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Gaza: au moins 52 morts dans des bombardements israéliens

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Au moins 33 personnes ont été tuées lundi dans le bombardement d'une école abritant des déplacés à Gaza, selon la Défense civile palestinienne. L'armée israélienne affirme y avoir visé des "terroristes". (© KEYSTONE/AP/Ariel Schalit)

Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a promis lundi de ramener tous les otages, "les vivants et les morts", retenus par le Hamas à Gaza, à l'heure où son armée bombarde intensément le territoire palestinien, faisant au moins 52 morts selon les secours.

De son côté, une source du Hamas a affirmé que le mouvement islamiste palestinien avait accepté une nouvelle proposition de trêve à Gaza de l'émissaire américain Steve Witkoff mais ce dernier a nié une telle approbation selon son porte-parole.

Ces développements surviennent alors que la pression s'accentue sur Israël pour cesser son offensive dans le territoire palestinien assiégé, affamé et dévasté par plus de 19 mois de guerre.

Celle-ci a été déclenchée par une attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël par des commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza voisine.

Le 17 mai, Israël a intensifié son offensive dans le but affiché de libérer les derniers otages, de prendre le contrôle de tout Gaza et d'anéantir le Hamas, qui a pris le pouvoir en 2007 dans le territoire palestinien.

"Si nous n'y arrivons pas aujourd'hui, on y arrivera demain et si pas demain alors après-demain, on n'abandonne pas (...) Nous avons l'intention de les ramener tous, les vivants et les morts", a affirmé M. Netanyahu dans un discours clôturant les festivités de la "Journée de Jérusalem".

"Notre mission (de gagner la guerre), y compris celle de ramener les otages nous accompagne jour et nuit (...) Nous n'y renonçons pas", a-t-il ajouté.

M. Netanyahu avait plus tôt dans une vidéo diffusée sur son canal Telegram dit "espérer" pouvoir faire une annonce sur les otages "aujourd'hui ou demain", sans donner plus de détails.

Avant ces déclarations, une source du Hamas a affirmé que le mouvement avait accepté une proposition de M. Witkoff prévoyant "une trêve de 70 jours en échange de la libération de dix otages en deux temps".

"Peur, horreur, confusion"

Selon une autre source palestinienne, "10 otages vivants seront libérés en échange d'une trêve de 70 jours, d'un retrait partiel (israélien) de Gaza (et) de la libération d'un grand nombre de prisonniers palestiniens".

Dans le nord de la bande de Gaza, cible de nouveaux bombardements israéliens, 33 Palestiniens, des enfants en majorité, ont été tués à l'école Fahmi Al-Jarjaoui de Gaza-ville, et 19 dans une frappe sur une maison de Jabalia, selon la Défense civile locale.

"C'est indescriptible: peur, horreur, confusion, enfants hurlants, odeur de chair brûlée, odeur d'objets carbonisés, odeur de soufre et il y avait du sang partout", raconte Farah Nasser, réveillée par la frappe sur l'école.

L'armée israélienne a dit avoir visé dans la zone de l'école "des terroristes".

Protestations

"Je n'ai jamais vu autant de blessures par explosion de toute ma vie (...)", également "chez de très jeunes enfants", a affirmé Victoria Rose, membre d'une délégation médicale britannique présente à l'hôpital Nasser de Khan Younès (sud).

L'escalade israélienne et les souffrances des civils palestiniens à Gaza confrontés à des pénuries de nourriture, d'eau et de médicaments, nourrissent une indignation internationale croissante.

Dans une attaque rare, le chancelier allemand Friedrich Merz a menacé de ne plus pouvoir soutenir le gouvernement Netanyahu, son allié. "Je ne comprends franchement pas ce que l'armée israélienne fait à Gaza (...)".

Mais Berlin continuera de vendre des armes à Israël, a assuré son chef de la diplomatie Johann Wadephul.

Le premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre a parlé de "probablement la pire attaque humanitaire contre des civils", en évoquant Gaza.

