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International

Poutine affirme "soutenir" Harris à la présidentielle américaine

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Vladimir Poutine a encore affirmé être disposé à des pourparlers avec Kiev sur la base de ceux du printemps 2022. (© KEYSTONE/EPA/VYACHESLAV PROKOFYEV/SPUTNIK/KREMLIN POOL)

Le président russe Vladimir Poutine a assuré jeudi "soutenir" la candidate démocrate Kamala Harris pour la présidentielle américaine. Cette déclaration intervient au lendemain d'accusations d'ingérences électorales formulées par Washington et rejetées par Moscou.

Les autorités américaines ont pris mercredi des mesures, dont des poursuites pénales et des sanctions, pour ces tentatives d'"influer" sur le résultat de l'élection présidentielle du 5 novembre qui oppose Mme Harris à l'ex-président Donald Trump.

Le renseignement américain avait déjà conclu à des ingérences russes lors des scrutins présidentiels en 2016 et en 2020 pour favoriser le candidat républicain Donald Trump, ce que l'intéressé conteste catégoriquement et que la diplomatie russe a démenti. Sans répondre directement à ces accusations, Vladimir Poutine a déclaré jeudi que le président américain Joe Biden avait "recommandé à ses électeurs de soutenir Mme Harris, donc nous la soutiendrons aussi", lors d'un forum économique à Vladivostok.

"Deuxièmement, elle a un rire si expressif et contagieux que cela montre qu'elle se porte bien", a-t-il ajouté. Le rire de Kamala Harris est très souvent moqué par les conservateurs américains, Donald Trump en tête. Le président russe a estimé que le candidat républicain Donald Trump, ancien locataire de la Maison Blanche de 2017 à 2021, avait imposé "plus de sanctions à la Russie qu'aucun président" avant lui, et que Kamala Harris "s'abstiendr(ait) peut-être de faire ce genre de choses".

Scepticisme

"Mais au bout du compte, le choix revient au peuple américain", a ajouté Vladimir Poutine. En février, il avait jugé que Joe Biden, alors pressenti pour devenir le candidat démocrate, était plus "prévisible" et "expérimenté" que Donald Trump.

Ces déclarations avaient toutefois été accueillies avec scepticisme par des observateurs américains, selon lesquels Moscou aurait une préférence pour le milliardaire américain notamment car ce dernier pourrait réduire l'aide à l'Ukraine. M. Poutine est ainsi suspecté de vouloir brouiller les réelles intentions russes en feignant un soutien aux démocrates.

Donald Trump a par le passé exprimé son admiration pour le président russe et a maintes fois prétendu qu'il réglerait le conflit entre la Russie et l'Ukraine "en 24 heures", débuté en février 2022. Il s'est au cours des derniers mois montré très critique des milliards de dollars dépensés par les Etats-Unis pour soutenir Kiev face à l'offensive de Moscou. Kamala Harris, au contraire, a promis fin août qu'elle se tiendrait "fermement aux côtés de l'Ukraine".

"Campagne" américaine

Mercredi, les autorités américaines ont pris une série de mesures, notamment contre des responsables du média russe RT, répondant selon elles à des tentatives d'ingérence dans les élections de novembre qu'elles imputent à la Russie. Vladimir Poutine était "au courant" de ces opérations d'ingérence électorale, a affirmé la Maison Blanche.

La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a elle jugé jeudi que les mesures prises contre des responsables de RT faisaient partie d'une "campagne d'information (...) qui a été préparée de longue date et qui est nécessaire à l'approche de la dernière phase du cycle électoral".

Elle a assuré que Moscou préparait "bien évidemment" une réponse à ces nouvelles sanctions à même de "faire frémir tout le monde", dans un entretien à l'agence de presse d'Etat Ria Novosti. Les autorités américaines n'ont pas clairement indiqué à quel camp, démocrate ou républicain, ces ingérences supposées dans la campagne 2024 auraient profité.

Le ministre américain de la Justice, Merrick Garland, s'est borné à indiquer que selon l'analyse des services de renseignements, "les préférences de la Russie n'avaient pas changé par rapport à la dernière élection", semblant indiqué que Moscou poussait le candidat Trump.

