Rejoignez-nous

International

Meta met le turbo dans l'intelligence artificielle générative

Publié

,

le

Les géants technologiques sont engagés depuis plus d'un an dans une course effrénée au développement et déploiement de l'IA générative (production de textes, images et autres contenus, sur simple requête en langage courant) (archives). (© KEYSTONE/AP/Kirsty Wigglesworth)

Meta a dévoilé jeudi la nouvelle version de Meta AI, son assistant d'intelligence artificielle (IA) générative. Celui-ci passe de l'ombre à la lumière sur toutes les applications du groupe: Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp.

Jusqu'à présent discret, l'outil qui répond aux questions des utilisateurs (comme ChatGPT) va figurer de façon plus proéminente sur les réseaux et messageries du groupe californien.

Meta AI est aussi plus performant grâce à la nouvelle version du modèle de langage sous-jacent, Llama 3, aussi lancé jeudi par l'entreprise.

"Nous pensons que Meta AI est désormais l'assistant d'intelligence artificielle le plus intelligent que vous puissiez utiliser en accès libre", a déclaré Mark Zuckerberg, le patron du leader mondial des réseaux sociaux, dans une vidéo sur Instagram.

Les géants technologiques sont engagés depuis plus d'un an dans une course effrénée au développement et déploiement de l'IA générative (production de textes, images et autres contenus, sur simple requête en langage courant).

En tête, OpenAI, qui a lancé cette nouvelle vague technologique avec ChatGPT, son principal investisseur Microsoft, et son concurrent Google, rivalisent à coup de robots conversationnels ("chatbots") et autres assistants virtuels pour aider les humains à faire des recherches en ligne, à créer des contenus ou encore éduquer leurs enfants.

Grâce à Llama 3, Meta AI est censé donner de meilleures réponses aux requêtes des utilisateurs, générer des images plus rapidement ("de façon immédiate, c'est assez dingue!", a commenté Mark Zuckerberg).

Et il a accès à des informations en temps réel via Google et Bing, le moteur de recherche de Microsoft.

A la question "Que se passe-t-il en Iran ?" posée dans la nuit de jeudi à vendredi à Meta AI sur Instagram, il a ainsi répondu : "Israël a lancé des missiles sur une cible en Iran".

"Retard"

L'assistant présenté en septembre va aussi être plus facile à utiliser sur un site web dédié (meta.ai), sur les lunettes connectées Ray-Ban Meta et sur toutes les applications, dans plus de pays qu'avant.

"Nous l'avons intégré dans le champ de recherche en haut de Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger, de sorte que chaque fois que vous avez une question, vous pouvez simplement la poser à cet endroit", a insisté Mark Zuckerberg.

Les outils d'IA générative de Meta sont moins connus et moins utilisés par les consommateurs que ceux de ses concurrents, selon Debra Williamson, analyste de Sonata Insights, mais l'entreprise "a encore le temps de rattraper son retard".

"Grâce à ses réseaux sociaux elle dispose d'une base d'utilisateurs massive pour tester des expériences d'IA", détaille-t-elle pour l'AFP. "En mettant gratuitement à disposition plusieurs fonctionnalités, elle va pouvoir rapidement évaluer celles vers lesquelles ses utilisateurs gravitent."

Le groupe californien a dû investir massivement pour rejoindre la course à l'IA générative et a adopté une stratégie différente: son modèle de langage est "open source" (accès libre au code de programmation) pour les entreprises et chercheurs.

Meta entend ainsi démocratiser cette technologie puissante et diminuer les risques liés à son utilisation.

"Notre objectif dans un avenir proche est de rendre Llama 3 multilingue et multimodal, capable d'intégrer plus de contexte et (...) meilleur en raisonnement", a détaillé l'entreprise.

Hallucinations

A chaque sortie de nouveaux modèles de langage, les sociétés assurent qu'ils sont plus performants, plus sûrs, et qu'ils "hallucinent" moins qu'avant, selon le terme utilisé pour désigner leurs propos parfois incohérents.

"Meta AI prétend avoir un enfant dans une école publique de New York et partage l'expérience de son enfant avec des enseignants (...) en réponse à une question personnelle dans un groupe privé de parents sur Facebook", s'est par exemple indignée sur X mardi Aleksandra Korolova, professeure de sciences informatiques à Princeton, avec une capture d'écran du message de Meta AI à l'appui.

Début mars, Anthropic, concurrent d'OpenAI, a lancé sa nouvelle série de modèles Claude 3, dont le plus avancé, Opus, qui montre selon la start-up "les limites extrêmes de ce qui est possible avec l'IA générative".

Toutes ces entreprises essaient de parvenir à l'IA dite "générale", c'est-à-dire ayant des capacités cognitives similaires à celles des humains. Elles investissent donc des dizaines de milliards de dollars en puces sophistiquées et recherche et développement.

