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Panne de courant au Chili: fin de l'état d'urgence

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Le gouvernement chilien a décrété mardi l'état d'urgence à Santiago, comme dans une grande partie du pays. Le pays aspire désormais à une journée de calme, après le retour à la normale. (© KEYSTONE/AP/Matias Basualdo)

Le Chili devrait vivre "une journée normale" mercredi après la levée de l'état d'urgence et du couvre-feu qui avaient été décrétés mardi suite à une panne massive de courant qui a paralysé le pays.

"L'état d'exception pour catastrophe est levé à partir de ce moment", a déclaré en matinée la ministre chilienne de l'Intérieur, Carolina Toha, confirmant aussi la fin du couvre-feu qui avait été instauré dans la foulée. "Nous devrions aujourd'hui avoir un journée normale", a-t-elle ajouté.

Le pays latino-américain a vécu sa pire panne d'électricité depuis 2010 qui a affecté plus de 95% des 20 millions d'habitants.

Les gens se rendent à leur travail et les voitures et les bus circulent de nouveau dans les rues de la capitale, Santiago, après la fin de l'interdiction intervenue à 10h00 (en Suisse), a constaté un journaliste de l'AFP.

Le métro de Santiago, emprunté quotidiennement par environ 2,3 millions d'usagers, fonctionne également normalement sur la plupart de ses lignes après avoir dû fermer en raison de la panne.

"90% de la consommation a été rétablie" dans les logements, a annoncé mercredi dans un communiqué le gestionnaire de l'électricité.

En plein été austral, 95% des 20 millions d'habitants du Chili ont été touchés par cette coupure générale d'électricité, intervenue à 15h16 (19h16 en Suisse) mardi et qui a mis le pays à l'arrêt.

Elle a conduit le gouvernement à décréter l'état d'urgence et un couvre-feu pour la nuit dans une grande partie du pays, notamment à Santiago.

Il s'agit pour le Chili, qui possède pourtant l'un des meilleurs réseaux électriques d'Amérique du Sud, d'une panne encore pire que celle de 2010, provoquée par une défaillance technique dans une centrale de la région du Biobio (sud). Des centaines de milliers de personnes s'étaient alors retrouvées sans électricité.

Piégées dans l'ascenseur

"C'est scandaleux! Ce n'est pas possible que la vie quotidienne de millions de Chiliens et de Chiliennes soit affectée de cette façon par des entreprises qui ne font pas bien leur travail", a fustigé le président Gabriel Boric, s'en prenant, dans un communiqué, aux acteurs privés du secteur.

M. Boric a également survolé la capitale en hélicoptère pour évaluer la situation.

"Je ne sais pas comment rentrer chez moi parce que tous les bus sont pleins", avait témoigné auprès de l'AFP Maria Angélica Roman, employée de 45 ans dans un bureau de recouvrement de la capitale.

"A la banque où je travaille, toutes les opérations ont dû être arrêtées", a de son côté rapporté Jonathan Macalupu, 25 ans.

Selon les médias chiliens, des personnes ont été piégées dans des ascenseurs et des manèges avant d'être secourues. Un photographe de l'AFP a ainsi vu des pompiers porter secours à une femme âgée restée coincée dans un ascenseur.

Et la chaîne Chilevision a diffusé une vidéo montrant des personnes bloquées sur un manège mécanique de plusieurs mètres de haut dans un parc d'attractions de Santiago, avant d'être secourues.

Générateurs de secours

Le gouvernement a rapidement écarté la possibilité d'un sabotage.

"Il n'y a aucune raison de supposer qu'il y a une attaque derrière tout cela. Il s'agirait d'un dysfonctionnement du système lui-même", a avancé la ministre de l'Intérieur Carolina Toha.

Elle a assuré que les hôpitaux et les prisons disposaient de générateurs de secours.

La confusion s'est propagée de la capitale de sept millions d'habitants à diverses régions du pays.

A Valparaiso, cité portuaire située à 120 kilomètres à l'ouest de Santiago, des témoins ont également rapporté mardi que des magasins avaient fermé dans le chaos.

"Des policiers gèrent la circulation car il y a beaucoup d'embouteillages dans des rues habituellement peu fréquentées. Tous les magasins ferment", avait raconté par téléphone à l'AFP Anadriel Hernandez, un étudiant de 20 ans.

Cette panne s'est produite un mois après un violent tremblement de terre de magnitude 8,8 qui a tué plus de 500 personnes et ébranlé le réseau électrique national.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

International

Trump instaure une "semaine de l'anti-communisme"

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Donald Trump a lancé lundi une semaine de l'anti-communisme aux Etats-Unis (archives). (© KEYSTONE/EPA/SHAWN THEW / POOL)

Donald Trump a publié une proclamation établissant une semaine de "l'anti-communisme" aux Etats-Unis. Un texte qui attaque au passage ses adversaires progressistes.

