilité. L'enquête a été menée entre février et mars 2024 auprès de 2167 entreprises avec un taux de réponse de 24%.

Sur le front de l’emploi, la proportion d’entreprises ayant embauché en 2023 est excellente à 34% (+ 4 points) alors que 12% (+3 points) ont indiqué une diminution, selon la CCIG. Les embauches ont été importantes pour toutes les entreprises comptant plus de dix employés. Les très grandes entreprises de plus de 500 collaborateurs ont été les plus nombreuses à recruter (57%).

"À l’heure du bilan, l’économie genevoise peut se réjouir d’une solide année 2023. Toutefois, les excellents résultats de plusieurs secteurs masquent parfois des difficultés importantes", nuance Vincent Subilia, directeur général de la CCIG, cité dans le communiqué.

Pour 2024, les prévisions sont plutôt optimistes bien qu’en léger repli comparé aux estimations faites pour 2023. Plus de la moitié des entreprises interrogées (54%) projettent une augmentation du volume d’affaires et 14% une baisse. Les perspectives de rentabilité s’inscrivent également en légère baisse tout en restant à un bon niveau.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Les tentatives d'escroquerie ont presque doublé en un an

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Les cyberincidents utilisant l'IA sont encore rares, mais il s'agit, selon l'OFCS, des premières tentatives d'exploration des possibilités d'utilisation criminelle de l'IA pour mener de futures cyberattaques (archives). (© KEYSTONE/EPA/SASCHA STEINBACH)

Offres d'emploi frauduleuses ou prétendus appels de la police, les tentatives d'escroquerie ont presque doublé en un an. Les tentatives de fraude recourant à l'intelligence artificielle sont également en hausse. Un office fédéral tire la sonnette d'alarme.

Au deuxième semestre 2023, 30'331 cyberincidents ont été signalés, indique lundi dans son rapport annuel l'Office fédéral de la cybersécurité (OFCS), qui a pris le relais du Centre national de cybersécurité au 1er janvier. Sur la même période en 2022, 16'951 cas avaient été enregistrés.

Le nombre d'annonces d'hameçonnage est notamment en forte hausse. Il est passé de 2179 en 2022 à 5536 en 2023. L'OFCS a également reçu un nombre croissant d'annonces concernant des tentatives de fraude via l'intelligence artificielle (IA). Selon l'office, les systèmes informatiques sont très vulnérables et la capacité de réaction en Suisse est encore faible.

La semaine dernière, le Conseil fédéral avait relevé des erreurs de la Confédération dans le cadre de la cyberattaque contre l'entreprise Xplain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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