Rejoignez-nous

International

Le pape appelle à "surmonter les divisions" pour Noël

Publié

,

le

Au Vatican, le pape François a invité à garder "l'espérance" tout en passant en revue les principaux conflits aux quatre coins de la planète lors de sa traditionnelle bénédiction "Urbi et Orbi". (© KEYSTONE/AP/Andrew Medichini)

Le pape François a exhorté mercredi à "faire taire les armes" et "surmonter les divisions" dans le monde, alors que Noël, fêté par des millions de chrétiens, est encore assombri cette année par les guerres à Gaza, en Ukraine et dans de nombreuses autres régions.

Au Vatican, le jésuite argentin, âgé de 88 ans, a invité à garder "l'espérance" tout en passant en revue les principaux conflits aux quatre coins de la planète lors de sa traditionnelle bénédiction "Urbi et Orbi" ("A la ville de Rome et au monde"), du Soudan à la Birmanie en passant par Haïti, Chypre ou le Mali.

Evoquant la "situation humanitaire gravissime" à Gaza, le chef des 1,4 milliard de catholiques a renouvelé ses appels à un cessez-le-feu et à la libération des otages israéliens aux mains du mouvement islamiste palestinien Hamas.

La veille, il avait ouvert "l'Année sainte" 2025 de l'Eglise catholique, grand pèlerinage international pour lequel plus de 30 millions de fidèles du monde entier sont attendus à Rome.

Lors de la messe, il a invité les fidèles à penser "aux guerres, aux enfants mitraillés, aux bombes sur les écoles ou les hôpitaux", une allusion aux frappes israéliennes sur Gaza dont il a dénoncé cette semaine la "cruauté", suscitant les protestations de la diplomatie israélienne.

En France, la cathédrale Notre-Dame de Paris accueille depuis mardi plusieurs messes de Noël. Depuis l'incendie qui l'a dévastée en 2019, la cathédrale n'avait plus accueilli ces messes de la Nativité célébrant, pour les chrétiens, la naissance de Jésus.

"Je suis tellement heureux de revenir ici, c'est tellement magique", a témoigné Daniel James, steward américain de 46 ans, avant d'assister à la messe de Minuit.

L'Ukraine a pour la deuxième année consécutive célébré Noël le 25 décembre comme en Occident et non plus le 7 janvier - correspondant au 25 décembre de l'ancien calendrier julien toujours suivi par l'Eglise orthodoxe russe pour les fêtes religieuses.

Une alerte aérienne a été déclarée dans tout le pays mercredi à l'aube, alors que des missiles russes s'abattaient sur la grande ville de Kharkiv et sur de nombreuses infrastructures énergétiques.

Le pape, dont les nombreux appels à la paix sont restés lettre morte depuis l'invasion du pays par Moscou en février 2022, a appelé les dirigeants à avoir "l'audace d'ouvrir la porte à la négociation" en vue d'une "paix juste et durable".

Nuit de Noël morose également dans la ville palestinienne de Bethléem, berceau du christianisme, où quelques centaines de fidèles se sont rassemblés dans et autour de l'Eglise de la Nativité.

"Relents de mort"

Un grand sapin se dresse normalement pour Noël sur la place de la Mangeoire, mais comme l'an dernier, les autorités locales ont décidé de ne pas organiser de grandes célébrations.

"Je veux remercier nos chers frères et soeurs à Gaza, à qui je viens de rendre visite", a clamé dans son homélie le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa, venu présider la messe de Minuit à Bethléem, de retour de Gaza. "Ils sont un vrai signe d'espoir au milieu du désastre et de la destruction totale qui les entourent".

"Pour la deuxième année, c'est un triste Noël pour vous aussi", poursuit le patriarche. "Mais l'année prochaine, le Noël à Bethléem sera plein de sapins, de vie et de pèlerins".

"Ce que l'on traverse est très difficile et on ne peut pas en faire complètement abstraction", déplore Hisham Makhoul, habitant de Jérusalem présent à Bethléem, évoquant "une échappatoire" temporaire.

Dans la bande de Gaza, des centaines de chrétiens se sont réunis dans l'église de la Sainte-Famille, dans la ville de Gaza pour la messe de la nuit de Noël.