Ces proclamations, par lesquelles les présidents américains mettent en valeur des thématiques qui leur sont chères pour une journée ou une semaine, ont surtout une valeur de signal politique. La "semaine de l'anti-communisme" a ainsi eu lieu du 2 au 8 novembre, sur la base d'une proclamation signée le 7 novembre, alors qu'elle était donc presque finie.

Dénonçant "l'une des idéologies les plus destructrices de l'histoire", le républicain de 79 ans écrit, dans ce texte diffusé par la Maison Blanche: "Aujourd'hui de nouvelles voix répètent de vieux mensonges, en les déguisant sous des expressions telles que 'justice sociale' ou 'socialisme démocratique'", le courant dont se revendique Zohran Mamdani, élu maire de New York mardi dernier, le 4 novembre.

"Leur message reste le même: renoncez à vos libertés, faites confiance au pouvoir du gouvernement, et échangez l'espoir de la propriété pour le confort vide de la surveillance", affirme encore Donald Trump. Le président américain a déjà qualifié Zohran Mamdani de "communiste", et déclaré dans un discours, après l'élection de ce dernier, que les Américains faisaient face à un "choix entre le communisme et le bon sens".

Le futur maire de New York l'a défié publiquement le soir de sa victoire à l'élection municipale, en lançant: "Donald Trump, puisque je sais que vous regardez, hé bien: 'montez le son!'".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

COP30: Lula reçoit le monde en Amazonie, bataille en vue entre pays

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Le président brésilien Lula s'est montré offensif lundi lors de son discours d'ouverture à la COP30 à Belem en Amazonie. (© KEYSTONE/EPA/Antonio Lacerda)

La 30e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte lundi à Belém en Amazonie brésilienne. Une bataille est déjà en vue entre pays sur l'urgence et les moyens de contenir le réchauffement climatique.

"Il est temps d'infliger une nouvelle défaite aux négationnistes", a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva en entamant deux semaines de conférence, sans les Etats-Unis, par une vigoureuse défense de l'action multilatérale.

Le président brésilien a répété qu'investir pour le climat - point éternel de dispute dans cette enceinte - coûtait "beaucoup moins cher" que les guerres. Avec une volonté d'éviter le fatalisme: "Nous allons dans la bonne direction, mais à la mauvaise vitesse."

Les Etats-Unis, premier producteur mondial de pétrole et deuxième émetteur de gaz à effet de serre, sont absents pour la première fois de l'histoire de ces réunions. "C'est mieux que d'envoyer des gens tout bloquer, non?", dit à l'AFP la cheffe de Greenpeace au Brésil, Carolina Pasquali.

Cette COP, la première en Amazonie, rassemble moins que lors des éditions précédentes, avec 42'000 personnes accréditées. Au premier jour, les délégués présents ont pu entendre la pluie tropicale cogner violemment contre le toit du centre de conventions, et même sentir des gouttes s'infiltrer dans l'enceinte.

Solutions

"Se lamenter n'est pas une stratégie, nous avons besoin de solutions", a lancé Simon Stiell, chef de l'ONU Climat, qui coorganise la COP30 avec le pays hôte.

Il s'est félicité d'une petite avancée: en incluant les toutes dernières feuilles de route climatiques déposées par certains pays, la baisse des émissions d'ici 2035 sera de 12%. Toujours loin du compte mais un peu mieux que les 10% annoncés dernièrement sur une base plus limitée.

"Chaque fraction de degré de réchauffement évitée sauvera des millions de vies et évitera des milliards de dollars en dommages climatiques", a souligné Simon Stiell. Mais il demande que les tractations produisent plus de concret: davantage d'engagements pour sortir des énergies fossiles, pour développer les renouvelables, et pour envoyer l'argent promis aux pays pauvres pour les aider dans un climat plus violent.

Le temps presse, rappellent les scientifiques. Jim Skea, président du Giec, le groupe de chercheurs qui travaille sur le climat sous l'égide de l'ONU, a jugé "presque inévitable" de dépasser à court terme le seuil de 1,5°C de réchauffement, l'objectif le plus ambitieux fixé par l'accord de Paris en 2015.

"Question de survie"

Un groupe de petites îles bataille pour que soit inscrit à l'ordre du jour le besoin de formuler une réponse à cet échec, mais le groupe des pays arabes et d'autres refusent, craignant une nouvelle attaque contre pétrole. La position de l'Arabie saoudite est "toxique", déplore un diplomate occidental.

