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L'Inde et le Pakistan se sont accordés sur un cessez-le-feu

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Le cessez-le-feu est en vigueur jusqu'à dimanche. (© KEYSTONE/EPA/FAROOQ KHAN)

Les hauts-gradés des armées indienne et pakistanaise se sont parlé mercredi et jeudi et ont convenu de prolonger leur cessez-le-feu jusqu'à dimanche. C'est ce qu'a dit jeudi le ministre pakistanais des Affaires étrangères Ishaq Dar devant le Sénat.

Evoquant des "communications d'armée à armée", M. Dar, également vice-Premier ministre, a affirmé qu'"aujourd'hui, nous avons eu une conversation et le cessez-le-feu est jusqu'au 18 mai".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Gaza: pourparlers indirects entre Israël et le Hamas

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La rencontre entre Donald Trump et Benjamin Netanyahu sera la troisième entre les deux hommes en moins de six mois (archives). (© KEYSTONE/AP/Mark Schiefelbein)

De nouvelles négociations indirectes entre Israël et le Hamas se déroulent au Qatar en vue d'un accord de trêve à Gaza et de libération d'otages. Cela avant une rencontre à Washington de Donald Trump et Benjamin Netanyahu.

Dans la bande de Gaza dévastée par près de 21 mois de guerre entre Israël et le Hamas, la Défense civile a fait état de la mort de 12 Palestiniens tués par des tirs ou de nouveaux bombardements israéliens.

La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023 contre Israël, à laquelle l'armée a riposté en lançant une offensive d'envergure à Gaza qui a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué un désastre humanitaire.

"Aucune percée"

Depuis dimanche, deux sessions de pourparlers indirects entre Israël et le Hamas se sont tenues à Doha, selon des sources palestiniennes proches des négociations. "Aucune percée" n'a été encore réalisée, a indiqué à l'AFP l'une d'elles. Les négociations doivent reprendre en soirée.

Dimanche, le président américain, Donald Trump, a estimé qu'il existait "de bonnes chances" de parvenir à un accord. "Nous avons déjà fait sortir beaucoup d'otages, mais en ce qui concerne les otages restants, un bon nombre vont sortir. Nous pensons y parvenir cette semaine", a-t-il dit.

Avant de s'envoler pour les Etats-Unis, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a estimé que sa rencontre avec M. Trump pouvait "contribuer à faire avancer ce résultat que nous espérons tous".

Les négociations de Doha, menées via les médiateurs qatari, égyptien et américain, portent "sur les mécanismes de mise en oeuvre" d'un accord de cessez-le-feu et d'un "échange" d'otages retenus à Gaza contre des Palestiniens détenus en Israël, selon un responsable palestinien.

"Inacceptables"

La délégation du Hamas se trouvait dans une salle et la délégation israélienne dans une autre, dans le même bâtiment, a-t-il précisé.

La rencontre entre MM. Trump et Netanyahu - la troisième entre les deux hommes en moins de six mois - doit démarrer à 18h30 locales, (23h30 en Suisse) et aura lieu hors de la présence habituelle des journalistes, selon la Maison Blanche.

"Le Hamas est sérieux et soucieux d'aboutir à un accord pour mettre fin à la guerre et à la souffrance de notre peuple, à condition que la partie israélienne fasse preuve de bonne foi et ne cherche pas à entraver ou à faire traîner le processus", a affirmé le responsable palestinien.

M. Netanyahu avait jugé "inacceptables" samedi les "changements que le Hamas cherche à apporter à la proposition" de trêve, initialement parrainée par les Etats-Unis et transmise par le Qatar et l'Egypte.

Selon des sources palestiniennes proches des discussions, elle comprend une trêve de 60 jours, pendant laquelle le Hamas relâcherait dix otages encore en vie et remettrait des corps de captifs morts, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël.

Les changements réclamés par le mouvement islamiste, d'après ces sources, portent sur les modalités du retrait des troupes israéliennes de Gaza, des garanties qu'il souhaite obtenir sur l'arrêt des hostilités après les 60 jours, et sur une reprise en main de la distribution de l'aide humanitaire par l'ONU et des organisations internationales reconnues.

