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Présidentielle roumaine: un candidat d'extrême à nouveau devant

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Le candidat d'extrême droit George Simion est arrivé en tête du premier tour de l'élection présidentielle roumaine, selon deux sondages de sortie des urnes. (© KEYSTONE/EPA/ROBERT GHEMENT)

Le candidat a changé mais l'extrême droite reste en tête en Roumanie: cinq mois après l'annulation choc du premier tour de la présidentielle, les Roumains ont confirmé dans un nouveau vote dimanche le virage nationaliste.

George Simion, un eurosceptique fan du président américain Donald Trump, a recueilli 40,5% des suffrages, selon des résultats quasi définitifs. Il affrontera au second tour, prévu le 18 mai, le maire centriste de Bucarest Nicusor Dan (20,9%), qui a dépassé de peu le candidat unique des partis au pouvoir, Crin Antonescu (20,3%).

"Ensemble, nous avons écrit une page d'histoire aujourd'hui", a réagi M. Simion dans un message vidéo diffusé au siège de son parti devant des partisans ravis, chantant "Dehors les voleurs, vive les patriotes".

Il lui reste à transformer l'essai lors du second tour le 18 mai, une tâche compliquée, car il dispose sur le papier de moins de réserves de voix que son rival, commente pour l'AFP le professeur de sciences politiques Sergiu Miscoiu, prédisant une course serrée.

Mais d'autres experts pointent les fractures du pôle anti-souverainiste après une campagne marquée par de virulentes accusations et des coups bas.

De 4e à 1er

Onze prétendants au total briguaient un poste essentiellement protocolaire mais influent en politique étrangère, dans ce pays membre de l'UE de 19 millions d'habitants devenu un pilier essentiel de l'OTAN depuis l'invasion russe de l'Ukraine voisine.

L'arrivée en tête surprise, en novembre, de Calin Georgescu, un ancien haut fonctionnaire accusé par ses détracteurs d'être favorable au Kremlin, avait inquiété dans l'ouest du continent et plongé la Roumanie dans la tourmente. La cour constitutionnelle a invalidé le scrutin et exclu le sexagénaire de cette nouvelle élection, après une campagne massive sur TikTok entachée de suspicions d'ingérence russe.

Il a été remplacé par M. Simion, 38 ans et quatrième à l'automne. Les deux hommes se sont affichés ensemble dimanche dans un bureau de vote de Mogosoaia, près de Bucarest.

Nombreux sont ceux qui espèrent, comme Robert Teodoroiu, chauffeur de 37 ans, que leur bulletin, infructueux en novembre, aboutisse cette fois. "Je retente ma chance", explique-t-il à l'AFP dans les rues de la capitale.

"Président MAGA"

Pendant la campagne, George Simion a brandi sa jeunesse, sa rhétorique souverainiste et sa maîtrise de la plateforme TikTok pour séduire les électeurs de Calin Georgescu. Si le chef du parti AUR nie toute inclination pour la Russie, il partage la même aversion pour "les bureaucrates bruxellois" et s'oppose à tout soutien militaire à Kiev.

Tout au long de la journée, les électeurs ont confié leur désir de "changement" et leur rejet des partis politiques traditionnels, au pouvoir depuis la fin du communisme.

L'inflation, très élevée en Roumanie, est aussi sur toutes les lèvres, Silvia Tomescu, infirmière de 52 ans, disant par exemple aspirer à "une vie meilleure et à des salaires plus élevés".

Qui sera l'adversaire de George Simion au second tour? Le suspense est entier tant l'écart est serré entre le candidat de la coalition gouvernementale pro-européenne, Crin Antonescu, 65 ans, et le maire centriste de Bucarest, Nicusor Dan, 55 ans, au programme anti-corruption.

Un scrutin sous surveillance

Plus loin derrière (à moins de 15%), l'ancien premier ministre social-démocrate Victor Ponta, malgré un discours aux accents trumpistes, a manqué son pari.

Si George Simion accède au poste suprême, il a promis de "porter Calin Georgescu au pouvoir", évoquant trois options: "un référendum, des élections législatives anticipées ou la formation d'une coalition au Parlement qui le nommerait premier ministre".

Après l'annulation du scrutin de novembre, décision rarissime au sein de l'UE, le scrutin était sous haute surveillance.

