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Ukraine: Moscou ne s'attend à aucune "avancée" rapide

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Moscou demande à Kiev de retirer ses troupes des 4 régions d'Ukraine dont la Russie revendique l'annexion. Ces conditions sont inacceptables pour Kiev, qui demande le retrait des troupes russes de son territoire et des garanties de sécurité des Occidentaux. Ici, le ministre ukrainien de la défense. (© KEYSTONE/AP/Emrah Gurel)

Pas de solution "immédiate" à l'horizon: le Kremlin a écarté mardi tout règlement à court terme du conflit armé en Ukraine, au lendemain de nouveaux pourparlers russo-ukrainiens peu fructueux à Istanbul.

Sur le terrain, les frappes se poursuivent. Selon Kiev, six civils ukrainiens ont été tués mardi, tandis que l'Ukraine, qui continue de mener des opérations en territoire russe, a revendiqué une attaque contre le pont de Crimée reliant la péninsule annexée par Moscou à la Russie.

Alors que l'armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, a l'avantage, Kiev accuse depuis des mois la Russie de faire traîner les négociations de paix. Moscou refuse sa demande d'une trêve inconditionnelle, estimant qu'elle permettrait à l'Ukraine de reprendre des forces avec l'aide de ses alliés occidentaux.

"Question extrêmement complexe"

"Il serait erroné d'attendre des décisions et des avancées immédiates", a tranché mardi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

"La question du règlement est extrêmement complexe et comporte de nombreuses nuances", a-t-il ajouté, rappelant que Moscou souhaitait avant tout "éliminer les causes profondes du conflit" pour parvenir à la paix.

La Russie campe sur des demandes maximalistes, à savoir la cession par Kiev de quatre régions qu'elle occupe partiellement, en plus de la Crimée annexée en 2014, et que l'Ukraine renonce à intégrer l'Otan. Mardi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que l'Ukaine avait été invitée à un sommet de l'Alliance fin juin à La Haye.

Depuis son lancement en février 2022, l'offensive russe à grande échelle contre l'Ukraine a fait au moins des dizaines de milliers de victimes civiles et militaires dans les deux camps.

Et les tractions diplomatiques initiées mi-février par le président américain Donald Trump pour mettre fin au conflit n'ont abouti qu'à de maigres avancées.

Exigences inconciliables

Lundi, Russes et Ukrainiens se sont retrouvés pour la deuxième fois en deux semaines à Istanbul pour des discussions de paix directes, sous médiation turque.

Lors de cette réunion, la Russie a une nouvelle fois rejeté la proposition de Kiev et des Européens d'instaurer un cessez-le-feu "inconditionnel" de 30 jours. Elle a proposé en retour une trêve partielle de 2 ou 3 jours dans certains secteurs du front.

Russes et Ukrainiens ont toutefois convenu d'échanger tous leurs prisonniers de guerre de moins de 25 ans ou grièvement blessés, ainsi que des milliers de corps de soldats tués. En revanche, les exigences de chaque camp, sur le fond, semblent toujours aussi inconciliables.

La délégation russe a remis aux Ukrainiens un mémorandum, publié par les agences de presse russes. Moscou y demande à Kiev de retirer ses troupes des quatre régions d'Ukraine dont la Russie revendique l'annexion, avant tout cessez-le-feu global.

Ces conditions sont inacceptables pour l'Ukraine, qui demande un retrait pur et simple des troupes russes de son territoire, ainsi que des garanties de sécurité concrètes des Occidentaux.

Demandes de sanctions rejetées

Kiev appelle Washington à sanctionner davantage Moscou pour la "contraindre" à accepter une trêve globale, mais Donald Trump a refusé pour l'heure de prendre de telles mesures, disant ne pas vouloir faire échouer un potentiel accord.

En l'état, une rencontre entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et Donald Trump est "peu probable" dans un avenir "proche", selon M. Peskov.

Une délégation de hauts responsables ukrainiens est arrivée mardi à Washington pour discuter avec l'administration Trump du "soutien à la défense" de leur pays et de dossiers économiques, notamment le renforcement des sanctions contre Moscou, a annoncé Kiev.