"Inévitable"

Ces annonces se produisent à un moment où les relations entre la Russie et les Etats-Unis sont glaciales, et ne font que s'empirer depuis l'offensive russe en Ukraine en février 2022. La diffusion de RT, lancé en 2005, a été largement restreinte ou interdite par les pays occidentaux, qui l'accusent de tenter de déstabiliser leurs démocraties en diffusant de fausses informations.

La chaîne RT a tourné en dérision les dernières accusations américaines, évoquant "le retour des clichés éculés de 2016". "Dans la vie, trois choses sont inévitables: la mort, les impôts et 'l'ingérence de RT dans les élections américaines'", avait moqué le média. La présidentielle américaine de 2016 avait porté Donald Trump à la Maison Blanche, qu'il a quittée après avoir perdu face au démocrate Joe Biden lors du scrutin de 2020.

Les relations avec la Russie sont devenues un point de clivage partisan aux Etats-Unis, une évolution impensable il y a plusieurs décennies lorsque l'Union soviétique était considérée comme représentant la principale menace pour la plupart des Américains. Certains conservateurs américains voient le président russe comme le gardien de valeurs chrétiennes traditionnelles, notamment sur la question des droits des personnes LGBT+.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

International

Nouvelle nuit de manifestations pro-UE à Tbilissi

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Des manifestants pro-UE se sont à nouveau rassemblés à Tbilissi lundi soir. (© KEYSTONE/AP/Pavel Bednyakov)

Des milliers de Géorgiens pro-UE se sont rassemblés lundi pour une 12e nuit consécutive de manifestations contre le gouvernement de ce pays du Caucase à Tbilissi la capitale, a constaté l'AFP.

Des manifestants se sont rassemblés à l'extérieur du Parlement, arborant des drapeaux européens, soufflant dans des trompettes et portant des banières avec des sloggans anti-gouvernementaux, selon un correspondant de l'AFP.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Suez annonce le départ de sa PDG au 31 janvier

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La PDG de Suez, Sabrina Soussan, quitte le groupe au 31 janvier. (archive) (© KEYSTONE/AP/SOPHIE GARCIA)

Le géant de l'eau et des déchets, Suez, a annoncé le départ sa présidente et directrice générale, Sabrina Soussan, le 31 janvier 2025. La présidence du conseil d'administration sera assurée par Thierry Déau, président de Meridiam, dès le 1er janvier.

Sa succession à la direction générale "sera annoncée à la suite d'un processus de recherche et de nomination qui est immédiatement lancé", indique le groupe dans un communiqué transmis à l'AFP. "Sabrina Soussan, jusqu'à son départ, assurera la transition main dans la main avec le nouveau président", ajoute-t-il.

"J'ai décidé après trois années intenses et le sentiment du devoir accompli de me consacrer à d'autres projets que j'annoncerai le moment venu", a déclaré Sabrina Soussan, citée dans le communiqué.

En la remerciant pour son "excellent travail de reconstruction, de structuration et de développement" du groupe depuis trois ans, Thierry Déau a estimé que le groupe bénéficie "d'une situation financière robuste et d'un solide réservoir de projets d'envergure" et "peut aborder l'avenir avec confiance et sérénité".

Suez, dont les actifs à l'étranger ont été réduits en 2022 par une OPA du rival Veolia, a réalisé 8,9 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2023. L'entreprise spécialisée dans le traitement de l'eau et de l'énergie est présente aujourd'hui dans une quarantaine de pays et s'appuie sur 40'000 collaborateurs.

Pour mémoire, Sabrina Soussan a claqué la porte le 1er janvier 2022 de Dormakaba. Elle a occupé le poste de directrice générale chez le spécialiste zurichois de la sécurisation d'accès de janvier 2021 à janvier 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Vivendi: feu vert des actionnaires à la scission du groupe

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Les actionnaires de Vivendi ont approuvé à la quasi unanimité le projet de scission en quatre entités du géant français des médias et de l'édition. (archive) (© KEYSTONE/AP/JACQUES BRINON)

Les actionnaires de Vivendi ont approuvé lundi à la quasi unanimité le projet de scission en quatre entités du géant français des médias et de l'édition, contrôlé par le milliardaire Vincent Bolloré.

Les trois résolutions mises aux voix en assemblée générale des actionnaires à Paris ont été validées chacune à plus de 97%.