Des milliers de personnes ont manifesté ces derniers mois pour dénoncer "un coup d'Etat". Les Etats-Unis sont également intervenus, le vice-président JD Vance appelant à écouter la voix d'un peuple qu'on a fait taire "sur la base des faibles soupçons d'une agence de renseignement".

Les autorités, qui ont renforcé les mesures de prévention, assurent avoir "tiré les leçons" du fiasco. Alors que l'extrême droite évoque "de multiples signes de fraude", le gouvernement a pointé des campagnes de désinformation, y voyant de "nouvelles tentatives de manipulation et d'ingérence menée par des acteurs étatiques". Sans citer nommément la Russie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

La Cour suprême américaine lève la suspension de licenciements

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La voie aux mesures drastiques voulues par Donald Trump est ouverte. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

La Cour suprême américaine a levé mardi la suspension de licenciements massifs de fonctionnaires fédéraux décidée par un tribunal de Californie il y a deux mois. Elle ouvre ainsi la voie aux mesures drastiques voulues par Donald Trump.

Une juge de première instance avait prononcé en mai une suspension temporaire de licenciements à grande échelle de fonctionnaires fédéraux, au motif que ce type de mesures nécessitait probablement l'approbation du Congrès américain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Inondations au Texas: près de 110 morts, les sauveteurs éprouvés

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Les inondations au Texas ont fait une centaine de morts. (© KEYSTONE/AP/Julio Cortez)

Les équipes de secours poursuivent mardi leurs recherches au Texas dans des conditions éprouvantes, même si l'espoir s'amenuise de retrouver des survivants cinq jours après les inondations qui ont fait près de 110 morts.

Le seul comté de Kerr, le plus durement touché, déplore 87 morts, dont 30 enfants, a fait savoir mardi matin le shérif du comté, Larry Leitha, lors d'une conférence de presse. Au total, au moins 108 décès liés aux inondations ont été signalés dans le centre de l'Etat, selon les autorités.

Parmi ces victimes figurent 27 enfants et moniteurs du camp de vacances chrétien pour filles de Camp Mystic, sur les rives du fleuve Guadalupe, qui accueillait quelque 750 personnes. "A l'heure actuelle, cinq campeurs du camp Mystic et un moniteur restent introuvables", a ajouté Larry Leitha.

Des hélicoptères, des drones et des équipes cynophiles, sont toujours à pied d'oeuvre, a précisé le lieutenant-colonel Ben Baker, du corps des gardes-chasse du Texas, malgré des conditions difficiles. "Pénétrer profondément dans les amas (de débris) est très dangereux", a-t-il expliqué. "C'est sale, l'eau est encore là", a-t-il ajouté, soulignant aussi l'impact de la tragédie sur le mental des sauveteurs.

"C'est tragique d'être témoin de la perte d'une vie humaine. Mais voir que c'est un enfant qui a perdu la vie est extrêmement difficile", a-t-il souligné pendant la conférence de presse.

Fatigue

Car les espoirs de retrouver des survivants sont désormais infimes, cinq jours après la crue subite qui a frappé cette zone touristique vendredi, en plein week-end prolongé. "Autant que je sache, le dernier sauvetage (...) a été effectué vendredi", a déclaré Jonathan Lamb, de la police de Kerrville.

Dans la localité de Hunt, épicentre de la catastrophe, des équipes de recherche fouillent la boue et les amas de débris, tandis que des hélicoptères survolent la zone, a constaté l'AFP. Javier Torres, 24 ans, creuse dans la boue à la recherche du corps de sa grand-mère, après avoir localisé les restes de son grand-père et de deux enfants qui séjournaient chez elle.

Le centre du Texas n'est plus concerné mardi par des alertes aux crues, mais "des épisodes isolés de fortes précipitations sont possibles", ont prévenu les services météorologiques. "Je sais que les gens commencent à être fatigués, mais ils reçoivent des renforts, et des volontaires se présentent" sur place, a assuré la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, lors du conseil des ministres à Washington.

Le président américain Donald Trump a confirmé qu'il se rendrait sur les lieux de la catastrophe vendredi, accompagné de son épouse, Melania. Lundi, la Maison Blanche a fustigé les critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux ont porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.

