Les primes de l'assurance maladie de base devraient augmenter en moyenne de 6% l'an prochain, selon les prévisions de Comparis. De nombreux assurés pourraient même voir leur prime bondir de plus de 10%, pour la deuxième année consécutive.
Pour le comparateur en ligne, cette nouvelle forte hausse est due à la réduction des réserves, "imposée par la politique". En conséquence, de nombreuses caisses ont réduit "excessivement" leurs réserves au moyen de primes "bien inférieures aux coûts", regrette-t-il mardi dans un communiqué.
Nombre de caisses maladie "manquent maintenant d'un matelas financier pour amortir les fluctuations actuelles des coûts", explique Felix Schneuwly, expert Assurance maladie chez Comparis, cité dans le communiqué.
Sans cette réduction des réserves, "les primes n'auraient augmenté que d'environ 2,5% par an et par personne ces dernières années et continueraient de croître aujourd'hui dans ce domaine", affirme Comparis.
Selon Felix Schneuwly, ces chiffres s'appuient sur les prévisions de Comparis et du Centre de recherches conjoncturelles de l'EPFZ (KOF) qui fait état d'une croissance de l'ensemble des coûts de la santé en Suisse de 2,9% en 2022, 3,6% pour cette année et 3,1% pour l'an prochain.
La croissance de la part des coûts déterminante pour les primes d'assurance maladie s'élève cette année à 3,4% par rapport à l'année précédente. Comme souvent, la hausse des coûts publiée par l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) est plus élevée au premier trimestre qu'au dernier trimestre.
Un coussin de réserve
Pour le comparateur en ligne, la pandémie de Covid-19 n'explique que partiellement la fluctuation "extraordinairement élevée" des coûts entre 2021 et 2023. Et de mettre en cause d'autres facteurs, comme des lourdeurs administratives, l'absence de médicaments bon marché, la hausse du nombre de psychothérapies ou encore la mise en oeuvre de l'initiative sur les soins infirmiers.
A plus long terme, l'expert en assurance maladie Felix Schneuwly s'attend à ce que la courbe des coûts s'aplatisse de nouveau et à ce que la croissance des coûts des prestations médicales à la charge de l'assurance de base se stabilise ces prochaines années dans une fourchette légèrement inférieure à 3%.
Pour éviter que toute fluctuation des coûts n'entraîne systématiquement une fluctuation des primes, les assureurs maladie ont de nouveau besoin d'un coussin de réserve supérieur au minimum légal, ajoute-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jean Labbe
23 mars 2021 à 12 h 05 min
Bravo pour votre tentative très louable de venir en aide aux jeunes et aux étudiants mais ce qui est dommage c’est que pour que votre message soit entendu vous devez probablement (j’espere) vous-même vous censurer et éviter de raconter que toute cette crise sanitaire est une fumisterie. Une année après que des milliers de médecins aient insisté pour dire que les antibiotiques fonctionnaient, Olivier Véran a admis qu’on peut donner des antibiotiques comme traitement!!! Plus de la moitié des décès du Covid auraient probablement pu être évités si on avait laissé les médecins de ville faire leur boulot plutôt que de dire aux gens de rester à la maison et de prendre du Doliprane!
Il a été établi dernièrement qu’après les rassemblements sur les bords de la Seine après le déconfinement en mai dernier, après la fête de la musique et sa grande proximité festive ainsi qu’après la rave party avec plus de 2000 jeunes dans un hangar près de de Rennes, il n’y a eu aucune contamination, aucun cluster qui en a résulté.
La meilleure chose à faire pour les jeunes qui n’ont rien à craindre de cette maladie, c’est de la contracter pour développer l’immunité naturelle et devenir ainsi un véritable rempart contre la diffusion du virus. En ce sens il ne devrait y avoir aucun lieu interdit pour les jeunes!
Nous n’avons pas à avoir peur. Cette maladie n’a rien à voir avec la grande peste ou le MERS. Le gouvernement et les médias ont généré une psychose collective en faisant tout pour que la situation devienne le plus dramatique possible, y compris laisser mourir des gens.
Ce ne sont pas des consultations de psychologues dont les étudiants ont besoin mais que la vie reprenne ses droits et qu’on retourne à ce qui était notre quotidien avant toute cette folie.
Et parler du bonheur bien sûr est une chose importante, contrairement à ce que vous affirmez. Il nous faut être plus que jamais philosophe et affirmer collectivement les valeurs qui nous importent: l’amour, l’amitié, le partage, la nature, la justice, la liberté, la fraternité, et notre bonheur, celui de nos enfants, de nos petits-enfants, de nos aînés.
Nous ne voulons pas du Grand Reset de Klaus Schwab. Toute cette crise sanitaire a été justement instrumentalisée pour justifier le déploiement de la quatrième révolution industrielle avec la 5G et l’intelligence artificielle. Nous ne voulons pas de ce monde hyper connecté et de ce transhumanisme. Leur idée de ce que sera L’Humanité ne correspond pas à ce que nous voulons.
Le côté positif de tout cela, c’est que l’empressement des élites et des gouvernements à mettre en place un nouvel ordre mondial a favorisé un saut quantique dans la prise de conscience planétaire de la corruption prévalente au sommet de notre société. Nous avons là une opportunité inespérée dans l’histoire de l’humanité de reprendre en mains notre destin. C’est ce que je nous souhaite et que je souhaite surtout à mon fils et à ses ami.es.