Mais "la plupart des expériences d'IA pour les consommateurs finiront par inclure une forme de publicité payante", estime Debra Williamson.

"Du point de vue commercial, Meta a un énorme avantage lorsqu'il s'agit de créer des services financés par la publicité", alors qu'OpenAI n'a pas d'expérience dans ce domaine, et "dépend des abonnements payants à ChatGPT et des ventes de services aux entreprises", souligne-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Syrie: des corps torturés dans un hôpital, affirment les rebelles

Publié

le

Les corps étaient empilés, montrant des "signes de tortures effroyables", selon un combattant des factions rebelles du sud du pays (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/AP/Ghaith Alsayed)

Une quarantaine de corps portant des traces de torture ont été retrouvés dans la morgue d'un hôpital près de Damas, entassés dans des sacs mortuaires, ont affirmé lundi des rebelles syriens. Des yeux et des dents avaient été arrachés.

"J'ai ouvert la porte de la morgue de mes propres mains. C'était un spectacle horrible: une quarantaine de corps étaient empilés, montrant des signes de tortures effroyables", a décrit auprès de l'AFP Mohammed al-Hajj, un combattant des factions rebelles du sud du pays, joint par téléphone depuis Damas.

L'AFP a pu voir des dizaines de photographies et de séquences vidéo que M. Hajj dit avoir prises lui-même et qui montrent des cadavres présentant des signes évidents de torture: yeux et dents arrachés, éclaboussures de sang et ecchymoses.

Les images prises à l'hôpital de Harasta ont également montré un morceau de tissu contenant des os, tandis que la cage thoracique d'un corps en décomposition apparaissait à travers la peau.

Les corps ont été placés dans des sacs en plastique blancs ou enveloppés dans des tissus blancs, certains tachés de sang, sur lesquels étaient inscrits des numéros et parfois des noms. Plusieurs d'entre eux semblent avoir été tués récemment.

Rassemblement à Saydnaya

Les rebelles dirigés par le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS) ont pris le pouvoir dimanche en Syrie, chassant l'ancien président Bachar al-Assad, dont la famille a dirigé le pays d'une main de fer pendant plus de cinq décennies.

Au coeur du système de gouvernement que M. Assad a hérité de son père Hafez se trouvait un complexe de prisons et de centres de détention utilisés pour éliminer la dissidence en emprisonnant les personnes soupçonnées de s'écarter de la ligne du parti Baas au pouvoir.

Des milliers de personnes espérant retrouver des proches disparus dans les geôles de Bachar al-Assad, s'étaient rassemblées lundi soir dans la tristement célèbre prison de Saydnaya, près de Damas, ont constaté des correspondants de l'AFP.

Mohammed al-Hajj a déclaré que les combattants rebelles avaient été informés par un employé de l'hôpital de la présence de cadavres à cet endroit. "Nous avons informé le commandement militaire de ce que nous avons trouvé et nous avons coordonné notre action avec celle du Croissant-Rouge syrien, qui a transporté les corps vers un hôpital de Damas, afin que les familles puissent venir les identifier", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Plus de 75 prix Nobel opposés à Kennedy comme ministre de la santé

Publié

le

Robert Kennedy Jr, neveu du président assassiné "JFK", a un temps fait campagne comme candidat à la présidentielle de novembre avant de se rallier à Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/Morry Gash)

Plus de 75 lauréats de prix Nobel ont adressé lundi une lettre ouverte exprimant leur opposition à la nomination par le président américain élu Donald Trump de Robert Kennedy Jr comme ministre de la santé. Ils pointent notamment ses positions anti-vaccins.

"Au vu de son bilan, placer M. Kennedy en charge du ministère de la santé représenterait un risque pour la santé publique", écrivent ces 77 prix Nobel de médecine, physique, chimie ou économie dans cette lettre adressée aux sénateurs américains.

Parmi les signataires figure Drew Weissman, prix Nobel de médecine en 2023 pour ses travaux sur le développement de vaccins à ARN messager, décisifs dans la lutte contre le Covid-19.

Robert Kennedy Jr, neveu du président assassiné "JFK", a un temps fait campagne comme candidat à la présidentielle de novembre avant de se rallier à Donald Trump. Le républicain l'a récompensé de son soutien après sa victoire en lui conférant un portefeuille de ministre, mais cette nomination doit faire l'objet d'un vote de confirmation au Sénat, comme le veut la constitution.

Contre de nombreux vaccins

Cet ancien avocat en droit de l'environnement, sans formation scientifique, a propagé des théories du complot sur les vaccins contre le Covid-19 comme sur de prétendus liens entre vaccination et autisme. Il réclame aussi l'arrêt de l'ajout de fluor dans l'eau courante, pourtant considérée comme une grande réussite sanitaire dans la lutte contre les caries dentaires.