"Tenir le président Trump pour responsable de ces inondations est un mensonge odieux, qui n'a aucun sens en cette période de deuil national", a dénoncé la porte-parole Karoline Leavitt. Elle a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu". Une alerte a été lancée peu après 1h00 du matin, mais nombre d'habitants dormaient ou avait coupé leur téléphone.

"Deux extrêmes"

Les crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes très tôt vendredi, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.

Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l'activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.

"C'est une zone du Texas qui subit les deux extrêmes du spectre du changement climatique (...). Les sécheresses deviennent plus extrêmes" et "lorsque la pluie arrive, elle provoque ces précipitations plus lourdes, avec une probabilité accrue d'inondations subites", explique à l'AFP Shel Winkley, météorologue et spécialiste du climat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Incendies dans le sud de la France, le feu atteint Marseille

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L'incendie s'est propagé jusqu'à Marseille. (© KEYSTONE/AP)

Un incendie dans le sud de la France a atteint mardi Marseille, la deuxième ville du pays. Une partie des habitants a été appelée à se confiner par la préfecture.

"Feu de forêt à Marseille. Quittez le massif forestier immédiatement. Confinez-vous dans un bâtiment en dur. Fermez volets et portes", indique le message d'alerte diffusé sur les portables dans la zone et reçu par une journaliste de l'AFP présente à proximité de l'incendie.

Un immense panache de fumée s'élevait au-dessus des massifs au nord de la ville et retombait sur Marseille, causant une concentration en particules fines 10 fois supérieure aux normes, selon Atmo-Sud.

L'aéroport de Marseille-Provence, quatrième de France en nombre de passagers, situé à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de la ville, a été fermé dès la mi-journée en raison de cet incendie se propageant à une vitesse "très rapide", selon les autorités. Deux lotissements ont été évacués et la circulation sur certaines lignes de trains interrompue au départ et à l'arrivée de Marseille.

"Les conditions sont défavorables sur le terrain, la vitesse de propagation du feu", "est très rapide", ont indiqué les pompiers. L'incendie, qui a atteint mardi les "franges de Marseille" au nord de la ville, a parcouru jusqu'ici 700 hectares au total, selon la préfecture.

L'incendie, déclenché en fin de matinée par un feu de véhicule, mobilise plus de 560 pompiers. Neuf pompiers ont été légèrement intoxiqués, un a été blessé à l'épaule, et une "dizaine d'habitations ont été atteintes", selon le préfet. "Je demande à tous les Marseillais d'être extrêmement vigilants et de limiter au maximum leurs déplacements pour laisser place aux secours, notamment au nord de la ville", a indiqué le maire de Marseille, Benoît Payan, sur le réseau social X.

Evacuations

Parallèlement, l'incendie d'une rare intensité qui s'est déclenché lundi près de Narbonne, également dans le sud de la France mais plus à l'ouest, a quant à lui détruit plus de 2000 hectares de végétation et entraîné de nombreuses évacuations. Il est attisé par les conditions météorologiques - vents, chaleur en hausse et humidité qui faiblit.

Lundi, des avions bombardiers d'eau et de produits retardants se sont relayés. Au total, plus d'un millier de pompiers, venus de toute la France, luttent contre le feu. Ils ont reçu le renfort de collègues roumains. L'incendie, "toujours pas maîtrisé", "a progressé très vite", a détaillé à l'AFP Christian Pouget, préfet de l'Aude, département qui a connu trois incendies en une semaine.

Cet incendie a occasionné la fermeture de l'autoroute A9, reliant la France et l'Espagne en longeant la Méditerranée : fermée lundi après-midi, ella a été rouverte mardi. Cinq pompiers ont été "très légèrement blessés", a indiqué la préfecture.

Les flammes ont endommagé plusieurs maisons et détruit un atelier et une écurie et les autorités maintiennent les mesures de confinement appliquées à plusieurs quartiers du sud de Narbonne. Des habitants ont évacué leur logement par crainte du feu, à l'image de Martine Bou.

Cette retraitée explique à l'AFP, les larmes aux yeux, avoir vu les flammes s'approcher jusqu'à une vingtaine de mètres de sa maison. Le maire est arrivé, disant "qu'il fallait tout fermer". Elle a alors "commencé à sortir les caisses pour (s)es chats, récupérer (s)es tortues, mettre le chien dans la voiture", avant d'évacuer vers la commune de Peyriac-de-Mer et de revenir mardi matin.

