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Nouveaux échanges de tirs entre l'Inde et le Pakistan

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Le Pakistan accuse l'Inde de "provocations" et de "chercher l'escalade" (archives). (© KEYSTONE/AP/Mukhtar Khan)

L'Inde et le Pakistan ont de nouveau échangé des tirs jeudi au Cachemire, territoire disputé sous tension depuis une attaque meurtrière. Cela malgré un appel des Etats-Unis à la désescalade.

New Delhi tient Islamabad responsable de cet attentat jamais revendiqué et qui a tué 26 civils le 22 avril. Si le Pakistan nie toute implication, le Premier ministre indien Narendra Modi a donné son feu vert à une "riposte" militaire, faisant craindre une escalade.

Alors que le Pakistan dit anticiper une frappe indienne sous peu, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a appelé des dirigeants des deux puissances nucléaires qui se sont livrées plusieurs guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947 au départ du colonisateur britannique.

M. Rubio a "encouragé l'Inde à travailler avec le Pakistan pour désamorcer les tensions et maintenir la paix et la sécurité en Asie du Sud", selon la porte-parole du département d'Etat, Tammy Bruce.

Son homologue indien Subrahmanyam Jaishankar a, lui, exigé que ceux qui ont "perpétré, soutenu et planifié" l'attaque de Pahalgam soient "traduits en justice". La police indienne dit notamment rechercher deux Pakistanais parmi les assaillants.

Islamabad, de son côté, affirme n'avoir aucun lien avec ces violences et se dit prêt à participer à une "enquête neutre".

M. Rubio a dit mercredi au Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif attendre des "autorités pakistanaises (qu'elles) coopérent à l'enquête sur cette attaque abominable".

Ce dernier a répondu en accusant l'Inde de "provocations" et de "chercher l'escalade", selon son bureau.

Tirs nocturnes

Après une salve de sanctions diplomatiques, des accords rompus et des visas annulés, les deux pays ont commencé à échanger de brefs tirs nocturnes sur la Ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire.

Pour la septième nuit consécutive, leurs soldats, parfois à quelques dizaines de mètres de distance à certains endroits de cette ligne théoriquement de cessez-le-feu de 770 km de long, ont ouvert le feu, selon l'armée indienne.

"Notre quotidien devient difficile, c'est de plus en plus dur d'acheter de la nourriture parce que les routes sont bloquées, et tous les commerces sont touchés", dit à l'AFP Mohammed Chabbir, ouvrier à Muzaffarabad, la grande ville du Cachemire pakistanais.

Islamabad a de son côté annoncé avoir abattu deux petits drones de surveillance indiens entrés dans son espace aérien au Cachemire en l'espace de 24 heures.

Tensions croissantes

Signe des tensions croissantes, l'Inde a annoncé mercredi soir fermer son espace aérien aux avions pakistanais, répondant à une décision similaire du Pakistan le 24 avril.

Mardi pourtant, les deux armées avaient eu leur entretien téléphonique hebdomadaire de "routine", dont le contenu est habituellement tenu secret, selon les forces pakistanaises et une source militaire indienne.

Si ces tensions n'ont, à ce stade, fait ni victimes ni dégâts d'importance, le Pakistan dit disposer de "renseignements crédibles" sur une frappe indienne prochaine et promet "une riposte décisive".

"On a déjà vu leurs armes mais à chaque fois nous sommes restés unis et cela ne changera pas", a assuré à l'AFP Hassan Haideri, un commerçant de Muzaffarabad.

Selon une source gouvernementale indienne, le chef du gouvernement ultranationaliste hindou Narendra Modi a donné la "liberté" à ses chefs d'état-major "de décider des cibles, du moment et du mode de la riposte".

Ecoles fermées

Plus d'un millier d'écoles coraniques du Cachemire pakistanais seront fermées pendant dix jours, a annoncé jeudi à l'AFP Hafiz Nazeer Ahmed, directeur du département local des Affaires religieuses

Au Cachemire pakistanais, qui compte plus de 6000 écoles total, les autorités locales ont par ailleurs lancé il y a quelques jours les formations aux premiers secours dans les écoles.

"On a appris à aider les autres en cas d'urgence. Avec l'Inde qui nous menace, c'est possible qu'il y ait la guerre, donc il va falloir qu'on se soutienne tous", explique à l'AFP Konain Bibi, une collégienne de 13 ans, casque de protection sur la tête et gilet fluorescent sur le dos, à Muzaffarabad.

Iftikhar Ahmed Mir, lui, fait partie du million et demi d'habitants des villages proches de la LoC et dit vivre dans "la peur permanente".