Pression sur la région de Soumy

Selon les autorités ukrainiennes, un bombardement russe a tué mardi deux civils dans un village de la région de Kharkiv (nord-est), tandis qu'au moins quatre autres sont morts lors d'une frappe de roquettes sur la ville de Soumy (nord), qui a fait au moins 20 blessés.

La région de Soumy, frontalière de la Russie, est soumise à une pression accrue depuis des semaines, Moscou disant vouloir y constituer une "zone tampon" pour prévenir des incursions ukrainiennes. Mardi, l'armée russe y a revendiqué la prise d'une nouvelle localité.

Ponts et trains visés

L'Ukraine continue de son côté d'entreprendre des opérations en territoire russe. Mardi, elle a revendiqué une attaque à l'explosif contre le pont de Crimée, ouvrage gigantesque déjà visé à deux reprises par Kiev.

Moscou a aussi accusé mardi l'Ukraine d'être à l'origine des explosions qui ont provoqué le week-end dernier l'effondrement de deux ponts et des accidents de trains en Russie, qui ont fait sept morts et 113 blessés.

Dimanche, l'Ukraine avait mené une attaque coordonnée de drones contre plusieurs aérodromes russes, jusqu'en Sibérie, assurant avoir touché de nombreux avions russes, dont des bombardiers stratégiques. Après cette attaque d'une complexité inédite, les autorités russes n'ont fait quasiment aucune déclaration.

Interrogé mardi sur le sujet, Dmitri Peskov a botté en touche, se contentant d'appeler à attendre les "résultats de l'enquête" et à se référer aux communiqués du ministère russe de la Défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

WA abandonne sa réforme controversée du saut en longueur

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World Athletics abandonne sa réforme du saut en longueur (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La fédération internationale a décidé d'abandonner son projet de réforme controversée du saut en longueur face à l'opposition massive des athlètes.

La réforme prévoyait la suppression de la planche d'appel pour limiter les essais mordus.

"World Athletics a écouté ses athlètes et a décidé de suspendre indéfiniment les tests d'une nouvelle zone d'appel proposée pour les sauts horizontaux", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la Fédération internationale jeudi soir, confirmant une information du quotidien britannique The Guardian.

"Les athlètes n'en veulent pas (de cette réforme)", avait admis dans un entretien au quotidien Jon Ridgeon, le directeur général de World Athletics. "On ne veut pas entrer en guerre avec ceux qui comptent le plus pour nous."

La Fédération internationale avait provoqué l'ire des sauteurs en longueur en février 2024 en annonçant qu'elle réfléchissait à supprimer la planche d'appel pour la remplacer par une "zone d'appel" plus longue, avec chaque essai mesuré à partir du pied d'impulsion du sauteur.

L'idée était alors de supprimer les temps morts liés aux sauts mordus, dans une volonté de rendre plus dynamiques ses compétitions dont les audiences notamment sur les concours sont en perte de vitesse. Une zone d'appel large de 40 centimètres remplaçant la traditionnelle planche de 20 centimètres avait été testée pour la première fois dans un meeeting à Düsseldorf en février 2025.

Mais le projet, qui devait être validé dès 2026, n'a jamais eu le soutien des athlètes, très attachés à la précision technique de leur discipline qui consiste depuis les premiers Jeux olympiques modernes en 1896 à prendre son élan pour sauter le plus loin possible dans un bac à sable sans mordre la planche d'appel à partir de laquelle sont mesurés les essais.

"Merdique"

"C'est merdique. Si ces règles sont appliquées, j'arrêterai le saut en longueur", avait lâché le double champion olympique grec Miltiadis Tentoglu, tandis que Carl Lewis, nonuple champion olympique dont quatre fois de suite en saut en longueur, avait qualifié le projet de mauvais "poisson d'avril".

"Le format (avec une zone d'appel) a été bien accueilli par les fans mais n'a guère suscité l'adhésion des athlètes", reconnaît la Fédération internationale. "Des zones d'appel pourraient être envisagées à l'avenir pour des types d'évènements totalement nouveaux, mais rien n'est encore officiellement prévu à ce stade."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Sous pressions américaines, Modi et Poutine resserrent les rangs

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Vladimir Poutine a été reçu par le premier ministre indien Narendra Modi et la présidente Droupadi Murmu. (© KEYSTONE/EPA/HARISH TYAGI)

Le Premier ministre indien Narendra Modi et le président russe Vladimir Poutine se sont retrouvés vendredi pour des entretiens visant à resserrer leurs liens face aux pressions américaines pour que l'Inde cesse ses achats de pétrole russe en pleine guerre en Ukraine.