"On ne savait plus où aller"

Sur les 251 personnes enlevées lors de l'attaque du Hamas du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 déclarées mortes par l'armée israélienne.

Une première trêve d'une semaine en novembre 2023, puis une deuxième de deux mois début 2025, ont permis le retour de nombreux otages en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël.

Sur le terrain à Gaza, la Défense civile a fait état de 12 Palestiniens tués par des frappes israéliennes, dont six morts dans la clinique Al-Rimal de Gaza-ville (nord), qui "abrite des centaines de déplacés".

Des images de l'AFP dans l'établissement montrent une pièce calcinée aux cloisons éventrées, dans laquelle un trotteur pour bébé traîne au milieu des gravats.

"On a été surpris par des missiles et des explosions à l'intérieur du bâtiment. On ne savait plus où aller à cause de la poussière et des dégâts", témoigne auprès de l'AFP Salman Qoudoum, en exhortant à un accord de cessez-le-feu. "On ne peut plus attendre."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Chimie: Dow va fermer des sites en Allemagne et au Royaume-Uni

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Selon son directeur général Jim Fitterling, le groupe Dow fait face en Europe à "des dynamiques de marché diffciles". (archive) (© )

Dow a annoncé lundi la fermeture de trois sites européens, deux en Allemagne et un au Royaume-Uni. Les mesures entraîneront la suppression de pas moins de 800 emplois, le groupe pétrochimique américain les justifiant par un environnement complexe dans la région.

"Notre industrie en Europe continue de faire face à des dynamiques de marché difficiles", a expliqué dans un communiqué Jim Fitterling, le PDG de Dow, mentionnant notamment des coûts de production élevés en Europe. En Allemagne, l'usine de production d'éthylène de Böhlen (Saxe) devrait être fermée au 4e trimestre 2027, précise le communiqué, tout comme un site de production de vinyle et chlore à Schkopau (Saxe-Anhalt).

La fermeture du site de production de silicones de Barry (Pays de Galles), au Royaume-Uni, devrait, elle, être finalisée mi-2026. Environ 800 postes seront concernés par ces mesures, précise le groupe, qui fait état de "défis structurels dans la région". Dow - qui emploie 36'000 personnes dans le monde - avait annoncé des mesures d'économies en avril pour s'ajuster à une conjoncture défavorable, notamment en repoussant un projet colossal d'usine au Canada, à Fort Saskatchewan, en banlieue d'Edmonton.

Le groupe avait alors évoqué la fermeture de sites européens, mais sans préciser le nombre de postes concernés. Très sensible au cycle économique, Dow est pris en étau entre un mouvement de baisses de prix, sur fond de ralentissement de l'activité, et une hausse de ses coûts d'approvisionnement.

En janvier, il avait déjà annoncé un plan prévoyant de réduire ses effectifs d'environ 1.500 personnes dans le monde. En 2023, 2.000 postes avaient été supprimés. Bruxelles doit annoncer dans la semaine un plan de soutien pour la chimie dans l'Union européenne, fragilisée notamment par les coûts de l'énergie plus élevés en Europe et les surcapacités mondiales, selon les acteurs du secteur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

France: le député LR Olivier Marleix a mis fin à ses jours

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Olivier Marleix avait soutenu ce printemps la candidature de Bruno Retailleau à la présidence des Républicains face à Laurent Wauquiez (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

Le député LR d'Eure-et-Loir Olivier Marleix, qui avait présidé le groupe des députés de droite de 2022 à 2024, a mis fin à ses jours lundi. Les circonstances n'ont pas été précisées, ont indiqué à l'AFP des sources parlementaires concordantes.

Agé de 54 ans et proche de l'ex-Premier ministre Michel Barnier, Olivier Marleix avait soutenu ce printemps la candidature de Bruno Retailleau à la présidence des Républicains face à Laurent Wauquiez qui lui avait succédé l'an dernier à la présidence des députés LR.

Le député d'Eure-et-Loire a été retrouvé sans vie à son domicile d'Anet, selon le procureur de la République de Chartres Frédéric Chevallier. Olivier Marleix a été "retrouvé dans une pièce du haut, pendu", a-t-il dit.