"On a peur quand nos enfants sont sur la route de l'école parce que cette zone a déjà été visée par l'armée indienne par le passé", rapporte ce commerçant de 44 ans à l'AFP.

Nombreuses arrestations

En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre ses soldats, l'Inde avait procédé à un raid aérien au Pakistan 12 jours plus tard et Islamabad avait riposté.

Le Pakistan avait capturé un pilote indien, avant de le rendre à son pays et les hostilités avaient rapidement cessé grâce à une médiation américaine.

Au Cachemire contrôlé par l'Inde, les forces de sécurité sont engagées dans une gigantesque traque pour retrouver les auteurs de l'attentat et leurs complices.

Dans cette région en majorité musulmane, elles multiplient arrestations et interrogatoires - 2.000 personnes ont été interpellées - et ont détruit neuf maisons liées aux suspects de l'attaque et à leurs complices.

La police indienne a diffusé le portrait-robot de trois d'entre eux, dont deux Pakistanais.

Elle les accuse de faire partie d'un groupe proche du LeT, le mouvement jihadiste Lashkar-e-Taiba basé au Pakistan, déjà soupçonné des attaques qui avaient fait 166 morts à Bombay en novembre 2008.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Stellantis se retire des utilitaires à hydrogène

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Selon Stellantis, le marché de l'hydrogène n'offre plus de perspectives à moyen terme (archives). (© KEYSTONE/AP/CARLOS OSORIO)

Stellantis a annoncé mercredi mettre fin à son programme de développement dans l'hydrogène. Le géant automobile abandonne son offre de véhicules utilitaires équipés de piles à combustible.

La nouvelle direction du constructeur a pris cette décision "en l'absence de perspectives à moyen terme pour le marché de l'hydrogène", a indiqué Stellantis dans un communiqué.

La production en série d'une nouvelle gamme d'utilitaires à hydrogène, qui devait débuter cet été à Hordain (France) et Gliwice (Pologne), a été annulée.

Le groupe, dirigé depuis fin juin par l'Italien Antonio Filosa, avait vendu seulement 300 unités de sa série précédente. La centaine de salariés qui travaillaient sur le projet sera "réorientée vers d'autres projets", a précisé Stellantis.

L'entreprise "n'anticipe pas l'adoption des véhicules utilitaires légers à hydrogène avant la fin de la décennie" en raison "de la disponibilité limitée des infrastructures de ravitaillement en hydrogène, des investissements considérables requis et du besoin d'incitations très élevées pour les clients".

C'est un nouveau signal funeste pour l'hydrogène dans les transports, alors qu'une partie de l'industrie automobile - et des Etats européens comme la France - tentait depuis quelques années d'en faire une alternative aux grosses batteries des véhicules électriques.

Par rapport aux utilitaires électriques, qui commencent à se multiplier dans les villes, les véhicules à hydrogène ont une durée de recharge courte et une autonomie longue, proche du diesel, des avantages recherchés par les entreprises de logistique comme les collectivités locales. Ils ont aussi besoin de plus petites batteries, et donc de moins de matières premières.

Mais les modèles à hydrogène restent très chers à l'achat, autour d'une centaine de milliers d'euros l'unité, et les stations de recharge, coûteuses à installer, sont rares.

Cette décision pose la question de l'avenir de Symbio, la coentreprise lancée en grande pompe en 2023 par Stellantis avec Michelin et l'équipementier Forvia. Stellantis a indiqué avoir "engagé des discussions" avec ses partenaires, même si Symbio a d'autres clients.

"Le marché de l'hydrogène demeure un segment de niche, sans perspectives de rentabilité économique à moyen terme", a expliqué dans le communiqué Jean-Philippe Imparato, directeur de Stellantis pour l'Europe.

Renault a aussi mis en liquidation début 2025 son usine d'utilitaires à hydrogène de Flins (Yvelines). Parmi les constructeurs automobiles, seuls Toyota, Hyundai et BMW continuent d'y croire avec de petits programmes de développement et une poignée de véhicules dans les rues.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

ASML: forte hausse du bénéfice net au deuxième trimestre

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Entre avril et fin juin, le bénéfice net d'ASML a bondi a à 2,3 milliards d'euros, contre 1,6 milliard d'euros à la même période l'an passé (archives). (© KEYSTONE/AP/Peter Dejong)

Le fabricant de machines pour le secteur des semiconducteurs ASML a annoncé une forte hausse de son bénéfice net au deuxième trimestre, par rapport au trimestre équivalent de 2024. Le groupe néerlandais affiche toutefois son incertitude quant à sa croissance en 2026.