Devant la presse, M. Modi a salué son invité comme un "véritable ami" et s'est montré optimiste sur une résolution pacifique du conflit russo-ukrainien. "Nous devons tous retrouver le chemin de la paix", a-t-il insisté.

"Merci pour vos efforts visant à trouver un règlement à cette situation", lui a répondu M. Poutine, louant par ailleurs les relations "profondes historiquement" et "de très grande confiance dans la coopération militaire et technique" entre l'Inde et la Russie. De nouveaux accords bilatéraux sont attendus après leur rencontre, notamment en matière d'armement.

Le chef du gouvernement indien a déroulé le tapis rouge pour son hôte, en l'accueillant lui-même jeudi soir à l'aéroport de New Delhi et en lui offrant un dîner privé.

La visite de M. Poutine intervient à l'heure où l'Inde entretient des relations difficiles avec les Etats-Unis, qui lui reprochent de financer l'effort de guerre russe en Ukraine en continuant à acheter à Moscou son pétrole brut à des prix particulièrement avantageux.

"Diversification"

"Cette visite relève de la politique de diversification de l'Inde en termes de stratégie et d'économie, spécialement au moment où elle est mise en difficulté par les droits de douane imposés par les Etats-Unis", a relevé pour l'AFP Ashok Malik, du centre de réflexion Asia Group.

Fin août, Donald Trump a tapé du poing sur la table en imposant une surtaxe de 50% aux exportations indiennes, en pleines discussions bilatérales sur la signature d'un traité de libre-échange commercial. Il a depuis répété avoir obtenu la promesse de M. Modi qu'il mettrait un terme à ses importations de brut russe, qui représentent 36% du volume de pétrole raffiné en Inde.

New Delhi ne l'a jamais confirmé, mais ses achats ont diminué, selon la plateforme d'informations commerciales Kpler, et plusieurs groupes indiens ont annoncé qu'ils renonçaient à se fournir auprès de Moscou.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Notre-Dame de Paris: besoin d'encore 140 millions d'euros de dons

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Un an après sa réouverture au public, Notre-Dame de Paris recherche encore des millions d'euros de dons pour sa réfection complète. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

La restauration complète de la cathédrale Notre-Dame de Paris nécessite encore 140 millions d' euros de dons, a indiqué jeudi l'établissement public maître d'ouvrage de la restauration. Plus de 840 millions ont déjà été récoltés.

"Grâce à la générosité des donateurs et à une gestion rigoureuse, saluée par la Cour des comptes, nous avons encore près de 140 millions disponibles" sur la totalité des dons récoltés, s'est réjoui l'établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris.

"Mais pour achever au plus vite la restauration complète du monument qui n'était pas en bon état avant 2019, il manque encore au moins l'équivalent", a poursuivi l'organisme, qui lance un appel aux dons.

Cela comprend des travaux de restauration sur la sacristie, "qui n'a pas fait l'objet de restaurations extérieures depuis sa construction", les trois grandes roses de la cathédrale, les façades nord et sud du transept, le presbytère, la nef ou encore l'arrière des tours.

Plus de 840 millions d'euros de dons émanant de 340.000 donateurs de 150 pays différents ont déjà été récoltés, d'après Rebâtir Notre-Dame de Paris.

Un an après sa réouverture en grande pompe sous les yeux de dirigeants du monde entier dont Donald Trump, le monument a déjà accueilli plus de 11 millions de visiteurs. La cathédrale a été rouverte le 7 décembre 2024, après plus de cinq ans de travaux qui ont suivi l'incendie qui l'avait dévastée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

USA: revers judiciaire pour Trump

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Letitia James ne pourra pas être poursuivie. (© KEYSTONE/AP/John Clark)

Le parquet fédéral a tenté en vain jeudi d'obtenir une nouvelle inculpation de la procureure générale de l'Etat de New York, Letitia James, cible déclarée de la vindicte du président américain Donald Trump, rapportent plusieurs médias américains.