Cette étape était nécessaire avant la scission effective du conglomérat et à partir du 16 décembre les nouvelles cotations des entités: Canal+ à la Bourse de Londres, Havas (communication) à Amsterdam et Louis Hachette Group à Paris. La holding Vivendi restera en Bourse à Paris.

Selon le président du directoire de Vivendi, Arnaud de Puyfontaine, c'est "un nouveau chapitre de son histoire" qui s'ouvre pour le groupe, "tout en restant fidèle à ce qu'il est".

"Le point de départ" de l'opération, annoncée il y a un an, était "le cours de bourse de Vivendi", qui "ne reflétait pas la véritable valeur de ses actifs", a rappelé Yannick Bolloré, fils de Vincent Bolloré et président du conseil de surveillance de Vivendi.

La décote de conglomérat atteignait 44%, ce qui constituait "un handicap pour nous actionnaires et pour le développement de nos activités", a-t-il ajouté.

"Ce projet est dans l'intérêt de tous les actionnaires. Il n'y a pas d'autre alternative à part le statu quo", a aussi insisté le dirigeant.

La scission fait bondir certains petits actionnaires, très minoritaires, qui craignent d'y perdre et de voir Vincent Bolloré renforcer son contrôle.

Yannick Bolloré a assuré que la scission est "la voie qui permet de créer de la valeur pour l'ensemble des actionnaires". Et s'il s'agissait pour le groupe Bolloré, actionnaire de référence à hauteur de 29,9% de Vivendi, de prendre son contrôle, "ce n'est pas cette stratégie qu'il choisirait".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Dubaï annonce un impôt sur les bénéfices des multinationales

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Les Emirats arabes unis ont annoncé l'introduction d'un impôt de 15% sur les bénéfices des multinationales à partir de janvier 2025. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)

Les Emirats arabes unis, qui accueillent le siège régional de nombreuses entreprises, ont annoncé lundi l'introduction d'un impôt de 15% sur les bénéfices des multinationales à partir de janvier 2025.

"Cette étape stratégique reflète l'engagement des Émirats à mettre en oeuvre la solution des deux piliers de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui vise à établir un système fiscal équitable et transparent", a indiqué le ministère émirati des Finances dans un communiqué.

Près de 140 Etats se sont accordés à la fin 2021 sur une taxation minimale des multinationales sous l'égide de l'OCDE, consistant en deux piliers, le premier visant une meilleure répartition de la fiscalité des géants du numérique et le second une imposition minimale à 15% sur les sociétés.

La mesure s'appliquera aux multinationales opérant dans le riche pays pétrolier du Golfe et dont le chiffre d'affaires global consolidé s'est élevé à au moins 750 millions d'euros au cours d'au moins deux des quatre exercices financiers précédents, a précisé le ministère.

Les Emirats, qui figurent parmi les principaux exportateurs de pétrole au monde, ont diversifié leur économie en s'imposant comme un centre régional pour les affaires et le tourisme.

Longtemps considéré comme un paradis fiscal, mais sorti de la liste grise de l'OCDE en février 2024, le pays a commencé l'année dernière à taxer les bénéfices des entreprises de plus de 375'000 dirhams (environ 91'500 euros) à 9%.

Il fait toutefois face à une concurrence croissante dans la région, notamment de l'Arabie saoudite qui cherche elle aussi à réduire sa dépendance aux hydrocarbures et à attirer les entreprises étrangères.

Les Émirats continueront "à développer un environnement favorable aux entreprises" et à renforcer leur compétitivité, a souligné le ministère des Finances en annonçant par la même occasion que de nouvelles mesures d'incitations fiscales étaient à l'étude pour soutenir l'innovation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

"Emilia Perez", de Jacques Audiard, en tête des Golden Globes

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Jacques Audiard et son film "Emilia Perez" avaient raflé de nombreux prix samedi aux Prix du cinéma européen à Lucerne (archives). (© KEYSTONE/EPA/PHILIPP SCHMIDLI)

La comédie musicale du réalisateur français Jacques Audiard "Emilia Perez" a dominé lundi l'annonce des nominations aux Golden Globes, antichambre des Oscars.