"Il faut arrêter cette offensive qui n'a aucun objectif militaire, sauf si l'objectif est de transformer Gaza en un immense cimetière", a dit José Manuel Albares, le chef de la diplomatie espagnole.

"Nous avons faim!"

Les quelque 2,4 millions d'habitants du territoire palestinien, plusieurs fois déplacés, sont assiégés depuis plus de 19 mois par Israël. Après plus de deux mois d'un total blocage de l'aide humanitaire, Israël a laissé passer la semaine dernière des livraisons au compte-gouttes.

"Nous avons faim et soif. Pour l'amour de Dieu, nous voulons manger", s'exclame Ibrahim Bakr, un habitant de Gaza.

L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP à partir de données officielles.

Sur 251 personnes enlevées durant l'attaque, 57 restent retenues dans Gaza, dont au moins 34 mortes, selon les autorités israéliennes.

Plus de 53'977 personnes, majoritairement des civils, ont été tués par la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Japon: séisme de magnitude 6,7 au nord du pays, alerte au tsunami

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Une secousse lundi soir dans la même région du Japon avait fait tomber des objets des étagères, endommagé des routes, brisé des vitres et déclenché des vagues de tsunami atteignant 70 centimètres. (© KEYSTONE/AP)

Un séisme de magnitude 6,7 s'est produit vendredi au large du nord du Japon, a annoncé l'agence météorologique nippone (JMA), quelques jours après une secousse dans la même zone ayant fait au moins 50 blessés. Une alerte au tsunami a été lancée.

Selon la JMA, des vagues pouvant atteindre un mètre pourraient frapper la côte du Pacifique au nord.

L'institut d'études géologiques américain USGS a indiqué que le tremblement de terre s'est produit à 130 kilomètres au large de Kuji, dans le département d'Iwate, sur l'île principale d'Honshu.

L'intensité des secousses était inférieure à celle du tremblement de terre de lundi soir, qui avait fait tomber des objets des étagères, endommagé des routes, brisé des vitres et déclenché des vagues de tsunami atteignant 70 centimètres, a indiqué la chaîne de télévision publique NHK.

L'autorité de régulation nucléaire a affirmé qu'aucune anomalie n'avait été détectée dans les installations nucléaires de la région.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump arbore à nouveau un pansement: poignées de main pointées

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L'explication des poignées de main avait déjà été avancée par la Maison-Blanche il y a quelques semaines. (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

Alors que le président américain Donald Trump portait ces derniers jours un pansement sur le dos de la main droite, la Maison-Blanche a assuré à nouveau jeudi que cela s'expliquait par les très nombreuses poignées de main qu'il distribue. Donald Trump a 79 ans.

"Nous vous avons donné une explication pour cela par le passé", a déclaré jeudi la porte-parole Karoline Leavitt.

"Le président est constamment en train de serrer des mains", a dit la porte-parole, reprenant l'explication déjà avancée il y a quelques mois quand le président américain avait été vu avec un hématome sur le dos de la main droite, couvert d'une épaisse couche de maquillage.

"Il prend aussi de l'aspirine quotidiennement" comme traitement préventif cardiovasculaire, a rappelé Karoline Leavitt, "ce qui peut contribuer à ces bleus que vous voyez".

Plus vieux président élu

Cette explication avait également déjà été avancée par la Maison-Blanche, avant l'apparition des pansements, que Donald Trump portait, par exemple, dimanche pendant une soirée de gala à Washington.

La question de la santé est sensible pour le président américain le plus vieux jamais élu, qui répète que son prédécesseur, le démocrate Joe Biden, était sénile au point de ne plus gouverner lui-même à la fin de son mandat.

Mardi soir, Donald Trump a jugé dans un message empreint de colère sur son réseau social Truth Social que les articles qui portent sur son état de forme relevaient de la "sédition, peut-être même de la trahison".