La justice avait annulé la semaine dernière deux inculpations téléguidées par Donald Trump, contre Letitia James et contre l'ex-directeur du FBI James Comey, considérant comme illégale la désignation par l'exécutif de la procureure qui avait engagé ces poursuites.

Un grand jury, commission de citoyens investie de pouvoirs d'enquête, a cette fois refusé jeudi de délivrer un nouvel acte d'accusation contre Letitia James présenté par d'autres représentants du parquet, rapportent plusieurs médias citant des sources proches du dossier, dont CNN.

Le ministère de la Justice pourrait essayer de nouveau d'obtenir une inculpation dans les prochains jours, selon les mêmes sources.

Donald Trump a maintes fois exprimé pendant sa campagne électorale sa volonté de prendre sa revanche sur tous ceux qu'il considère comme des ennemis personnels.

James Comey, 64 ans, est devenu en septembre la première de ces personnalités à être inculpée depuis son retour au pouvoir, avant Letitia James, 67 ans, visée le mois suivant pour fraude au prêt bancaire.

En septembre, Donald Trump avait publiquement fait pression sur la ministre de la Justine Pam Bondi pour obtenir leur inculpation.

Mme James avait fait condamner Donald Trump à une amende de près d'un demi-milliard de dollars en février 2024. Cette condamnation pour fraude a été annulée en août par une cour d'appel de l'Etat de New York, qui a estimé cette amende "excessive", une décision dont elle a fait appel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Meurtre d'un patron d'assurance US: l'arrestation en questions

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Luigi Mangione est passé devant la cour criminelle, à Manhattan. (© KEYSTONE/AP/Curtis Means)

La défense de Luigi Mangione, accusé d'avoir tué de sang-froid le patron du plus gros assureur de santé américain en 2024, s'est attardée jeudi sur les conditions de son arrestation, guettant des erreurs dans la conduite des policiers.

Les avocats de cet homme de 27 ans tentent depuis plusieurs jours dans une audience préliminaire à New York de faire annuler des preuves recueillies au moment de son interpellation ainsi que ses premières déclarations aux forces de l'ordre, dénonçant des erreurs de procédure.

L'enjeu est de taille: c'est au moment de son arrestation dans un McDonald's de Pennsylvanie qu'il a été trouvé porteur d'un pistolet muni d'un silencieux, correspondant aux douilles retrouvées sur les lieux du meurtre, et d'un carnet dans lequel il exprimait son hostilité au secteur de l'assurance santé.

Brian Thompson, 50 ans, PDG du premier assureur santé du pays United Healthcare, a été abattu le matin du 4 décembre 2024 dans une rue de Manhattan, en plein coeur de New York, alors qu'il sortait de son hôtel.

Jeudi à l'audience, un an exactement après le meurtre, le tribunal a visionné des images montrant les policiers interrogeant dans le McDonald's le suspect sur son identité, les raisons de sa présence dans cette région rurale et pour savoir s'il avait été à New York.

"Je ne sais pas ce que vous fabriquez, les gars, je vais juste attendre", leur répond-il notamment après leur avoir donné une fausse identité, continuant de manger nonchalamment, des chants de Noël en fond sonore.

Les défenseurs du jeune homme, devenu pour certains le symbole de la colère des Américains contre leur système d'assurance santé, reprochent notamment aux enquêteurs d'avoir commencé à l'interroger sans lui signifier ses droits.

A la barre, l'un des policiers, Tyler Frye, a en outre reconnu que les membres des forces de l'ordre ont continué à lui poser des questions alors qu'il leur a dit qu'il refusait de leur répondre.

Pour le moment, aucune date n'a été arrêtée pour un procès de Luigi Mangione, dont les passages au tribunal sont systématiquement accompagnés de la présence de supporters, le plus souvent des jeunes femmes.

Dans le cadre de cette procédure pour meurtre menée au niveau de l'Etat, il encourt la prison à perpétuité. Il risque par ailleurs la peine de mort dans une autre procédure au niveau fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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