"Outre son manque de qualifications ou d'expérience pertinente dans les domaines de la médecine, des sciences, de la santé publique ou du gouvernement, M. Kennedy a été un opposant à de nombreux vaccins qui ont permis de protéger la santé et de sauver des vies, tels ceux contre la rougeole et la poliomyélite", fustigent notamment les signataires de la lettre ouverte.

Plusieurs choix de Donald Trump pour son gouvernement ont provoqué la controverse. Il a notamment nommé Pete Hegseth, un ancien militaire et présentateur de Fox News, pour prendre la tête du Pentagone malgré des accusations d'agression sexuelle et de consommation excessive d'alcool.

Le futur président républicain a déjà essuyé le retrait forcé de Matt Gaetz, son premier choix pour le poste de ministre de la justice, après des accusations de relations sexuelles avec une mineure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Une pièce romaine à l'effigie de Brutus vendue 1,84 million

Publié

le

Cet aureus, la monnaie d'or romaine, est "un morceau d'histoire" lié aux derniers chapitres de la République romaine. (© NGSA)

Une rarissime pièce romaine à l'effigie de Brutus, le plus célèbre des assassins de Jules César, a été vendue aux enchères lundi à Genève pour 1,84 million de francs, a annoncé Numismatica Genevensis, responsable de la vente.

La pièce en or a été vendue pour plus de 1,84 million de francs, commission de vente comprise, "à un collectionneur européen", a indiqué la société dans un communiqué.

Sa mise à prix était de plus de 742'000 euros.

La vente a donné lieu à "une intense bataille entre huit enchérisseurs en ligne", a détaillé la maison d'enchères.

Cet aureus, la monnaie d'or romaine, est "un morceau d'histoire" lié aux derniers chapitres de la République romaine, avait expliqué à l'AFP Frank Baldacci, le directeur de Numismatica Genevensis, il y a quelques jours.

La pièce - pesant 8 grammes et d'une dimension similaire à celle d'un euro - a été frappée en 43-42 avant JC par "Brutus et ses amis qui ont assassiné Jules César" en mars 44 avant JC, détaille-t-il.

Dix-sept spécimens

Cet aureus particulier arbore côté face le profil de la tête de Brutus entouré de feuilles de laurier et célèbre au revers ses récentes victoires militaires avec des symboles guerriers. C'est l'un des 17 spécimens connus, selon la maison d'enchères.

Cette pièce, "frappée non pas à Rome mais dans un atelier qui bougeait avec Brutus et ses armées, alors qu'il tentait de s'octroyer le pouvoir après avoir assassiné Jules César", avait aussi une "valeur de propagande", selon M. Baldacci.

La couronne de lauriers est vraiment le signe de "quelqu'un qui veut se promouvoir empereur" qui veut être "calife à la place du calife", avait-il relevé, soulignant l'inscription "IMP" - pour Imperator, chef des armées, titre qui deviendra héréditaire sous l'Empire.

La pièce a été frappée peu de temps avant la bataille très célèbre de Philippes, que Brutus a perdu contre Marc-Antoine et Octave et à l'issue de laquelle il s'est "donné la mort", avait expliqué M. Baldacci.

L'aureus a voyagé à travers les siècles, passant de main en main, à l'abri des regards.

La pièce n'a refait surface que dans les années 1950 lorsqu'elle a été publiée dans le catalogue d'un collectionneur privé. Elle est réapparue par la suite lors d'une vente aux enchères en 2006 à Zurich, où elle a été vendue à un autre collectionneur privé pour 360'000 francs.

La pièce est conservée dans une boîte hermétique pour empêcher toute altération, et pour "garantir son authenticité", avait indiqué M. Baldacci, expliquant que la certification par des sociétés spécialisées se fait notamment en comparant avec d'autres monnaies anciennes, ainsi qu'en examinant l'or utilisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Genève

Syriens de Genève: "J'ai cru à un rêve"

Publié

le

Les Syriens de Genève ne cachent pas leur émotion après la chute du régime de Bachar Al-Assad.  Un tournant historique, qui met fin à un demi-siècle de règne sans partage.

Vive émotion dans la communauté Syrienne à Genève, au lendemain de la chute du régime de Bachar Al-Assad. 50 ans de dictature ont été balayés en une dizaine de jours après une offensive spectaculaire de groupes rebelles.

Un moment historique mais qui reste difficile à réaliser pour ceux qui n'ont connu que le régime d'Assad. Comme Shady Ammane, professeur d'histoire à Genève et fondateur du "collectif Jasmin".

Shady Ammane

Quelle Syrie après la chute du régime de Bachar Al-Assad? Certains Genevois sont prêts à y retourner dès que possible pour participer à la reconstruction du pays. Shady Ammane envisage déjà d'apporter rapidement sa pierre.