Un échec à maintenir la limite de 1,5°C "scelle notre perte", a dit à l'AFP Maina Vakafua Talia, ministre du Tuvalu, petit archipel du Pacifique menacé par la montée des eaux. "Je garde espoir. On doit garder un certain optimisme", a-t-il toutefois dit.

"1,5°C n'est pas qu'un chiffre ou un objectif, c'est une question de survie", abonde auprès de l'AFP Manjeet Dhakal, conseiller du groupe des pays les moins développés à la COP. "Nous ne pourrons cautionner aucune décision qui n'inclue pas de discussion sur notre échec à éviter 1,5°C."

Mais il n'y aura pas de bras de fer d'emblée sur l'ordre du jour officiel de la conférence: les discussions les plus tendues sur ce sujet ainsi que la taxe carbone européenne et les mesures commerciales unilatérales ont été reportées à mercredi.

"Sujet sensible"

D'ici là, la présidence brésilienne organise des consultations entre pays, après de premiers échanges "assez tendus", selon un participant. "Personne ne veut bouger de ses positions", regrette un représentant d'un pays d'Amérique latine.

L'un des mystères de ces deux semaines de négociation concerne la "feuille de route" sur les énergies fossiles mise sur la table par Lula lors du sommet de chefs d'Etat, la semaine dernière à Belem.

La sortie du pétrole, du gaz et du charbon fera-t-elle l'objet d'une nouvelle décision négociée et contraignante - après une première étape il y a deux ans à Dubaï - ou, plus probablement, d'engagements volontaires de certains pays?

"On sait que c'est un sujet sensible pour un certain nombre de nos partenaires, que pour certains, c'est plus simple d'en discuter, pas sous un format de négociation, mais sous un format de coalition", reconnaît-on dans la délégation française.

La Suisse est présente à l'événement. Sa délégation sera menée par l'ambassadeur helvétique pour l'environnement Felix Wertli. Le conseiller fédéral Albert Rösti participera à la COP30 lors de la deuxième semaine de la conférence.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le club de foot Atlético de Madrid racheté par un fonds américain

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Le fonds d'investissement américain Apollo Global Management, via sa branche sportive Apollo Sports Capital, est devenu l'actionnaire majoritaire de l'Atlético de Madrid. (archive) (© KEYSTONE/EPA EFE/ANDREU DALMAU)

Le fonds d'investissement américain Apollo Global Management, via sa branche sportive Apollo Sports Capital, est devenu l'actionnaire majoritaire de l'Atlético de Madrid, a annoncé lundi le club madrilène, dont la direction reste inchangée.

"Dans le cadre de cet accord, Miguel Angel Gil Marin et Enrique Cerezo continueront à diriger l'Atlético de Madrid, respectivement en tant que directeur général et président, et resteront actionnaires, ce qui garantira la continuité et la vision du projet ainsi que son leadership", a déclaré l'Atlético de Madrid dans un communiqué.

Le fonds Apollo Sports Capital (ASC), qui est récemment devenu actionnaire des tournois de tennis Masters 1000 ATP et WTA de Madrid et Miami, indique que ce rachat de l'Atlético de Madrid "ne fait pas partie d'une stratégie de contrôle multi-clubs", précise le communiqué.

L'Atlético de Madrid, évalué selon la presse espagnole à 2,5 milliards d'euros (2,3 milliards de francs), garde comme autres actionnaires principaux son directeur général Miguel Ángel Gil, son président Enrique Cerezo, le Quantum Pacific Group et le fonds Ares Management.

"L'investissement d'ASC renforcera la position de notre club parmi l'élite du football et soutiendra notre ambition de fournir des résultats à long terme à nos millions de supporters dans le monde entier", a assuré le club madrilène dans son communiqué.

L'Atlético de Madrid pointe actuellement à la 4e place de la Liga, à six points du Real Madrid, leader du championnat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Enquête à la Garde suisse après une accusation d'antisémitisme

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Le Vatican a annoncé lundi qu'une enquête avait été ouverte contre un membre de la Garde suisse. Ce dernier est suspecté d'avoir commis un acte antisémite (archives). (© KEYSTONE/MONIKA FLUECKIGER)

La Garde suisse pontificale, armée chargée de la protection du pape, a ouvert une enquête après un incident lors duquel l'un de ses membres a été mis en cause pour acte antisémite. L'annonce a été faite lundi par le Vatican.

La Garde suisse "a été informée d'un incident survenu à l'une des entrées de l'État de la Cité du Vatican, lors duquel auraient été détectés des éléments interprétés comme attribuables à des connotations antisémites", a indiqué le directeur du service de presse du Saint-Siège, Matteo Bruni, dans un communiqué.