Le président américain a passé en octobre une visite médicale incluant une IRM et son médecin a affirmé qu'il était en excellente santé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Le Sud-Coréen Do Kwon écope de 15 ans pour faillite frauduleuse

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Do Kwon avait été arrêté au Monténégro avec son directeur financier (archives). (© KEYSTONE/AP/RISTO BOZOVIC)

Le magnat sud-coréen des monnaies numériques, Do Kwon, accusé d'être à l'origine d'une faillite frauduleuse de plus de 40 milliards de dollars en 2022, a été condamné jeudi à 15 ans de prison à New York. Il avait fait fortune en lançant le Terra.

Agé de 34 ans, l'ancien cofondateur et patron de Terraform Labs, qui faisait face au départ à neuf chefs d'accusation, a plaidé coupable pour deux d'entre eux: complot en vue de fraude et fraude électronique.

Après avoir fui la Corée du Sud et Singapour, où était basée sa société, Do Kwon avait été arrêté au Monténégro avec son directeur financier. Réclamé à la fois par les autorités américaines et coréennes, il avait finalement été extradé vers les Etats-Unis en fin d'année dernière.

Diplômé de Stanford, passé par Apple et Microsoft, l'entrepreneur avait connu un succès rapide, attirant des milliards d'investissements en lançant en 2020 le Terra, présenté comme un "stablecoin", c'est-à-dire une devise numérique dont le cours était théoriquement arrimé à une devise classique, en l'occurrence le dollar.

Recherché par la Corée du Sud

Mais à la différence d'autres monnaies électroniques de ce type, comme le Tether ou l'USDC, le produit de la vente de Terra n'a pas été placé dans des actifs sûrs, comme du numéraire ou des obligations d'Etat, susceptibles d'être récupérés rapidement en cas de problème. Terraform Labs, l'entreprise fondée par Do Kwon, faisait reposer la valeur du Terra sur un algorithme.

Au printemps 2022, après la dégringolade de l'autre cryptomonnaie créée par Terraform Labs, le Luna, le Terra a fait l'objet de ventes massives par des investisseurs devenus suspicieux.

La valeur du Terra est descendue au-dessous d'un dollar, ce qui a poussé Terraform Labs à utiliser la presque totalité de ses réserves pour soutenir Luna et Terra, en vain. Au total, l'effondrement des deux cryptomonnaies a réduit de plus de 40 milliards de dollars la valeur des avoirs de leurs détenteurs.

Do Kwon risque également une peine de prison en Corée du sud, où une procédure contre lui est en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump exaspéré par les mauvais sondages sur l'économie

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Le président américain Donald Trump s'est agacé jeudi contre les sondages (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

"Quand les sondages vont-ils refléter la grandeur de l'Amérique aujourd'hui?" Donald Trump a laissé libre cours jeudi à son exaspération face aux enquêtes d'opinion, qui révèlent le mécontentement croissant des Américains face à sa politique économique.

"Quand dira-t-on enfin que j'ai créé, sans inflation, peut-être la meilleure économie de l'histoire de notre pays? Quand les gens vont-ils comprendre ce qu'il se passe?" s'est encore indigné le président américain dans un message sur son réseau Truth Social. Il a une nouvelle fois accablé son prédécesseur démocrate Joe Biden pour le "désastre" qu'il lui a laissé en matière d'inflation.

Un sondage mené par l'université de Chicago pour l'agence AP, publié jeudi, indique que seulement 31% des Américains sont satisfaits de la politique économique menée par Donald Trump, contre 40% en mars, soit le plus bas niveau jamais relevé, y compris pendant son premier mandat. 68% d'entre eux jugent que l'économie américaine se porte mal, selon le même sondage.

Cette insatisfaction contraste avec le paysage économique flatteur dépeint par le président, qui a été élu en grande partie grâce à ses promesses de lutter contre la vie chère.

"Les prix baissent"

Le républicain de 79 ans a répété jeudi que "les prix baissaient rapidement" et vanté le haut niveau des cours de Bourse. L'inflation, qui avait flambé pendant la présidence de Joe Biden, a d'abord ralenti après le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, puis a accéléré depuis avril.

Le dernier pointage publié, en septembre, était de 2,8% de hausse des prix sur un an. Le gouvernement n'a pas dévoilé de statistique pour octobre, invoquant la paralysie budgétaire alors en cours, et le chiffre de novembre est attendu la semaine prochaine.