"Emilia Perez", qui a raflé dix nominations, raconte l'histoire d'un baron de la drogue mexicain - interprété par l'actrice transgenre Karla Sofia Gascon - qui change de vie et devient une femme. Samedi dernier, "Emilia Perez" a déjà aflé le prix du meilleur film au Prix du cinéma européen à Lucerne.

Le film "The Brutalist", avec Adrien Brody dans le rôle d'un architecte survivant à la Shoah, arrive en deuxième position avec sept nominations, suivi du thriller "Conclave" avec six nominations.

Prix du Jury au dernier Festival de Cannes, le film de Jacques Audiard presque entièrement tourné en espagnol met en scène deux grandes vedettes - Selena Gomez et Zoe Saldana - et transcende les genres, entre thriller et telenovela.

Les trois comédiennes sont nommées dans les catégories meilleure actrice et meilleure actrice dans un second rôle pour une comédie ou comédie musicale.

Les Golden Globes, souvent considérés comme la cérémonie de tremplin pour les Oscars, se tiendront à Beverly Hills (Californie), le 5 janvier, et seront présentés par l'humoriste américaine Nikki Glaser.

Après son succès à Cannes, Jacques Audiard avait avoué à l'AFP "être terrifié" par la course aux Oscars pour son film. "Le succès de masse a quelque chose d'inquiétant, ce n'est pas ta vie réelle", avait ajouté en octobre le réalisateur français, également personnellement nommé aux Globes pour meilleur réalisateur.

Film d'horreur féministe

Les 10 nominations de son long-métrage incluent aussi la catégorie meilleur scénario.

Dans la catégorie comédie et comédie musicale, "Emilia Perez" est en compétition face à "Wicked", le thriller new-yorkais explosif "Anora", le triangle amoureux sur fond de tennis "Challengers" ou encore "The Substance".

Prix du scénario à Cannes, "The Substance", film d'horreur féministe de la Française Coralie Fargeat, met en scène la vedette américaine Demi Moore comme ancienne gloire du fitness à la télé en proie à l'injonction de vieillir "jeune".

L'adaptation de la comédie musicale de Broadway "Wicked" a décroché elle quatre nominations, dont une pour la star de la pop Ariana Grande et une autre pour Cynthia Erivo, qui joue le rôle de la sorcière Elphaba.

Cynthia Erivo, Karla Sofia Gascon et Mikey Madison ("Anora") vont aussi prétendre à la récompense de meilleure actrice lors de la cérémonie en compagnie d'Amy Adams ("Nightbitch"), Demi Moore et la vedette américaine Zendaya.

"Excellent baromètre"

Contrairement à d'autres prix comme les Oscars, les Golden Globes opèrent une distinction entre les comédies et les films dramatiques, élargissant le champ des stars susceptibles de fouler le tapis rouge.

"The Brutalist", le long-métrage de plus de trois heures avec Adrien Brody dans le rôle d'un architecte juif d'origine hongroise immigré après la Shoah aux Etats-Unis, a remporté sept nominations.

"Conclave", qui suit de près avec six nominations, offre une plongée dans un jeu de trahisons et de mensonges autour de l'élection d'un pape au Vatican, avec un casting impeccable mené par Ralph Fiennes, nommé dans la catégorie meilleur acteur pour un film dramatique.

Dans la catégorie film dramatique, "The Brutalist" et le film "Conclave" se retrouvent face au biopic sur Bob Dylan "Un parfait inconnu", "Dune: deuxième partie", "Nickel Boys" et "5 septembre".

Les Golden Globes ont été réformés après avoir été au centre d'un scandale en 2021 lorsque le Los Angeles Times a révélé que l'organisation gérant, attribuant et décernant la cérémonie, l'Association de la presse étrangère d'Hollywood (HFPA), ne comptait aucune personne noire en son sein.

Ils ont par la suite été rachetés par un groupe d'investisseurs privés et la HFPA dissoute. Les organisateurs espèrent capitaliser sur le rebond d'audience lors de la dernière cérémonie et même renforcer son statut de tremplin essentiel pour les Oscars.

Les Globes mettent également à l'honneur le meilleur de la télévision, avec la série "The Bear" qui a remporté cinq nominations lundi ou "Shogun" et "Only Murders in the Building", à égalité avec quatre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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