Shady Ammane

A peine le président Bachar Al-Assad chassé du pouvoir, que le débat sur l'accueil des réfugiés syriens a repris en Europe. Plusieurs pays, dont la Suisse, ont annoncé un gel des procédures de demandes d'asile pour les requérants d’asile syriens jusqu’à nouvel ordre. Se pose aussi la question du retour en toute sécurité des réfugiés syriens dans leur pays.

Shady Ammane

Reste qu'il faudra du temps avant que les Syriens n'évacuent le traumatisme du régime Assad.

Shady Ammane

 

Continuer la lecture

International

Des milliers de proches de détenus devant la prison de Saydnaya

Publié

le

Un homme montre deux cordes en forme de n½ud coulant, trouvées dans la tristement célèbre prison militaire de Saydnaya. Des foules se rassemblent pour entrer dans la prison, connue sous le nom d'« abattoir humain », certains espérant retrouver des parents qui y ont été détenus. (© KEYSTONE/AP/Hussein Malla)

Des milliers de personnes sont massées lundi soir devant la sinistre prison de Saydnaya, à une trentaine de kilomètres de Damas, dans l'attente de nouvelles de leurs proches détenus ou disparus.

La file de voitures s'allonge sur plus de sept kilomètres, et des familles ont allumé en soirée des feux de camp devant la prison, ont constaté des journalistes de l'AFP.

"J'attends dans l'espoir que l'un de mes proches soit retrouvé", dit Youssef Matar, 25 ans, assis sur un rocher, qui pense que dix membres de sa famille sont détenus dans cette immense prison.

"Tous ont été arrêtés par la sécurité" syrienne "sans raison, juste parce que nous sommes de la ville de Daraya", dans les environs de Damas, l'une des premières localités à s'être soulevées contre le président Bachar al-Assad en 2011, explique-t-il.

Morts ou vivants?

"Je suis ici depuis hier (dimanche), ajoute le jeune homme. "Je vais rester jusqu'à savoir s'ils sont morts ou vivants".

Depuis le début en 2011 du soulèvement qui a dégénéré en guerre civile, plus de 100'000 personnes ont péri dans les prisons syriennes, notamment sous la torture, estimait en 2022 l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

A la même époque, l'OSDH rapportait qu'environ 30'000 personnes avaient été détenues à Saydnaya, dont seulement 6000 avaient été relâchées.

Dès qu'ils sont entrés à Damas dimanche, les rebelles syriens ont annoncé avoir pris le contrôle de la prison de Sednaya et libéré les détenus de cet établissement pénitentiaire symbole des pires exactions des forces du président Bachar al-Assad.

Mais les familles restent convaincues qu'un grand nombre se trouve encore dans des cachots souterrains.

Les Casques blancs, une organisation de secouristes, ont indiqué chercher des "cellules souterraines cachées". Pour le moment, en vain. Malgré des informations contradictoires, ses volontaires défoncent depuis dimanche murs et recoins à coups de masse ou de barres de fer pour tenter de les localiser.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 49 minutes

Syrie: des corps torturés dans un hôpital, affirment les rebelles

Une quarantaine de corps portant des traces de torture ont été retrouvés dans la morgue d'un hôpital près de Damas,...

InternationalIl y a 1 heure

Plus de 75 prix Nobel opposés à Kennedy comme ministre de la santé

Plus de 75 lauréats de prix Nobel ont adressé lundi une lettre ouverte exprimant leur...

CultureIl y a 2 heures

Recherches Google: championnat d'Europe de foot et Nemo en tête

L'Euro de football en Allemagne et le chanteur non-binaire Nemo, vainqueur de l'Eurovision, ont été...

SuisseIl y a 4 heures

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce...

CultureIl y a 5 heures

Une pièce romaine à l'effigie de Brutus vendue 1,84 million

Une rarissime pièce romaine à l'effigie de Brutus, le plus célèbre des assassins de Jules...

GenèveIl y a 6 heures

Syriens de Genève: "J'ai cru à un rêve"

Les Syriens de Genève ne cachent pas leur émotion après la chute du régime de...

PolitiqueIl y a 7 heures

Les fonctionnaires vaudois réclament un rattrapage salarial de 5%

Pas loin d'une centaine de fonctionnaires des services public et parapublic vaudois se sont rassemblés...

InternationalIl y a 7 heures

Des milliers de proches de détenus devant la prison de Saydnaya

Des milliers de personnes sont massées lundi soir devant la sinistre prison de Saydnaya, à...

PolitiqueIl y a 7 heures

Le Parlement confirme les 15 millions à l'Euro de football féminin

La Confédération devra soutenir l'Euro de football féminin organisé en Suisse en 2025 à hauteur...

GenèveIl y a 8 heures

La Cannabinothèque de Vernier souffle sa première bougie

Il y a un  an la Cannabinothèque, premier point de vente régulé de chanvre dans...