"Selon les premières constatations, le rapport fait état d'un différend relatif à une demande de photographie au poste de garde. Une enquête interne est en cours", menée "dans le respect des principes de confidentialité et d'impartialité", a-t-il précisé.

Dans un entretien publié par l'agence de presse catholique autrichienne Kathpress la semaine dernière, l'autrice israélienne Michal Govrin avait affirmé avoir été invectivée par un garde alors qu'elle se trouvait avec une collègue place Saint-Pierre, le 29 octobre.

Le garde "nous a ouvertement sifflées avec un profond mépris (en lançant): 'les juifs'", a-t-elle déclaré. Alors que les deux femmes le confrontaient, "il a fait mine de cracher dans notre direction avec un mépris évident". Elle a ajouté s'être immédiatement plainte auprès de ses supérieurs, qui lui ont présenté des excuses et promis d'enquêter sur l'incident.

"Respect de la dignité"

La Garde suisse "réaffirme son engagement constant à accomplir sa mission dans le respect de la dignité de chaque personne et des principes fondamentaux d'égalité et de non-discrimination", a-t-elle assuré.

Fondée en 1506 par le pape Jules II, la Garde suisse est formée de jeunes citoyens suisses qui s'engagent à protéger le pape pour au moins 26 mois. Ses sentinelles, vêtues du célèbre uniforme de gala à rayures bleues, jaunes et rouges, sont postées à diverses entrées du Vatican.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

BMW accusé aux Pays-Bas d'avoir falsifié ses données d'émission

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Le constructeur automobile allemand est accusé d'avoir falsifié les données d'émissions de quelque 100'000 véhicules vendus aux Pays-Bas. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANNA SZILAGYI)

L'association néerlandaise des consommateurs a annoncé lundi qu'elle intentait un recours collectif contre BMW, accusant le constructeur automobile de luxe d'avoir falsifié les données d'émissions de quelque 100'000 véhicules vendus aux Pays-Bas.

L'organisation Consumentenbond cite des études qui, selon elle, montrent qu'un logiciel a été installé dans les véhicules BMW afin de montrer des émissions réduites d'azote lors des tests.

"Cependant, dans des conditions de conduite normales, ces véhicules présentent des émissions alarmantes", a affirmé l'association, qui a lancé cette action en justice avec une autre organisation, Car Claim.

"Il est honteux que BMW ait trompé à la fois les organismes de contrôle et les consommateurs", a déclaré Sandra Molenaar, directrice de Consumentenbond, dans un communiqué.

"L'entreprise doit assumer ses responsabilités. Nous voulons que BMW indemnise les consommateurs qu'elle a trompés", a-t-elle poursuivi.

L'affaire concerne toutes les voitures diesel BMW et Mini vendues sur le marché néerlandais entre le 1er janvier 2009 et le 1er septembre 2019.

Andrew Mason, porte-parole de BMW a déclaré à l'AFP que le constructeur avait pris connaissance de ces accusations par les médias, mais qu'"aucune plainte n'avait encore été déposée".

"Nous ne connaissons donc pas les allégations spécifiques que (...) Car Claim a avancées dans sa plainte", a-t-il précisé.

Car Claim a exhorté BMW à rappeler toutes les voitures concernées et à les rééquiper, tout en indemnisant les conducteurs actuels et anciens de ces véhicules.

"Bien que nous ayons engagé une procédure judiciaire, nous continuons à exhorter BMW à engager des discussions afin de parvenir ensemble à une solution équitable," a déclaré Guido van Woerkom, président de Car Claim, dans un communiqué publié par Consumentenbond.

Ce potentiel procès est un nouveau chapitre dans le long scandale des émissions polluantes, aussi appelé "dieselgate", qui touche plusieurs géants de l'industrie automobile.

Il a éclaté en septembre 2015, lorsque le constructeur automobile allemand Volkswagen a admis avoir équipé des millions de véhicules avec un logiciel faisant apparaître les moteurs comme moins polluants lors des tests réglementaires que dans des conditions réelles.

Le dieselgate a provoqué une onde de choc dans le secteur, impliquant plusieurs autres grands constructeurs automobiles et entraînant des poursuites judiciaires dans plusieurs pays, dont la France, la Corée du Sud et les Etats-Unis.

En février 2019, le parquet allemand avait indiqué que BMW devrait s'acquitter d'une amende de 8,5 millions d'euros en Allemagne pour des infractions aux normes antipollution mais que le constructeur échappait à des poursuites pour fraude faute de preuves.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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