A l'annonce de son décès, plusieurs personnalités politiques ont rendu hommage au député.

"Homme de conviction"

"Nous n'oublierons pas l'homme de conviction, défenseur inlassable de l'intérêt général dont la vision tirait vers le haut le débat public", a dit le président du groupe LR à l'Assemblée nationale Laurent Wauquiez.

Le maire de Nice Christian Estrosi a salué "un homme courageux, engagé, éclairé. Un vrai gaulliste".

"Il fut un élu de terrain, rigoureux, engagé au service de ses idées", a réagi sur X Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale.

"Il était un adversaire politique toujours respectueux, une voix singulière, attachée à défendre la souveraineté industrielle de la France", a salué de son côté Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise.

En fin d'après-midi l'Assemblée nationale a suspendu brièvement ses travaux en apprenant la nouvelle, avant d'observer une minute de silence.

Olivier Marleix, fils de l'ancien ministre Alain Marleix, était père de deux filles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le sommet annuel des Brics sous tension après les menaces de Trump

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En réponse à la menace de Donald Trump visant les Brics, Pékin a affirmé lundi que le bloc ne cherchait pas "la confrontation" au sujet des droits de douane. (© KEYSTONE/AP/Silvia Izquierdo)

Le sommet annuel des Brics a repris sous tension lundi à Rio de Janeiro, après les menaces de Donald Trump d'imposer des droits de douane supplémentaires aux pays qui "s'alignent avec les politiques anti-américaines" prônées selon lui par ce bloc de pays émergents.

Sans citer nommément les Etats-Unis, ce groupe qui comprend notamment le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud avait exprimé dimanche ses "sérieuses préoccupations" face à l'"augmentation de mesures douanières et non-douanières unilatérales qui faussent le commerce".

De telles mesures "affectent les perspectives de développement économique mondial", avaient insisté les Brics, qui représentent près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète, dans leur déclaration conjointe.

La réaction du président américain ne s'est pas fait attendre.

"Tout pays s'alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n'y aura pas d'exception à cette politique", a-t-il écrit quelques heures plus tard sur sa plateforme Truth Social.

Lettres envoyées

M. Trump a également annoncé que les premières lettres menaçant de droits de douane exorbitants les pays récalcitrants à conclure un accord commercial avec Washington seront envoyées lundi.

Le ministre américain du Trésor Scott Bessent avait auparavant affirmé que faute d'accord dans les prochains jours, les surtaxes - pouvant atteindre 50% - entreraient en vigueur le 1er août.

Les droits de douane annoncés début avril avaient été rapidement suspendus par les Etats-Unis, le temps de négocier avec leurs partenaires commerciaux.

Pékin refuse la "confrontation"

En réponse à la menace de Donald Trump visant les Brics, Pékin a affirmé lundi que le bloc ne cherchait pas "la confrontation" au sujet des droits de douane.

La Chine est la puissance dominante des Brics et son président Xi Jinping est le grand absent du sommet à Rio.

"La Chine a toujours affirmé sa position selon laquelle les guerres commerciales et tarifaires ne font pas de gagnants et que le protectionnisme ne permet pas d'avancer", a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Les Brics "prônent l'ouverture, l'inclusion et la coopération gagnant-gagnant", a-t-elle ajouté.

La Chine est engagée dans des négociations avec Washington pour parvenir à un accord commercial. À ce jour, seuls le Royaume-Uni et le Vietnam ont réussi à conclure un pacte commercial avec les États-Unis.

Créé pour rééquilibrer l'ordre mondial au bénéfice du "Sud global" face à l'Occident, le groupe des Brics s'est élargi depuis 2023 avec l'Arabie saoudite, l'Egypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie, l'Iran puis l'Indonésie.

Visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre présumé en Ukraine, le président Vladimir Poutine n'a pas fait le déplacement à Rio, mais a célébré en visioconférence "l'autorité et l'influence" du groupe des pays émergents.

