Nissan a abaissé vendredi par surprise ses prévisions de résultats pour son exercice 2023/24 venant de s'achever le 31 mars. Le constructeur automobile japonais invoque le déclin de ses ventes en volume et une hausse des coûts.
Le groupe anticipe désormais un bénéfice net annuel de 370 milliards de yens (2,17 milliards de francs), contre un objectif précédent de 390 milliards de yens.
Cela reviendrait néanmoins à une hausse toujours très significative par rapport à son exercice précédent (+66,7%).
Nissan a aussi réduit sa prévision de bénéfice opérationnel annuel, passée de 620 à 530 milliards de yens (+40,5% sur un an), et n'attend plus qu'un chiffre d'affaires de 12.600 milliards de yens, soit 400 milliards de yens de moins par rapport à son précédent objectif.
Son chiffre d'affaires devrait ainsi avoir progressé d'environ 19% sur un an.
Ses ventes en volume sur son exercice écoulé ont atteint 3,44 millions de véhicules, a encore annoncé Nissan, soit moins que son dernier objectif en la matière (3,55 millions d'unités), qu'il avait pourtant abaissé début février à l'occasion des résultats de son troisième trimestre (octobre-décembre).
Nissan souffre notamment en Chine de la concurrence devenue redoutable des constructeurs locaux, qui comme BYD excellent par ailleurs dans les véhicules électriques à des prix très compétitifs.
Le constructeur, allié au français Renault, a aussi raté la vague des véhicules hybrides en Amérique du Nord (sa technologie "e-Power" dans ce domaine n'a pas encore été déployée dans cette zone), ce qui a freiné la croissance de ses ventes dans cette région.
Nissan doit publier ses résultats annuels définitifs le 9 mai.
Fin mars, le groupe s'est fixé des objectifs de moyen terme ambitieux: il compte notamment vendre quelque 4,5 millions de véhicules dans le monde en 2026/27, soit plus d'un million d'unités de plus que sur l'exercice écoulé, tout en améliorant significativement sa rentabilité.
"Nissan adoptera des modes de collaboration plus efficaces avec ses fournisseurs" pour réaliser ce plan, a assuré vendredi le constructeur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Jean Labbe
23 mars 2021 à 12 h 05 min
Bravo pour votre tentative très louable de venir en aide aux jeunes et aux étudiants mais ce qui est dommage c’est que pour que votre message soit entendu vous devez probablement (j’espere) vous-même vous censurer et éviter de raconter que toute cette crise sanitaire est une fumisterie. Une année après que des milliers de médecins aient insisté pour dire que les antibiotiques fonctionnaient, Olivier Véran a admis qu’on peut donner des antibiotiques comme traitement!!! Plus de la moitié des décès du Covid auraient probablement pu être évités si on avait laissé les médecins de ville faire leur boulot plutôt que de dire aux gens de rester à la maison et de prendre du Doliprane!
Il a été établi dernièrement qu’après les rassemblements sur les bords de la Seine après le déconfinement en mai dernier, après la fête de la musique et sa grande proximité festive ainsi qu’après la rave party avec plus de 2000 jeunes dans un hangar près de de Rennes, il n’y a eu aucune contamination, aucun cluster qui en a résulté.
La meilleure chose à faire pour les jeunes qui n’ont rien à craindre de cette maladie, c’est de la contracter pour développer l’immunité naturelle et devenir ainsi un véritable rempart contre la diffusion du virus. En ce sens il ne devrait y avoir aucun lieu interdit pour les jeunes!
Nous n’avons pas à avoir peur. Cette maladie n’a rien à voir avec la grande peste ou le MERS. Le gouvernement et les médias ont généré une psychose collective en faisant tout pour que la situation devienne le plus dramatique possible, y compris laisser mourir des gens.
Ce ne sont pas des consultations de psychologues dont les étudiants ont besoin mais que la vie reprenne ses droits et qu’on retourne à ce qui était notre quotidien avant toute cette folie.
Et parler du bonheur bien sûr est une chose importante, contrairement à ce que vous affirmez. Il nous faut être plus que jamais philosophe et affirmer collectivement les valeurs qui nous importent: l’amour, l’amitié, le partage, la nature, la justice, la liberté, la fraternité, et notre bonheur, celui de nos enfants, de nos petits-enfants, de nos aînés.
Nous ne voulons pas du Grand Reset de Klaus Schwab. Toute cette crise sanitaire a été justement instrumentalisée pour justifier le déploiement de la quatrième révolution industrielle avec la 5G et l’intelligence artificielle. Nous ne voulons pas de ce monde hyper connecté et de ce transhumanisme. Leur idée de ce que sera L’Humanité ne correspond pas à ce que nous voulons.
Le côté positif de tout cela, c’est que l’empressement des élites et des gouvernements à mettre en place un nouvel ordre mondial a favorisé un saut quantique dans la prise de conscience planétaire de la corruption prévalente au sommet de notre société. Nous avons là une opportunité inespérée dans l’histoire de l’humanité de reprendre en mains notre destin. C’est ce que je nous souhaite et que je souhaite surtout à mon fils et à ses ami.es.