"A l'horizon 2026, nous constatons que les fondamentaux de nos clients dans le domaine de l'IA restent solides", a déclaré mercredi Christophe Fouquet, le directeur général de l'entreprise, dans un communiqué. "Bien que nous nous préparions toujours à une croissance en 2026, nous ne pouvons pas la confirmer à ce stade", a-t-il cependant ajouté, évoquant une "incertitude croissante" liée aux développements macroéconomiques et géopolitiques.

Le bénéfice net au second trimestre s'est élevé à 2,3 milliards d'euros, contre 1,6 milliard d'euros à la même période l'année dernière, a déclaré géant technologique. Les réservations nettes, perçues par les investisseurs comme un indicateur des performances futures, se sont quant à elles établies à 5,5 milliards d'euros au second trimestre, contre 3,9 milliards d'euros au premier trimestre.

Lors de la présentation des résultats du premier trimestre en avril, M. Fouquet avait déjà mis en garde contre une "incertitude accrue" due aux droits de douane. Toutefois, il avait réitéré sa conviction que 2025 et 2026 seraient des "années de croissance".

L'entreprise a également affiché un chiffre d'affaires net de 7,7 milliards d'euros au deuxième trimestre 2025, dans le haut de la fourchette de ses prévisions, qui se situaient entre 7,2 et 7,7 milliards d'euros.

L'IA, "une grande opportunité"

ASML est un rouage essentiel de l'économie mondiale, les semi-conducteurs que ses machines contribuent à fabriquer pouvant tout alimenter, des smartphones aux missiles. À plus long terme, ASML pense que le marché de l'IA, en pleine expansion, fera grimper les ventes entre 44 et 60 milliards d'euros d'ici 2030.

"Je pense qu'à long terme, le marché des semi-conducteurs reste très solide", a déclaré M. Fouquet. "Et je pense que beaucoup de gens disent que l'IA est vraiment une grande opportunité", a-t-il ajouté.

L'industrie des semi-conducteurs a été secouée par des turbulences géopolitiques ces dernières années. Les Etats-Unis ont cherché à freiner les exportations de puces de pointe vers la Chine, craignant qu'elles ne soient utilisées pour faire progresser les systèmes militaires de Pékin et pour saper la domination américaine dans le domaine de l'IA.

En mai, l'administration Trump a annulé certains contrôles à l'exportation sur les semi-conducteurs. Mais Washington a également dévoilé de nouvelles lignes directrices avertissant les entreprises que l'utilisation de semi-conducteurs d'IA de haute technologie fabriqués en Chine, en particulier les puces Ascend du géant technologique Huawei, les exposerait au risque d'enfreindre les régulations américaines à l'exportation.

Pékin a qualifié ces avertissements d'"intimidation et de protectionnisme unilatéraux typiques". Mardi, le géant américain de la technologie Nvidia a annoncé qu'il reprendrait les ventes de ses puces d'intelligence artificielle H20 à la Chine, après que Washington se soit engagé à supprimer les restrictions de permis qui avaient interrompu les exportations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Islande: un volcan entre en éruption pour la 9e fois depuis 2023

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Grindavik, un village de 4000 habitants, a à nouveau dû être évacué, comme la dernière fois en avril 2023 (ci-contre/Archives). (© KEYSTONE/AP/MARCO DI MARCO)

Un volcan sur la péninsule de Reykjanes, dans le sud-ouest de l'Islande, est entré en éruption mercredi pour la neuvième depuis fin 2023, ont annoncé les autorités.

Des images vidéos tournées en direct montrent de la lave en train de s'échapper d'une fissure dans le sol. L'éruption a commencé peu avant 06h00 (en Suisse), selon l'Office météorologique islandais.

La chaîne de télévision RUV a indiqué de son côté que le village de pêcheurs voisin, Grindavik, a été évacué. La plupart des 4000 habitants de Grindavik ont été évacués fin 2023, peu avant la première éruption volcanique dans la région. Depuis, presque toutes les maisons ont été vendues à l'Etat et la majorité des habitants sont partis.

Les volcans de la péninsule n'avaient pas connu d'éruption depuis huit siècles, jusqu'en mars 2021, date à laquelle une période d'activité sismique accrue a débuté.

Vols internationaux pas touchés

Les volcanologues ont estimé que l'activité volcanique dans la région était entrée dans une nouvelle ère.

Selon la chaîne RUV cette dernière éruption n'a pas d'impact sur les vols internationaux.

En 2010, une éruption volcanique dans une autre partie de l'Islande avait provoqué un chaos dans les transports du monde entier, les cendres projetées dans l'atmosphère ayant entraîné des fermetures de l'espace aérien en Europe.