À Rio, les débats du deuxième et dernier jour du sommet des Brics portent notamment sur le changement climatique, un sujet essentiel pour le Brésil, qui accueillera la Conférence de l'ONU sur le climat COP30 en novembre, dans la ville amazonienne de Belem.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Attentats djihadistes de 2005: recueillement au Royaume-Uni

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Une cérémonie d'hommage a eu lieu à la cathédrale St Paul. (© KEYSTONE/AP/Stefan Rousseau)

Une pluie de pétales blanches est tombée lundi dans la cathédrale St Paul à Londres en hommage aux 52 victimes des attentats islamistes de juillet 2005. Des commémorations également marquées par un message du roi Charles III louant "l'esprit d'unité" des Britanniques.

Les cérémonies marquant le 20e anniversaire de ces attentats-suicides ont débuté peu avant 09h00 (10h00 en Suisse) avec le dépôt au mémorial du 7 juillet à Hyde Park de deux gerbes, portées par le Premier ministre Keir Starmer et le maire de la capitale Sadiq Khan.

Le 7 juillet 2005 au matin, quatre islamistes britanniques inspirés par Al-Qaïda se sont fait exploser dans trois rames de métro et un autobus circulant à l'heure de pointe dans le centre de Londres, faisant 52 morts et des centaines de blessés.

Il s'agissait des premiers attentats-suicides commis sur le sol britannique. Une minute de silence a été observée dans le métro londonien, ainsi qu'au tournoi de tennis de Wimbledon.

Une cérémonie d'hommage a eu lieu à la cathédrale St Paul, en présence notamment du chef du gouvernement et du duc et de la duchesse d'Edimbourg, le prince Edward et son épouse Sophie, qui représentaient le roi Charles.

Ils ont été rejoints par des survivants, des proches des victimes mais aussi des personnels de service d'urgence qui ont été dépêchés sur les lieux des attaques.

"Unis contre la haine"

Le service s'est ouvert avec une prière lue par le doyen de la cathédrale, le révérend Andrew Tremlett. Les noms des victimes ont ensuite été égrenés sous une pluie de pétales blanches lancées depuis le dôme de la cathédrale.

"Nous pensons avec une profonde tristesse aux 52 innocents tués dans ces actes d'un mal insensé et au chagrin persistant de leurs proches", a déclaré dimanche le roi Charles III dans un communiqué.

Le souverain a également souligné "l'esprit d'unité qui a aidé Londres et (la) nation à guérir" et rappelé l'importance de "bâtir une société où les personnes de toutes confessions et de tous les horizons peuvent vivre ensemble".

"Ceux qui ont tenté de nous diviser ont échoué", a affirmé Keir Starmer dans un message diffusé lundi. "Nous étions unis à l'époque et nous sommes unis aujourd'hui, contre la haine et pour les valeurs qui nous définissent : liberté, démocratie et Etat de droit".

Vingt ans après les faits, Daniel Biddle est toujours marqué par ces événements, comme il l'a raconté à la BBC. Il avait 26 ans lorsqu'il a perdu ses deux jambes et son oeil gauche dans l'une des explosions.

Au-delà du "chagrin" qui l'étreint encore aujourd'hui, il ne peut effacer de sa mémoire le moment où il a vu l'un des kamikazes déclencher son engin explosif dans un train. "Ce visage est gravé dans ma tête", a-t-il confié.

"Davantage à l'abri"

Depuis 2005, plusieurs attentats ont secoué le Royaume-Uni mais aucun de cette ampleur. Parmi les plus importants, l'attentat-suicide au Manchester Arena de mai 2017, qui a fait 22 morts, et celui à la voiture bélier sur le London Bridge en juin de la même année, qui a fait huit morts. Ces deux attaques ont été revendiquées par le groupe Etat islamique (EI).

"Nous sommes davantage à l'abri du terrorisme parce que les services de sécurité ont mis en place un très bon système", a assuré lundi à la BBC Tony Blair, qui était Premier ministre au moment des attentats de 2005.

Toutefois, a-t-il concédé, "tant que l'idéologie (djihadiste, NDLR) existera, il y aura un problème".

La ministre de l'Intérieur Yvette Cooper a souligné dimanche dans le Sunday Mirror que l'islamisme et l'extrémisme de droite étaient les "plus grandes menaces" pesant sur le Royaume-Uni.

A l'occasion de cet anniversaire, plusieurs documentaires et une série Netflix ont été récemment diffusés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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