"Ce Noël a des relents de mort et de destruction", témoigne George Al-Sayegh, qui a trouvé refuge pendant des semaines, pour échapper aux bombes, dans l'église grecque orthodoxe Saint-Porphyre.

"Il n'y a aucune joie, aucun esprit de fête. On ne sait même pas si on survivra jusqu'au prochain Noël."

Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé mercredi 23 morts en 24 heures dans le petit territoire palestinien ravagé par la guerre avec Israël.

"Ombre"

En s'adressant mardi aux chrétiens, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré que son pays "défendait notre civilisation contre la barbarie", menant plusieurs fronts depuis le début de la guerre à Gaza en octobre 2023.

En Allemagne, le président Frank-Walter Steinmeier a appelé dans ses voeux de Noël à l'unité et la cohésion, en évoquant "l'ombre" jetée sur les fêtes par l'attaque à la voiture-bélier qui a fait cinq morts et plus de 200 blessés vendredi sur le marché de Noël de Magdebourg, dans le nord-est du pays.

En Syrie, où le président Bachar al-Assad a été renversé le 8 décembre, les nouvelles autorités dominées par les islamistes se sont employées à rassurer les chrétiens dans un pays à majorité musulmane.

"Ce n'était pas évident de se réunir dans les circonstances actuelles et de prier dans la joie, mais grâce à Dieu, on l'a fait", soupire auprès de l'AFP Sarah qui assiste à la messe dans la cathédrale syriaque orthodoxe de Saint-Georges, à Damas.

Ailleurs, le réveillon a aussi livré ses moments de réconfort.

Aux Etats-Unis, la tradition annuelle de traquer le Père Noël s'est mise en place. Pour les petits comme les plus grands, il est possible de suivre en temps réel sa grande traversée sur un site internet dédié.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Trump arbore à nouveau un pansement: poignées de main pointées

Publié

le

L'explication des poignées de main avait déjà été avancée par la Maison-Blanche il y a quelques semaines. (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

Alors que le président américain Donald Trump portait ces derniers jours un pansement sur le dos de la main droite, la Maison-Blanche a assuré à nouveau jeudi que cela s'expliquait par les très nombreuses poignées de main qu'il distribue. Donald Trump a 79 ans.

"Nous vous avons donné une explication pour cela par le passé", a déclaré jeudi la porte-parole Karoline Leavitt.

"Le président est constamment en train de serrer des mains", a dit la porte-parole, reprenant l'explication déjà avancée il y a quelques mois quand le président américain avait été vu avec un hématome sur le dos de la main droite, couvert d'une épaisse couche de maquillage.

"Il prend aussi de l'aspirine quotidiennement" comme traitement préventif cardiovasculaire, a rappelé Karoline Leavitt, "ce qui peut contribuer à ces bleus que vous voyez".

Plus vieux président élu

Cette explication avait également déjà été avancée par la Maison-Blanche, avant l'apparition des pansements, que Donald Trump portait, par exemple, dimanche pendant une soirée de gala à Washington.

La question de la santé est sensible pour le président américain le plus vieux jamais élu, qui répète que son prédécesseur, le démocrate Joe Biden, était sénile au point de ne plus gouverner lui-même à la fin de son mandat.

Mardi soir, Donald Trump a jugé dans un message empreint de colère sur son réseau social Truth Social que les articles qui portent sur son état de forme relevaient de la "sédition, peut-être même de la trahison".

Le président américain a passé en octobre une visite médicale incluant une IRM et son médecin a affirmé qu'il était en excellente santé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Economie

Le Sud-Coréen Do Kwon écope de 15 ans pour faillite frauduleuse

Publié

le

Do Kwon avait été arrêté au Monténégro avec son directeur financier (archives). (© KEYSTONE/AP/RISTO BOZOVIC)

Le magnat sud-coréen des monnaies numériques, Do Kwon, accusé d'être à l'origine d'une faillite frauduleuse de plus de 40 milliards de dollars en 2022, a été condamné jeudi à 15 ans de prison à New York. Il avait fait fortune en lançant le Terra.

Agé de 34 ans, l'ancien cofondateur et patron de Terraform Labs, qui faisait face au départ à neuf chefs d'accusation, a plaidé coupable pour deux d'entre eux: complot en vue de fraude et fraude électronique.