Dans la nuit de lundi à mardi, de nombreux automobilistes et chauffeurs de poids lourds surpris par l'incendie ont également dû dormir dans leur véhicule. Environ 500 personnes ont dû être hébergées.

Le feu s'est déclenché lundi dans des circonstances inconnues sur un domaine viticole dans le massif des Corbières. Il s'est ensuite rapidement propagé, attisé par la tramontane sur une végétation desséchée par un fort déficit pluviométrique et la canicule prolongée de ces derniers jours. Les premiers grands incendies de la saison ont éclaté en France ce week-end dans plusieurs départements du sud, provoquant de gros embouteillages en plein week-end de départs en vacances.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Marine Le Pen saisit la CEDH pour contester son inéligibilité

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Marine Le Pen a été reconnue coupable le 31 mars par un tribunal à Paris. (© KEYSTONE/EPA/SADAK SOUICI)

La cheffe de l'extrême droite française Marine Le Pen a annoncé mardi avoir saisi la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH). Elle conteste la peine d'inéligibilité avec effet immédiat à laquelle elle a été condamnée en France.

Elle a notamment transmis "une requête demandant à la Cour de constater la violation des droits garantis par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'Homme", a-t-elle indiqué dans un communiqué.

Marine Le Pen a été reconnue coupable le 31 mars par le tribunal correctionnel de Paris d'avoir mis en place un "système" de détournement de fonds public pour payer des salariés de son parti, le Front national (depuis rebaptisé Rassemblement national) avec l'argent du Parlement européen entre 2004 et 2016, pour un montant de 4,4 millions d'euros.

Outre la peine d'inéligibilité, le tribunal correctionnel de Paris l'a condamnée à quatre ans d'emprisonnement dont deux ferme. Vingt-quatre autres prévenus, dont le parti en tant que personne morale, avaient également été condamnés. La moitié a interjeté appel, dont Marine Le Pen.

"Présomption d'innocence"

Si la CEDH ne peut théoriquement être saisie par les justiciables qu'après épuisement des voies de recours internes, la triple candidate malheureuse à la présidentielle en France fait valoir "l'absence de recours effectif devant nos juridictions nationales permettant de contester l'exécution provisoire" avant le procès en appel pour justifier sa requête.

Mme Le Pen estime que cette situation judiciaire "viole plusieurs droits garantis", notamment celui "à la présomption d'innocence" ou "à un double degré de juridiction". Surtout, la requête de Mme Le Pen a été transmise au lendemain de la possibilité recouvrée par le président de la République française de dissoudre l'Assemblée nationale - un an après une première dissolution.

Marine Le Pen estime ainsi qu'elle est entravée dans son "droit à se porter candidat aux élections", consacré par la Convention européenne, puisqu'elle serait "dans l'incapacité de se présenter à une élection anticipée, qu'elle soit législative ou présidentielle", à l'approche de la présidentielle de 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Liquidités: activités au Conseil des droits de l'homme affectées

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Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk a dû décider qu'une quinzaine de rapports mandatés par le Conseil des droits de l'homme ne seraient pas rendus en raison de la crise de liquidités à l'ONU (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Plusieurs activités mandatées par le Conseil des droits de l'homme ne pourront être menées cette année et en 2026 en raison de la crise des liquidités à l'ONU. Au terme de plus de trois semaines de travaux, celui-ci s'est dit mardi à Genève "inquiet" de la situation.

Dans une décision approuvée par consensus, l'organe onusien demande au haut commissaire Volker Türk davantage d'indications sur les choix qu'il a faits. Il l'enjoint à lui expliquer la situation lors de prochaines réunions, notamment fin août pour l'organisation de la prochaine session du Conseil.

Dans une lettre datée de mi-juin au président du Conseil, l'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber, et dévoilée mardi avec la décision de l'organe, M. Türk a mentionné une quinzaine de rapports qui ne pourront être rendus comme prévu cette année.

Parmi ceux-ci figure celui des enquêteurs indépendants sur la situation en République démocratique du Congo (RDC), où des exactions avaient notamment été perpétrées au moment de la prise de Goma par les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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