"Pour ce qui concerne le coût de la vie, tous les indicateurs économiques (...) montrent qu'en réalité l'économie est meilleure et plus éclatante que sous le gouvernement précédent", a assuré la porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt jeudi pendant une conférence de presse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Grec Pierrakakis élu président de l'Eurogroupe

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Le ministre grec des finances Kyriakos Pierrakakis est le nouveau président de l'Eurogroupe. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Dix ans après avoir manqué de se faire éjecter de la zone euro, la Grèce tient sa revanche: son ministre des Finances Kyriakos Pierrakakis a été élu jeudi par ses pairs à la tête de l'instance qui la gouverne, l'Eurogroupe.

"C'est la reconnaissance la plus éclatante de la trajectoire positive de notre patrie", s'est félicité le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, saluant "un jour de fierté pour le pays, pour le gouvernement et pour tous les citoyens".

"Il y a 10 ans, le débat ici à Bruxelles était de savoir si la Grèce allait sortir ou pas de la zone euro. Et pourtant, elle a tenu bon. C'est un témoignage de bien des choses, de la force collective de notre peuple, et de la solidarité européenne", a déclaré à la presse M. Pierrakakis.

"Il y a un peu plus de 10 ans, c'est à l'Eurogroupe qu'ont été pensées et mises en oeuvre des mesures pour le sauvetage de la Grèce qui était à l'époque dans une situation économique et financière très difficile", a renchéri le ministre français de l'Economie, Roland Lescure. "La Grèce a parcouru un si long chemin au cours des 10 dernières années", a résumé le président du Conseil, Antonio Costa.

Kyriakos Pierrakakis, 42 ans, est ministre des Finances depuis mars, après avoir piloté la transformation de l'administration grecque depuis 2019 en tant que ministre de la Gouvernance numérique, puis de l'Education.

Dans sa candidature, il avait mis en avant "le pouvoir de la résilience" dont sa génération a fait preuve, après la tourmente des années 2010, lorsque la crise de la dette grecque a failli provoquer l'implosion de la zone euro.

Une "crise existentielle" qui a démontré selon lui "le coût de la complaisance, la nécessité des réformes et l'importance de la solidarité européenne". Kyriakos Pierrakakis était opposé au ministre belge du Budget Vincent Van Peteghem, 45 ans, membre de l'Eurogroupe depuis 2020.

Nomination à Francfort

Les deux hommes, tous deux membres de partis de droite, se sont lancés après la démission surprise de l'Irlandais Paschal Donohoe, qui exerçait la fonction depuis 2020 et avait été réélu à la tête de l'Eurogroupe il y a quelques mois seulement.

Cette instance, créée en 1997, coordonne les politiques économiques et budgétaires des 20 pays de la zone euro, bientôt au nombre de 21, la Bulgarie s'apprêtant à adopter la monnaie unique le 1er janvier prochain.

Le président de l'Eurogroupe est chargé de préparer les réunions mensuelles des ministres des Finances de la zone euro et la représente dans différents organismes internationaux (FMI, Banque mondiale, G7 Finances...), ce qui lui procure une stature internationale.

Parallèlement, l'Eurogroupe a lancé officiellement jeudi le processus de nomination pour un autre poste européen convoité: la vice-présidence de la Banque centrale européenne (BCE).

Il s'agit cette fois de trouver un successeur à l'Espagnol Luis de Guindos, dont le mandat au sein de l'institution installée à Francfort s'achèvera fin mai 2026.

L'Eurogroupe joue un rôle central dans ce processus car il devra sélectionner début 2026 l'une des candidatures proposées par les pays de la zone euro. Leur choix devra ensuite être validé par les dirigeants des 27, après consultation du Parlement européen et du conseil des gouverneurs de la BCE.

La succession de M. de Guindos est considérée comme un tour de chauffe avant l'expiration en 2027 des mandats de trois des six membres du directoire de la BCE, dont celui de la présidente Christine Lagarde qui devrait attirer les convoitises de plusieurs pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / belga / afp

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