Après avoir fui la Corée du Sud et Singapour, où était basée sa société, Do Kwon avait été arrêté au Monténégro avec son directeur financier. Réclamé à la fois par les autorités américaines et coréennes, il avait finalement été extradé vers les Etats-Unis en fin d'année dernière.

Diplômé de Stanford, passé par Apple et Microsoft, l'entrepreneur avait connu un succès rapide, attirant des milliards d'investissements en lançant en 2020 le Terra, présenté comme un "stablecoin", c'est-à-dire une devise numérique dont le cours était théoriquement arrimé à une devise classique, en l'occurrence le dollar.

Recherché par la Corée du Sud

Mais à la différence d'autres monnaies électroniques de ce type, comme le Tether ou l'USDC, le produit de la vente de Terra n'a pas été placé dans des actifs sûrs, comme du numéraire ou des obligations d'Etat, susceptibles d'être récupérés rapidement en cas de problème. Terraform Labs, l'entreprise fondée par Do Kwon, faisait reposer la valeur du Terra sur un algorithme.

Au printemps 2022, après la dégringolade de l'autre cryptomonnaie créée par Terraform Labs, le Luna, le Terra a fait l'objet de ventes massives par des investisseurs devenus suspicieux.

La valeur du Terra est descendue au-dessous d'un dollar, ce qui a poussé Terraform Labs à utiliser la presque totalité de ses réserves pour soutenir Luna et Terra, en vain. Au total, l'effondrement des deux cryptomonnaies a réduit de plus de 40 milliards de dollars la valeur des avoirs de leurs détenteurs.

Do Kwon risque également une peine de prison en Corée du sud, où une procédure contre lui est en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Trump exaspéré par les mauvais sondages sur l'économie

Publié

le

Le président américain Donald Trump s'est agacé jeudi contre les sondages (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

"Quand les sondages vont-ils refléter la grandeur de l'Amérique aujourd'hui?" Donald Trump a laissé libre cours jeudi à son exaspération face aux enquêtes d'opinion, qui révèlent le mécontentement croissant des Américains face à sa politique économique.

"Quand dira-t-on enfin que j'ai créé, sans inflation, peut-être la meilleure économie de l'histoire de notre pays? Quand les gens vont-ils comprendre ce qu'il se passe?" s'est encore indigné le président américain dans un message sur son réseau Truth Social. Il a une nouvelle fois accablé son prédécesseur démocrate Joe Biden pour le "désastre" qu'il lui a laissé en matière d'inflation.

Un sondage mené par l'université de Chicago pour l'agence AP, publié jeudi, indique que seulement 31% des Américains sont satisfaits de la politique économique menée par Donald Trump, contre 40% en mars, soit le plus bas niveau jamais relevé, y compris pendant son premier mandat. 68% d'entre eux jugent que l'économie américaine se porte mal, selon le même sondage.

Cette insatisfaction contraste avec le paysage économique flatteur dépeint par le président, qui a été élu en grande partie grâce à ses promesses de lutter contre la vie chère.

"Les prix baissent"

Le républicain de 79 ans a répété jeudi que "les prix baissaient rapidement" et vanté le haut niveau des cours de Bourse. L'inflation, qui avait flambé pendant la présidence de Joe Biden, a d'abord ralenti après le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, puis a accéléré depuis avril.

Le dernier pointage publié, en septembre, était de 2,8% de hausse des prix sur un an. Le gouvernement n'a pas dévoilé de statistique pour octobre, invoquant la paralysie budgétaire alors en cours, et le chiffre de novembre est attendu la semaine prochaine.

"Pour ce qui concerne le coût de la vie, tous les indicateurs économiques (...) montrent qu'en réalité l'économie est meilleure et plus éclatante que sous le gouvernement précédent", a assuré la porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt jeudi pendant une conférence de presse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le Grec Pierrakakis élu président de l'Eurogroupe

Publié

le

Le ministre grec des finances Kyriakos Pierrakakis est le nouveau président de l'Eurogroupe. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Dix ans après avoir manqué de se faire éjecter de la zone euro, la Grèce tient sa revanche: son ministre des Finances Kyriakos Pierrakakis a été élu jeudi par ses pairs à la tête de l'instance qui la gouverne, l'Eurogroupe.