L'Islande abrite 33 systèmes volcaniques actifs, soit plus que tout autre pays européen.

Elle est située sur la dorsale médio-atlantique, une faille dans le plancher océanique qui sépare les plaques tectoniques eurasienne et nord-américaine et provoque des tremblements de terre et des éruptions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Pour la Chine: le monde est en proie à des "turbulences"

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Le vice-premier ministre chinois He Lifeng. (© KEYSTONE/EDA/POOL/MARTIAL TREZZINI)

Le vice-Premier ministre chinois He Lifeng, principal négociateur commercial de son pays avec les Etats-Unis, a mis en garde mercredi à Pékin contre les "turbulences et les transformations" que connaît le monde en matière commerciale.

Le géant asiatique fait de l'Exposition internationale des chaînes d'approvisionnement de Chine, organisée cette semaine dans la capitale chinoise, une tribune pour renforcer son image de défenseur mondial du libre-échange, en contraste avec la guerre commerciale de Donald Trump.

"Certains pays interfèrent avec le marché sous prétexte de réduire les risques, en utilisant des mesures telles que l'imposition de droits de douane", a indiqué mercredi He Lifeng dans une allusion au président américain.

"Les changements mondiaux inédits depuis un siècle s'accélèrent, avec des risques multiples qui s'entremêlent et s'accumulent", a-t-il déclaré.

"Nous devons renforcer davantage le consensus sur le développement, nous opposer fermement à la politisation, à l'idéologisation et à la sécurisation excessive des questions économiques et commerciales, et oeuvrer ensemble à préserver un environnement international ouvert et coopératif".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Argentine: Kirchner et ses co-accusés devront payer 535 mio de $

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Un portrait de Cristina Kirchner brandit par des partisans devant chez elle, où l'ex-présidente argentine est assignée à résidence. (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/ENRIQUE GARCIA MEDINA)

Un tribunal argentin a ordonné mardi l'ex-présidente Cristina Kirchner et huit autres condamnés pour fraude à payer solidairement environ 535 millions de dollars de dommages intérêts à l'Etat, dans l'affaire qui lui vaut d'être détenue à domicile.

L'ex-cheffe de l'Etat péroniste (centre-gauche) a vu en juin la Cour suprême confirmer sa condamnation de 2022 à six ans de prison et à l'inéligibilité à vie pour administration frauduleuse - sur des marchés publics - dans son fief provincial de Santa Cruz (sud) pendant ses mandats présidentiels (2007-2015).

Elle est depuis un mois assignée à résidence dans son appartement de Buenos Aires, la justice lui ayant accordé de purger sa peine de prison à domicile, comme son âge (72 ans) le lui autorise.

La résolution de mardi, publiée dans la presse, intime aux condamnés de payer solidairement entre eux, "en réparation des dommages causés au Trésor public", près de 685 milliards de pesos (environ 535 millions de dollars), avant le 13 août. Elle ne fait pas mention de contribution respective des condamnés.

Le tribunal avertit que, faute de règlement dans les délais il procédera à l'exécution des biens, saisie d'argent et vente aux enchères de biens et propriétés des condamnés.

Parmi eux figurent des entrepreneurs du BTP, des fonctionnaires ex-responsables régionaux de l'organisme des chantiers routiers, Vialidad.

Lors de sa dernière déclaration au Bureau anti-corruption en 2023, Cristina Kirchner avait consigné un patrimoine de près de 250 millions de pesos (environ 195'000 dollars d'aujourd'hui).

Selon la presse, elle disposait aussi de plusieurs biens immobiliers, qu'elle a cédés il y quelques années à ses deux enfants. Cristina Kirchner avait d'ailleurs elle-même plaidé, pour sa défense au procès, qu'elle n'avait nul besoin de corruption car son mari, l'ex-président Nestor Kirchner, et elle, disposaient à l'époque de plusieurs propriétés.

Son avocat n'a pas répondu dans un premier temps mardi aux sollicitations de l'AFP sur les possibilités de recours, ou les modalités de règlement.

Mme Kirchner, tout au long de la procédure, avait dénoncé une persécution politico-judiciaire à son encontre pour la bannir de la vie politique.

Vice-présidente jusqu'en 2023 et à ce jour encore figure dominante de la gauche argentine, elle a été mise en cause ces dernières années dans une dizaine de dossiers, entre pots-de-vin, blanchiment ou entrave à la justice. Elle a bénéficié de plusieurs non-lieux, mais quatre procédures restent pendantes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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