"C'est la reconnaissance la plus éclatante de la trajectoire positive de notre patrie", s'est félicité le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, saluant "un jour de fierté pour le pays, pour le gouvernement et pour tous les citoyens".

"Il y a 10 ans, le débat ici à Bruxelles était de savoir si la Grèce allait sortir ou pas de la zone euro. Et pourtant, elle a tenu bon. C'est un témoignage de bien des choses, de la force collective de notre peuple, et de la solidarité européenne", a déclaré à la presse M. Pierrakakis.

"Il y a un peu plus de 10 ans, c'est à l'Eurogroupe qu'ont été pensées et mises en oeuvre des mesures pour le sauvetage de la Grèce qui était à l'époque dans une situation économique et financière très difficile", a renchéri le ministre français de l'Economie, Roland Lescure. "La Grèce a parcouru un si long chemin au cours des 10 dernières années", a résumé le président du Conseil, Antonio Costa.

Kyriakos Pierrakakis, 42 ans, est ministre des Finances depuis mars, après avoir piloté la transformation de l'administration grecque depuis 2019 en tant que ministre de la Gouvernance numérique, puis de l'Education.

Dans sa candidature, il avait mis en avant "le pouvoir de la résilience" dont sa génération a fait preuve, après la tourmente des années 2010, lorsque la crise de la dette grecque a failli provoquer l'implosion de la zone euro.

Une "crise existentielle" qui a démontré selon lui "le coût de la complaisance, la nécessité des réformes et l'importance de la solidarité européenne". Kyriakos Pierrakakis était opposé au ministre belge du Budget Vincent Van Peteghem, 45 ans, membre de l'Eurogroupe depuis 2020.

Nomination à Francfort

Les deux hommes, tous deux membres de partis de droite, se sont lancés après la démission surprise de l'Irlandais Paschal Donohoe, qui exerçait la fonction depuis 2020 et avait été réélu à la tête de l'Eurogroupe il y a quelques mois seulement.

Cette instance, créée en 1997, coordonne les politiques économiques et budgétaires des 20 pays de la zone euro, bientôt au nombre de 21, la Bulgarie s'apprêtant à adopter la monnaie unique le 1er janvier prochain.

Le président de l'Eurogroupe est chargé de préparer les réunions mensuelles des ministres des Finances de la zone euro et la représente dans différents organismes internationaux (FMI, Banque mondiale, G7 Finances...), ce qui lui procure une stature internationale.

Parallèlement, l'Eurogroupe a lancé officiellement jeudi le processus de nomination pour un autre poste européen convoité: la vice-présidence de la Banque centrale européenne (BCE).

Il s'agit cette fois de trouver un successeur à l'Espagnol Luis de Guindos, dont le mandat au sein de l'institution installée à Francfort s'achèvera fin mai 2026.

L'Eurogroupe joue un rôle central dans ce processus car il devra sélectionner début 2026 l'une des candidatures proposées par les pays de la zone euro. Leur choix devra ensuite être validé par les dirigeants des 27, après consultation du Parlement européen et du conseil des gouverneurs de la BCE.

La succession de M. de Guindos est considérée comme un tour de chauffe avant l'expiration en 2027 des mandats de trois des six membres du directoire de la BCE, dont celui de la présidente Christine Lagarde qui devrait attirer les convoitises de plusieurs pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / belga / afp

Continuer la lecture

International

OpenAI va pouvoir utiliser les personnages de Disney

Publié

le

Les utilisateurs de Sora, plateforme de vidéos d'OpenAI, pourront désormais créer des vidéos en puisant dans un catalogue de plus de 200 personnages des univers Disney, Marvel, Pixar et Star Wars (archives). (© KEYSTONE/AP/Michael Dwyer)

OpenAI et Disney ont annoncé jeudi avoir conclu un accord qui va permettre l'utilisation des personnages du groupe sur Sora, la plateforme de vidéo créées par intelligence artificielle (IA) générative, un signal fort pour l'écosystème des contenus IA.

Dans le cadre de ce partenariat, Disney va prendre une participation au capital d'OpenAI à hauteur d'un milliard de dollars et recevoir des produits financiers dérivés (warrants) lui permettant d'acquérir, ultérieurement, davantage d'actions du créateur de ChatGPT.

Lancé fin septembre, Sora se veut être un réseau social sur lequel il n'est possible de publier que des vidéos générées par IA.

La plateforme s'appuie sur le modèle vidéo d'IA générative d'OpenaAI, Sora 2, successeur de Sora, dont le nom générique a été repris pour cette application.

Dès les premières heures, Sora a été notamment nourri de contenus reprenant, sans autorisation, des marques, l'image de personnalités, ainsi que des univers graphiques inspirés de programmes existants, dessins animés, films ou séries.

De nombreuses vidéos incluaient ainsi des personnages directement inspirés de ceux du studio Pixar, filiale de Disney, ainsi que de plusieurs dessins animés propriété du géant du divertissement, comme "Family Guy".

Quelques jours après, Sam Altman avait indiqué qu'OpenAI entendait offrir davantage de contrôle aux ayants droit quant à l'utilisation d'éléments théoriquement protégés par la propriété intellectuelle.

Personnages de Disney, Marvel, Pixar et Star Wars

La collaboration dévoilée jeudi prévoit que les utilisateurs de Sora pourront désormais créer des vidéos en puisant dans un catalogue de plus de 200 personnages des univers Disney, Marvel, Pixar et Star Wars, selon un communiqué conjoint.

Il ne s'agit cependant que de personnages animés, masqués ou de créatures, mais pas de vrais acteurs à visage humain.

Le rapprochement entre les deux groupes va au-delà de Sora, car Disney va devenir un "client majeur" d'OpenAI.

L'entreprise de Burbank (Californie) va ainsi donner accès à ChatGPT à ses employés et utiliser les modèles d'IA d'OpenAI pour "créer de nouveaux produits, outils et expériences".

Le développement rapide de l'IA "est un moment important pour notre industrie", a déclaré le directeur général de Disney, Bob Iger, cité dans le communiqué.

Le partenariat avec OpenAI va offrir au groupe des "débouchés plus vastes à travers l'IA générative", a-t-il ajouté, "tout en respectant et en protégeant les créateurs et leur travail."

Pour Sam Altman, également cité dans le communiqué, cet accord "montre que les entreprises d'IA et les éditeurs de contenu peuvent travailler ensemble de manière responsable pour promouvoir l'innovation".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 2 heures

Trump arbore à nouveau un pansement: poignées de main pointées

Alors que le président américain Donald Trump portait ces derniers jours un pansement sur le dos de la main droite,...

EconomieIl y a 3 heures

Le Sud-Coréen Do Kwon écope de 15 ans pour faillite frauduleuse

Le magnat sud-coréen des monnaies numériques, Do Kwon, accusé d'être à l'origine d'une faillite frauduleuse...

SuisseIl y a 6 heures

Deux rentes de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Deux personnes chanceuses en France et en Irlande ont décroché une rente mensuelle de 2222...

InternationalIl y a 6 heures

Trump exaspéré par les mauvais sondages sur l'économie

"Quand les sondages vont-ils refléter la grandeur de l'Amérique aujourd'hui?" Donald Trump a laissé libre...

Suisse RomandeIl y a 8 heures

Lausanne: près de 300 manifestants devant l'Hôtel de police

Près de 300 personnes se sont rassemblées jeudi en début de soirée devant l'Hôtel de...

GenèveIl y a 8 heures

Exclusion des élèves frontaliers: vers une solution plus modérée

A Genève, la décision du Conseil d'Etat de mettre fin au régime transitoire qui permettait...

HippismeIl y a 9 heures

CHI: Jérôme Voutaz seul amateur en attelage

La sélection suisse au CHI est fort bien fournie; parmi les Helvètes en vue ce...

InternationalIl y a 9 heures

Le Grec Pierrakakis élu président de l'Eurogroupe

Dix ans après avoir manqué de se faire éjecter de la zone euro, la Grèce...

InternationalIl y a 11 heures

OpenAI va pouvoir utiliser les personnages de Disney

OpenAI et Disney ont annoncé jeudi avoir conclu un accord qui va permettre l'utilisation des...

GenèveIl y a 11 heures

Le Grand Conseil genevois enterre le projet de budget d'Etat 2026

Genève débutera 2026 sous le régime des douzièmes provisoires. Fustigeant l'absence de réformes structurelles, la...